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lundi, 21 juillet 2014

L’arnaque antiraciste

 Publié par Guy Jovelin

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Jany Leroy

Boulevard Voltaire cliquez là

Comparer Christiane Taubira à un singe vaut 9 mois de prison ferme et 50.000€ d’amende auxquels il convient d’ajouter 30.000€ pour faire les pieds du Front national.

Ou comment passer de la justice à l’inquisition. Le bûcher des temps modernes se manifeste sous la forme de peines de prison ferme pour blasphème à la religion antiraciste.

Plus grave que des actes, la parole devient le crime absolu. Autant dire que l’heure est à la virtualité. Dans ces affaires, inutile de chercher des morts, des blessés, des violés, des battus, des souffrants d’une plaie quelconque, des lésés… Ces préjudices sont relégués au rang d’aimable plaisanterie. Seuls les mots comptent. Le principe de la liberté d’expression condamne clairement l’appel à des actes.

En clair, il est permis de dire sur la place publique que les norvégiens sont des abrutis mais en revanche, il est interdit d’appeler à tabasser des norvégiens. La nuance est importante. Sans elle, sans cette frontière nette et précise, la société sombre dans la subjectivité… Une subjectivité noire qui fait envoyer au peloton d’exécution n’importe quel pékin taxé de… ce qu’on veut. Haineux, fasciste, raciste, homophobe, anti ceci, anti cela. Partant du principe évident que ces notions sont à géométrie variable, la marge de manœuvre du pouvoir est confortable. Où commence la haine ? Réponse : Où on veut !

Toute personne, tout comique se moquant d’une personnalité publique ou d’un peuple ne délivre évidemment pas un message d’amour. Il peut donc être déclaré haineux. Vous critiquez mes prises de position ? Vous êtes donc animé par la haine… Le champ est vaste et la démarche commode.

Aucune loi n’interdit la bêtise. Avec sa comparaison idiote, cette Anne-Sophie Leclère n’a insulté que l’intelligence. Nul doute qu’en d’autres circonstances elle aurait comparé un blond à un épagneul ou un asiatique à un poisson lune. En réalité le problème est ailleurs. Black is beautiful. Là est la clé. Sur Canal Plus ou ailleurs Christine Lagarde peut bien être mise en parallèle avec un lévrier afghan… Il n’y a pas injure, pas de racisme anti blond, anti blanc… La religion l’autorise.

La perversion de cette traque maladive aux phobies diverses et variées réside en sa stérilité qui ne voit que des mots pourchassés, faute d’actes à se mettre sous la dent. La seule agression présentée homophobe durant les manifestations anti mariage pour tous s’est avérée relever d’une délinquance hélas ordinaire qui n’avait rien à voir avec une quelconque hostilité à l’égard d’homosexuels. Là encore les censeurs ont fait chou blanc et ont dû retourner à leur brassage d’air, à leur traque aux propos ou aux images. A ronger leur seul os. Un pauvre machin usé jusqu’à la moelle mais qu’ils continuent de grignoter tant bien que mal. Il n’en restera bientôt plus rien. Le peuple se réveille et constate l’embrouille. L’arnaque est totale.

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/

dimanche, 20 juillet 2014

Les fils Sarkozy et Trierweiler : pires que Rohff et Booba ! (par Nicolas Gauthier)

Publié par Guy Jovelin

La guerre de Troie n’aura pas lieu, assurait Jean Giraudoux. Pourtant, celle des deux andouilles, les rappeurs Rohff et Booba, elle, a bien ensanglanté les réseaux sociaux, avant de faire de même d’un des magasins de fripes tenus par l’un ou l’autre, on a un peu oublié le feuilleton en cours de route. Motif de l’embrouille ?rap

On aurait pu croire que ces enfantillages étaient réservés aux centres aérés ou aux amateurs de rap – un peu la même chose, au niveau intellectuel s’entend. Eh bien non. Car désormais, c’est dans les plus hautes sphères de l’État qu’on se pouille la gueule par tweets interposés. Comme quoi si nos deux gugusses à casquettes ont fait des petits, Nadine Morano, aussi ; comme aurait pu le chanter le défunt Fernandel.

Ainsi, le « fight » de ce début d’été oppose-t-il Léonard Trierweiler à Louis Sarkozy, fils des deux que vous devinez et même pas chacun dix-huit printemps aux prunes : bref, c’est Quick et Flupke qui se la jouent Notorious Big contre Tupac Shakur, ces deux stars du rap US – l’un issu de la côte Est et l’autre de la côte Ouest –, sauf qu’avec eux, c’était du sérieux, le différent s’étant réglé à coups de chargeurs d’Uzi vidés dans le buffet.

Comme dans les cours de récré, qui a commencé ? Bonne question. Enquête faite, tout démarre avec cette « information » selon laquelle, le passage de Valérie Trierweiler à l’Élysée en tant que première dame aurait coûté 481.000 euros en 2013. Du coup, son fils Léonard aurait ensuite versé le premier sang : « C’est comme si vous demandiez à Sarko Junior de rendre des cptes sur les 600 milliards de dette de son père. » L’orthographe et le montant de la « dette » en question, sont à laisser à l’appréciation du gamin, dont la mère est pourtant journaliste depuis des décennies ; mais il arrive parfois que le talent ne soit pas héréditaire…

Après, ça chipouille sec. Trierweiler junior : « Mais ce n’est pas ma mère qui bénéficiait d’une carte de crédit de l’Élysée pour ses dépenses personnelles. » Sarkozy junior : « Ah bas ça tombe bien, la mienne non plus ! » Puis, le ton monte, comme dans Le Boléro de Ravel ou un solo de batterie de Ian Paice, chez Deep Purple.

Léo ne dit plus rien. Puis, un tweetoricien, Soleiman 1er, avec drapeau palestinien en guise de photo, s’invite dans la fosse aux hamsters, proposant « un combat d’homme à homme. » Réponse immédiate de Loulou : « Quand vous voulez cher les militaires on apprend à se battre » ; mais manifestement pas toujours à manier la langue de Molière. On grimpe d’un cran. Les Horaces contre les Curiaces. Les anciens contre les modernes. OM contre PSG.

Et là, devant une telle montée d’hormones adolescentes, tout dérape. A propos du 7-1 encaissé par le Brésil face à l’Allemagne, en demi-finale de la Coupe du Monde de football, Sarko junior tweete : « Brazilian Genocide », in english, if you please. Ce à quoi l’autre garnement réplique : « Franchement, lâche Twitter et retourne pêcher le mérou… » Il est un fait qu’avant, l’autre avait posté une photo de lui en train de pêcher le… mérou ! Mais le Tweet « génocidaire » en question a vite été dégagé des réseaux sociaux, histoire que le galopin n’écope pas, lui aussi, de neuf mois de prison ferme pour une blague d’humour pas drôle, sachant que certains Brésiliens peuvent être des Guyanais comme les autres.

Et dire que certains s’inquiètent de l’avenir PS comme de celui de l’UMP… Qu’ils en rabattent. La relève intellectuelle est là. Et bien là.

Source

Résultat de 40 ans de colonisation migratoire : intifada à Paris

Publié par Guy Jovelin

Source : http://www.thomasjoly.fr/

samedi, 19 juillet 2014

14 juillet : “Présent” s’est fait remarquer ! (Présent N° 8148)

Publié par Guy Jovelin

14 juillet : “Présent” s’est fait remarquer ! (Présent N° 8148)La campagne qu’a menée Présent contre le défilé du 14 juillet vérolé par la présence des invités vietminhs et fellouzes n’a pas échappé au Monde. Dans un article intitulé « L’extrême droite vent debout contre la présence de trois Algériens aux cérémonies » (édition du 13-14 juillet), Abel Mestre écrit que « l’extrême droite » mobilise ses troupes sur ce thème, et en particulier un journal : « Le quotidien de l’extrême droite catholique Présent a bien compris cet enjeu. (…) Sous la plume d’Alain Sanders, le quotidien regrette “une telle invitation qui est une insulte à la France et à nos soldats tombés en Indochine et en Afrique du Nord”. »

Peut-on en vouloir à Abel Mestre d’utiliser cinq fois le terme « extrême droite » dans son article ? Sa raison sociale est d’être, au Monde, « chargé de l’extrême droite », il l’indique sur son compte Twitter. Mais, rigoureusement, il devrait nous qualifier de quotidien de la droite nationale catholique.

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Une maîtresse hors de prix

Publié par Guy Jovelin