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mercredi, 26 novembre 2014

Juppé arrose les associations LGBT et pro-gender à Bordeaux

 

Publié par Guy Jovelin

Alain Juppé a compris que pour se faire servir la soupe par les journalistes il devait exprimer clairement sa soumission à l’idéologie ambiante et aux lobbies qui la représentent. Non content de défendre le maintien de la loi Taubira, il arrose, à Bordeaux, les associations communautaristes, LGBT en particulier, avec l’argent du contribuable. Les Français se souviendront !

Dans sa ville de Bordeaux, Alain Juppé a défendu et mis en place un « observatoire bordelais de l’égalité », destiné à « mettre en œuvre un plan local de lutte contre les discriminations ». Concrètement, il s’agit encore une fois de distribuer des subventions à différentes associations pour s’assurer leur soutien et passer pour un politique « cool » aux yeux des journaleux. Assos antiracistes, pro gender ou LGBT, Juppé a trouvé le parfait manuel pour être bien reçu chez Ruquier et au Grand Journal…

Ainsi, lors d’un récent conseil municipal de la ville, le projet a été détaillé : « Actions de sensibilisations » pour « les mineurs accueillis par la ville directement ou indirectement » et « les enfants accueillis en école privée », où sera abordée « l’orientation et l’identité sexuelle « , Anne Hidalgo n’aurait pas fait mieux !

En bon soldat de l’idéologie totalitaire ambiante, Juppé défend également la censure et la fin de la liberté d’expression, en interdisant toute association ou structure jugée (par qui ?) politiquement incorrecte !! « Il est proposé aux acteurs associatifs d’établir une liste des structures à risques qui sera transmise aux services concernés ». La délation au service du contrôle de la pensée : Taubira devrait le prendre à son cabinet !

« Présidé par le maire de Bordeaux et représenté par l’adjoint chargé de l’égalité (Marik Fetouh, fondateur du premier centre LGBT bordelais), l’observatoire s’appuiera sur une équipe scientifique (SIC) », nous annonce la mairie, qui a également rendu publics les noms des associations bénéficiaires de subventions dans le cadre de cette campagne : la Licra, l’Association Patrimoine Israélite Aquitaine, la Maison d’Algérie d’Aquitaine, la Fondation du mémorial de la traite des noirs et l’association LGBT Le Refuge.

Par ailleurs, à la suite du lancement « d’un appel à projet sur le thème de la lutte contre les discriminations », la ville de Bordeaux a décider d’accorder des subventiosn supplémentaires à 9 associations dont Le Girofard (centre LGBT), La Cimade (aide aux immigrés) ou encore le Refuge (homosexuels). Le Girofard aura même une énième subvention bonus, après la décision d’Anne Brézillon, l’adjointe au maire, d’aider ces associations « à promouvoir leurs activités ».

Les élus bordelais de l’UMP ont voté en faveur de ces projets, à l’exception d’Edouard du Parc, qui s’est abstenu et à qui Juppé aurait dit : « vous êtes tout à fait libre de quitter la majorité »… C’est Juppé qui devrait rejoindre la majorité gouvernementale !

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mardi, 25 novembre 2014

« Daech n’est plus seulement aux portes de l’Europe, il en a franchi le seuil »

 

Publié par Guy Jovelin

La force de frappe de l’Etat islamique inquiète l’état-major des armées. Outre les moyens militaires et financiers dont disposent l’EI, le retour de ses combattants en Europe représente une menace pour la France et l’Europe.

Le général Jean-Pierre Bosser est persuadé « de la nécessité d’intégrer encore plus dans notre réflexion le retour de l’armée de terre sur son milieu naturel, celui du sol national, pour pourvoir y faire face, avec les forces de sécurité, à tous types de menaces dont celles que ces vingt dernières années avaient confinées à l’extérieur ».

« La rapidité avec laquelle ce mouvement parvient à accroître ses effectifs et à diversifier son matériel est très préoccupante », a estimé le chef d’état-major de l’armée de terre, le général Jean-Pierre Bosser.

« Le groupe exerce une forte attraction sur les djihadistes du monde entier, qui rallient l’Irak et la Syrie par milliers« , a noté le député UMP des Bouches-du-Rhône Guy Tessier dans son rapport sur le projet de loi de finances pour 2015. « Les djihadistes de Daech représentent une véritable armée terroriste composée d’hommes expérimentés, bien équipés et disposant de ressources financières importantes« , a pour sa part confirmé le chef d’état-major des armées, le général Pierre de Villiers. [...]

Selon le général Jean-Pierre Bosser, « plus de 1.000 combattants européens enrôlés dans ses rangs sont revenus dans l’espace Schengen« . Une menace pour la France et les pays européens. Car « l’adversaire n’est plus seulement aux portes de l’Europe, il en a franchi le seuil« , a souligné le chef d’état-major de l’armée de terre.

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Les casseurs à nouveau en action à Nantes et Toulouse mais aussi Bordeaux et Lille

 

Publié par Guy Jovelin

Moins de 5.000 extrémistes se sont rassemblés à travers la France cet après-midi pour dénoncer les« violences policières » après la mort de Rémi Fraisse, un jeune alcoolique tué lors d’une nuit d’émeute à Sivens. La journée s’est déroulée « sans incident » selon les médias.

La preuve : les deux plus importants rassemblements – illégaux – de Toulouse et Nantes, se sont achevés dans la violence. Aucune autorisation de manifestation n’avait été acceptée après les nombreux crimes et délits commis lors des précédentes éditions. Si contre les nationalistes, dont les manifestations sont interdites a priori alors qu’aucun débordement n’a jamais été déploré, le Système mobilise des centaines de policiers et fait rafler toute personne ressemblant à un patriote – un Français propre sur lui –, les autorités ont cette fois encore laissé les extrémistes se regrouper et participer à une manifestation illégale.

Et comme les semaines passées, les deux manifestations ont rapidement dégénéré : les racailles rouges ont détruit de nombreux biens publics et privés, poubelles, voitures, abribus, sans doute en tant que symboles de « l’oppression fasciste et machiste »… À Nantes, la manifestation illégale s’est achevée devant la préfecture où 1.200 individus se sont heurtés aux forces de l’ordre. Aux jets de bouteilles et d’objets divers ont répondu les canons à eau et les gaz lacrymogènes avant que les casseurs ne donnent toute la mesure de leur « talent ». Les violences des semaines passées avaient conduit certains partis d’extrême gauche, comme Europe-Écologie-Les Verts, à ne pas se joindre à l’appel à manifester pour « reprendre la rue ».

À Toulouse, c’est un scénario globalement similaire qui s’est produit.

Le bilan de la soirée est lourd : plusieurs incendies criminels ont été constatés, du mobilier urbain a été détruit, des commerces ont été attaqués, des biens privés, notamment des voitures, ont été détruits ou dégradés ; plusieurs manifestations interdites ont pu se dérouler durant plusieurs heures sans la moindre réaction des pouvoirs publics. La complicité de Manuel Valls avec les casseurs est plus que jamais évidente. Par ailleurs, trois policiers ont été blessés, deux à Toulouse et un à Nantes.

Le bilan d’autant plus lourd que ces faits se sont produits à plusieurs reprises ces derniers mois et qu’ils ne concernent que quelques centaines de personnes – malgré l’appel à manifester dans plus de 20 villes, moins de 5.000 personnes se sont rassemblées hier. Pour mémoire, le Jour de colère avait rassemblé environ 100.000 personnes – la police du gouvernement d’occupation avait évoqué 17.000 personnes.

Selon les décomptes il y a eu seulement 200 manifestants à Bordeaux, une centaine ou moins à Dijon, Grenoble, Marseille, Paris et Poitiers, une cinquantaine à Gap et Saint-Étienne. À Lille, où la manifestation était illégale, les policiers ont laissé se rassembler plusieurs dizaines de racailles rouges qui ont multiplié les débordements dans le centre-ville, détruisant notamment des abribus.

Seuls quelques casseurs ont été interpellés, 16 à Toulouse, 14 à Nantes, 2 à Lille, pour un total de 38 ; ils devraient être rapidement relâchés par les juges rouges.

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lundi, 24 novembre 2014

FONCTIONNAIRES : LES CHIFFRES QUI TUENT

Publié par Guy Jovelin

Fonctionnaires : les chiffres qui tuent

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Djihadistes : qu’on les laisse partir en Syrie ! (par Yann Vallerie)

 

Publié par Guy Jovelin

Mais enfin, qui sont les responsables politiques français pour juger de ce qu’est le bien, ce qu’est le mal ?

Qui sont-ils, ces dirigeants européens, pour décider qu’aller combattre en Syrie est désormais quasiment un crime contre l’humanité ?

Sont-ce les mêmes politiciens qui votaient il y a quelques mois pour armer massivement les « résistants »barbus à Bachar El-Assad ?

Sont-ce ces mêmes gouvernants qui vantaient hier le courage de ceux qui aujourd’hui égorgent pour effrayer la ménagère occidentale ?

Non, il n y a pas de bien et de mal, comme voudraient l’imposer au monde les fanatiques religieux américains dont Georges Bush était le pantin.
Non , il n y a pas deux mondes, l’un qui serait civilisé, l’autre qui serait celui de la barbarie organisée.
Il y a simplement dans le monde des civilisations différentes, des ethnies différentes, des religions différentes, des cultures différentes. Le « vivre-ensemble » n’existe pas, il va bien falloir l’assimiler un jour ou l’autre.
Et ce n’est pas grave !

L’Europe – pour mieux être contrôlée par les Etats-Unis – a servi depuis 1945 de laboratoire de Frankenstein, en devenant un lieu unique au monde où toute la planète devait venir se mélanger et vivre, sans égard aucun pour les autochtones.
Et aujourd’hui, on s’étonne que les enfants de cette expérience unique dans l’histoire de l’humanité – le mélange forcé de populations – soient hors de contrôle ?

On s’étonne que ceux qui ont des siècles d’islam gravés dans leurs gènes veuillent combattre les armes à la main pour défendre leur religion, leur civilisation (et non pas celle qu’on a voulu leur inculquer et leur imposer) ?

Et on s’étonne que dans un continent où on a appris depuis plusieurs décennies aux jeunes européens de souche à se haïr et à détester leur propre histoire, certains aillent chercher dans d’autres coins du monde l’accomplissement d’une virilité et d’un héroïsme qu’on tourne désormais au ridicule sur la terre d’Europe ?

On est horrifié que des vidéos circulent sur Internet où l’on voit des hommes en égorger d’autres ? Mais n’est-ce pas avant tout une guerre de l’information et de l’image ? Les mêmes qui s’en offusquent supporteraient-ils seulement le spectacle des rues ensanglantées d’une ville d’Irak ou d’un village afghan après une frappe préventive américaine ? Les soldats américains qui guerroient partout dans le monde sont-ils plus respectables que les combattants de l’Etat Islamique ? Question de point de vue.

On ne devrait pas empêcher quiconque de partir en Syrie se battre pour ses idées ou sa foi.

Par contre, le devoir d’une Europe forte et puissante serait de les empêcher de remettre un seul pied sur le sol européen.

Parce que ce ne sont tout simplement pas nos valeurs.
Parce que ça n’est pas notre civilisation.
Parce que ça n’est pas notre religion.

Parce que sinon, demain, le sang coulera en Europe et non plus en Syrie !

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