Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 03 décembre 2014

Même en matière de culture les principes du gouvernement de la Russie sont exemplaires

Publié par Guy Jovelin

J’ai surligné en rouge leMême en matière de culture les principes du gouvernement de la Russie sont exemplairess passages qui me semblent les plus remarquables. E. D. __________________ Vladimir...

Lire l'article : http://www.medias-presse.info/meme-en-matiere-de-culture-...

Syndicalisme exemplaire : Lepaon, acte III

 

Publié par Guy Jovelin

Après les révélations sur sa luxueuse maison de fonction et les très coûteux travaux de rénovation effectués alors qu’elle avait été refaite à neuf, après les révélations sur des faits identiques concernant son bureau, une nouvelle affaire Lepaon apparaît. Le secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT), visiblement confronté à une opposition interne prête à presque (il y a peu de chance qu’ils aillent jusqu’à dévoiler toutes les escroqueries dans lesquelles la mafia syndicale est impliquée) tout révéler, doit s’expliquer sur une étonnante indemnité de départ touchée en 2013.

Alors qu’il allait prendre la direction nationale du syndicat d’extrême gauche, il est parvenu à négocier avec son employeur une rupture conventionnelle. Cela lui a permis de toucher d’importantes indemnités de départ – la CGT a refusé de révéler le montant – totalement injustifiées moralement sinon légalement. Les faits ont d’autant plus choqué ses « camarades » de la CGT que son employeur était alors la… CGT de Basse-Normandie, qu’il quittait pour devenir salarié de la… CGT nationale… La même CGT qui, depuis 2008 et sa mise en place, dénonce cette mesure.

Source

La Shoah dès la crèche ?

 

Publié par Guy Jovelin

C’est Actu J qui le précise : le langage est « métaphorique ». Manipuler et endoctriner les élèves de primaire, de collège et de lycée n’était pas suffisant, il faut s’attaquer aux plus petits des Européens. C’est ce que propose ce livre dont Actu J dit : « Les parents – mais aussi les enseignants – doivent l’acquérir au plus vite ».

Source

mardi, 02 décembre 2014

Nos enfants sont soumis à la propagande islamique à l’école de la République !

Nos enfants sont soumis à la propagande islamique à l’école de la République ! (1) Publié le 30 novembre 2014 par Françoise Mary - Article du nº 383 J’ai évoqué il y...
THERESE-ZRIHEN-DVIR.OVER-BLOG.COM

« Compte pénibilité » : comment tuer l’emploi à défaut du chômage (par Marie Delarue)

 

Publié par Guy Jovelin

Un documentaire sur la ville de New York portait récemment l’attention sur les ouvriers qui, dans la ville qu’on appelait jadis « la grosse pomme », installent et réparent les citernes sur les toits. Citernes en bois, planches montées à bras d’hommes… Des types qui travaillent sans harnais de sécurité et même sans casque ! Et ils en sont fiers !! Un truc qui glacerait d’horreur n’importe quel employeur européen, disait le commentateur. Quant au Français qui tolérerait cette folie, il irait durablement se faire des cheveux blancs en prison. Voilà donc pour l’Amérique d’aujourd’hui.

Dans la France d’aujourd’hui, les petits patrons sont dans la rue. Motif du ras-le bol devenu trop-plein : la mise en place, au 1er janvier prochain, du déjà fameux « compte pénibilité ». Un compte à établir et tenir pour chaque employé sur une fiche individuelle, au jour le jour, durant toute sa carrière. Pour reprendre l’exemple ci-dessus, cette mesure contraindrait l’artisan à peser chaque jour les planches que son ouvrier a grimpées sur le toit, noter s’il l’a fait avec ses bras ou à l’aide d’un treuil, s’il les a portées sur son dos ou contre son ventre, s’il a dû passer du temps à genoux, ou accroupi, ou s’il a eu à subir « des positions du torse en torsion à 30 degrés ou des positions du torse fléchi à 45 degrés », et pendant combien de temps. Relever aussi s’il a fait chaud ou froid, combien au-dessus ou en dessous de la limite fixée par des gratte-papier qui ne bougent jamais leur cul du fauteuil dans lequel ils se sont assis en sortant de l’ENA…

Cette réforme est un monstre, un de plus. C’est le rejeton, là encore, du principe de précaution et de la lâcheté d’un gouvernement prêt à toutes les absurdités pour poursuivre ses relations incestueuses avec des syndicats qui ne représentent guère qu’eux-mêmes. Car cette « réforme » n’est que le prix de la paix sociale signée, lors de la dernière réforme des retraites, avec des syndicats qui ne représentent au mieux que 7 à 8 % des salariés !

Pourtant tous le reconnaissent (y compris la CGT !) : c’est impossible à mettre en place. « Comment voulez-vous qu’on applique un truc pareil ? Il nous faudrait travailler avec un thermomètre dans une main et un chronomètre dans l’autre… », dit une patronne de PME au mensuel Capital. Les patrons ne refusent pas de prendre en compte la pénibilité du travail, ils demandent juste un peu de cohérence. Un dispositif, par exemple, qui fixerait des barèmes par profession plutôt que de contraindre à un impossible suivi individuel… qui reviendrait in fine à instaurer de nouveaux régimes spéciaux de retraite… Mais Marisol Touraine, ministre éclairé des Affaires sociales, n’en démord pas : c’est une « innovation sociale essentielle ». À moins que ce ne soit la plus aboutie des machines « à broyer les entreprises et l’emploi ».

Car tout cela va coûter, bien sûr, et fort cher. Pour financer sa réforme, l’État a créé une nouvelle cotisation à la charge des entreprises, calculée en fonction du nombre de salariés concernés : « 0,1 % pour 2015 et 2016, puis 0,2 % à partir de 2017, pour les travailleurs exposés à un risque unique, le double pour ceux qui en affronteront plusieurs », sachant que dans certains secteurs (bâtiment, transports, etc.), cela peut toucher 80 % des salariés. Au total, écrit Capital« la réforme, qui devrait concerner plus de 3 millions de salariés d’ici un an, soit près d’un sur cinq dans le privé, pourrait coûter bien plus que les 500 millions d’euros par an annoncés pour 2020 (et les 2,5 milliards en 2040) ».

Il est vrai que ça ne risque pas d’atteindre la fonction publique. Et ça, pour l’État socialiste, c’est bien l’essentiel, non ?

Source