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lundi, 27 avril 2015

Pas de larmes pour Serge Atlaoui !

 

 Publié par Guy Jovelin

La bien-pensance se mobilise pour Serge Atlaoui, condamné à mort par la justice indonésienne pour trafic de drogue.

Mais qui est ce personnage ? Avant de rejoindre la banlieue de Jakarta en Indonésie, il était soudeur à Metz. Un recruteur lui aurait, selon ses propres dires, proposé « 2.000 euros par semaine », versés au noir, pour installer des machines dans une usine d’Asie du Sud-Est.

« Je me suis bien dit qu’il y avait quelque chose de louche » avoue-t-il. Mais cela ne l’a pas dissuadé de travailler pour un laboratoire de trafiquants de drogue.

Or, au vu des ravages causés par les stupéfiants, comment avoir la moindre pitié pour ceux qui veulent s’enrichir sur cette activité criminelle ? Les trafiquants de drogue sont des assassins. Chaque jour, ils brisent des vies et détruisent des familles. Ils ne méritent aucune clémence.

Source

ENTRETIEN AVEC CARL LANG POUR SYNTHÈSE NATIONALE

 Publié par Guy Jovelin

Le Parti de la France

 
Lundi 27 Avril 2015
8:08
 

Compte-rendu de la 3ème Journée régionale de Synthèse Nationale dans le Nord

 

 Publié par Guy Jovelin

Compte-rendu de la 3ème Journée régionale de Synthèse Nationale dans le NordCompte-rendu de la 3ème Journée régionale de Synthèse Nationale dans le NordCompte-rendu de la 3ème Journée régionale de Synthèse Nationale dans le Nord

Une fois de plus, une minable manœuvre a été tentée cette fin de semaine pour empêcher la bonne tenue de la  journée régionale annuelle de Synthèse nationale dans le Nord.

On se souvient qu'il y a deux ans la salle que nous avions retenue pour la première édition de ces rendez-vous militants nous avait été "sucrée" au dernier moment par le pleutre maire de Marcq-en-Baroeul qui avait lamentablement cédé aux injonctions de l'officine stipendiée SOS-Racisme. En catastrophe, nous avions alors trouvé une salle de remplacement dans laquelle nous avons, depuis, tenu nos journées régionales.

L’an dernier, à la veille de notre deuxième journée, quelques barbouillages nocturnes avaient dégradé les murs avoisinant mais il en faut plus que ça pour nous impressionner.

Cette année les larbins du Système ont sournoisement tenté un stratagème qui a, lui aussi, lamentablement échoué. En effet, vendredi dernier le directeur de la salle a été informé par la police que son local ne correspondait plus aux normes en vigueur (la commission de contrôle avait pourtant récemment apprécié la bonne tenue des lieux) et que, par conséquent, il fallait annuler notre réunion de dimanche. Dont acte, puisque la salle prévue n’est pas autorisée à recevoir une réunion publique, une autre salle voisine qui appartient au même propriétaire, peut, elle, recevoir une réunion privée. Sans que personne ne s’en soit rendu compte, notre réunion qui avait été publiquement annoncée s’est donc privativement tenue.

C'est donc dans une ambiance amicale que s'est déroulée la 3e Journée régionale (Flandre, Artois, Hainaut) de Synthèse nationale ce dimanche 26 avril à Nieppe, près de Lille, en présence d'une centaine de participants, et cela malgré les fourberies du pouvoir socialiste en place.

Ironie du sort, le thème de cette réunion était "La liberté menacée". Les intervenants qui se succédèrent au cours des deux tables-rondes animées par Luc Pécharman purent donc dresser un véritable réquisitoire contre la clique Hollande-Valls-Taubira qui est actuellement sensée gouverner la France et qui semble plus préoccupée par ses obsessions antifascistes que par le bien être de notre peuple. 

Dès l'ouverture le public était au rendez-vous. Plusieurs stands associatifs et politiques l’attendaient, comme ceux du Parti de la France, de Terre et peuple, des associations identitaires flamandes, de Rivarol, d'une librairie nationaliste et bien-sûr celui de Synthèse nationale qui présentait le nouveau numéro (n°39) de la revue. De nombreux nouveaux abonnements furent d'ailleurs enregistrés.

Au cours de la première table-ronde, en tout début d'après-midi, prirent la parole successivement Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, venu en voisin puisqu'il est un ancien élu de Picardie, Robert Spieler, le fameux chroniqueur de l'hebdomadaire Rivarol qui vient de faire parler de lui en publiant un entretien avec Jean-Marie Le Pen, et Arnaud Raffard de Brienne, essayiste et spécialiste de la désinformation. Lire la suite

Diafoirus a-t-il rédigé les programmes du collège ? (par Jean-Michel Léost)

 

 Publié par Guy Jovelin

Ces derniers jours, les médias se sont beaucoup gaussés du jargon qu’on trouve dans le projet de programmes pour le collège. Lundi dernier, le 20 heures de France 2 y a même consacré un reportage. C’est que de se gausser, il y a matière ! En français, par exemple, il s’agira de « mobiliser en réception et en production de textes les connaissances linguistiques permettant d’analyser les propriétés d’un élément linguistique et son degré d’acceptabilité ». En langues vivantes, on va « se familiariser avec des mobilités virtuelles, se préparer à des mobilités physiques » ; ou encore « communiquer pour devenir médiateur entre les cultures ». Mais la médaille revient sans doute à l’éducation physique et sportive. Les élèves devront ainsi apprendre à « se déplacer de façon autonome, plus longtemps, plus vite dans un milieu aquatique profond standardisé » ou à « coopérer pour s’adapter collectivement à la confrontation adverse dans le but de remporter le match » ; on s’exercera aussi au « duel médié par une balle ou un volant ».

Ceux qui connaissent le jargon des IUFM, qui firent depuis 1989 le malheur de l’Éducation nationale, ne s’étonneront guère de ce mélange de cuistrerie, de suffisance et de vanité : ce sont les mêmes, ou ceux qu’ils ont contaminés, qui ont inoculé dans les programmes ce prétendu langage d’expert, propre aux charlatans. Il est vrai que tout le texte n’est pas du même acabit, mais le fait qu’on puisse y relever ces perles est symptomatique. D’ailleurs, ses partisans ne remettent aucunement en cause leur géniale production.

Le syndicat majoritaire des enseignants d’EPS s’indigne de ces attaques qui donneraient à penser qu’« un enseignement se préoccupant du corps (donc considéré comme de bas niveau intellectuel ?) devrait forcément s’écrire dans un langage trivial et non se théoriser ». Et de conclure que « les programmes devraient d’abord être écrits pour les enseignants, [leurs] premiers utilisateurs ». Il semble ignorer que la plupart des professeurs sont les premiers à railler ce langage. Najat Vallaud-Belkacem ménage la chèvre et le chou : « Les enseignants, comme tous les professionnels, utilisent un vocabulaire expert. Toutefois, je souhaite et je demande que les programmes soient lisibles par tous et donc écrits dans une langue que tout le monde peut comprendre. » Le problème, c’est que tout le monde comprend que ces soi-disant experts sont des faussaires. Quant au président du Conseil supérieur des programmes, il a pris les devants en défendant ses petits dans Le Figaro du 16 avril : « [L’utilisation d’un jargon], je dirais qu’il est inhérent à tout milieu professionnel. Nous nous sommes efforcés de le limiter par rapport aux propositions initiales des groupes d’experts. » Ouf ! Grâce à lui, nous aurions donc échappé au pire !

Dans Le Malade imaginaire, Molière critique, à travers le personnage de Diafoirus, ceux qui enrobent leur incompétence d’un langage jargonnant. Les Diafoirus ne sont pas morts : ils sont d’autant plus ridicules qu’ils se prennent au sérieux !

Source

dimanche, 26 avril 2015

Enseignement : étude de l’islam obligatoire, le christianisme médiéval en option

 Publié par Guy Jovelin

Et plus d’être facultatif au collège, le christianisme doit être enseigné sous l’angle de l’ « emprise de l’Eglise sur les mentalités rurales » ! Et la nation est évoquée par l’étude des « heures sombres ou controversées du passé » (esclavage, colonisation, génocides, déportation…). Incroyable !
Il n’est plus raisonnable aujourd’hui pour les parents de mettre leurs enfants sous la férule tyrannique de l’Éducation Nationale. Sauvons nos enfants, mettons-les dans les écoles libres.

Article du Figaro sur le sujet. Si la rédaction de CI n’est pas d’accord avec la totalité des points abordés, ce billet a le mérite de présenter la réforme :

C’est en parcourant ensuite la liste des sujets abordés que l’inquiétude surgit: le Conseil supérieur des programmes (CSP) distingue les sujets «obligatoirement étudiés» des sujets «traités au choix de l’enseignant». Ainsi, l’étude de l’Islam sera obligatoire, mais celle du christianisme médiéval facultative – ceux qui choisiront de l’enseigner devront le faire uniquement sous l’angle de l’ «emprise de l’Eglise sur les mentalités rurales». Dans une société en mal d’intégration et de cohésion nationale, on ne manquera pas de s’étonner d’une curiosité si grande pour les religions venues d’ailleurs, et d’une révulsion si manifeste pour nos racines judéo-chrétiennes. N’est-ce pas pourtant en redonnant à l’élève ces racines que nous le rendrons d’autant plus ouvert à l’altérité? Par ailleurs, où est-il passé, ce «cadre national» que le CSP évoquait précédemment?

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