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mercredi, 22 avril 2015

L’ÉCOLE, INSTRUMENT DU GRAND REMPLACEMENT

 Publié par Johanna

L’école, instrument du grand remplacement

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mardi, 21 avril 2015

Carl Lang sur Radio Courtoisie mercredi 22 avril à 18h

 Publié par Johanna

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WWW.THOMASJOLY.FR

lundi, 20 avril 2015

Réinfo du 20 avril 2015

 Publié par Johanna

 

dimanche, 19 avril 2015

Harcèlement sexiste dans les transports : de quoi parle-t-on au juste ? (par Marie Delarue)

 Publié par Johanna

 

 

Notre ministre de la Santé Marisol Touraine et sa collègue Pascale Boistard, chargée des Droits des femmes, ont demandé au Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCEFH) un rapport sur ce douloureux problème. Résultat de l’enquête : « Toutes les femmes ont été victimes au moins une fois dans leur vie de harcèlement sexiste ou d’agression sexuelle dans les transports en commun. » Et « dans la moitié des cas, les victimes sont mineures lorsqu’elles subissent leur première agression ».

« Les violences doivent d’abord être nommées pour que tout le monde en prenne conscience », répète Danielle Bousquet, la présidente du HCEFH. Car les femmes n’en sont pas assez conscientes, à ce qu’il paraît, et acceptent trop souvent les injures qui se banalisent. Et de rappeler qu’« un homme qui traite une femme de “salope” encourt pourtant six mois de prison et 22.500 euros d’amende ». Sauf, bien sûr, s’il s’appelle Nicolas Bedos et qu’il injurie Marine Le Pen, auquel cas c’est évidemment de l’humour. Pour la main aux fesses qui est assimilée à un viol, c’est 5 ans de prison et 75.000 euros d’amende.

Du coup, il paraît que les femmes « adaptent leur comportement ». Certaines renoncent à la jupe – mais bien peu au short, ou alors j’ai une très mauvaise vue ! – ou bien « restent debout pendant le trajet et ne s’assoient jamais à côté des hommes », écrit Libération. C’est peut-être parce que leur jupe est tellement courte qu’elles auraient les fesses à même la banquette sale, mais bon, hein, on ne va pas chipoter…

Bref, ces « violences entravent la libre circulation des femmes qui sont contraintes de s’adapter à ce système machiste. On leur refuse le droit d’être librement dans l’espace public », assène madame Bousquet.

Comme j’ai mauvais esprit, je vais poser une question : quelle est la limite du « librement » ? Qui harcèle, pourquoi, et comment ?

Hier, il faisait chaud dans Paris. Parfois très chaud, même… Une jeune femme attendait près de moi sur le quai du métro. En short. Un jean découpé frangé très très haut, laissant apparaître un bon huitième de fesse à l’arrière, et comme il bâillait sur l’avant, elle avait, selon l’expression imagée d’autrefois, « le divertissoir » parfaitement aéré.

Avec cela, l’air hautain. Celui, blasé, de la fille qui n’en peut plus d’être admirée. Semblable aux décharnées cagneuses qui défilent sur les podiums, elle entendait montrer que la beauté est un lourd fardeau à porter. Sifflée peut-être, regardée sûrement – y compris par moi-même -, j’imagine qu’elle est aujourd’hui une fervente militante de la lutte menée contre « le harcèlement sexiste et les violences dans les transports en commun ».

Je sais, on va me répondre qu’une femme peut bien se promener nue sous sa robe transparente si ça lui chante, qu’elle est libre de son image et de son corps et qu’il faut être tordu pour y voir l’once d’une provocation. C’est juste pour respirer à l’aise. Soit.

Simplement, on ne peut nous bassiner à longueur de temps avec la société « multiculturelle » et ignorer ce que cela implique. J’explique : pas un guide touristique qui ne mette en garde contre les tenues « indécentes » quand on part dans les pays du Maghreb et au-delà. Et pour tous, ou presque tous, les ressortissants de ces pays qui arpentent aujourd’hui nos rues, bien des femmes occidentales sont des p… Parce qu’elles en arborent, à leurs yeux, tous les codes, à commencer par la tenue. Et comment des hommes qui n’ont jamais vu leur mère sans son voile, et surtout pas leur femme nue, pourraient-ils considérer autrement une fille qui prend le métro les fesses à l’air et les seins itou ?

Résultat : d’aucuns rêvent de créer l’apartheid dans les transports : 35 ans après avoir supprimé la 1re classe dans le métro, on songe maintenant à y séparer les hommes et les femmes. Quel progrès !

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Convoqué à 9 ans devant la gendarmerie… Français, respirez, on vous protège ! (par Marie Delarue)

Publié par Johanna 

 

On le sait, les tribunaux sont engorgés par les histoires de voisinage. Des histoires de corne-à-cul, d’arbres mal taillés, de murs qui bouchent la vue, de chiens qui gueulent et de vacarme les soirs de beuverie. Dorénavant, il se pourrait qu’ils soient aussi encombrés par des histoires de cour d’école.

C’est La Dépêche du Midi qui rapporte l’histoire. À Saint-Lys, en Haute-Garonne, un petit Jordan de 9 ans, élève de CM1, a été convoqué avec ses parents à la gendarmerie pour y être entendu sur des faits gravissimes. Éconduit par son amoureuse du même âge qui lui avouait l’avoir délaissé pour un autre (de CM2, peut-être ?), Jordan a vu rouge : il lui a collé deux claques et tiré les nattes. Ses père et mère ont été informés par la direction de l’école et le gamin, d’habitude fort sage et bon élève, a eu la réprimande qu’il méritait.

Tout aurait donc dû s’arrêter là. Mais la dulcinée a certainement pour mère une chipie, une virago peut-être. Une procédurière, en tout cas, puisqu’elle est allée déposer plainte auprès de la gendarmerie. La Dépêche ne nous dit pas si c’est pour atteinte à l’intégrité physique ou pour coups et blessures. À moins que ce ne soit pour harcèlement sexiste. À ce degré de bêtise, tout est possible…

Mais le plus extraordinaire est que la plainte a été reçue, enregistrée, instruite. Les parents et le petit Jordan ont donc été convoqués et entendus dans le cadre de cette dangereuse affaire criminelle. « On a vu que le gendarme qui l’interrogeait était très mal à l’aise, mais il ne faisait que son boulot. Il nous a dit qu’un article de loi était sorti et que la gendarmerie était tenue de prendre toutes les plaintes qui lui étaient soumises. Au final, on a perdu deux heures pour régler une histoire de tirage de cheveux, c’est aberrant », rapporte la mère du petit Jordan Moreau.

Et là, voyez-vous, si je n’avais les mains sur le clavier de mon ordinateur, les bras m’en tomberaient. Depuis quand, cet article de loi ? Depuis quand la police enregistre-t-elle « toutes les plaintes qui lui sont soumises » ? À moins qu’il ne s’agisse « que » des plaintes pour tirage de cheveux ou histoires de corne-à-cul, car pour le reste – je parle d’effractions dans les caves de l’immeuble, cambriolages, intrusions répétées d’un individu dans les parties communes, j’en passe et de plus farceuses –, pas moyen d’obtenir autre chose qu’un dépôt de main courante. Ou alors il faut viser au-dessus et s’adresser directement au procureur, qui fera redescendre quand il aura le temps. Dans six mois ou un an.

Il paraît que la police est sur les dents depuis le 11 janvier dernier, mobilisée comme les militaires en Vigipirate renforcé. Occupée à traquer les terroristes réels ou supposés. Bientôt attelée à surveiller les faits et surtout les pensées déviantes du citoyen de base. Incapable, tant elle est débordée, de contrôler et empêcher de nuire les violeurs assassins de petites filles.

Alors, je pose la question à Bernard Cazeneuve, notre monsieur-je-me-mêle-de-tout : n’a-t-elle pas autre chose à faire, votre police, que d’enregistrer la plainte d’une mère hystérique et de terroriser un gamin de 9 ans au point de le dégoûter durablement de l’école ?

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