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jeudi, 20 avril 2017

L’Union nationale des Écrivains de France communique

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2017

POSTÉ LE 19 AVRIL , 2017, 8:43

les4veritesL’Académie française, vient de déclarer, dans son communiqué du 6 avril 2017, qu’ elle  » déplore
que la langue soit absente de la campagne pour l’élection présidentielle et s’étonne
du silence observé par les différents candidats sur cette question, alors même que l’attachement
à la langue est regardée par les Français comme l’expression première du sentiment d’appartenance à la nation.  »

Et pourtant, ce silence persiste depuis l’appel solennel du 5 décembre 2013, de l’Académie française
au Président de la République, François Hollande, pour  » faire de l’année qui vient l’année de la reconquête de la langue française
et d’abord au sein de l’école qui la porte et la transmet. »

C’est pourquoi, l’Union Nationale des Écrivains de France adresse la présente lettre ouverte
aux différents candidats à l’élection présidentielles, pour qu’ils déclarent 2017 an 1 de la Reconquête de la langue française
et cause nationale de leur mandat.

Puisqu’à l’évidence, le redressement de la France et le redressement de la langue française sont une seule et même chose,
la victoire du meilleur candidat aux Présidentielles 2017 doit tenir à un seul facteur clivant :
le choix de la Reconquête de la langue français contre le choix du  » tout-Anglais « , que le présent gouvernement
a osé afficher jusqu’au sommet de la tour Eiffel  sous couvert de JO-Paris 2024 !

Cette victoire du meilleur candidat pour la reconquête de la langue française, et donc pour la France,
elle ne tient qu’à son « choix de la langue française » ,comme le démontre en huit points la lettre ouverte de UNIEF suivante,
et alors la France s’éveillera !

La « Reconquête », c’est maintenant ou jamais !


Arnaud-Aaron Upinsky
Président de l’Union nationale des Ecrivains de France

 

Source : les4verites

ÇA SE PASSE COMME ÇA À SYNTHÈSE NATIONALE : ON SE RETROUVE, ON SE RÉCONCILIE ET ON PART À LA BATAILLE...

Publié par Guy Jovelin le20 avril 2017

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Quand Street press.com (cliquez ici) souligne le rôle central de Synthèse nationale, ça donne :

Le gratin de l’extrême droite radicale fait front commun pour les législatives de juin. Les Comités Jeanne de Jean-Marie Le Pen, les cathos tradi de Civitas, les natios du Parti de la France (PDF), la Ligue du Sud de Bompard, le Siel, ancien mouvement satellite du FN et même quelques royalistes de l’Action française se présenteront sous une bannière commune. Ils promettent entre 200 et 300 candidats et espèrent décrocher un financement public.

LES FONDATEURS

La rumeur progresse depuis de nombreux mois. L’idée du cartel viendrait tout droit du domaine de Montretout. Après son exclusion du Front en 2015, Jean-Marie Le Pen a ressenti le besoin de « regrouper les forces qui lui sont fidèles. C’est-à-dire beaucoup de monde », insiste Lorrain de Saint-Affrique, secrétaire général des Comités Jeanne.

Mais c’est le 2 octobre dernier, à Rungis, que l’affaire prend forme. Le boss du PDF, Carl Lang, Alain Escada de Civitas et Jean-Marie Le Pen partagent la tribune pour les 10 ans de la revue identitaire Synthèse nationale(link is external) de Roland Hélie :

« C’était la première entrevue entre les responsables de ces organisations. Ensuite, ça a abouti à une entente électorale en vue des élections législatives. »

L’accord est officiellement signé en début d’année et ce sont ces trois structures qui apporteront le gros des troupes. Selon Carl Lang, le Parti de la France devrait mettre 80 candidatsau pot commun :

« 40 hommes pour 40 femmes. Mais ce sera même peut-être un petit peu plus. Et moi, je serai candidat en Normandie, très probablement. »

Civitas et les Comités Jeannes ne communiquent pas encore de chiffres précis, mais Alain Escada promet au moins 200 candidats.

LES RALLIÉS

Les 3 fondateurs font chauffer les téléphones.Contacté par Carl Lang, Jacques Bompard, patron de la Ligue du Sud, a rapidement accepté de les rejoindre. Si le député-maire d’Orange est certain d’y aller, sa femme, « pas très chaude », devrait passer son tour. Ce ralliement est un atout majeur pour le cartel. L’homme d’extrême droite pèse au niveau local. Joint par Streetpress, M. Bompard confirme l’accord trouvé avec le boss au crâne chauve du Parti de la France.

Karim Ouchikh, président du Siel a aussi eu droit à son coup de téléphone. Depuis novembre 2016, le Siel a coupé les ponts avec le Front national dont il était un parti satellitaire. Exit les rassemblements bleu-marine, le parti est désormais « libre de ses prises de décisions ». Il devrait rejoindre le cartel qui porte l’autre face de la marque Le Pen, celle du père. « Des contacts sont effectivement en cours », confirme K. Ouchikh. Avant de détailler :

« Pour être tout à fait sincère, nous sommes confiants [et devrions] parvenir à un accord signé avec cette droite d’unité nationale dans les tout prochains jours. Un cartel purement électoral et non un accord de partenariat politique. »

Ouchikh promet d’« aligner au moins 70 candidats ». Des individualités viendront gonfler les rangs de l’alliance de l’ultra-droite. Des royalistes de l’Action française (AF) ont été approchés, confirme Élie Hatem. Le militant de l’AF a reçu un coup de fil de Jean-Marie Le Pen himself. Le Menhir verrait d’un bon œil sa candidature sous la bannière des Comités Jeanne :

« Il se peut que je sois candidat. Mais cela n’engage que moi, pas l’Action française qui n’est pas un parti politique. »

GABRIAC DANS LES STARTING-BLOCKS

Les candidats seront tous affublés des trois étiquettes principales : Civitas, Comités Jeanne et Parti de la France. Mais chacun sera libre de mettre en avant l’une ou l’autre des bannières. Alexandre Gabriac, candidat Civitas dans la 2e circonscription de l’Isère et fervent admirateur du père Le Pen, espère bien pouvoir profiter son aura :

« Il y aura mon nom. Ainsi que Civitas. Puis l’idée, c’était de mettre “Avec le soutien de Jean-Marie Le Pen”, en bandeau simple. Mais il faut voir si cela colle avec les lois électorales. »

Le fondateur des Jeunesses nationalistes, dissoutes après le décès de Clément Méric, entrera en campagne après les présidentielles. Exclu du FN en 2011, pour une histoire de bras tendu, il apprécie l’idée du cartel :

« On a toujours été pour l’union des nationaux. Et là, c’est une très belle réalisation. Avec le soutien de Jean-Marie Le Pen qui est, au niveau public, un soutien inestimable. Surtout qu’on va sûrement se trouver face à des candidats estampillés bleu-marine. »

La liste complète des candidats devrait être présentée à la presse, lors d’un raout organisé le 13 mai prochain. Mais quelques noms ont déjà filtré. Marie D’Herbais, ex-FN longtemps proche de Marine Le Pen, se présentera sous les couleurs de Civitas dans la 2e circo de la Sarthe. Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, sera candidat dans l’Oise.

JEAN-MARIE PAS CANDIDAT MAIS EN CAMPAGNE

Du côté des Comités Jeanne, aucune tête d’affiche à se mettre sous la dent si ce n’est Lorrain de Saint-Affrique qui nous a confirmé sa candidature en région parisienne. Sauf contre-ordre, Jean-Marie Le Pen ne devrait, lui, pas être au rendez-vous électoral. Impossible d’en causer en direct avec le prez’ : « il ne parle pas à la presse avant le premier tour », nous explique son secrétaire. Mais selon de Saint-Affrique, il devrait battre campagne et multiplier les réunions de soutien aux candidats du cartel.

À la droite du Front national, nombreuses sont les organisations qui voient l’aventure d’un bon œil. Joints par StreetPress, le MNR fondé par Bruno Mégret, Henri de Lesquen, figure provoc’ du P.N.L et la Ligue du Midi de Richard Roudier se félicitent de l’initiative. Seuls Les Identitaires restent à bonne distance. Fabrice Robert explique ainsi avoir « cessé toute confrontation électorale avec le FN ».Carl Lang, Jean-Marie Le Pen au congrès de Synthèse Nationale / Crédits : Comission antifasciste du NPA

LE BANNI DE CHEZ LES BANNIS

Et puis, il y a en un que les exclus du FN ne veulent même pas sur leurs listes. Yvan Benedetti, exclu du Front en 2011 pour s’être publiquement déclaré « antisioniste, antisémite et anti-juif », sent un peu trop le souffre. Pourtant l’ancien président de l’Œuvre française, dissoute par Manuel Valls en 2013, a tenté de rejoindre le navire par un coup de téléphone à Thomas Joly du Parti de la France, resté sans réponse. Le Pen, lui, a décroché son portable, mais selon Benedetti, il a fait la sourde oreille :

« Je lui ai dit que nous [Le Parti nationaliste français] présenterions peut-être quelques candidats et que nous étions disponibles pour une alliance électorale. Il m’a répondu qu’il verrait ça avec de Saint-Affrique. Mais ils font leur petite soupe à trois et n’ont pas répondu à mes différents appels ».

MONEY, MONEY, MONEY

Chafouin, Benedetti lâche le fond de sa pensée :

« Ils veulent faire comme les grands mouvements en présentant des candidats partout. Ça n’a pas de sens si ce n’est pour essayer de récupérer un financement public. Ça n’a pas d’avenir. »

Du côté du cartel, le premier à cracher le morceau, c’est Karim Ouchikh, le président du Siel :

« C’est une démarche purement mécanique qui permet de créer des synergies afin d’obtenir l’accès au financement public. » 

Pour obtenir un financement public, une structure politique doit recueillir au moins 1% des suffrages dans cinquante circonscriptions. Seul, aucun des partis de l’alliance ne peut ambitionner un tel résultat. Ensemble, tout devient possible, assure Lorrain de Saint-Affrique :

« Si on présente plus de 200 candidats, il y a de fortes chances [d’obtenir un tel score]. Ensuite, il y a une clé de répartition entre nous, de manière à ce que les efforts de chacun soient récompensés par le financement public. »

RIFIFI ENTRE MEILLEURS ENNEMIS

Jusqu’où tiendra l’attelage ? Yvan Benedetti en remet une couche :

« C’est un accord pour essayer de jouer aux grands. Pas de la politique. Le PDF est résolument contre Marine Le Pen. Jean-Marie finance sa fille et a appelé à voter pour elle. Et puis Civitas, on ne sait pas ce qu’ils veulent… »

Aucune fusion post-élection n’est envisagée et les querelles d’antan pourraient remonter à la surface. Carl Lang ne s’est rabiboché avec Jean-Marie Le Pen que depuis 2015. Le prez’ l’avait mis à la porte en 2008. Et Le Pen ne parle toujours pas à Jacques Bompard, qui a quitté le FN avec pertes et fracas en 2005, comme l’explique Lorrain de Saint-Affrique :

« Il est de notoriété publique que les rapports entre Jacques Bompard et Jean-Marie Le Pen n’ont jamais été améliorés depuis qu’ils ont rompu. Donc, il est difficile de se parler. Il n’y a pas eu de tentative d’ailleurs. »

Le lieutenant de Le Pen semble d’ailleurs ignorer l’accord passé entre Carl Lang et le maire d’Orange. Mais Bompard, candidat aux législatives envers et contre tout, ne s’en formalise pas :

« Moi, je passe un accord avec tous ceux qui le veulent. Si Jeanne ne veut pas de moi, ce n’est pas mon problème. »

Reste à savoir comment réagira ce cartel face aux candidats estampillés bleu-marine. Civitas prône une bonne entente avec certains amis du FN. Le PDF, lui, ne veut pas en entendre parler.

 

Source : synthesenationale

Chômage de masse & revenu universel ou grand projet national ?

Publié par Guy Jovelin le 20 avril 2017

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Bernard Plouvier

Telle est l’angoissante question pour les années à venir. Et chacun de nos politiciens y répond selon ses motivations, c’est-à-dire selon ses intérêts (qui sont, bien entendu, ceux de ses généreux bailleurs de fonds électoraux).

L’économie globale telle qu’elle est pratiquée n’offre, en pays de hauts salaires et de forte protection sociale, un travail bien rémunéré que dans les industries de pointe, les services haut de gamme, l’agriculture spécialisée (encore faut-il noter, pour ce dernier secteur, que les intermédiaires s’enrichissent beaucoup plus que les producteurs).

De ce fait, l’instruction publique devrait être orientée vers la formation de savants et de techniciens de très haut niveau, tandis que l’éducation (dévolue à la famille) devrait être élitiste, reposant sur une exigence quantitative et qualitative en matière de travail scolaire, primaire, secondaire, puis supérieur.

On en est très loin en France. Tout est fait, au contraire, pour produire des niais paresseux, bourrés de sentiments humanitaires, mais à la cervelle aussi vide que celle d’un dinosaure marxiste.

Le sieur Saül de Tarse, plus connu sous l’appellation de Saint Paul, a écrit il y a deux mille ans dans sa 2e Épître aux Thessaloniciens (III-10, selon le découpage de Saint Jérôme) : « Qui refuse de travailler ne doit pas non plus manger ». C’est un raisonnement d’une logique imparable, mais obsolète.

Car la grande distribution, l’une des reines de notre société, a ses impératifs. Elle vit de l’hyperconsommation des riches, mais aussi de la consommation quotidienne, vitale, des pauvres : ceux qui vivent d’allocations-chômage, d’allocations-immigrés (clandestins compris), de revenu minimum, etc.

Effectivement, confrontés à un chômage de longue durée, car structurel, les politicards de base (les chevaliers servants de la globalo-mondialisation) n’ont ni le droit de renvoyer les 14 à 15 millions d’allogènes dans leurs continents d’origine, ni l’honnêteté de reconnaitre le parasitisme interne de 5 à 6 millions de fonctionnaires et l’échec lamentable du corps enseignant qui fabrique 35 à 40% de futurs petits salariés et 50% de futurs chômeurs, permanents ou intermittents ; l’élite, la vraie, se forme en grande partie elle-même par son exigence éthique et grâce à de rares enseignants d’élite.

Le chômage n’est structurel, en France, que du fait de la mollesse de la jeunesse autochtone et de la démission d’une énorme majorité de parents et d’enseignants. Il est facile d’y remédier, à l’unique condition de le vouloir.

Aucun emploi ne doit être distribué à des non-Européens tant qu’il reste un seul Français de souche européenne au chômage et les consommateurs allogènes parasitaires doivent être renvoyés impitoyablement dans leur continent d’origine. C’est le premier principe.

Les sommes ainsi économisées doivent être investies dans une véritable instruction de la jeunesse française, avec prime à l’efficacité. C’est assez dire qu’il y a un gigantesque travail de remotivation de la Nation et du corps enseignant, de façon à ce que les Français redeviennent performants et compétitifs, comme ils ont si souvent démontré, durant les deux derniers millénaires, qu’ils pouvaient l’être.

C’est l’unique grand projet national pour notre temps. Cela exige des chefs dignes de ce nom : honnêtes, efficaces, durs, mais dévoués au Bien commun et à l’idée nationale. Cela exige un effort de la part de chaque citoyen. À population larvaire, gouvernants lamentables. Cela fait trente ans que nous vivons de cette façon. Il est plus que temps de changer de mode de vie en commun.

 

Source : synthesenationale

mercredi, 19 avril 2017

Un parti musulman soutenu par la Turquie islamiste va présenter 51 candidats aux élections législatives

Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2017

BREIZATAO – POLITIKEREZH (19/04/2017) Dans la foulée du référendum turc donnant de larges pouvoirs au président islamiste turc Recep Tayyip Erdogan, le gouvernement turc poursuit dans sa lancée, mais cette fois-ci en Europe.

Pour rappel, le président islamiste turc avait menacé l’Europe de soulever contre elle « le monde musulman » ainsi que les « étrangers » établis sur le continent (source), ajoutant « qu’aucun Européen ne pourrait plus marcher en sécurité, nulle part dans le monde » (source). Erdogan n’en est pas resté au stade des menaces : un parti islamiste turc piloté depuis Ankara présentera plus d’une cinquantaine de candidats aux élections législatives de juin prochain.

L’agence de presse de l’Etat Turc s’en ait complaisamment fait l’écho (source) :

Crée en 2015, le « Parti Egalité Justice » (PEJ), composé essentiellement de jeunes issus de l’immigration, se lancera pour la première fois aux Législatives françaises de juin. Sakir Colak, président de la formation politique française «Parti Egalité Justice» (PEJ), estime qu’il était «inévitable» de créer un nouveau parti politique pour répondre aux attentes des jeunes issus de l’immigration. C’est d’autant plus nécessaire que le «système politique actuel [en France, NDLR] n’accepte plus la différence»,a poursuivi le président du PEJ.

Le nom du parti rappelle naturellement celui au pouvoir en Turquie, une formation islamiste affiliée aux Frères Musulmans : le « Parti Justice et Développement ». Cette formation est identifiée comme une structure d’extraction gouvernementale turque via les associations ethniques historiquement implantées dans diverses villes françaises (source).

Le but du gouvernement turc est d’utiliser l’immigration afro-musulmane comme d’un levier contre l’Europe.

L’article poursuit :

Alors que les partis des extrêmes prennent de plus en plus de place dans le paysage politique, le PEJ est l’un des nouveaux partis conduits par des jeunes issus de l’immigration qui tentent de se frayer un chemin dans la vie politique en Europe à l’instar de la formation «Denk» aux Pays-Bas. Forts du sentiment de rejet ressenti au sein des partis, dits classiques, certains jeunes issus de l’immigration espèrent changer les préjugés et autres stéréotypes en devenant des acteurs actifs de la vie politique.

Sans grande surprise, cette branche islamiste turque nie ses liens avec le gouvernement turc :

Estimant qu’il existe une place pour un nouveau parti politique en France, les fondateurs du PEJ ont lancé leur parti, en janvier 2015, avec comme principal objectif de lutter contre les inégalités et les injustices, poursuit le jeune président du parti. Dès sa création, le PEJ a suscité l’intérêt de nombre de médias régionaux et nationaux, dont certains l’ont précipitamment accusé, d’être «l’arrière garde de la Turquie en France». « Nous sommes un parti politique français” rétorque, de butte en blanc, Sakir Colak à ces détracteurs qui l’accusent à tort.

La ligne politique est claire : structurer l’invasion islamique et diaboliser la résistance identitaire autochtone en usant de la rhétorique antiraciste en usage au sein de la gauche.

Ce que propose le PEJ “est un changement radical de politique pour permettre à notre société de retrouver le vivre-ensemble. Il faut arrêter de diviser la société pour des raisons électoralistes”, souligne, avec force, le président du PEJ.

Rappelons qu’aujourd’hui, des centaines, voire des milliers de jeunes issus de l’immigration, sont membres aussi bien du PEJ que d’autres partis politiques. Pour Colak, « ce n’est pas en les marginalisant, ou en les stigmatisant, qu’on fera avancer les choses”. “Il faut passer au delà des origines et parler du progrès social, de la lutte contre les inégalités et les injustices», a-t-il conclu.

Cette formation entame l’infiltration des enclaves afro-musulmanes de l’Hexagone, notamment en Alsace où se concentrent beaucoup de turcs.

Le PEJ a été crée en 2015 par des jeunes citoyens essentiellement issus de l’immigration. Le PEJ a, officiellement, lancé le week-end écoulé, sa campagne électorale pour les prochaines législatives (juin 2017) dans la ville de Strasbourg (Est), lors d’une réunion de formation des cadres du parti. Le PEJ compte présenter 51 candidats aux prochaines législatives en juin prochain, essentiellement dans les grandes villes.

Présentation des candidats par le PEJ :

Avec la formation d’une république néo-ottomane sous la férule des islamistes, la Turquie vise désormais clairement à soutenir le troisième assaut historique de l’islam contre l’Europe.

 

Source : breizatao

Bernard Lugan : « 100 millions d’Africains veulent passer en Europe »

Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2017

18 avril 2017 par Pierrot


Bernard Lugan, éminent africaniste français, prévient l’Occident que « 100 millions d’Africains veulent passer en Europe ». En perdition depuis l’intervention de l’OTAN, la Libye pourrait retrouver son unité et cesser d’être le point de passage obligé des réfugiés en partance pour l’Europe, avec un retour à la realpolitik, selon lui.


 

Source : contre-info