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jeudi, 13 avril 2017

Roubaix : Chrétiens d’Irak ayant fui l’État Islamique, ils sont terrorisés par des musulmans ciblant leur église

Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2017

POSTED BY LA RÉDACTION ON 10TH AVRIL 2017 

Les faits se sont produits mardi dernier, aux alentours de 19 heures, à proximité du béguinage de l’église Saint-Paul. Dans l’ancien presbytère ont pris place une famille Rom et un couple de chrétiens d’Irak qui ont fui leur pays en guerre. «  Des jeunes du quartier jouaient au football devant l’église et tiraient dans les portes, explique un témoin. Les personnes présentes au béguinage sont sorties pour leur demander d’arrêter. Des noms d’oiseau ont été échangés et l’un des occupants a été sérieusement blessé au nez.  »

Des « jeunes du quartier ». A Roubaix, cela veut dire « musulmans ».

On aurait pu croire que l’affaire allait s’arrêter là mais un quart d’heure plus tard, «  deux BMW  » avec, dans chacune d’elles, quatre personnes à l’intérieur « ont déboulé devant l’église  ». Aussitôt, «  l’un des occupants de la voiture a sorti un pistolet, a menacé son monde avant de tirer en l’air à trois reprises, explique le témoin. D’autres ont pris des cailloux présents dans les bordures de fleurs et les ont jetés dans les vitres, brisant des carreaux au rez-de-chaussée et au premier étage du béguinage. Ils ont pris la fuite, laissant tout le monde sous le choc.  »

Et pour conclure, ces Chrétiens d’Irak ayant échappé aux djihadistes vivent désormais dans le même sentiment de terreur :

«  Les Irakiens ont eu peur. La maman, qui était seule avec ses enfants lors de cette agression, est terrorisée.  »

Grâce à Angela Merkel, François Hollande et au Pape, un air de Mossoul ou de Raqqa flotte désormais en Europe.

 

Source : breizatao

Des crimes contre l’humanité chimiquement politiques !

Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2017

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La chronique de Philippe Randa

Le crime contre l’humanité du mois serait un bombardement aux armes chimiques du gouvernement syrien contre ses ennemis… suivi d’un bombardement punitif des USA contre celui-ci.

Le crime, depuis la nuit des temps, est inséparable de l’histoire de l’Humanité. Ce ne sont pas les grands titres réguliers de l’actualité qui démentiront ce constat, aussi affligeant soit-il.

Et donc, la question qui revient, lancinante, est, qu’on le veuille ou non : « À qui profit le crime ? »

Quel intérêt a Bachar Al-Assad – redevenu interlocuteur incontournable d’une future paix au Moyen-Orient – à utiliser des armes chimiques qui le rejette automatiquement au ban des nations ? Aucun !

Quel intérêt Donald Trump a-t-il, lui, à faire bombarder une base syrienne, au mépris de ses promesses électorales d’un désengagement des États-Unis d’Amérique dans les conflits militaires extérieurs ? Peut-être faire oublier le récent échec de son projet de réforme du système de santé et le revers de son décret migratoire, non ? Et pourquoi pas !

Au fait, bilan de la supposée attaque à l’arme chimique de Bachar al-Assad : 72 morts, dont 20 enfants ; bilan de la « punition » yankee : 9 morts parmi les civils et 13 femmes et enfants blessés dans le village voisin d'Al-Chaayrate.

Source EuroLibertés

 

Source : synthesenationale

mercredi, 12 avril 2017

ROMAIN LOPEZ (FN82) APPELLE AU "RALLIEMENT DE MILLIONS DE MUSULMANS" !

Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2017

 
 
Le Front national réserve quelquefois à ses électeurs de drôles de surprises. Lors du grand débat de BFM, Marine Le Pen s'était montrée très soucieuse du respect des traditions françaises. Or le Front a investi en Tarn-et-Garonne un candidat qui ne tarit pas d'éloges sur les musulmans, les "banlieues", le rap, la Palestine, les "blédards" (c'est lui qui utilise le mot) et la République islamique d'Iran !

Et nous qui pensions, à écouter Florian Philippot et Nicolas Bay, que le Front National ne reconnaissait qu'une seule communauté : la communauté nationale, sans considération de croyances et d'origines ! Le candidat Lopez n'a visiblement que faire de la ligne officielle du parti car il s'adresse systématiquement aux citoyens en fonction de leurs caractéristiques religieuses, culturelles ou ethniques. Jusqu'à atteindre des sommets de grotesque et de tartuferie :


"Ils doivent former cette avant-garde autour de laquelle se constituera le ralliement de millions de Français musulmans"


Cette danse du ventre peut prendre un tour vaguement condescendant (nous conservons les fautes d'orthographe de l'aspirant-député) : 


"L'Islam des "blédard" des années 1960-70 ne posait pas de problème"


ou encore :


"Le FN donne à nos compatriotes musulmans l'espoir d'être enfin respectés et assimilés."

 
Dans un autre registre, non moins racoleur, au lendemain d'attentats terroristes :


"La Palestine, solidaire de notre Nation"


Il ne cache pas non plus son admiration pour la République islamique d'Iran, émancipatrice des femmes :



" En Iran, plus de femmes que de religieux au nouveau parlement"

 
Même le rap ne coupe pas à cette intense drague (à noter le lien du tweet pointant vers le site d'Alain Soral...) :
 

"Quand le rap plébiscite le Front National"

 
 

Comme l'écrivait La Dépêche il y a quelques mois (alors qu'il n'était que pré-investi), il s'agit bien là d'un candidat "particulier" !



Sources : tweets de Romain Lopez :
 
 
 
Source : politiccircus

Trump et les missiles : les faucons sont de retour !

Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2017

Les frappes punitives américaines contre l’armée syrienne et le gouvernement de Bachar- al-Assad, outre qu’elles ont un but médiatique et d’être une démonstration de force tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, indiquent surtout un revirement soudain et total de Trump au Moyen-Orient qui implique un changement important au sein de l’entourage du nouveau président des États-Unis.

Steve Bannon, un des conseillers controversés de Trump, son ancien directeur de campagne, celui que l’on surnomme son « éminence grise », ancien patron du site d’informations Breitbart News qualifié « d’extrême-droite » par les médias du système, a été évincé ces derniers jours. Il a été démis, début avril, de ses fonctions de stratège en chef au sein du Conseil national de sécurité.

Or Steve Bannon défend une stratégie de non-intervention en Syrie, celle-ci étant considérée contraire à la doctrine de l’« America first », l‘Amérique en premier, alors que le gendre juif très écouté, et de plus en plus écouté, de Donald Trump, Jared Kushner, est partisan d’une offensive contre le régime syrien de Bachar al-Assad :

« La politique qu’il [Jared Kushner, ndlr] préconise est l’inverse de celle de Steve Bannon. Il est pour une politique assez traditionnelle aux Etats-Unis : intervenir à l’extérieur, aider les pays alliés et notamment Israël – dont il est très proche en tant que juif orthodoxe. Avec le groupe de gens influents autour de lui – comme Steven Mnuchin, le ministre du Trésor, David Friedman, l’ambassadeur américain en Israël ou même Steven Miller, qui est un autre conseiller très puissant auprès de Donald Trump – ils ont tous soutenu un changement d’attitude fort »

explique l’historien Jean-Eric Branaa dans un entretien à RT France.

Ivanka Trump, l’épouse de Jared, s’est d’ailleurs dite «être fière » de son père pour sa décision de bombarder la Syrie. Pourtant cette décision a été à l’encontre de toutes les déclarations précédentes de Trump durant sa campagne présidentielle : à plusieurs reprises il avait assuré qu’avec lui il n’y aurait pas d’intervention en Syrie ni de pressions pour faire partir Bachar al-Assad. Il s’était nettement démarqué des thèmes fondamentaux des néo-conservateurs américains, les fameux faucons, favorables à l’interventionnisme militaire destiné, en résumé, à organiser l’hégémonie américaine sur le monde et sur un nouvel ordre mondial fondé sur le consensus moral « plus jamais Auschwitz ».

«Le néo-conservatisme a réorienté la politique américaine dans le sens d’uninternationalisme et d’un messianisme démocratique. Le néo-conservatisme est né sur le principe de « plus jamais Auschwitz ». Les néo-conservateurs disent vouloir un nouvel ordre international qui soit celui de la liberté, selon les conceptions qui ne sont pas venues de Kant et de Wilson, auxquels ils reprochent l’impuissance, mais qui prennent leur source dans des écrits deMoïse Maïmonide. (…) Ils soutiennent Israël. Leur credo est l’interventionnisme. Les États-Unis doivent être reconnus comme la nation-phare des droits de l’homme et exporter la démocratie et la liberté partout dans le monde si besoin par la force. (…) Parmi les idées emblématiques des néo-conservateurs, on peut citer la théorie du « chaos créateur » » peut-on lire sur la fiche Wikipédia qui leur est consacrée.

Si l’élection de Donald Trump avait semblé marquer un reflux de l’emprise du néo-conservatisme sur la politique américaine, cette accalmie aura été de courte durée. Le courant globaliste et interventionniste domine à nouveau à la Maison Blanche. Et on a vu quels résultats il a obtenu en Irak : destruction, terrorisme international, création de l’organisation État islamique, mort et anarchie… « le chaos créateur » en somme !

Les faucons sont de retour !

Francesca de Villasmundo

 

Source :medias-presse.info

mardi, 11 avril 2017

Marine Le Pen ne donnera jamais assez de gages au Système

Publié par Guy Jovelin le 11 avril 2017

Tout ça pour ça ? La polémique autour des propos de Marine Le Pen concernant la rafle du Vel d’Hiv ne manque pas de sel. Après avoir évincé son père Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front National, dans le cadre d’une entreprise de dédiabolisation qui montre ses limites, après avoir permis à des Collard, Philippot, Chenu et autres parachutés d’insulter Jean-Marie Le Pen et de le traiter en paria infréquentable, après avoir tenté de donner des gages aux médias, aux lobbies communautaires et à Israël, voilà Marine Le Pen qualifiée de révisionniste pour avoir fait sienne une version gaulliste de l’Histoire et souillé au passage la mémoire du Maréchal Pétain.

Rappelons une fois de plus la déclaration de Marine Le Pen :  

« Comme Charles de Gaulle, François Mitterrand, ou encore de nos jours Henri Guaino, je considère que la France et la République étaient à Londres pendant l’Occupation et que le régime de Vichy n’était pas la France. C’est une position qui a toujours été défendue par le chef de l’État, avant que Jacques Chirac et surtout François Hollande, à tort, ne reviennent dessus », déclaret-elle tout en qualifiant le régime de Vichy de« régime collaborateur et illégal ».  

Ce faisant, elle n’aura satisfait personne. Ni les professionnels de la repentance, ni les Français attachés à sauvegarder la mémoire du Maréchal Pétain.

Marine Le Pen aura simplement démontré une fois de plus que malgré sa volonté d’obtenir l’aval du système, elle n’en fera jamais assez. 

D’autres, comme Gianfranco Fini en Italie, ont essayé avant elle cette stratégie qui finit toujours par le reniement pour un apparent succès dans une participation cornaquée au pouvoir, suivi de l’effondrement.

 

Source : medias-presse.info