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mercredi, 10 mai 2017

Les renseignements français cèdent à l’américain Palantir la surveillance du web

Publié par Guy Jovelin le 10 mai 2017 

Alex Karp, cofondateur et DG de Palantir. L’entreprise a signé un contrat avec la DGSI en France. REUTERS/Mike Blake

La DGSI n’a pas les moyens d’analyser l’ensemble des données récoltées par le biais de ses systèmes de surveillance. Elle va déléguer à Palantir, cofondée par un membre du cabinet Trump, le traitement de ces données.

Il n’est pas suffisant de voter des tas de lois antiterroristes et renseignement imposant la surveillances des réseaux télécoms. La quantité de données amassée par ces grandes oreilles numériques est énorme, et il faut par la suite pouvoir les traiter.

Or, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) s’est rendue compte qu’elle ne possédait pas les moyens suffisants pour le faire. Paris-Match a révélé que l’agence française avait signé un contrat avec la firme américaine Palantir, pour la seconder dans ses missions d’anti-terrorisme.

Une solution financée par la CIA

Palantir, société très secrète basée dans la Silicon Valley, financée à son lancement par la CIA et qui serait valorisée aujourd’hui 20 milliards de dollars, est spécialisée dans l’analyse big data et travaille pour des clients tels que le FBI et la NSA. Elle aurait, dit-on, contribué à localiser Ben Laden en 2011.

D’après les services, la France n’a pas eu le choix, et dû faire appel aux services d’une entreprise étrangère. “Ils sont les seuls à disposer de cette technologie qui nous est nécessaire”, explique à Paris Match un agent de la lutte antiterroriste. “Avec Palantir, les services US vont disposer d’une fenêtre grande ouverte sur des informations sensibles et notre lutte antiterroriste. C’est un moindre mal, mais il ne faut pas être dupe”.

“Des problèmes de souveraineté nationale”

Des informations tellement sensibles qu’en février dernier, alors interrogé par L’Express, le ministère de l’Intérieur indiquait: “utiliser une solution américaine, de surcroît financée par la CIA, pose des problèmes de souveraineté nationale”.

Le problème se pose avec d’autant plus d’acuité que l’un des co-fondateurs de Palantir est Peter Thiel, seul soutien notable de Donald Trump dans la Silicon Valley, désormais membre du cabinet du président élu.

Source : L’Express, 09/12/2016

 

Source : les-crises

« Presse à caniveau » : quand le ministre Baylet s’en prend à France 3

Publié par Guy Jovelin le 10 mai 2017

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DOCUMENT SONORE Il a beau être patron de presse, le ministre Jean-Michel Baylet a une idée très personnelle du journalisme. Quand le travail d’un média ne lui plaît pas, il n’hésite pas à le traîner dans la boue. Une certaine idée de la liberté d’informer et du pluralisme, illustrée par des propos récents du ministre.

Photo : PASCAL POCHARD-CASABIANCA / AFP

Photo : PASCAL POCHARD-CASABIANCA / AFP

Il pourrait avoir, en raison de son statut de ministre de la République (pour quelques jours encore), un devoir de réserve vis-à-vis de la presse et des journalistes. Il pourrait aussi, parce qu’il est lui-même propriétaire d’un groupe de presse, avoir du respect pour la liberté de la presse et le travail des autres médias.

Mais Jean-Michel Baylet a une autre vision du travail des journalistes, surtout quand ce travail le concerne.

Dernier exemple en date, lors d’une réunion la semaine dernière à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne) du conseil syndical du PETR (pôle d’équilibre territorial et rural) Garonne-Quercy-Gascogne qu’il préside.

« Chagriné » par deux articles publiés sur le blog politique de France 3 Midi-Pyrénées sur le statut « fictif » de son collaborateur Max Courrègelongue, ex-directeur général des services du Conseil Général, et véritable dirigeant sans statut du PETR, Jean-Michel Baylet s’en est pris au média régional.

Interrogé par un élu sur ces révélations parues dans la presse régionale, Jean-Michel Baylet s’emporte contre France 3 Midi-Pyrénées :

Ce n’est pas dans la presse régionale que vous avez lu tout cela, c’est dans une certaine presse de ragots et de caniveau

« Presse de ragots et de caniveau », « presse à caniveau » (SIC), par deux fois le ministre fustige les journalistes de France 3. Ce passage de la discussion, ou plutôt du monologue du ministre, a été enregistré. Un document sonore que nous reproduisons ci-dessous dans le but d’accréditer les informations que nous publions ici et la véracité des propos tenus :

Donc pour un ministre de la République, un média (qui plus est de service public) qui ne va pas dans son sens ou qui révèle des petites manoeuvres entre amis mérite d’être mis… au « caniveau ».

Sur la forme, c’est désolant. Le ministre, propriétaire du groupe La Dépêche du Midi qu’il a dirigé jusqu’à son entrée au gouvernement en 2016, devrait se souvenir que son journal a été mis en cause dans son traitement de l’une des pires affaires de calomnie des 50 dernières années, l’affaire Alègre-Baudis. Traiter donc ainsi un média régional de « presse à caniveau » révèle au mieux une amnésie sélective, au pire un aveuglement sur ses propres erreurs.

Sur le fond, le ministre ne se rend certainement pas compte que ce qu’il dit (et que l’on entend dans l’enregistrement ci-dessus) accrédite les infos publiées sur le blog de France 3. Selon lui (et c’est ce qu’écrivait France 3), Max Courrègelongue exerce des fonctions rémunérées à la Communauté de communes de deux rives (présidée, elle aussi, par Jean-Michel Baylet) et est bénévole auprès du PETR. Ce serait donc, sur son temps libre, que Max Courrègelongue irait faire tourner cette instance.

Des déclarations contradictoires avec celle du principal intéressé, qui avait indiqué à France 3, être rémunéré pour cette tâche mais avait refusé de dire par qui. Des déclarations, surtout, qui ne répondent pas aux interrogations soulevées par des élus et des journalistes : quel statut ? Quelle convention de mise à disposition du collaborateur d’une entité à l’autre ? Comment peut-on rémunérer un collaborateur qui a dépassé la limite d’âge (il a 71 ans) ?

Sur toutes ces questions, le ministre ne répond pas. Il préfère s’en prendre aux journalistes qui n’ont fait qu’écrire… la vérité.

Une attitude de « médias bashing » qui se répand dans la classe politique. Quand elle est endossée par un ministre, ce n’est déjà pas banal. Mais quand le ministre en question est propriétaire d’un groupe de presse, c’est un comble. 

FV (@fabvalery)

 

Source : france3-regions

mardi, 09 mai 2017

ELECTIONS LÉGISLATIVES : COMMUNICATION DU PARTI DE LA FRANCE

Publié par Guy Jovelin le 09 mai 2017

Les 11 et 18 juin prochains le Parti de la France présentera des candidats dans un certain nombre de circonscriptions, si vous souhaitez vous engager et participer activement à ces élections comme candidat, suppléant ou mandataire financier, contactez dans les 48 heures notre délégué national aux élections, Dominique Slabolepszy : dominique.slabolepszy@wanadoo.fr


Elections législatives : Communication du Parti de la France
Si vous n'êtes pas candidat mais que vous souhaitez nous aider, faites un don au Parti de la France : chèque à l'ordre de Myriam Baeckeroot, mandataire financier du PdF, à envoyer à l'adresse suivante : PdF, 6 allée des Templiers, 78860 Saint-Nom-la Bretèche.
Engagez-vous, aidez-nous !

Les Centres d’accueil de l’association « Caritas » confrontés à la violence migratoire

Publié par Guy Jovelin le 09 mai 2017

L’association humanitariste catholique Caritas, – pour mieux la situer elle œuvre en France avec le Secours catholique -,  concentre son activité internationale « sur la pauvreté, l’exclusion sociale et les inégalités, la migration, et l’asile ». En Europe, depuis le début de la déferlante migratoire, elle s’est particulièrement investie dans l’accueil des migrants partout où ils arrivent. Elle les épaule dans leurs démarches administratives et juridiques pour accéder au droit d’asile, à un titre de séjour, à des soins ou à un logement.

Caritas gère ainsi de nombreuses structures d’accueil en partenariat avec les paroisses. Et se retrouve aujourd’hui, oh stupeur, confrontée à la violence migratoire ! Trop de prêtres et de bénévoles sont frappés et insultés et vivent « la peur au ventre » est-il écrit dans le journal Vatican Insider dans un article de son édition d‘hier. La situation a tellement dégénéré que dans les trois structures de la Caritas de Turin un système de sécurité est mis en place pour expérimentation. Depuis des mois ces centres d’accueil de l’association ont donc engagé une agence de sécurité privée pour garantir la sécurité des volontaires : des « vigilantes« , c’est-à-dire des gardes armées.

Samedi 6 mai, toujours à Turin, l’organisation caritative a réuni une centaine de ses bénévoles paroissiaux afin de leur donner un cours non sur l’accueil et la pastorale mais sur comment se défendre dans les différentes situations. La violence physique va en effet souvent de pair avec une violence psychologique : les bénévoles subissent de la part de ceux qu’ils aident «une menace psychologique et spirituelle : puisque nous sommes l’Église, explique un curé volontaire à la Caritas, nous leur devons tout. » Et il suffit d’un non pour les faire exploser de colère.

Aux bénévoles dont la moyenne d’âge est de 70 ans et qui sont religieuses, prêtres ou laïcs, il est donc demandé par les responsables de la Caritas de ne rester jamais seuls, de se doter dans les centres de caméras de surveillance, d’écrire au commissariat le nombre de personnes aidées et les problèmes de sécurité. Il est envisagé également de doter les centres d’un dispositif de sécurité relié aux forces de l’ordre.

Le quotidien très politiquement correct Vatican Insider qui relate ces problèmes de sécurité auxquels doit faire face la Caritas fait cependant de l’occultation d’informations puisqu’il ne mentionne pas une seule fois que cette insécurité est le fait des migrants à qui l’association apporte son aide. Le journal télévisé  de la chaîneitalienne La 7 dans un reportage du même jour est quant à lui bien plus explicite et, images à l’appui, ne laisse aucun doute sur l’origine des violences et des violents.

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Les clandestins toucheront désormais le RSA

Publié par Guy Jovelin le 09 mai 2017

8 mai 2017 par Pierrot
Alors que la fiscalité et les taxes diverses ne cessent d’alourdir le budget des Français, la République continue de dépenser sans compter lorsqu’il s’agit des étrangers…

Les bénéficiaires actuels de l’allocation temporaire d’attente auront notamment accès, « dans des conditions plus favorables en termes de montant et de durée », au revenu de solidarité active.

L’allocation temporaire d’attente (ATA), prestation versée à certaines catégories d’étrangers et à des personnes temporairement confrontées à un problème d’insertion tels que les anciens détenus, sera supprimée au 1er septembre, selon un décret publié dimanche au Journal officiel (JO).

D’autres aides en remplacement. Les bénéficiaires actuels de cette prestation auront accès, « dans des conditions plus favorables en termes de montant et de durée », au revenu de solidarité active (RSA), à la garantie jeunes ou au parcours d’accompagnement contractualisé vers l’emploi et vers l’autonomie (Pacea), précise le décret, pris en application de la loi de finances 2017.

Source : contre-info via FDS