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Incendies volontaires de voitures, de poubelles, attaques de pompiers et de policiers, caillassages d’un bus Tisséo… En tout, 25 faits de violences urbaines ont été dénombrés dans la nuit du 31 octobre à Toulouse.
Après la répétition générale du 23 octobre dernier, la soirée d’Halloween a donné lieu à la représentation finale d’un théâtre devenu banal à Toulouse. Incendies, caillassages ont rythmés la nuit du 31 octobre dans les quartiers du Mirail et d’Empalot. Une soixantaine de policiers ont été mobilisés pour sécuriser les soldats du feu, attaqués de toute part. 25 faits de violences urbaines ont été décompter et une quinzaine de véhicules sont partis en fumée. Dans la nuit, les interventions des secours ont été placées sous alerte orange « violences urbaines », un plan qui permettent aux pompiers de travailler en synergie avec la police pour sécuriser les opérations.
Des violences de 16 heures à 5 heures
Dès 16 heures, dans le quartier Bagatelle, plusieurs jets de pierres en direction d’une patrouille de police ont été constatés. Les prémices d’une longue nuit agitée pour les fonctionnaires. En effet, pas moins d’une heure plus tard, alors que des policiers procédaient à l’interpellation d’un individu refusant d’obtempérer, la même scène s’est répétée, cette fois au Mirail. A cette occasion, un agent aurait été blessé légèrement à l’œil. Dans la foulée, à Bagatelle, deux véhicules et des poubelles ont été incendiés, juste après qu’un bus Tisséo ait été la proie des vandales, rue de Kiev.
Aux alentours d’une heure, plusieurs feux de poubelles et de véhicules ont encore éclaté simultanément dans les quartiers du Mirail, de Bagatelle et d’Empalot. Un quartier qui n’était d’ailleurs plus desservi par les rames de métro depuis 20h30, après qu’une voiture ait été incendiée devant les portes de la station de la ligne B. Un autre bus Tisséo a connu le même sort qu’à Bagatelle. Une équipe de CRS est venu protéger les pompiers durant toute la durée de l’intervention. Le métro n’a pu s’arrêter de nouveau à Empalot qu’au petit matin.
Le bilan de la soirée est plutôt miraculeux du côté des policiers : « quelques collègues ont été blessés sans gravité après avoir reçu des cailloux et des canettes dans une offensive assez marquée à leur encontre », témoigne Didier Martinez, le secrétaire régional du syndicat Unité-SGP Police.
Le syndicaliste fait état « d’une situation d’impuissance face aux violences urbaines, phénomène qui depuis 20 ans s’est banalisé à Toulouse ». Un « premier défi » que devra relevé la police de sécurité du quotidien, dont la ville est candidate à l’expérimentation.
« Le 1er novembre 1954, le peuple algérien se soulève ». Faux. Il ne s’est pas soulevé ce jour-là, ni les semaines, les mois et les années suivantes, jusqu’à la date choisie par de Gaulle, le 19 mars 1962.
A l’initiative de la Bourse du Travail, Bagnolet « fête » ce soulèvement et commémore ainsi l’insurrection du peuple algérien en compagnie des « Amis de l’Humanité » et des PCF, PG, PRG, PS, CGT, etc.
Ceux qui sont morts ce 1er novembre 1954, assassinés par les terroristes du FLN, remercient Bagnolet et sa municipalité à titre posthume.
Le jeune instituteur Guy Monnerot (sa femme grièvement blessée survivra)
Le caïd de M’Chounèche, Ben Hadj Saddok
Laurent François, 22 ans, à peine libéré du service militaire.
Lieutenant Darnault plus deux spahis à Kenchela.
Le garde forestier Braun près de Saint-Denis du Sig.
Le Brigadier-chef Eugène Cohet.
Le soldat Pierre Audat, du 9ème régiment des Chasseurs d’Afrique.
Le policier Hamed Harouk de Dra-el-Mizan.
Le 1er novembre 1954 ne fut pas une journée très glorieuse pour les terroristes du FLN : dix morts à son actif et trois bombes qui explosent, sur les vingt posées, sans faire de gros dégâts ni de victimes…quel dommage !
⇒ Si les élus de Bagnolet souhaitent « fêter » des victoires du FLN, le choix est large, bien d’autres dates sont à sa disposition.
Voici quelques exemples, mais j’en ai bien d’autres à leur proposer :
EL HALIA, le 20 août 1955, 71 bébés, enfants, femmes, vieillards, violés, dépecés vivants, égorgés, écrasés contre les murs.
PALESTRO, le 18 mai 1956, 21 jeunes « appelés » du contingent, tous de la région parisienne, (peut-être même de Bagnolet, ce serait drôle, non ?), massacrés et retrouvés mutilés et les testicules dans la bouche.
MELOUZA, le 28 mai 1957, 301 Arabes assassinés parce qu’ils ne voulaient pas du FLN. Et, enfin, le 5 juillet 1962 à Oran, près de 3000 victimes au palmarès de l’ALN et du FLN.
Voilà de vraies dates de victoires à fêter par les ennemis de la France, celles qui faisaient plaisirs aux « porteurs de valises » du réseau Jeanson, à Jean-Paul Sartre, aux communistes, à l’extrême gauche et à tous ces « patriotes » français qui fabriquaient des bombes, fournissaient des armes, finançaient et jubilaient de voir se déverser le sang, surtout quand il était français, tous complices de la mort de milliers de vos enfants, de nos enfants.
Ce jour, nous avons rencontré Thomas Joly, secrétaire du Parti de la France, qui, comme d’autres patriotes, paraît avoir quelques soucis avec la justice de son pays…
Thomas Joly : Je suis fonctionnaire de l’Éducation nationale, j’ai 41 ans, je suis marié et père de 3 enfants, je pratique la boxe anglaise pour entretenir la forme et je consacre une grand part de mon temps libre à mes activités politiques ! Engagé en politique depuis l’âge de 19 ans (au Front national à l’époque), je n’ai eu de cesse de lutter contre la colonisation migratoire et l’islamisation de notre pays qui, si elles ne sont pas stoppées et inversées, se révéleront mortelles pour notre peuple et notre civilisation lorsque nous ne serons plus qu’une minorité sur notre propre sol.
Riposte Laïque : Vous voilà donc convoqué le 9 novembre prochain, au tribunal correctionnel de Beauvais. Qu’avez-vous donc fait de si grave ?
Thomas Joly : J’ai commis le crime abominable d’avoir illustré des articles de mon blog dénonçant la barbarie de l’État islamique avec des photos de la décapitation de Hervé Cornara par l’islamiste Yassin Salhi, ainsi que celle de James Foley décapité par l’État islamique. Je suis convoqué devant le tribunal correctionnel de Beauvais le 9 novembre prochain pour une soi-disant « diffusion de message violent accessible à un mineur », prétexte trouvé par le procureur pour me poursuivre. A savoir que j’ai passé six heures en garde à vue, le 19 février 2016, pour ce motif et que j’ai été convoqué à trois reprises par la gendarmerie pour ces mêmes faits.
Riposte Laïque : Quelle est votre réaction, devant ce procès ?
Thomas Joly : Il s’agit clairement d’un procès politique destiné à faire taire ceux qui dénoncent l’invasion afro-musulmane et la barbarie terroriste pratiquée au nom de l’Islam par des fanatiques sanguinaires. De plus, le chef d’accusation choisi est pour le moins cocasse lorsque l’on sait que les médias ont diffusé jusqu’à la nausée la photo du cadavre du petit Aylan échoué sur une plage afin de promouvoir l’arrivée massive de clandestins en Europe, que dès le plus jeune âge nos enfants ont droit à des cours détaillés sur la Shoah, que dans les écoles primaires des exercices de confinement sont discrètement organisés afin de préparer les enfants à l’éventualité d’un attentat islamique (requalifié en novlangue administrative « cas de risque majeur ») au risque de les traumatiser. Ce qui dérange le gouvernement et son représentant du Ministère public, c’est que, comme eux, je pense que « nous sommes en guerre contre le terrorisme » mais moi je désigne clairement l’ennemi et j’incite nos autorités à véritablement mener cette guerre ! Et celle-ci ne pourra commencer qu’en expulsant du territoire la plupart des extra-européens islamisés qui se comportent en conquérants et dont la majorité a une bienveillance suspecte avec les terroristes. Les rares fois où des musulmans sont descendus dans la rue suite à des attentats, c’était pour demander avec arrogance de ne pas faire d’amalgame avec l’Islam et de dénoncer l’islamophobie – pourtant légitime – des Français… J’invite ceux qui le souhaitent, et le peuvent, à venir me soutenir lors de ce procès inique, l’audience se déroulera jeudi 9 novembre à 8 h 30 au Palais de justice de Beauvais (20, Boulevard Saint-Jean).
Riposte Laïque : Vous n’avez pas ménagé vos critiques, depuis la création du Parti de la France, contre la direction du Front national et sa présidente, Marine Le Pen. 6 mois après la présidentielle, quel est votre regard sur la situation du FN, et plus largement sur le camp patriotique ?
Thomas Joly : Marine Le Pen est une véritable calamité pour la droite nationale. Elle n’a strictement rien retenu de son fiasco de la Présidentielle, alors même qu’elle bénéficiait de conditions historiques pour prendre le pouvoir ou au moins s’en approcher (attentats islamiques, crise des migrants, rejet de la classe politique du Système, chômage de masse). Lors de sa dernière prestation sur France 2, elle a continué sur la même ligne gaucho-souverainiste, qu’elle a toujours partagée avec son ex-lieutenant Philippot, et n’a pas pu s’empêcher d’avoir un petit mot ému pour nos « compatriotes musulmans » ; sûrement pensait-elle aux 92 % de mahométans qui ont voté Macron au 2nd tour de la Présidentielle ? Je crois qu’il n’y a rien à attendre du Front national tant que Marine Le Pen sera à sa tête ; le problème n’était pas Philippot, c’est elle. En outre, il est fort probable qu’elle subisse assez prochainement les foudres de la justice et qu’elle soit inéligible pour 2022, sans compter que le Front national, qui touche pourtant des millions de subventions publiques, est en quasi-faillite. Le camp national doit se réunir sur l’essentiel : le refus de la colonisation migratoire et de sa conséquence inéluctable : l’islamisation de notre société et l’instauration, à terme, de la charia.
Riposte Laïque : Quel est votre regard sur les six premiers mois de gouvernement de Macron ?
Thomas Joly : Même s’il fait mine de bousculer les codes établis, Emmanuel Macron est le digne successeur de ses prédécesseurs. Il gère le déclin économique et social ainsi que le chaos ethnique, un peu comme un liquidateur judiciaire, sauf que là il s’agit de notre Nation. Européiste, social-démocrate, immigrationniste, acquis à toutes les dérives sociétales, il n’y a rien à attendre de cet individu, pur produit de l’engeance systémique.
Riposte Laïque : Quels sont les prochains projets du Parti de la France ?
Thomas Joly : Le Parti de la France entend poursuivre la reconstruction du camp national avec tous ceux qui ne souhaitent pas voir la France mourir et notre peuple disparaître. Nous avons encore le droit de rester nous-mêmes, de ne pas vouloir que notre pays soit un déversoir pour toute l’Afrique et que l’appel du muezzin remplace les cloches de nos églises, n’en déplaise à nos pseudo-élites apatrides bien peu attachées à notre terre ancestrale du fait de leurs racines nomades.
Les réactions à la décision du Conseil d’État d’imposer le retrait de la croix de la statue de Jean-Paul II dans cette commune bretonne illustrent les fractures quant à la question religieuse en France, où tout acte de déchristianisation est perçu comme une propédeutique à l’islamisation.
#MontreTaCroix. Après la décision du Conseil d’État de confirmer le retrait d’une croix d’une statue de Jean-Paul II installée depuis 2006 sur la place de la petite commune de Ploërmel, dans le Morbihan, des internautes se sont emparés de ce mot dièse pour manifester leur colère. De Varsovie à Maaloula, de la Provence à la Bretagne, des images innombrables de crucifix, calvaires et églises ont envahi les réseaux sociaux.