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vendredi, 24 novembre 2017

Calais. Un policier avait giflé un migrant : 6 mois de prison ferme

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2017

Le parquet, relevant que le migrant était menotté, avait requis 6 mois de prison ferme.

  • Le parquet, relevant que le migrant était menotté, avait requis 6 mois de prison ferme. | Photo d'illustration Ouest-France / Joël Le Gall
Un policier qui avait giflé un migrant à l'été 2016 dans un centre de rétention près de Calais a été condamné jeudi à six mois de prison ferme, au tribunal de Boulogne-sur-Mer.

Cet agent de la police aux frontières (PAF) assurait l'escorte d'un migrant jusqu'en salle de jugement du centre de rétention administrative de Coquelles. Il lui était reproché d'avoir, juste avant le passage devant le juge des libertés et de la détention, giflé le migrant, sous les yeux d'une greffière qui a ensuite témoigné contre lui.

« C'était un geste malheureux de protection, il n'a pas voulu gifler », a assuré de son côté son avocat Me Antoine Deguines. « Cette personne était assez agitée, elle se relevait tout le temps, il a craint un coup de tête et a allongé le bras qui est allé sur le visage de la personne ».

Révocation de sursis

En prononçant ces six mois ferme, le tribunal a suivi les réquisitions du parquet, qui avait relevé que ce geste avait été commis alors que le migrant était menotté. Le quadragénaire s'est également vu interdit de détention d'arme pendant cinq ans et interdit de fonction publique pendant deux ans avec sursis.

Il avait déjà été condamné pour violences sur concubine et le sursis qui avait alors été prononcé, de quatre mois, a été révoqué.

 

Source : ouest-france

Grande-Bretagne : une mère de famille demande à l'école de son enfant d'arrêter de raconter "La belle au bois dormant" au motif que le baiser n'est pas consenti

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2017

 @ DR
POLÉMIQUE - Une mère de famille de North Shields en Grande-Bretagne a expressément demandé à l'école primaire de son fils âgé de 6 ans de cesser de raconter l'histoire de "La Belle au bois dormant". Selon elle, le baiser entre la Belle endormie et le prince n'est pas consenti et pose donc un problème d'agression sexuelle.
 

Et si ces changements commencaient par l'école primaire. La très petite enfance, ce moment où les enfants sont réceptifs à l'imaginaire et aux histoires de contes de fées. De fait, une mère de famille britannique a expressément demandé à l'école primaire de son fils âgé de 6 ans, de cesser de raconter cette histoire aux enfants. Pour elle, le prince est coupable d'un comportement sexuel inapproprié. Dans un tweet, elle commente son propos. 

Sarah Hall est une mère de famille de deux enfants. L'un deux, un petit garçon est scolarisé dans une école primaire de Northumberland Park. Une école qui, comme beaucoup d'autres, narrent des histoires aux enfants. Mais Sarah Hall aimerait que "La Belle au Bois dormant" ne soit plus raconté aux écoliers. Elle estime que le conte de fées fait la promotion de comportements inappropriés qui ne devraient pas être exposés aux enfants. 

C'est en lisant un livre de son fils, basé sur le conte de Charles Perrault qu'elle a immédiatement tilté sur la fin de l'histoire : "Je crois que la fin de ce conte pose la question du consentement dans l'acte sexuel", commente-t-elle auprès du Chronicle Live. Par cette question, Sarah Hall évoque le moment où, la princesse Aurore, plongée dans un profond sommeil, est tirée de ce dernier par le baiser du prince. Sauf que ce baiser n'a pas été désirée par la princesse. "Il s'agit de se demander si c'est toujours pertinent, est-ce approprié ?", s'interroge la mère de famille. 

Elle estime par ailleurs que "dans notre société actuelle, ce n'est pas approprié. Mon fils de 6 ans absorbe tout ce qu'il voit et ce n'était pas comme s'il pouvait faire la part des choses et avoir une conversation constructive". "Je ne pense pas que bannir la Belle au bois dormant soit bien. Je pense au contraire que cela pourrait être un point d'appui pour les enfants plus âgés qui permettrait d'avoir une discussion autour de cela et évoquer avec eux la notion de consentement et comment la princesse pourrait se sentir, par exemple", argumente-t-elle. "Les enfants ont un sens extrêmement fort de la notion du bien et du mal et leur parler de ces histoires est un bon moyen d'évoquer cela avec eux (...) Nous pourrions explorer cette histoire et sa pertinence culturelle en évoquant les droits et les torts, de ce conte", conclut-elle. 

 

Source : lci.fr

Nice : les mariages du week-end

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2017

Auteur : admin4

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Source : contre-info

jeudi, 23 novembre 2017

Comme Ils sont lamentables tous ces laïcistes de combat

Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2017

Comme Ils sont lamentables tous ces laïcistes de combat, toujours prêts à affûter leurs équerres et leurs compas contre l'église Catholique mais qui se transforment en laïcistes serviles de collaboration lorsqu'il s'agit de l'Islam et des islamistes.

LE "GRAIN DE SEL" DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2017

 

EMMANUEL MACRON ENCOURAGERAIT-IL LA DELATION ?


Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Les plans « banlieue » s’ajoutent aux plans « banlieue », sans que les « quartiers difficiles » et autres « zones de non droit » ne retrouvent la paix civile : combien de patrouilles de police ou d’équipes de pompiers tombent dans des embuscades tendues par des « jeunes », combien de voitures sont-elles incendiées sous le moindre prétexte, combien de dealers tombent-ils sous les balles de leurs rivaux, combien de familles rasent-elles les murs pour rentrer chez elles ? Sans compter les enseignants agressés, parfois par des « grands frères », pour une note jugée trop sévère ou encore un élève tabassé pour une clope refusée ou un regard de travers ? Sans oublier non plus  les médecins de garde ou les taxis de nuit qui refusent de se rendre dans ces quartiers. 
Des plans, toujours des plans…. 
C’est sur ce fond de décor bien sombre que le Président de la République a annoncé à Tourcoing, le mardi 14 novembre dernier, qu’une pluie d’Euros allait être, à nouveau, déversée sur ces fameux « territoires perdus de la République ». Ce ne sera jamais que le 9 ème ou 10 ème plan, - on ne compte plus-, de réhabilitation des banlieues. Pour mémoire, rappelons-nous les initiatives de Giscard, déjà, en 1977, puis le plan « banlieue 89 » sous Mitterrand, plan « Tapie » sous le même mandat, « plan Marshall » avec Chirac en 1996, « rénovation urbaine et solidarité » sous Jospin en 1999, encore d’autres avec le « plan Borloo » en 2005, - le même Borloo, sans doute fatigué « d’électrifier l’Afrique », qui est sollicité aujourd’hui par Macron pour « lui donner un coup de main »-, « espoir banlieue » de Fadela Amara sous le règne de Sarkozy en 2007 et, finalement, le projet « 1000 quartiers prioritaires » avec l’ancien Premier ministre de Hollande, Jean-Marc Ayrault. Tout ça pour quoi ? De belles façades rénovées, des ascenseurs et des halls, tout neufs, vandalisés, des crépis maculés de tags, des boites à lettres défoncées, un couvre-feu de fait dès le jour tombé, des zones entières de barres et de tours mises en coupe-réglée par des bandes ethniques qui imposent leur loi. Afin de faciliter l’accès à l’emploi, on a encouragé les entrepreneurs à s’installer dans des « zones franches »crées à cet effet. L’objectif, modeste, était de faire signer dans un premier temps quelques milliers de  contrats. Résultats des courses, seulement quelques centaines de « jeunes » signèrent leur embauche dans ce format. Echec, échec pour plusieurs raisons. D’abord, les entreprises ne se sont pas précipitées sur ces offres pour une raison majeure bien compréhensible : l’insécurité. Ensuite, les jeunes eux-mêmes ne se sont pas portés massivement volontaires. Il est plus juteux pour certains, pas tous heureusement, de dealer au service d’un chef de bande qui assure revenus et…. « Sécurité de l’emploi » ! ( N’oublions jamais que, s’il y a des vendeurs de drogues diverses et (a)variées, c’est qu’il y a des acheteurs ! C’est une partie du problème). 
Quoi de neuf avec Macron ? 
Les objectifs et les moyens annoncés par le jeune Chef de l’Etat diffèrent peu de ceux de ses prédécesseurs. Ils ne se distinguent guère des mesures précédemment mises en œuvre pour des résultats bien modestes. Non, la nouveauté réside dans la généralisation du testing afin de lutter, dit-il, contre les discriminations à l’embauche. Il va plus loin que ses prédécesseurs en envisageant une mesure qui s’apparente, selon nous, à de la délation et qui est déjà pratiquée aux Etats-Unis, jamais en retard, eux, d’une « chiennerie », à savoir le name and shame (nommer et faire honte). Autrement dit, une entreprise qui refuserait un poste à un candidat au patronyme « exotique », serait attachée au pilori, clouée sur l’autel de l’antiracisme militant, son nom, son logo ou son sigle, jetés en pâture aux médias, bons petits soldats de la « bienpensance ». Ceci nous fait penser aux «  heures les plus sombres de notre histoire », l’époque où votre voisin vous dénonçait aux autorités si vous aviez crayonné une croix de Lorraine sur un mur ou si, Juif, vous déplaisiez à votre concierge, jaloux, qui prenait sa plume vitriolée pour vous signaler à la plus proche Kommandantur ! On n’empêchera jamais un employeur, dans le secret de sa conscience, de choisir une personne plus qu’un autre selon des critères qui lui sont propres et d’écrire la traditionnelle lettre de remerciements, du  genre  « malgré tout l’intérêt de votre profil professionnel, nous regrettons de ne pouvoir donner suite etc… ». La République a laissé se constituer des ghettos ethniques par le laxisme de sa politique migratoire. Le regroupement familial encouragé par le duo de malheur Giscard/Chirac a conduit à la situation que nous connaissons. Vouloir la mixité sociale, – bien souvent recoupée par une mixité « raciale », ô le vilain mot-, est un vœu pieux. Ma modeste fonction d’adjoint au maire d’une commune rurale de la grande périphérie parisienne, m’a amené à constater que nos concitoyens, dès qu’ils le peuvent, « votent avec leurs pieds ». J’ai reçu quelques personnes à la recherche d’un logement, d’une maison, qui, en baissant la voix et tournant la tête, me demandaient sur le ton de la confidence si… «  il n’y en a pas ici ? Enfin, vous voyez ce que je veux dire…. ». Voilà où nous en sommes arrivés avec ces politiques successives. Alors, me direz-vous, une fois que l’on a constaté le mal, il faut bien le guérir. 
Moins de complaisance, plus de fermeté 
« Le vin est tiré, il faut le boire », dit le proverbe. Il y a une masse de populations diverses concentrées dans des ghettos où, ce que l’on appelle les « Français, de souche », « les petits blancs » dirait-on aux Etats-Unis ou en Afrique du Sud, sont minoritaires. Les lois n’étant pas rétroactives en droit français, nous ne pouvons pas revenir, massivement, sur le « droit du sol ». Il faudra une nouvelle législation pour lui substituer le « droit du sang ». En attendant, certes, expulsons les fauteurs de troubles étrangers et incarcérons les autochtones qui ne filent pas droit. Et là, c’est à une réforme de la justice qu’il faudrait s’attaquer. Vaste programme ! Trions les associations susceptibles de toucher des subventions dans les secteurs festifs ou culturels, en aucun cas cultuels. Arrêtons de subventionner des cours de langues pour les minorités qui vivent dans ces quartiers : en France, il n’y a que le Français. Les idiomes et autres patois locaux, comme les langues régionales, ne peuvent se substituer à la langue nationale. Eradiquons tous ces quartiers des semeurs de haine. Envoyons au « casse-pipe » des enseignants chevronnés qui, à marche forcée, feront toucher du doigt à tous ces gamins issus de l’immigration et les autres, la chance qu’ils ont de vivre dans un pays (encore !) civilisé où les aides sociales viennent au secours des plus démunis. Où l’école est une chance inouïe de « s’en sortir », non pas dans la mythique égalité, une vue de l’esprit, mais dans l’équité. Apprenons leur la discipline et l’amour du pays, inculquons leur les valeurs du « roman national » comme dans les trop peu nombreuses « écoles d’excellence ». On a trop brocardé le fameux « nos ancêtres les Gaulois ». Oui, même si les Gaulois ne sont pas les ancêtres génétiques de Diakaté ou de Mamadou, avec l’école de la République restaurée, ils le deviendraient. La République française, ce n’est pas « l’intégration », la juxtaposition de communautés différentes cultivant leurs différences, conservant leurs coutumes, leurs usages, c’est L’ASSIMILATION. En deux mots, le tricolore ou la porte ! Morale et civisme devraient être au menu de TOUTES les écoles de la République. J’entends déjà les sarcasmes de certains brocardant le fameux « c’était mieux avant ». Oui, dans ces deux domaines, « C’ETAIT MIEUX AVANT » à la  « communale », où les maitres étaient respectés car ils étaient respectables, dans leur tenue comme dans leurs propos ! Il faudra bien reconquérir toutes ces cités de France et de Navarre, rue par rue, immeuble par immeuble, cage d’escalier par cage d’escalier, palier par palier, afin que les « territoires perdus de la République » deviennent, redeviennent, des kilomètres carrés où, selon la formule de nombre de maires dans leurs prospectus électoraux, il ferait « bon vivre ». Avec le plan Macron, je n’ai pas le sentiment que nous allions dans cette direction. 

Jean-Claude R O L I N A T