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dimanche, 20 septembre 2015

Carl Lang sera à la 9e Journée de Synthèse nationale, dimanche 11 octobre, à Rungis

Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2015

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jeudi, 29 janvier 2015

L'ASSASSINAT DE LOUIS XVI VU PAR ALBERT CAMUS ET L'ACTION FRANÇAISE

 

Publié le 21 Janvier 2015 par Section de Bordeaux & Basse-Guyenne de l'Action française

En ce deux cent vingt-deuxième anniversaire de l'exécution par les révolutionnaires du roi Louis XVI, l'Action française-Bordeaux & Basse-Guyenne évoque son noble souvenir en proposant à ses amis les réflexions que ce tragique évènement de l'histoire de France a inspiré à un de nos grands écrivains, Albert Camus. On notera la convergence de ses vues avec celles de l'Action française sur l'importance et la gravité du régicide dans la décadence de notre Pays.

A.F.-Bordeaux & Basse-Guyenne

"Le 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s’achève ce qu’on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.

"Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l’Evangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s’est pas encore relevé. Il semble vraiment que l’exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s’est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s’accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme. Son livre de chevet, au Temple, est l’Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l’échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n’est pas Capet qui meurt mais Louis de droit divin, et avec lui, d’une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu’à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau."

Albert Camus, L’Homme révolté, La Pléiade.

lundi, 24 novembre 2014

Djihadistes : qu’on les laisse partir en Syrie ! (par Yann Vallerie)

 

Publié par Guy Jovelin

Mais enfin, qui sont les responsables politiques français pour juger de ce qu’est le bien, ce qu’est le mal ?

Qui sont-ils, ces dirigeants européens, pour décider qu’aller combattre en Syrie est désormais quasiment un crime contre l’humanité ?

Sont-ce les mêmes politiciens qui votaient il y a quelques mois pour armer massivement les « résistants »barbus à Bachar El-Assad ?

Sont-ce ces mêmes gouvernants qui vantaient hier le courage de ceux qui aujourd’hui égorgent pour effrayer la ménagère occidentale ?

Non, il n y a pas de bien et de mal, comme voudraient l’imposer au monde les fanatiques religieux américains dont Georges Bush était le pantin.
Non , il n y a pas deux mondes, l’un qui serait civilisé, l’autre qui serait celui de la barbarie organisée.
Il y a simplement dans le monde des civilisations différentes, des ethnies différentes, des religions différentes, des cultures différentes. Le « vivre-ensemble » n’existe pas, il va bien falloir l’assimiler un jour ou l’autre.
Et ce n’est pas grave !

L’Europe – pour mieux être contrôlée par les Etats-Unis – a servi depuis 1945 de laboratoire de Frankenstein, en devenant un lieu unique au monde où toute la planète devait venir se mélanger et vivre, sans égard aucun pour les autochtones.
Et aujourd’hui, on s’étonne que les enfants de cette expérience unique dans l’histoire de l’humanité – le mélange forcé de populations – soient hors de contrôle ?

On s’étonne que ceux qui ont des siècles d’islam gravés dans leurs gènes veuillent combattre les armes à la main pour défendre leur religion, leur civilisation (et non pas celle qu’on a voulu leur inculquer et leur imposer) ?

Et on s’étonne que dans un continent où on a appris depuis plusieurs décennies aux jeunes européens de souche à se haïr et à détester leur propre histoire, certains aillent chercher dans d’autres coins du monde l’accomplissement d’une virilité et d’un héroïsme qu’on tourne désormais au ridicule sur la terre d’Europe ?

On est horrifié que des vidéos circulent sur Internet où l’on voit des hommes en égorger d’autres ? Mais n’est-ce pas avant tout une guerre de l’information et de l’image ? Les mêmes qui s’en offusquent supporteraient-ils seulement le spectacle des rues ensanglantées d’une ville d’Irak ou d’un village afghan après une frappe préventive américaine ? Les soldats américains qui guerroient partout dans le monde sont-ils plus respectables que les combattants de l’Etat Islamique ? Question de point de vue.

On ne devrait pas empêcher quiconque de partir en Syrie se battre pour ses idées ou sa foi.

Par contre, le devoir d’une Europe forte et puissante serait de les empêcher de remettre un seul pied sur le sol européen.

Parce que ce ne sont tout simplement pas nos valeurs.
Parce que ça n’est pas notre civilisation.
Parce que ça n’est pas notre religion.

Parce que sinon, demain, le sang coulera en Europe et non plus en Syrie !

Source

mardi, 18 novembre 2014

Le profitanat, horizon social français

L’attachement à la sécurité sociale serait un devoir pour tout français. Cette énonciation régulièrement serinée sur tous les tons pose problème à des militants nationalistes comme nous le sommes. Nous, nationalistes français, serions-nous par notre opposition au système communo-socialiste des apatrides ?

Avant de tirer à vue sur les mécréants qui rejettent le système social, il convient de mener une petite réflexion. Bien sûr nous ne voulons pas promouvoir l’individualisme et laisser sur le bas-côté nos compatriotes dans le besoin. Nous défendons au contraire une union nationale contre toutes les vicissitudes de la vie. Pour affronter ensemble les aléas de la vie et soutenir en nos villes et en nos campagnes, nos familles et nos voisins, pour le plus grand bonheur de nos enfants, dans la droite ligne des actes de nos aïeux. Pour bien comprendre, le profitanat est le soutien de certains par les deniers publics, douloureusement acquis par les petits, mais qui ne leur profite pas. Des races de vampires se jettent goulûment sur la bête et la laisse exsangue.

Pourquoi lutter contre la sécurité sociale qui semble à première vue poursuivre ces mêmes buts ?

Comme tout lecteur de roman policier le sait bien, il convient en tout premier lieu de poser les bonnes questions : A qui profite le crime ? Quel déroulement d’occasions et d’actes ont permis d’en arriver au point où nous en sommes ? Combien de cadavres sont encore dérobés à nos yeux, qu’il faudra aller chercher à la lampe torche dans les bois voisins ?

Je dénonce ici les premiers profiteurs : les hommes et femmes politiques qui par ce biais reportent sur la population les frais de leur charité. Loin de promouvoir l’entraide, le système social atrophie la réaction honnête et sincère du citoyen puisque l’état nounou prend à sa charge les besoins des déshérités. Les politiques sociales sont par-là du tout benef pour le gauchisme en général. Il promeut une lutte des classes entre les aidés et les payeurs, tout en soulageant la conscience du bourgeois moyen qui soutient cette si bonne cause. Le politique lui n’a presque pas à soutenir cet effort (il peut même exiler ses comptes au Luxembourg, en Suisse ou à Singapour), le français paiera. Qu’ils sont bons avec leurs politiques sociales ! Proches d’un peuple qu’ils côtoient pour écouter ses plaintes !

Les deuxièmes profiteurs marchent main dans la main des premiers. Ce sont des industriels. Le logement social est financé par le biais de l’épargne des français, le livret A, de moins en moins rentable pour le petit épargnant, mais une poule aux œufs d’or pour les promoteurs immobiliers et entreprises du bâtiment. Cela permet de loger toujours plus de pauvres diables, dans des cités toujours plus médiocres et sales, camps de concentration d’indésirables. Autre industrie : les laboratoires pharmaceutiques sont assurés du débouché de leurs traitements, même lorsqu’ils n’ont pas réalisés les études démontrant efficacité et tolérance. Tout un amas de groupes, générateurs d’une foule d’emploi (donc c’est très bien), promeut l’avancée sans limite vers des thérapies toujours plus innovantes. Certes cela soulage la souffrance. Mais on peut aussi considérer que cela accroît la dépendance. Les limites de l’âge sont sans cesse repoussées, mais de plus en plus de personnes âgées sont surmédicalisées dans le simple but de prolonger leur vie. Chrétien convaincu je défends l’idée que la vie doit être plus belle que longue. Offerte en service plus qu’en dépendance. Prolonger la vie pour ensuite proposer l’euthanasie me paraît le summum de la duplicité. Tout le tableau n’est pas noir. Merci aux chercheurs et aux labos, merci aux promoteurs. Mais que l’argent public n’aille pas dans vos poches.

Les profiteurs les plus visibles sont ceux que l’on décrie le plus : les assistés, les fameux indésirables cités plus haut. Le tourisme social permet de soutenir les visites étrangères dans notre beau pays, tant mieux ! Mais ces touristes là n’arrivent pas avec leur temps libre, leur argent et leur bonne humeur. Ils viennent sucer jusqu’à la moelle le système protecteur. Ils polluent par leur oisiveté nos cités. Ils agressent par leurs manières étrangères notre art de vivre. Leur violence à l’égard de notre civilisation se fait jour dans la dialectique victimaire, le rappel constant des épisodes noirs d’une colonisation qui fût pourtant leur chance et dont ils cherchent aujourd’hui à retrouver les fruits sans adhérer le moins du monde à notre nation. Pire que tout, ils attisent contre leurs semblables intégrés, nos frères, la haine légitime que nous éprouvons à voir toujours plus d’aide pour les allogènes et plus de taxation sur les autochtones. Le rejet immédiat que j’éprouve personnellement devant certaines communautés me pousse à ostraciser l’ensemble d’une race, au lieu de la seule branche pourrie.

L’heure est proche où la sécurité sociale, bien-acquise et tant détournée, n’offrira plus la moindre contrepartie à ses financeurs : PME, TPE, travailleurs libéraux, artisans, employés. Nous sommes tous confrontés à l’horizon terminal d’un système à bout de souffle. Et cela par le seul fait de biens mal-acquis par ceux qu’il convient d’appeler par leur nom : NOS ENNEMIS.

 

 

 

Marc-Antoine HENNET

dimanche, 16 novembre 2014

La beauté

Comme les françaises sont jolies dit la publicité. Belles, belles, belles, comme le jour ! Chantait Claude FRANCOIS. Un simple coup d’œil dans la rue me pousse à dire OUI, les filles sont belles. Il devient de plus en plus dur de repérer dans une foule une fille à la beauté altérée par une difformité insupportable, véritablement laide. Je parle ici de la beauté féminine étant peu attiré par le charme viril de mes semblables. Les lectrices feront seules la conversion du féminin au masculin. Simple question de genre (grammatical).

Pourtant un drame est là sous nos yeux. Malgré leur beauté, ces nymphes de tous âges font ce qu’elles peuvent pour ne plus être nos muses. La faute au féminisme ? Peut être. Je suis atterré de voir le nombre de femmes qui cultivent avec art leur androgynie. Ce rejet de leur nature profonde pour se fondre dans une masse informe. Il y a aussi l’action contraire et tout aussi odieuse de la vulgarité outrancière de certaines tenues. L’érosion de la beauté se fait aussi par ces tatouages ignobles et indélébiles, les perforations multiples par des bouts de métal, la honte des chevelures rasées, l’horreur du noir absolu omniprésent.

Pour l’instant ces comportements déviants sont encore l’apanage de quelques égarées. L’autre déviance est celle de l’intériorité. Réservez votre attention, au moins pour 10 secondes pour vos voisins plutot qu’à vos téléphones portables branchés sur candy crush. Vous qui êtes nos sœurs, nos femmes et nos maîtresses, nos mères et nos inspiratrices, rendez-nous je vous prie votre précieuse beauté. Celle qui fait qu’un sourire échangé ensoleille une journée qui sinon serait maussade. Affermissez cette féminité qui manque à nos cités. Que la couleur, la fraîcheur et la délicatesse reviennent. Les transports en commun crèvent d’être des transports de moutons. La femme est par nature faîte pour la communication et l’ouverture. Soyez nos portes sur l’extérieur.

 

   Marc-Antoine HENNET