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samedi, 06 octobre 2018

Dijon (21) : les migrants squatteurs de Stalingrad portent plainte pour violation de domicile

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2018

Par  le 05/10/2018

 

Ce vendredi, en début d’après-midi, une vingtaine de migrants qui occupaient fin août l’immeuble situé 41, avenue Stalingrad, à Dijon, et la Ligue des droits de l’homme se sont donnés rendez-vous devant la cité judiciaire.

Contestant la légalité de leur expulsion, ils vont déposer une plainte pour violation de domicile.

Pour rappel, le 28 août dernier, environ 80 demandeurs d’asile originaire du Tchad, du Mali, du Soudan, d’Érythrée ou encore du Nigeria étaient délogés d’un bâtiment de l’armée de l’air désaffecté, situé avenue de Stalingrad à Dijon.

Macron en pèlerinage chez le général de division…

Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2018

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Macron en pèlerinage chez le général de division…

 

L’adepte du “nouveau monde” fait comme tout le monde en se rendant au sanctuaire de la république moderne, sur la tombe de celui que l’on doit adorer si l’on veut se faire une place sur l’échiquier politique français, du Rassemblement National à la France Insoumise.

Comme tous les autres, il se donne l’illusion d’être un homme d’Etat en s’inclinant sur ce tombeau. Avec De Gaulle, Emmanuel Macron s’offre une cure de jouvence aux sources de la Ve république. Il prendra quelques points dans les sondages.

Le Président en marche y est d’ailleurs allé de son petit couplet sur la grandeur de l’Etat. Cet Etat qui, la la veille de la visite présidentielle, s’est vu condamné pour la première fois par sa plus haute juridiction administrative pour sa responsabilité dans les “conditions indignes” dans lesquelles ont été accueillis les harkis après l’abandon de l’Algérie.

On se demande qui organise l’agenda de Macron car, là encore, il fallait le faire !

Qui d’autre que De Gaulle est responsable des “conditions indignes” d’accueil de ces harkis parqués dans des camps de concentrations ? Et l’on n’évoque dans cet arrêt que ceux qui ont pu rentrer en métropole grâce à des soldats de l’honneur ayant désobéi aux ordres du chef de l’Etat tant adulé. Les autres, à cause de ces mêmes ordres, ont été torturés, violés, massacrés, comme des milliers de pieds-noirs, quelquefois à quelques pas de militaires ou de policiers français, armes à la bretelle, qui obéissaient aux consignes criminelles données par De Gaulle et ses complices.

C’est le prince machiavélique de la raison d’Etat que Macron est allé honorer, celui de qui Jacques Perret pouvait écrire en 1963 : “général de brigade à titre provisoire, de division à titre définitif !

Tant que l’on n’en finira pas avec ce mythe fondateur de la décadence française, rien ne changera au royaume de France. On ne construit rien sur le mensonge et l’imposture.

 

Source : lesalonbeige

vendredi, 05 octobre 2018

L’Etat ambitionne d’héberger 86 % des demandeurs d’asile à l’horizon 2020. le budget consacré à la mission « immigration, asile et intégration » est chiffré à 1,58 milliard d’euros en 2019 (+14%)

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2018

Par  le 05/10/2018

 

Côté hébergement des demandeurs d’asile, l’objectif suppose une augmentation du parc, qui devrait atteindre plus de 97 000 places en 2019.

Les documents budgétaires publiés cette semaine font apparaître un gros coup de pouce à l’intégration de réfugiés. L’Etat se fixe pour objectif d’héberger 86 % des demandeurs d’asile à l’horizon 2020, contre 50 % seulement en 2018.

Au total, le budget consacré à la mission « immigration, asile et intégration » est chiffré à 1,58 milliard d’euros en 2019 (à périmètre constant), soit une hausse de 200 millions par rapport à 2018 (+ 14 %), dans un contexte de tour de vis budgétaire (+ 0,6 % pour le budget général). « Il y a un redimensionnement de la politique d’intégration », dans le sillage du comité interministériel de cet été, qui permettra notamment de financer le doublement des cours de langue et les mesures d’insertion professionnelle, a-t-on expliqué à l’intérieur. Le budget prévoit ainsi une hausse de plus de 40 % l’an prochain des crédits de l’intégration, à 395 millions d’euros, dont 52 millions pour la formation linguistique.

Côté hébergement des demandeurs d’asile, l’objectif « ambitieux » suppose une augmentation du parc, qui devrait atteindre « plus de 97 000 places en 2019 », selon les annexes budgétaires. Pour cela, diverses mesures sont prévues: 1 000 places créées en centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA), 3 500 en hébergement d’urgence, transfert de places déjà existantes…

 

« Gégé » Collomb, un septuagénaire dépressif ?

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2018

Rédigé par notre équipe le 04 octobre 2018

La démission rocambolesque de Gérard Collomb va continuer de faire couler beaucoup d’encre. Pour la défense des journalistes, l’ancien ministre de l’Intérieur se plaît à alimenter la machine médiatique. Depuis sa passation de pouvoir ubuesque, Collomb multiplie les interviews avec une idée en simple en tête : passer pour un vieux sage qui prédit des lendemains difficiles. A LaREM, on ne retient que la vieillesse de Collomb quitte à le faire passer pour un pauvre type sénile.

Avec un si mauvais bilan et une sortie qui a mis toute la majorité en émoi, Gérard Collomb aurait dû prendre le premier train et se cacher au moins quelques semaines. Un enterrement de première classe à l’Hôtel de Ville de Lyon où l’opération municipale 2020 est dans les tuyaux depuis déjà de longs mois. Mais non, Collomb accepte tous les micros qu’on lui tend et assure qu’il part sur un bilan excellent même si le vieux politicien a prédit une guerre civile en France…

Collomb en freestyle pour longtemps ?

Quelques commentateurs s’extasient devant la non-langue de bois de Collomb et en oublie qu’il a été un ministre de l’Intérieur inactif et trouillard qui n’a absolument rien fait. Avec un tel parcours ministériel il aurait pu durer tout le mandat de Macron, mais la peur de se retrouver sans rien au jour de ses 80 ans a été trop forte. Dans les coulisses du pouvoir, d’autres explications commencent pourtant à être avancées et elles ne sont guère flatteuses.

Ainsi, un « ponte de la Macronie » interrogé par Le Parisien explique que « Gérard est triplement sous pression : extrêmement fatigué, dépressif et poussé par sa femme à partir. Il est en mode : J’envoie tout balader. Il est à bout ». S’il est vrai que la dépression chez les personnes âgées est un mal dont on parle trop peu souvent, on est en droit de se demander ce qui a bien pu rendre dépressif notre ex-Gérard national… Le Monde pense avoir trouvé la cause : « Cela fait des années que Collomb n’a pas de patron. A Lyon, il n’a jamais eu personne pour lui donner des directives, et voilà qu’il a désormais un président de 40 ans et un Premier ministre de 48 ans au-dessus de lui ». Il est vrai que le changement d’habitudes et les remises en cause sont difficiles chez les vieillards, mais pas que… Il suffit de regarder à l’Elysée pour en avoir la preuve.

D’ailleurs, il est incorrect de parler de « rupture » entre Macron et Collomb. Ce dernier tient à dire et redire que tout va bien et pense même convaincre son monde en assurant que Brigitte l’appelle « Gégé ». Nous sommes ravis pour lui. Tout va bien entre le couple présidentiel et « Gégé » (d’ailleurs que vient encore faire Brigitte Macron dans cette affaire ?), mais au sein de la majorité, la colère gronde. Edouard Philippe était au près des députés pour dire que Collomb était aussi solide que formidable quand il a appris la démission de la tête brulée lyonnaise… On comprend le malaise sur le perron du ministère.

Il est encore tôt pour pousser les critiques trop loin, mais moins de 24 heures après son départ, Collomb est déjà habillé pour l’hiver. « Vieux », « dépressif », incapable de bien diriger son ministère… Si Collomb multiplie les sorties médiatiques et donc les propos pas assez plaisants vis-à-vis du pouvoir, il pourrait bien vite terminer avec la pancarte de vieux sénile accrochée au front. La Macronie est en difficulté, car il faut court-circuiter l’ancien jockey de Macron sans renier une première année pourtant catastrophique. Un travail d’équilibriste qui sera certainement la tâche principale du successeur de Collomb… Dommage que la violence, l’insécurité et le terrorisme passent derrière les enjeux politiciens.

 

Source : 24heuresactu

Et si le problème de Macron c’était Brigitte ?

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2018

Rédigé par notre équipe le 05 octobre 2018. 

Brigitte Macron aime la lumière, les flashs qui crépitent et les Unes de journaux qui flattent. De la prise de l’Elysée aux rencontres internationales, la presse n’a d’yeux que pour Brigitte et son style à copier dans toutes les écoles de mode selon ses plus grands fans. Sauf que Brigitte n’est peut-être pas le porte-bonheur du président tant loué dans les médias. Ses caprices et sa manie de se mêler des affaires de l’Etat constituent un danger qui pourrait bien accélérer le naufrage de la Macronie.

La vie devait finalement lui être si douce… Brigitte Macron a eu plusieurs vies. Née en 1953 (eh oui, déjà !) dans une famille de chocolatiers réputées pour ces macarons, Brigitte a préféré le Macron. Oui, le jeu de mot est facile, mais mieux vaut un peu d’humour pour raconter son triste sort. Mariée en 1974, elle a trois enfants et mène une vie paisible à Amiens, la ville qui l’a vue naître.

La vie pas si facile sous les ors de la République

La saga met du temps à se mettre en place, mais elle arrive enfin dans les années 1980. Alors professeur de français (et de théâtre à ses heures perdues), Brigitte rencontre l’amour de sa vie. Un amour seulement âgé de quinze ans qui use ses fonds de culotte aux côtés d’une des filles de cette prof pas comme les autres. A partir de là, le récit a été raconté à des milliers de reprises dans une presse française qui ne retient pas sa joie. Brigitte et Emmanuel tombent amoureux, passent leur vie à se téléphoner, etc… Le reste est classé X et est alors susceptible de tomber sous le coup de la loi. A cette époque (Schiappa n’était pas encore passée par là), le délit d’atteinte sexuelle est puni de prison, mais les deux tourtereaux vivent leur liaison et finalement Brigitte divorce pour se marier un an plus tard avec Emmanuel.

Brigitte serait la muse, la raison de vivre du jeune Emmanuel. Une femme droite qui ne veut que le bien de son mari et de la France par la même occasion. Or, les éloges (dis)gracieux qui se multiplient dans la presse au sujet de Brigitte ne sont pas tout à fait innocents. Madame est une intime de Mimi Marchand, la grande « prêtresse de la presse people ». Un vrai titre de noblesse dans notre société en pleine décadence qui permet surtout au couple présidentiel de compter les articles élogieux par dizaines chaque jour. Pas une promenade, pas une robe, pas un pseudo secret n’échappe à Mimi Marchand et son armée de communicants. Du Brigitte et de l’Emmanuel jusqu’à la nausée.

Brigitte serait un roc sur lequel s’appuie le petit Emmanuel. Un président qui lorsqu’il est seul face aux Français ne manque jamais de les rabaisser. Faisant le pitre à Colombey-les-Deux-Eglises pour commémorer le 60e anniversaire de la Ve République, Macron n’a pas pu se retenir. Il a encore attaqué les retraités qui ont, selon lui, trop tendance à « se plaindre ». S’ils savaient se faire plumer sans broncher, « le pays se tiendrait autrement ! ». Un nouveau dérapage ou une manière peu orthodoxe d’envoyer un message à Brigitte ?

Car, il se dit qu’il y a de l’eau dans le gaz entre les deux amoureux. Non, la différence d’âge n’y est pour rien. Les Macron n’arriveraient plus à communiquer ensemble. Ça communique dans les journaux, les radios, les chaines de télévision, mais ça ne parvient plus à échanger normalement entre eux… Valeurs Actuelles se fend d’ailleurs d’un article dans lequel une scène de ménage a fait trembler les murs de l’Elysée il y a quelque temps. Un membre de la sécurité présidentielle (espérons que ce ne soit pas Benalla de retour) a expliqué que « C’était un huis clos derrière la lourde porte du bureau du président de la République. Mais ça cognait si dur’ qu’on a tout capté ». En gros, Brigitte demandait à son époux de président d’ « arrêter les conneries maintenant ! ».

Il y a de l’orage dans l’air et « Gégé » Collomb en a peut-être fait les frais. Malgré les démentis de l’ancien ministre, Collomb serait tombé en disgrâce et aurait fini par donner sa démission. La raison ? L’ex-ministre de l’Intérieur ne se serait pas assez mouillé pour sauver Macron et Benalla de la tempête. A croire que les mensonges en audition devant l’Assemblée nationale ne sont pas assez pour Brigitte. « Gégé » n’a pas assez défendu Emmanuel et a trop chargé Alexandre (Benalla). Un ancien chef de la sécurité qui tient visiblement une place importante dans le cœur à Brigitte puisqu’il a bénéficié entres autres des services de Mimi Marchand…

Benalla tombé, Collomb parti, les Macrons se retrouvent comme un vieux couple qui ne se supporte plus. Un petit passage à New York (discret pour une fois) et depuis on a plus revu Brigitte. Elle aurait pu elle aussi prendre part aux clichés immondes auxquels s’est prêté son mari à Saint-Martin. Cela aurait au moins valu ceux de les photos de la soirée à l’Elysée avec les danseurs transgenres. Les sourires de Brigitte étaient alors peut-être factices… Les Français, eux, ne rigolent plus depuis longtemps avec ce président hissé tout en haut par l’oligarchie et qui a ramené dans sa hotte une Brigitte dont le goût du luxe et du contrôle ne se dément pas.

 

Source : 24heuresactu