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jeudi, 04 octobre 2018

Munich : Un père allemand frappe l’Érythréen qui a agressé sexuellement sa fille. La police ouvre une enquête contre le père pour lésions corporelles.

Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2018

 

Après le harcèlement sexuel de sa fille au Hackerbrücke de Munich, un homme de la ville d'Unterschleißheim s'est fait justice lui-même contre l'auteur de l'agression. A présent, il fait l'objet d'une enquête.

L'incident s'est produit le dimanche 30 septembre, vers minuit, à la gare du S-Bahn de Hackerbrücke : l'Érythréen a peloté les fesses de la jeune femme de 21 ans sous sa jupe ; au moment du crime, il était ivre. Puis le père de la jeune femme de 21 ans l'a frappé au visage avec son poing.

Un employé de la sécurité de la Deutsche Bahn a observé l'incident et a alerté la police. (...) Les policiers enquêtent actuellement sur l'homme de 28 ans pour harcèlement sexuel et sur l'homme de 42 ans pour lésions corporelles.

(...)

Merkur.de

Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Le terroriste immigré clandestin qui a tué leurs filles aurait dû être expulsé : les parents de Mauranne et Laura attaquent l’État en justice

Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2018

Par  le 03/10/2018

 

Il y a un peu plus d’un an, Mauranne et Laura, âgées de 21 et 20 ans, avait été sauvagement assassinées à l’arme blanche sur le parvis de la gare Saint-Charles à Marseille. L’auteur de cette attaque, Hamed Hanachi, 29 ans, avait été abattu quelques instants plus tard, mortellement touché par les balles d’un militaire de l’opération Sentinelle.

Depuis, une enquête a été ouverte, mettant en évidence certains dysfonctionnements des services de l’État. Mais selon les informations de M6, Sylvie et Dominique Harel, les parents de Mauranne, ainsi que Fabrice et Pascale Paumier, parents de Laura, ont annoncé vouloir attaquer ce jeudi les institutions de l’État au tribunal administratif de Lyon. « Nous avons l’impression que l’État cherche à minimiser sa responsabilité en ne parlant que de ‘dysfonctionnements graves du dispositif d’éloignement’. Pour nous, il s’agit d’une véritable faute avérée« , ont-ils affirmé auprès de nos confrères.

Monthermé : un gendarme condamné à 3 mois avec sursis et 6 mois d’interdiction d’exercer pour avoir giflé une racaille qui s’en était pris à sa femme

Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2018

Auteur : Pierrot
contre-info

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Le gendarme ayant mis une gifle ayant insulté son épouse (voir ici) a été condamné ce mercredi par le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières à trois mois de prison avec sursis, six mois d’interdiction d’exercer et inscription de la peine au  bulletin N° 2 du casier judiciaire, rejetant ainsi la demande de son avocat.

Ce dernier, M° Jonathan Phour s’est dit très déçu et a immédiatement interjeté appel. “Mon client est très abattu, nous allons nous battre jusqu’au bout” assure l’avocat qui “ne comprend pas comment l’institution judiciaire peut se substituer à l’employeur pour l’empêcher de travailler”. “C’est disproportionné, ce gendarme bien noté a été sanctionné en interne, a été muté et la victime ne s’était pas constituée partie civile” argumente l’avocat.

C’est moins que les réquisitions du parquet qui avait demandé, provoquant l’incompréhension et l’indignation au sein de la communauté Gendarmerie, cinq mois de prison avec sursis et surtout cinq ans d’interdiction d’exercer, ce qui aurait signifié la fin de sa carrière pour cet adjudant-chef de 53 ans qui a été muté après avoir été sanctionné en interne.

Le jugement n’étant pas exécutoire, le gradé va pouvoir prendre ses nouvelles fonctions ce vendredi dans un département voisin en attendant l’audience de la cour d’appel.

Source

Chaos Collomb – Macron KO

Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2018

Rédigé par notre équipe le 03 octobre 2018. 

Ce n’est plus un avis de tempête, mais bien une alerte ouragan qui souffle sur la Macronie. Alors que Macron faisait le kéké avec des jeunes à Saint-Martin un an après le passage de l’ouragan Irma, le président est chahuté un vent lyonnais qui souffle rudement fort : le Collomb. Un ministre qui présente sa démission, qui se la voit refuser, mais qui part finalement 24 heures plus tard. Le pouvoir n’a jamais été aussi fragile et les preuves de son enlisement sont manifestes. Collomb sème le chaos et laisse son ancien champion KO.

Un ministre démissionnaire sommé de rester, mais qui « maintient sa proposition de démission » et qui se retrouve un jour plus tard à poireauter un quart d’heure pour une passation lunaire avec le Premier ministre. Si les débuts de Gérard Collomb avaient été timides place Beauvau, sa sortie est au moins très remarquée. Ministre nul qui a accumulé les fuites devant la tâche et les bourdes, Collomb n’a jamais trouvé sa place à Paris. Il file donc à Lyon où le maire a démissionné comme un bon petit soldat afin de lui laisser la place et mettre en route la machine à propagande qui devra assurer à Collomb un succès aux municipales de 2020.

Le blues du premier flic de France

Collomb est parti et il laisse un goût amer au reste de l’exécutif. Soutien de la première heure du faux novice Macron et fusible qui n’a jamais dit son non dans l’affaire Benalla-Macron. Une affaire qui a montré une fois encore que le « premier flic de France » était le dernier à savoir ce qui se passait sous son nez. Dans ces conditions, la lutte contre la délinquance et le terrorisme était largement au-dessus de ses maigres compétences. Malmené et prêt à dire n’importe quoi sous serment, Collomb a compris que sa survie passerait par un départ rapide en direction de Lyon.

Malheureusement pour lui, Macron a refusé sa démission et le ministre a alors affirmé partout (et en premier lieu au Figaro) qu’il était prêt à rendre son tablier à n’importe quel moment. Un ministre qui dit publiquement que sa fonction ne l’intéresse pas le moins du monde, c’est quelque peu problématique. Mais au fond pas plus qu’une ministre de la Culture qui baigne dans l’illégalité et qui promeut des condamnés en justice… Collomb a finalement été débarqué, mais pas remplacé. La passation de pouvoir avec le Premier ministre ce matin a confirmé l’impréparation au plus haut sommet de l’Etat.

Collomb a attendu comme un benêt qu’Edouard Philippe daigne le relever de ses fonctions et les habituels échanges d’amabilité sur le perron du ministère ont été brefs et très froids. Le Premier ministre n’a pas apprécié l’envol solitaire du septuagénaire. Faute de remplaçant pour le moment, c’est donc le Premier ministre qui devient en plus ministre de l’Intérieur. C’est une première, c’est risible, mais toute la séquence aussi désastreuse soit-elle ne signifie en rien qu’il y a une « crise ». Le pouvoir tente de nier la vérité et ne fait que rajouter au grotesque de la situation.

Les ministres (les plus importants) quittent tour à tour le navire et montrent que la Macronie a déjà atteint ses limites. Il va falloir trouver rapidement une rustine et pour l’instant les candidats crédibles ne se bousculent pas. Un transfuge de droite pour remplacer l’éléphant socialiste ? C’est dans l’air du temps, mais aux marchés aux puces, les bonnes affaires sont parfois difficiles à trouver. La Macronie se cherche un nouveau fusible. Collomb aura désormais le temps de dire ce qu’il pense vraiment de la Macronie. Il a déjà fait un premier pas en avouant lors de la passation de pouvoir qu’il avait remarqué la présence de quartiers entiers ne vivant plus selon les lois de la République. Le vieux Collomb a fini par ouvrir les yeux. Il faut maintenant ouvrir la bouche et dénoncer l’ignominie à laquelle il a tant contribué. Cela soulagera son âme !

 

Source : 24heuresactu

mercredi, 03 octobre 2018

Le Québec élit un gouvernement nationaliste voulant réduire l’immigration

Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2018

 

INTERNATIONAL – Les Québécois ont porté pour la première fois au pouvoir lundi la Coalition Avenir Québec (CAQ), un parti nationaliste non indépendantiste qui souhaite réduire la taille de l’État et l’immigration, tournant la page de près de 15 ans de gouvernement libéral quasi ininterrompu.

« Aujourd’hui on a marqué l’histoire, aujourd’hui il y a beaucoup de Québécois qui ont mis de côté un débat qui nous a divisés pendant 50 ans », soit la question de l’appartenance ou non du Québec au Canada, a lancé, triomphal, François Legault, Premier ministre désigné de la province, lors d’un discours à Québec.

Cet homme d’affaires multimillionnaire a promis « un esprit de rassemblement, pour gouverner pour tous les Québécois », et a dit vouloir « travailler pour un Québec fort au sein du Canada ».

La CAQ, formation créée en 2011 par Legault, disposera de la majorité absolue à l’Assemblée nationale québécoise, avec 74 députés sur 125 selon des résultats préliminaires. Dans le précédent Parlement, dissous fin août, elle ne comptait que 21 sièges.  (…)

La CAQ, qu’il a cofondée, promettait aux Québécois le « changement », la fermeté sur l’immigration, dont il veut réduire les seuils pour mieux intégrer les nouveaux arrivants, et une meilleure gestion des finances publiques.

Legault avait annoncé en campagne électorale vouloir, dès 2019, réduire de plus de 20% le nombre d’immigrants admis au Québec chaque année.