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Guinness va retirer un certain nombre de pubs sur panneaux d’affichage mises en place avant le match de rugby Irlande -Angleterre, après avoir admis qu’ils pouvaient « blesser ou troubler » les immigrants ou les familles issues de la diversité.
Sur les pubs pour le tournoi des Six Nations ayant provoqué les critiques du Conseil des immigrants d’Irlande, on peut lire : «Vous ne choisissez pas un camp. Vos grands-parents l’ont déjà fait.»
[…] Un certain nombre de joueurs de l’équipe d’Irlande viennent d’outre-mer ou sont descendants d’immigrés.
Guinness, qui parraine le tournoi des Six Nations, a déclaré qu’il remplacerait les affiches à plusieurs endroits autour de Dublin d’ici quelques jours […].
«[Notre but,] c’était de transmettre la passion avec laquelle les gens suivent l’équipe qu’ils soutiennent, que ce soit à cause de l’endroit où ils sont nés, où ils vivent ou à cause des liens familiaux […]
Nous regrettons si l’affiche a pu blesser ou troubler. Ce n’était absolument pas notre intention.» Le porte-parole de la société a déclaré que la diversité et l’inclusion sont des valeurs fondamentales et il a souligné son travail avec le Conseil des immigrants d’Irlande sur les programmes de diversité.
Un commentaire critique vigoureux et pertinent des propos et plus encore des idées d'Yves Cochet, leader écologiste d'esprit extrême ou, si l'on préfère, radical. Au point d'en devenir hideux à force de haine de notre civilisation. Comme souvent cette chronique du Journal de Montréal [6 janvier] est aussi un un cri d'alarme. LFAR
Retour sur un entretien d’Yves Cochet.
Un leader écologiste français invite les peuples occidentaux au suicide démographique.
Ancien ministre de l’Environnement français, Yves Cochet n’a rien d’un marginal.
C’est un écologiste dont la parole est sollicitée. Et dans le plus récent numéro de L’Obs, il livre ses réflexions à propos de la logique de la décroissance, qu’il croit nécessaire pour sauver la planète à l’heure des changements climatiques. Et cette décroissance, selon lui, devrait être démographique. Il faudrait prendre les mesures nécessaires pour limiter les naissances, notamment en cessant de financer la natalité. « Faire des enfants n’est plus seulement une question personnelle. C’est devenu un choix politique. Ne pas faire un enfant supplémentaire, c’est le premier geste écologique. Les enfants qui attendent un foyer sont déjà bien assez nombreux ».
On ne saurait dire assez à quel point un telle perspective est mortifère, en plus d’être philosophiquement glaçante. C’est l’instinct de vie de l’humanité qu’on entend ainsi étouffer, et l’élan qui pousse les hommes et les femmes, d’une génération à l’autre, à se reproduire pour la suite du monde. On aura compris que les hommes et les femmes ne devraient plus voir dans leurs enfants la suite de leur lignée – un tel principe serait probablement tribal, archaïque, et pourquoi pas, réactionnaire – mais plutôt s’inscrire à un pool collectif d’adoption mondialisé. On aurait envie de répondre que si l’adoption est une grâce et un acte d’une générosité inouïe, elle ne saurait, à l’échelle d’une civilisation non plus que pour la plupart des hommes et des femmes, se substituer à ce qu’on appellera pudiquement la manière traditionnelle d’avoir des enfants.
Mais là où Cochet devient carrément effrayant, c’est lorsqu’il tire les conséquences politiques de sa vision du monde.
Lorsque la journaliste de L’Obs lui demande si c’est la France qui doit faire le plus d’efforts, il répond : « je précise que je ne vise pas les pays les plus pauvres, qui font plus d’enfants que les autres. Au contraire. Les pays riches sont les premiers à devoir décroître démographiquement. Ce sont eux qui ont le mode de vie le plus polluant. Par ailleurs, limiter nos naissances nous permettrait de mieux accueillir les migrants qui frappent à nos portes ». La dernière phrase est ahurissante mais est révélatrice de la tentation nihiliste d’un certain écologisme, qui carbure à l’aversion pour l’Occident et fantasme sur sa disparition.
En gros, les peuples occidentaux, coupables d’avoir saccagé la planète, devraient faire pénitence et planifier leur propre extinction démographique. Ils devraient plus exactement s’effacer pour faire de la place à des populations nouvelles, venues du tiers-monde, et qui veulent s’établir chez eux. En cédant la place à de nouveaux peuples et en se suicidant démographiquement, les peuples occidentaux pourraient enfin connaître une certaine rédemption à l’échelle de l’histoire, comme si on pouvait se grandir en s’abolissant soi-même. Il n’est pas certain que cet appel au suicide civilisationnel vertueux soit de nature à enthousiasmer les peuples auxquels il est destiné. Il a néanmoins la vertu de révéler le fond idéologique hideux d’un certain écologisme qui cache derrière sa prétention à la vertu des sentiments profondément haineux pour notre civilisation.
Sonia Krimi, née le 20 décembre 1982 à Tunis, est une femme politique française, est député de la 4e circonscription de la Manche.
Elle a suivi des études de commerce en Tunisie, qu’elle a poursuivies, en France, par une double maîtrise en commerce international et en management et contrôle stratégique et par un doctorat à Toulon, en France. Elle devient enseignante en management, comptabilité et stratégie d’entreprise à l’université Panthéon-Assas de 2010 à 2012.
Elle demande la nationalité française, et l’obtient en 2012, tout en conservant sa nationalité d’origine. De 2013 à son élection comme député, elle est consultante senior en performance industrielle chez Efeso Consulting, spécialisée notamment dans l’industrie du nucléaire.
Aujourd’hui, elle plaide en faveur des Frères Musulmans… Extrait de son intervention dans l’émission Droit de Suite sur La Chaîne Parlementaire :
LCP ✔@LCP
"A l'époque, on a raté une forme de démocratisation de la société. Je suis pour qu'on puisse intégrer politiquement les frères musulmans (...) C'était une erreur de ne pas les intégrer parce qu'ils ont joué sur cette humiliation", juge @Sonia_Krimi. #DdS
Le 29 mai 2005, les Français, à 54,68 %, répondaient NON à la question qui leur était posée par référendum en vertu de l'article 11 de la Constitution française par le Président de la République Jacques Chirac, après adoption du texte du projet dans les mêmes termes par les deux Assemblées : « Approuvez-vous le projet de loi permettant la ratification du traité établissant une Constitution européenne ? »
Couplé au NON des Pays bas, et puisqu’un seul pays refusant de ratifier le texte suffisait à le rendre inopérant, ce refus français aurait dû signer la fin de cette Constitution de l'Union voulue par les supranationaux mondialisés, architecture institutionnelle visant à abattre les derniers murs d'indépendance nationale dont Valéry Giscard d'Estaing fut le maître d’œuvre à la tête de la Convention chargée d'en établir les règles.
Il n'en fut rien. Dans un déni de démocratie sans précédent, les européistes s'acharnant dans leur projet funeste, réussirent à contourner les décisions populaires en rédigeant un nouveau traité qui reprenait 90 % des éléments de la Constitution sans y mettre ni le mot ni la nature institutionnelle. Ce fut le honteux Traité de Lisbonne que Nicolas Sarkozy devenu Président fit ratifier par le Congrès et signa le 13 décembre 2007.
Au moment où, désireux de sortir si possible par le haut de la crise des Gilets jaunes, Emmanuel Macron semble vouloir organiser un nouveau référendum à l'issue des débats nationaux/alibis qu'il a voulus, organisés et cadrés, ne serait-il pas juste, souhaitable et pour tout dire réparateur que la République, par la voix de son Président, reconnaisse l'atteinte faite à la souveraineté du peuple français, bafoué dans sa volonté, nié dans sa parole et muselé dans son pouvoir décisionnaire ?
Le traité de Lisbonne fut une infamie, non seulement dans ses intentions – le fédéralisme comme seule voie pour le destin du Continent - mais dans sa pratique – toujours moins d’indépendance, toujours plus de technocratie et de pouvoir bureaucratique de la Commission – et dans ses effets – la marche en rythme accélérée vers la financiarisation des marchés et vers l’immigrationnisme, ce qui ne fut pas pour rien dans la crise financière de 2008, ni dans celle de la déferlante migratoire de 2017, la première faisant encore sentir ses effets sur nos économies, la seconde étant bien loin de se finir.
Sans le Traité de Lisbonne, l’Europe et la France auraient été mieux armées pour faire face à ces deux crises majeures.
En gage de sincérité dans sa démarche affichée de rendre la parole au peuple, les Français attendent du Chef de l'État qu'il déclare, par souci de repentance pour une fois utile et légitime, la responsabilité de la République dans l'injustice politique, nationale et identitaire qui leur a été faite.
Christian Baeckeroot - Ancien député - Membre du Bureau Politique du Parti de la France
Les Macron ont décidé de « rénover » la salle des fêtes de l’Elysée. Avec 500 000 euros, ils l’ont transformée en vulgaire salle des fêtes municipale, presque un funérarium…