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jeudi, 07 décembre 2017

L’Europe Unie du grand remplacement : comment en est-on arrivé là ?

Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2017

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 Bernard Plouvier

Durant les Golden Sixties, il y a avait du travail et même beaucoup de travail, plus que les Européens ne pouvaient en assumer. En outre, le « peuple éternellement martyr » voulait assurer ses arrières en introduisant des cibles potentielles, en cas de nouveau déchaînement xénophobe.

Le résultat ne se fit pas attendre. On introduisit massivement des travailleurs, soit des hommes faits, provenant de Turquie (Allemagne), du Maghreb (France, où les Noirs ne sont arrivés que secondairement), d’Afrique noire et maghrébine (Belgique), d’Insulinde et de Guyane (Pays-Bas), des Antilles, des Indes et d’Afrique noire (Grande-Bretagne).

Là-dessus, se produisit un phénomène imprévu, tant il est vrai que les experts ne servent strictement à rien : ils ne prévoient jamais que ce qui ne se produit pas ! Dès le premier choc pétrolier et la montée en flèche de toutes les matières premières, en 1973, les Européens – qui n’étaient pas, alors, des réplicons de Nord-Américains -, réduisirent leur consommation et en revinrent aux ancestrales habitudes d’économie.

La grande distribution d’Europe occidentale, qui rêvait aux superbénéfices des cousins d’Amérique du Nord, se lança dans une opération de propagande humanitaire : il fallait absolument, au nom du Seigneur et des Droits de l’Homme réunis, regrouper les familles des pauvres travailleurs immigrés.

En France, deux politiciens très sensibles aux ukases des hommes d’argent, les sieurs Giscard d’Estaing et Chirac, édictèrent le Décret 76-383, du 29 avril 1976 (paru au JO du 2 mai), légalisant le regroupement familial. Et affluèrent femmes, enfants & vieillards ; coran, mosquées & imams ; jeunes (et moins jeunes) délinquants-racketteurs-vandales-violeurs ; trafiquants de haschich (Maroc), d’héroïne (via la Turquie), ecstasy, méth-amphétamine, cocaïne et autres merveilles de la chimie parfois casher (si, si !).

Il ne manquait plus que quelques guerres néocoloniales, induites par les maîtres des USA et imposées à leurs valets des États européens, pour que surgisse le Djihâd et ses attentats aveugles, prouvant que l’on peut tuer beaucoup d’innocents avec des moyens rudimentaires.

En résumé, l’on en est arrivé là, parce que les opinions publiques européennes se sont laissé berner par de faux sentiments humanitaires. On avait besoin de travailleurs et on importa la misère, sous-douée & sous-productive, du Tiers-Monde. S’enrichit beaucoup la grande distribution, tandis que la foule des glorieux parasites d’associations humanitaires trouvait à s’occuper de façon particulièrement flatteuse pour l’égo de ses membres.

Manifestement, au moins 45% des citoyens des États d’Europe occidentale et scandinave ont compris l’origine de leur malheur, mais beaucoup n’osent s’affranchir de la propagande niaise et catastrophiste : que vont devenir nos gentils immigrés et notre économie si compliquée, lorsque les méchants populistes seront arrivés démocratiquement au pouvoir ?

C’est à répondre à ces questions que les populistes doivent s’attacher. Les remèdes existent, puissants, impitoyables, car adaptés à la situation très périlleuse des Européens. Il importe de les faire connaître en assurant les Nations autochtones qu’ils seront appliqués dans toute leur rigueur.

- Retour intégral des extra-Européens dans leurs continents d’origine, une fois terminées leurs études et leurs stages de formation.

- Retour à une politique économique de préférence continentale en matière d’emploi, de ré-industrialisation européenne, d’accords commerciaux négociés de pays à pays.

- Indépendance totale des États européens, avec abandon des tutelles de New York (Finance) et de Washington (Ukases politiques et militaires).

- Union intime de l’Europe occidentale et scandinave avec l’Europe danubienne et l’immense Russie.

En France, on en est loin, voire même à des années-lumière ! Le personnel politique est vieux, usagé, bon à mettre, très poliment, à l’hospice. C’est à la jeune génération de créer le nouveau populisme européen.

 

Source : synthesenationale

mercredi, 06 décembre 2017

J’ai pris le métro à Moscou et j’ai pleuré !

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2017

 

Comment vous dire ?

Prendre le métro en Russie n’est pas du tout un calvaire, bien au contraire. Aux allures de palais, les stations sont d’une beauté étouffante, de quoi vous faire maudire la ligne 2 à la ligne 5 de notre vert de terre dont la destination est souvent « Barchalouna » (Non Non pas Barcelone, on fait juste genre pour les touristes).

La larme à l’œil, je contemple ses œuvres d’art en oubliant presque le calvaire de la station du Bardo (en face du parlement, c’est important à dire ! ) qui pue la pisse et le vomi.

Que dire ? J’ai désormais le syndrome de Moscou (Pleurez en silence je vous prie ! )

Voir les photos : J’ai pris le métro à Moscou et j’ai pleuré !

 
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F.B.A

Crèche de Noël : un maire de gauche choque avec une représentation de Jésus en migrant

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2017

 

Crèche de Noël : un maire de gauche choque avec une représentation de Jésus en migrant
                       La crèche de la nativité revue et corrigée.                           © Giacomino Nicolazz      
                                                                      
En Italie, le maire d'un village a voulu attirer l'attention du public sur les difficultés des migrants lors de leur périple en confectionnant la crèche. L'ancien évêque auxiliaire de Bologne n'a pas apprécié, s'épanchant dans la presse locale.

La crèche de Noël du village de Castenaso en Italie est assez peu conventionnelle cette année. Selon le souhait du maire Stefano Sermenghi, classé à gauche, Jésus y a été représenté en bébé migrant dans les bras de la Vierge, tous deux à bord d'une embarcation gonflable, voguant sur une bâche bleue. Une image qu'il a réutilisée pour les cartes de vœux de la commune.

Peppone a trouvé son Don Camillo

 Si l'édile local souhaitait attirer l'attention de ses électeurs sur les difficultés rencontrées par les migrants essayant de traverser la mer Méditerranée, l'ancien évêque auxiliaire de Bologne n'a pas apprécié l'élan du maire. Monseigneur Ernesto Vecchi a en effet estimé que l'initiative de la mairie constituait une violation de l'image de la Nativité : «Au cœur d'une scène de Nativité, on devrait trouver un enfant langé dans une crèche et on se doit de respecter cela», a-t-il déclaré au journal Il Resto del Carlino, le 4 décembre, avant d'ajouter : «La pièce maîtresse de la crèche ne peut pas être représentée par un bateau gonflable. Je ne me plains même pas du fait que l'embarcation soit intégrée dans cette crèche, mais elle aurait dû être placée ailleurs. Surtout, on n'aurait pas dû y embarquer l'enfant Jésus et la Sainte-Vierge.»

Pour sa part, le maire n'a pas été déstabilisé par cette déclaration de l'homme d'Eglise et a rappelé au même journal qu'il était important, selon lui, que les migrants se sentent les bienvenus  : «En Italie, il y a du monde pour parler, mais quand il s'agit de faire quelque chose de concret pour améliorer l'accueil de ceux qui arrivent, il n'y a plus personne.»

 

Source : francais.rt

Etats-Unis : voilà le Père Noël noir et homosexuel

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2017

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Le monde est devenu fou et chaque jour nous en livre quelques preuves supplémentaires. Dernier exemple en date : l’idée née aux États-Unis de présenter aux enfants un Père Noël noir et homosexuel.

Nous n’avons pas ici une grande affection pour la version Coca-Cola d’un Père Noël qui détourne au profit d’une opération consumériste la véritable Fête de Noël qui célèbre la Nativité du Christ.

D’ailleurs, aux États-Unis comme en Europe, nous constatons depuis plusieurs années l’existence d’une « guerre contre Noël », qui passe par toutes les pressions pour faire disparaître les crèches de Noël des espaces publics et qui s’accompagne simultanément de la disparition du mot « Noël ». Les marchés de Noël sont de plus en plus remplacés par des « Marchés d’Hiver » et les dépliants publicitaires ont banalisé l’expression « Joyeuses fêtes » au détriment du traditionnel « Joyeux Noël ».

Donald Trump l’avait fait remarquer pendant sa campagne :

« En allant dans certains magasins, on ne voit pas le mot “Noël” une seule fois. Toutes les pancartes disent “Joyeuses fêtes”. Moi, je dis, “Où est passé Noël ?”, et je dis à ma femme de ne pas aller dans ces magasins… Moi, je veux voir le mot “Noël”. »

Cette année, le président des Etats-Unis a n’enverra pas des « Season’s Greeting » (« Bonne fin d’année ») souhaités par la famille Obama sur les cartes de vœux de la Maison-Blanche. Il est revenu à l’expression « Merry Christmas and a Happy New Year » (« Joyeux Noël et bonne année »).

Mais les Etats-Unis recèlent un nombre considérable d’individus qui consacrent leur temps à subvertir notre société. L’année dernière, le centre commercial Mall of America avait recruté uniquement des Pères Noël noirs. La bataille idéologique n’était plus ici religieuse mais raciale.

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Sur la chaîne conservatrice Fox News, Megyn Kelly, avait répliqué : « Pour tous les enfants qui nous regardent à la maison : le Père Noël est blanc, c’est tout. »

Daniel Kibblesmith, l’un des auteurs du Late Show de Stephen Colbert, avait réagi sur Twitter par une nouvelle provocation.

« @JenAshleyWright et moi avons décidé que notre futur enfant ne connaitrait que le Père Noël noir. Si on croise un Père Noël blanc, je lui dirai que c’est son mari. »

Il n’en fallait pas plus pour voir apparaître cette année un pseudo conte de Noël intitulé Santa’s Husband qui raconte l’histoire d’un Père Noël noir marié à un homme blanc.

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140 000 € pour l’agence de communication qui a trouvé le nom « Normandie »…

Publié par Guy Jovelin le 06 décembre 2017

Mis à jour le 6 décembre 2017 Auteur par Pierrot

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140 000 € pour l’agence de communication qui a trouvé le nom « Normandie » suite à la fusion de la Basse-Normandie et de la Haute-Normandie… Elle est pas belle la vie ? 

 

Source : contre-info