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vendredi, 08 décembre 2017

Paradis fiscaux : sans surprise, l’UE se ridiculise

Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2017

Rédigé par notre équipe le 07 décembre 2017 

Attendue depuis des années, la liste des paradis fiscaux dressée par l’Union européenne a accouché d’une souris. Ce sale coup était prévu tant les critères pour coucher un nom sur le papier étaient à géométrie variable et devaient recueillir l’unanimité des pays membres de l’UE. Le Luxembourg, l’île de Man, Guernesey ? Circulez, il n’y a rien à voir ! Mais promis, la liste sera mise à jour régulièrement… 

Le 5 décembre 2017 devait être une grande date dans l’histoire de la lutte contre les paradis fiscaux. Des dizaines d’Etats aspirent des centaines de milliards de dollars grâce à des circuits financiers plus ou moins légaux devaient être mis hors jeu. Mais qu’est-ce que la légalité (et la morale) face à l’appât du gain ? L’Union européenne ne compte-t-elle pas des paradis fiscaux en son sein ? A croire la liste publiée par cette dernière la réponse est « NON » ! Pour excuse, il faut souligner que la liste noire ne compte que dix-sept noms… Donc les îles anglo-normandes, et Malte pour ne prendre que ces exemples, n’ont pas eu l’occasion de se faire une place dans cette liste !

Deux listes pour une double fumisterie

C’est bien dommage et comme prévu, les ONG sont scandalisées face à une liste complètement tronquée où manque une bonne trentaine d’Etats. Taper sur Trinidad-et-Tobago ou la Namibie est une farce qui ne plaît qu’à Pierre Moscovici. Le Commissaire européen à la Fiscalité a oublié ses belles paroles d’avril 2016 après les révélations du LuxLeaks : « Il faut en finir avec cette hétérogénéité et parfois ces complaisances ou ces attitudes compréhensives à l’égard des paradis fiscaux ». La complaisance a encore de beaux jours devant elle, même si Moscovici pérore désormais avec cette liste qui constitue une « étape » importante dans « le combat contre les paradis fiscaux ».

Une étape et donc pas une ligne d’arrivée. C’est ce que laissent entendre les européistes amoureux de la finance internationale la plus débridée. Car en plus de la première liste risible de dix-sept noms, ces génies ont monté un bric-à-brac qualifié de liste grise et comprenant quarante-sept juridictions dont les fameuses îles anglo-normandes. Malte, le Luxembourg, l’Irlande et les Pays-Bas manquent toujours à l’appel… Le sérieux n’est pas le fort de ces fonctionnaires bruxellois ! On apprend que certains pays ont été exfiltrés de la première liste in extremis et que d’autres n’ont pas eu assez de poids diplomatique pour éviter cette injure publique sans aucune conséquence in fine.

Car, il est bien joli de constituer des listes (qui ne tiennent pas la route) si ce n’est que pour les mettre sur un coin de table. Des sanctions réelles seront-elles prises ? La réponse est là encore négative, car le système financier mondial repose aussi sur les trous noirs que sont les paradis fiscaux. Les profiteurs du système peuvent-ils vraiment y mettre un terme ?

Ainsi, le peuple aura le droit régulièrement à des entrées (et des sorties) spectaculaires de la liste noire et dans quelques mois à peine, les eurocrates affirmeront que « le système financier mondial est beaucoup plus sain même si des efforts supplémentaires doivent être fournis ». Que les paradis fiscaux dorment sur leurs deux oreilles et leurs sacs d’or. La grande récréation peut continuer !

La liste noire comprend : la Mongolie, la Namibie, la Tunisie, la Corée du sud, Bahreïn, les Samoa, les Samoa américaines, l’île de Guam, Grenade, Macao, les Iles Marshall, les Palaos, Sainte-Lucie, Trinité-et-Tobago, les Emirats arabes unis, le Panama et la Barbade.

 

Source : 24heuresactu

La France, numéro 1 en Europe... pour les impôts

Publié par Guy Jovelin le 08 décembre 2017

Unknown-44La France a brillamment défendu sa première place européenne en matière de taxes et de cotisations sociales.

En 2016, les prélèvements fiscaux et sociaux ont représenté 47,6 % de la richesse produite (PIB) en France, contre 47,3 % au Danemark, deuxième du classement, et 46,8 % en Belgique, d'après les chiffres publiés jeudi par l'office européen de statistiques, Eurostat.

Comme les années précédentes, la France doit sa première place au poids des cotisations sociales. Celles-ci pèsent 18,8 % du PIB, record européen, soit un peu plus de deux points que le deuxième sur le podium, c'est-à-dire l'Allemagne (16,7 % du PIB). Quant aux impôts sur les entreprises (16,1 % du PIB), ils se situent nettement au-dessus de la moyenne de l'Union européenne (13,6 %). En revanche, les taxes et impôts frappant les particuliers, à 12,5 % du PIB, se situent légèrement en dessous de la moyenne de l'UE (13 %).

C'est le genre de record dont on n'aimerait se débarrasser.

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

jeudi, 07 décembre 2017

Scène banale, dans une banlieue « française », entre policiers et immigrés

Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2017

 
 
 

Voir la vidéo sur ce lien : https://www.facebook.com/Oualielmahdi/videos/199540314405...

 

Nombreux appels à boycotter les bières Leffe depuis que leur bière de Noël est devenue bière « d’hiver »

Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2017

par   7 décembre 2017

En ce temps de déchristianisation, le mot « Noël » semble provoquer de l’allergie chez les professionnels du politiquement correct qui, tant au nom de la laïcité que de la diversité multiculturelle, veulent nous imposer l’abandon de nos traditions et de notre foi.

Exemple parmi tant d’autres, la décision de la multinationale InBev de changer l’appellation de « Leffe de Noël » en « Leffe-bière d’hiver ».

Depuis des années, de nombreuses brasseries proposent des bières de Noël. La célèbre bière de Leffe n’y manquait pas. Mais il y a bien longtemps que l’Abbaye de Leffe ne fait plus que prêter son nom à cette gamme de bière qui appartient au géant brassicole InBev fondé en Belgique mais désormais international, mondialisation oblige. De la mondialisation au mondialisme, il n’y a qu’un pas. Et le nouvel ordre mondial n’aime guère le Christ. Suivant un mouvement déjà observé dans différents secteurs, la direction d’InBev a donc troqué la « Leffe de Noël » pour une « Leffe-bière d’hiver » sans imaginer le tollé qui allait suivre.

Contrairement à ce que veulent faire croire les ayatollahs de la laïcité flanqués des chantres du multiculturalisme, les peuples des différentes nations d’Europe ne sont pas tous complètement résignés à laisser disparaître leurs coutumes, leurs traditions et leur foi. Puisque nous ne sommes plus considérés que comme des consommateurs, certains ont donc compris qu’il existe un moyen de pression qui peut faire des dégâts : l’appel au boycott.

 

Sur internet et les réseaux sociaux, les appels à boycotter les bières Leffe se multiplient.

 

Source : medias-presse.info

JOHNNY, UN HEROS ? AVEC MACRON ON EST TOUJOURS DANS L'OUTRANCE !

Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2017

Le Président de la République a qualifié « de héros » mercredi 6 décembre depuis Alger où il se trouve en visite, l’immense vedette Johnny Hallyday, après l’annonce de sa disparition au terme d’une longue lutte contre le cancer. Non, notre Johnny national n’est pas un héros, c’est un monstre sacré du « showbiz », « l’idole des jeunes et des moins jeunes », un talentueux « rocker » qui a électrisé les foules pendant plusieurs décennies. Et nous ferons bien souvent appel à notre mémoire, pour fredonner une ou deux de ses chansons qui ont marqué notre temps.

JOHNNY, UN HEROS ? AVEC MACRON ON EST TOUJOURS DANS L'OUTRANCE !

Mais un héros, c’est un Darnand, celui de 1940, pas de 1943, qui ramène sur son dos, depuis les lignes ennemies, le corps de son officier, c’est un passant qui sauve de la noyade un inconnu ou un pompier qui, se jetant dans les flammes pour en retirer une personne, fait honneur à sa devise, « sauver ou périr ». Emmanuel Macron cultive l’outrance verbale, comme le prouve, coïncidence, sa brutale analyse délivrée  aussi à Alger, lorsqu’il était candidat à la fonction présidentielle, qualifiant la colonisation française de « crime contre l’humanité ». Comme quoi des études très supérieures ne donnent pas forcément un bon brevet en sémantique. 

Certains ont même évoqué comme sépulture carrément, le…Panthéon ! Qu’un hommage national soit rendu à ce « gratte guitare » de génie, soit. Mais là encore, sachons mesure et raison garder. Et le signataire de ce court papier est d’autant plus à l’aise pour l’écrire qu’il se trouve qu’il était, naguère et jadis, il y a longtemps, au siècle dernier, en 1965, dans la même caserne d’Offenbourg (FFA) que le sergent Smet du 43 ème RBIma. 

Et je me souviens d’une folle soirée où, sur le plateau des couleurs, Johnny et Sylvie, hissés sur un châssis de VTT ou d’AMX, je ne sais plus, chantaient en duo devant un public fraternellement mêlé d’Allemands et de Français, de jeunes appelés et de cadres de carrière, képis ou bérets en bataille, bousculés par l’ardeur des spectateurs. 

C’est, je l’avoue, un souvenir inoubliable. Et, avec la mort du célèbre chanteur, avec la disparition du soldat Smet, c’est aussi, pour nous ses contemporains qui partagions les mêmes chambrées, les mêmes réfectoires, un peu à notre propre effacement auquel nous assistons. 

Soldat/guitariste Smet : « présent » ! 

  

  

Jean-Claude ROLINAT