Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 16 décembre 2017

La laïciste Marlène Schiappa, égérie de la franc-maçonnerie, met ses enfants dans une école catholique

Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2017

 par   16 décembre 2017

école catholique,franc-maçonnerie,laïsiste,schiappa

Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat à l’égalité « des femmes et des hommes » a reçu le 8 décembre dernier le prix spécial laïcité du Grand Orient de France.

Au magazine La Vie, elle avait déclaré se faire sa propre religion. En l’occurrence, ses références sont toujours maçonniques, comme le lui a inculqué son père, Jean-Marc Schiappa, président de l’Institut de recherches et d’études de la Libre Pensée.

En 2015, en tant qu’ajointe au maire socialiste du Mans, elle accueillait la Ligue des droits de l’homme en ces termes : « Elles ne sont pas si nombreuses, par les temps qui courent, les organisations qui affirment leur combat contre le cléricalisme, les cléricalismes, la doctrine sociale de l’Eglise ! » et terminait son discours par l’expression maçonnique « salut et fraternité ! ».

Sa dernière initiative : subordonner les subventions associatives au respect d’une charte de la laïcité.

Mais une révélation a de quoi susciter l’étonnement.

Sylvie Tolmont, ancien député socialiste, a dévoilé sur Twitter que Mme Schiappa, chantre du laïcisme, de l’école laïque et républicaine ainsi que du libertinage sexuel, met ses enfants dans une école privée catholique du Mans !

Et de mettre en exergue « l’incohérence manifeste entre sa communication valorisant l’école publique laïque et son choix de scolariser ses enfants dans une école confessionnelle, tant il me semble qu’on puisse légitimement interroger cette contradiction majeure ».

Le moins que l’on puisse écrire, c’est que Marlène Schiappa n’a guère apprécié qu’on lève le voile sur son hypocrisie.

Bien sûr, elle ne dément pas, et pour cause, mais dénonce une atteinte à sa vie privée.

Précisons qu’elle est loin d’être la seule, au sein de la gauche laïcarde, à préférer l’école catholique pour ses enfants.

 

Source : medias-presse.info

Société • Le consumérisme qui dégrade tout

Publié par Guy Jovelin le 16 décembre 2017

 

âme humaine,consumérisme,noël

Par  Mathieu Bock-Côté

Cette tribune de Mathieu Bock-Côté sur son blogue du Journal de Montréal [14.12] est émouvante parce qu'elle pointe la dégradation de Noël en fête consumériste que l'argent vient souiller. LFAR  

 

 Noël s’en vient. Dans dix jours, on se préparera pour le réveillon.

C’est une belle fête, peut-être la plus belle qui soit, qui nous connecte aux origines de notre civilisation. Elles nous sont rappelées par des chants populaires racontant l’histoire de l’humanité sauvée à partir d’une étable à Bethléem.

C’est aussi la fête de douce mélancolie, quand on avance en âge, à la fois parce qu’on a le souvenir de l’enfance émerveillée, mais aussi parce qu’on voit disparaître peu à peu ceux qui, depuis toujours, étaient associés aux réjouissances familiales.

Noël

Et pourtant, cette belle fête s’accompagne chaque année d’un certain malaise devant son recyclage consumériste.

La publicité massive, qui est une forme d’agression psychologique à temps plein contre ceux qui la subissent, en est le symptôme.

Son message est simple à décoder : Noël ne doit pas être qu’un banquet, mais une orgie consommatrice. C’est ainsi, apparemment, que l’on comblera nos proches, qu’on leur démontrera notre amour.

On nous dira que ce malaise est désormais convenu. Que c’est même la posture que se donnent les moralisateurs d’aujourd’hui pour faire la leçon à ceux qui savent jouir de la vie.

N’y a-t-il pas grand bonheur à donner et recevoir ? Cela va de soi et personne n’est vraiment nostalgique des bas de Noël où on trouvait une orange et un soldat de bois.

L’abondance n’est pas une malédiction et on ne gâchera pas son bonheur de voir le regard émerveillé d’un être aimé à qui on parvient vraiment à faire plaisir.

Mais l’enjeu n’est pas là. Il se trouve plutôt dans la réduction du bonheur à la consommation compulsive qui nous pousse comme des automates dans les magasins comme si nous étions condamnés à nous y retrouver en troupeau.

Souvent, on cherche moins le cadeau qui touchera le cœur qu’on décide de les accumuler, de peur de décevoir s’ils ne sont pas assez nombreux, de peur de passer soi-même pour insuffisamment généreux.

C’est à ce moment qu’on comprend à quel point le capitalisme domine nos consciences.

Une civilisation digne de ce nom, loin de se soumettre à l’injonction publicitaire, nous apprend à y résister.

Voyons plus largement. Combien sont-ils à chercher à remplir leur vide existentiel en se soumettant au principe de l’achat à répétition ? Combien en sont venus à se jeter dans la consommation en espérant trouver là le sens qui manque à leur vie ?

Donner

Il nous faudrait réapprendre à vivre autrement. Les plaisirs de la table, de la balade, de la lecture, du silence, de la musique, du sport ne sont certainement pas gratuits : ils sont néanmoins d’une autre nature que la consommation programmée.

Les fêtes de Noël nous ouvrent à la part la plus noble et lumineuse de l’âme humaine : le plaisir de donner, de semer le bonheur autour de soi. Il serait bien que cette part ne soit pas dénaturée par l’argent qui, mal utilisé, peut tout souiller.  

vendredi, 15 décembre 2017

Cours d'arabe à Nuits-Saint-Georges : la polémique ne désenfle pas

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2017

La direction académique de Côte-d’Or cherche une solution pour que les écoliers qui le souhaitent puissent suivre des cours d’arabe Elco à Nuits-Saint-Georges. Pour le moment, Alain Cartron, maire, refuse de mettre une salle municipale à disposition. Photo LBP
 La direction académique de Côte-d’Or cherche une solution pour que les écoliers qui le souhaitent puissent suivre des cours d’arabe Elco à Nuits-Saint-Georges. Pour le moment, Alain Cartron, maire, refuse de mettre une salle municipale à disposition. Photo LBP

Dans nos éditions de samedi dernier, nous relations le refus du maire de Nuits-Saint-Georges, Alain Cartron, de mettre à disposition une salle municipale pour le cours Elco (enseignement de langue et de culture d’origine) de langue arabe offert aux écoliers des écoles élémentaires publiques Henri-Challand et Marie-Maignot.

Aujourd'hui, dans un communiqué de presse commun, la FCPE de Côte-d'Or, la Ligue des Droits de l'Homme et la Ligue de l'enseignement se disent "choqués et indignés par la décision" de l'édile. "Il s'agit d'un droit pour les enfants et, parce qu'il s'inscrit dans le cadre de l'Education nationale, il n'a pas à dépendre du bon vouloir de chaque maire. Il n'appartient donc pas au maire de prendre position sur le bienfondé de ces cours." expriment encore les trois organismes.

Le communiqué complet :

" Nous sommes choqués et indignés par la décision du maire de Nuits-Saint-Georges de refuser de mettre une salle à disposition de l'Éducation nationale pour des cours d'arabe ELCO (Enseignement dans la Langue et Culture d'Origine) destinés aux enfants dont les familles le souhaitent.

Il s'agit d'un droit pour les enfants et, parce qu'il s'inscrit dans le cadre de l'Education nationale, il n'a pas à dépendre du bon vouloir de chaque maire.

Il n'appartient donc pas au maire de prendre position sur le bienfondé de ces cours.

En tant qu’activités d’enseignement, ils sont soumis aux principes fondamentaux du service public de l’éducation: laïcité, gratuité et neutralité comme l'ont d'ailleurs rappelé les services académiques.

Nous pensons que, pour se construire et bien grandir, il est essentiel pour nos enfants de connaître leur origine. Avoir l'opportunité de pratiquer une autre langue que le français dans sa famille comme à l'école est une chance.

L'étayer par un apprentissage académique est une sécurité, la sécurité de construire convenablement son apprentissage pour l'utiliser au mieux professionnellement comme personnellement, la sécurité d'apprendre loin des risques de dérives et/ou de discours prosélytes.

Par-delà les prétextes mis en avant, nous nous inquiétons du sentiment de discrimination que peuvent ressentir les familles concernées, surtout lorsque l'on sait que d'autres langues, comme l'anglais sont enseignées sans contestation.

Attachés au refus de toute forme de rejet de l'autre et de xénophobie, nous ne saurions admettre qu'une langue, une culture quelle qu'elle soit, puisse être a priori considérée comme suspecte.

Ce n’est pas ainsi que nous concevons l’éducation de nos enfants aux valeurs de la République, d’égalité et de fraternité."

 

Source : bienpublic

Migrants : le nombre de mineurs étrangers isolés a été multiplié par 10

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2017

Image d'illustration. Photo © PHILIPPE HUGUEN / AFP

Immigration. Leur nombre est passé de 2 500 en 2005 à 25 000 en 2017. Le coût de leur hébergement doublera et approchera les deux milliards d'euros cette année.

Le nombre des mineurs étrangers isolés a été multiplié par dix depuis 2005 : 2 500 mineurs isolés étaient accueillis cette année-là et en juin 2017, ils étaient déjà 18 000. « Le nombre de 25 000 mineurs non accompagnés accueillis par les services de l’aide sociale à l’enfance sera dépassé d’ici la fin de l’année », précise Europe 1.

 

« Les départements n’y arrivent plus, car c’est à eux qu’incombe la mise à l’abri de ce public, le fait d’être mineur leur ouvre les mêmes droits qu’un enfant en danger et les départements leur doivent assistance », ajoute la radio.

 

Les places étant limitées, ces mineurs (à 95% des garçons) sont donc souvent hébergés à l’hôtel pour un coût astronomique : un milliard d’euros en 2016. « Ce coût va logiquement doubler et approcher les deux milliards, en 2017 », indique encore Europe 1.

 

Source : valeursactuelles

Coup de gueule contre les donneurs de leçons de gauche Omar Sy, Jamel Debbouze, Black M

Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2017

schtroumpf-donneur-de-lecons

 
 

Par « La Gauche M’a Tuer ».

 

Source : lesobservateurs