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lundi, 27 novembre 2017

Le Graphique du Jour :

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2017

PAR  LE 

Le Graphique du Jour : En 2016, le Français a été une fois de plus le 2e résident le plus taxé du club des pays de l’OCDE. (Le Danois étant le Premier).

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Source : leblogalupus

Muret (31) : descente des forces de l’ordre au « Formule 1 » devenu centre de migrants suite à une bagarre au couteau

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2017

 
 

Une vingtaine de militaires a dû intervenir en fin de semaine dernière, au «Pradha» de Roques (ex-Formule 1) pour ramener le calme après une sérieuse bagarre entre migrants. Le ton serait plus que monté entre deux pensionnaires du centre, des coups violents étant par la suite échangés. La gendarmerie évoque même des coups de couteau distribués sur fond d’alcool. Pas moins d’une vingtaine de militaires s’est rapidement rendue sur les lieux, des gendarmes du PSIG , ainsi que des deux brigades de gendarmerie de Muret et de Portet-sur-Garonne. «On est arrivé au centre prudemment, on ne savait pas trop ce qu’on allait trouver. C’est la première fois qu’il y a une intervention d’une telle ampleur, mais la situation l’exigeait», confie Julien Delforge, commandant en chef de la compagnie de gendarmerie de Muret.

Mathias Beaufort, directeur du centre, rappelle que «chaque personne qui séjourne chez nous souscrit un règlement de bon fonctionnement». Il reconnaît les violences verbales et physiques qui ont émaillé la vie du centre il y a une semaine, des actes que l’auteur a d’abord démenti catégoriquement, avant d’être convoqué, avec sa victime, devant le directeur du «Pradha». Une victime qui, selon nos sources, aurait eu sa part de responsabilité au moment du déclenchement des violences. «J’ai interpellé l’OFI de cet incident et ai préconisé une sanction qui attend d’être validée», précise Mathias Beaufort. La sanction demandée n’est pas mince : un transfert disciplinaire des deux migrants.

La Dépêche via fdesouche

Les tricheurs

Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2017

Les tricheurs

Les tricheurs

Voici un article passablement insolite quant à la forme mais dont le fond, hélas, ne choquera pas. Nous avons déjà publié plusieurs articles de cet auteur (A moy que chault) dont la verve percutante ne faiblit pas.
Polémia

Pour suivre l’air du temps, pour se soumettre à l’hystérie de l’instant, pour se conformer à la dernière mode médiatique, Jupiter Macron propose la création d’un « délit d’outrage sexiste immédiatement verbalisable d’un montant dissuasif ».

Un nouveau délit, rien que ça ! Un nouveau tas de paperasse venant compléter la montagne de réglementations et de lois qu’ils sont déjà infoutus de faire appliquer, qui étouffent les honnêtes gens sans jamais inquiéter les crapules, une nouvelle étape de l’inflation législative, fruit de cette maladie mentale qui fait que l’on pense avoir résolu un problème dès lors qu’on a pondu un texte officiel portant son nom.

Ce projet de mesure pourrait n’être que grotesque s’il n’était pas avant tout abject : abject de démagogie, de lâcheté, de mensonge et de tartufferie… Dans un pays où des filles se font violer collectivement dans les caves et où leurs tortionnaires bénéficient d’une quasi totale impunité, où les flics n’osent plus mettre les pieds dans les quartiers où les « outrages sexistes » sont justement les plus nombreux et les plus violents, où la justice estime qu’une gamine peut être « consentante » à une relation sexuelle à 11 ans, où les voyous roulent sans permis dans des voitures de luxe payées en liquide, où les racailles s’abstiennent de payer tout transport en commun et rient aux éclats quand ils sont verbalisés par un contrôleur avant de jeter immédiatement l’amende à la poubelle…

Dans un tel pays, un État si totalement incapable et démissionnaire prétend régenter et punir les « gestes, attitudes et paroles » sexistes ? Les nullités qui nous gouvernent, incapables d’empêcher les massacres islamistes ou de nourrir les SDF, vont partir à la chasse aux mains au cul et à la plaisanterie graveleuse ?

Quelle pitoyable et sinistre plaisanterie !… Bien sûr, comme tout ce qu’ils font, comme tout ce qu’ils entreprennent, cette tentative absurde restera en plus lettre morte, sans autre efficacité que quelques amendes symboliques distribuées à des petits bourgeois éméchés, des ouvriers lourdingues et des chefs de service trop entreprenants… Car, évidemment, on n’ira pas traquer « l’outrage » sexiste dans le 9.3, déjà qu’on n’y va plus pour le trafic de drogue ou d’armes…

On s’agitera donc quelque temps dans les quartiers bourgeois et ceux des classes moyennes qui subsistent encore, puis on passera à autre chose, une autre connerie dictée par l’agenda médiatique et l’hystérie revendicative d’une quelconque minorité…

A moy que chault
26/11/2017

 

Source : polemia

dimanche, 26 novembre 2017

Solidaris supprime la croix de saint Nicolas dans un dessin pour enfants

 

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Solidaris a lancé un concours destiné aux enfants à l’occasion de la fête de Saint-Nicolas. Il suffit d’imprimer le dessin du patron des écoliers, qui est en noir et blanc, et de le renvoyer colorié de milles couleurs. Cependant, la mutualité socialiste a décidé d’enlever la croix traditionnellement présente sur la mitre et de la remplacer par un cercle tout simple.

Nos confrères de RTL ont contacté Solidaris, qui, via son porte-parole, soutient que ce dessin a «  pour objectif de n’exclure aucun enfant  ». «  Aujourd’hui, la fête de Saint-Nicolas n’est plus la fête religieuse d’autrefois et des enfants, laïques ou d’une autre religion, peuvent légitimement y être associés.  »

 

Source : soirmag.lesoir.be

Gouvernement : les tendances se confirment !

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2017

Rédigé par notre équipe le 26 novembre 2017.

Le gouvernement a procédé à son deuxième remaniement. Un changement attendu depuis près d’une semaine et qui a accouché de presque rien (quelle surprise avec Macron !). Christophe Castaner a-t-il tout fait pour sauver sa peau au sein de l’exécutif ? Pas certain que cela fut nécessaire, car la conception très personnelle du pouvoir macronien ne le poussait pas vers la sortie. Il reste donc et voit un autre socialiste plonger officiellement dans le pot-pourri d’En Marche. Les choses s’éclaircissent pour ceux qui avaient encore besoin d’un manuel explicatif.  

Il aura fallu attendre six jours pour connaître le destin de Christophe Castaner au gouvernement. « Elu » tel un maréchal soviétique à la tête du Parti, il a réussi à cumuler son poste de Secrétaire d’Etat en charge des questions avec le Parlement et la direction d’En Marche. C’est donc une première dans l’histoire de la Ve République. Un membre du gouvernement est aussi chef du parti dominant. Pire, ce même personnage est en charge des relations avec le Parlement. Alors que cette fonction vise à mettre de l’huile dans les rouages, dialoguer, trouver des compromis avec l’opposition et les quelques réticents de la majorité, la double casquette offerte à Castaner illustre la volonté de faire du Parlement une simple chambre d’enregistrement.

Etat, gouvernement, parti : quelle différence ?

Pourquoi discuter quand les textes sont déjà rédigés et qu’il suffit d’amendements pour faire passer des réformes dont la majorité des Français ne veulent pas ? Castaner imprimera donc les mêmes discours dans les couloirs d’En Marche et du Parlement et ceux qui ne sont pas contents seront virer avec perte et fracas. La France n’est-elle pas une start-up qui doit être dirigée comme telle ? Ce sera donc en avant marche ou crève ! Rien de nouveau sous Jupiter si ce n’est une confirmation de sa volonté de tout contrôler. L’Etat et le parti son une seule et unique chose. Ou comment l’ultralibéralisme accouche de pratiques soviétiques.

La seule petite inflexion aura donc été de donner le porte-parolat à Benjamin Griveaux. Membre du petit carré des fidèles de Macron, Griveaux était perdu à Bercy dans un secrétariat d’Etat dont il ne comprenait rien. Sa nouvelle mission sera plus à son goût, car répéter les inepties du chef fut sa mission pendant la campagne présidentielle. Il sait comment faire et il le fait plutôt bien. Il sera remplacé à Bercy par une nouvelle venue, Delphine Gény-Stephann, issue de Saint-Gobain. Encore une grande entreprises aux manettes de l’Etat…

Mais le meilleur coup est sans conteste l’arrivée du socialiste Olivier Dussopt qui troque sa place à l’Assemblée pour un Secrétariat auprès du génial Darmanin. Encore un socialiste dans l’équipe Macron. A ce rythme, cela va finir par se voir que le président a fait toutes ses classes dans le sein paternel hollandais. Tous les Macron-compatibles espèrent avoir un jour le destin d’Olivier Dussopt. Les places seront chères même si deux remaniements en six mois laissent présager des possibilités dans le futur.

Le coup dur revient une fois de plus au PS qui perd un de ses membres. Les quelques mammouths qui hantent encore la rue de Solferino ont tenu à faire savoir que le traître Dussopt avait été immédiatement exclu. La belle affaire ! Au moins, ils ne sont pas aussi ridicules que les Républicains qui mettent six mois à voter des exclusions partielles. Quant au reste de l’opposition, Mélenchon est hilare à l’Elysée et Le Pen se demande encore que faire après le départ de son éminence grise. Le vent souffle fort pour la macronie et les Français feraient bien de trouver rapidement un abri.

 

Source : 24heuresactu