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dimanche, 26 novembre 2017

Une Europe d’hommes pleurnichards

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2017

Ecrit par Hristo Xiep

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Après l’enquête sur les violences domestiques et sur la place de la femme dans la société, troisième question posée à l’échelon européen et dont les résultats ont été rendus publics via twitter : « Est-il acceptable pour un homme de pleurer » ? La moyenne européenne est de 10 % de non et de 88 % de oui, 1 % d’indécis et 1 % de « ça dépend ».

« Boys don’t cry » (les garçons ne pleurent pas) chantait le groupe anglais The Cure en 1979. « Seules les filles pleurent » semblait répondre la chanteuse portugaise Vanda Maria Ribeiro Furtado Tavares de Vasconcelos, plus connue sous son nom de scène « Lio » en 1988. Il semblerait que ce ne soit plus de mode, à la grande joie des islamistes.  Où d’autres d’ailleurs. Dans un monde de lâcheté, quelle Aïcha al-Horra des temps modernes pourrait dire ce qu’elle dit à son fils Mohamed XII « Boabdil » à la chute de Grenade : « Pleure comme une femme ce que tu n’as pas su défendre comme un homme ! » ?

Il est intéressant de noter qu’aucun pays n’a une majorité de non. Encore une fois, ce sont les pays de l’ancien bloc communiste qui obtiennent les meilleurs scores. Et ce pour une raison très simple : ils ont su ce que la lutte. Se battre pour renverser le régime le plus meurtrier de l’histoire humaine sans aide extérieure et avec les fréquentes trahisons des océaniens. Ils ont aussi su ce qu’étais la misère et la faim. Quand l’homme lutte pour son pain et sa survie, croyez-moi, il n’a pas le temps ni l’envie pour les tête-à-tête avec les kleenex.

Plus de 30 % de non: Trois pays ont moins de 65 % de oui, et, partant, plus de 30 % de non. Le pays qui a le plus de « non » est la catholique Lituanie avec 34 % de non pour 63 % de oui. La Bulgarie orthodoxe est le pays qui a le moins de « oui », 62 %, pour 32 % de non. Entre les deux, la Roumanie orthodoxe avec 33 % de non et 64 % de oui.

Plus de 25 % de non : deux pays dans ce cas, tous deux de feu le bloc de l’Est et tous deux catholiques, à savoir la Slovaquie (25 % de non, 68 % de oui) et le Croatie (25 % de non et 73 % de oui).

Plus de 20 % de non : quatre pays de l’ancien bloc de l’est, la Pologne catholique avec 23 % de non et 72 % de oui, la Hongrie catholique avec 77 % de oui et 21 % de non et la Lettonie protestante avec 20 % de non et 77 % de oui. On trouve également le premier pays non ex-communiste, la nation orthodoxe qu’est Chypre avec 20 % de non et 80 % de oui.

Plus de 15 % de non : quatre pays dans cette catégorie, avec la Grèce orthodoxe, 19 % de non et 80 % de oui, le premier pays occidental, à savoir la catholique Autriche avec 19 % de non et 79 % de oui, la protestante Tchéquie, 80 % de oui et 17 % de non et enfin la catholique Slovénie, avec 16 % de non et 82 % de oui.

Plus de 10 % de non : deux pays sont donc encore au-dessus de la moyenne européenne, la protestante Estonie avec 13 % de non pour 85 % de oui et l’Italie avec 12 % de non pour 85 % de oui.

Plus de 5 % de non :  cinq pays dans cette fourchette, tous d’Europe de l’ouest. La Belgique catholique, 9 % de non et 91 % de oui, Malte catholique avec 7 % de non et 91 % de oui, l’Irlande catholique avec 6 % de non et 94 % de oui, la France catholique avec 5 % de non et 94 % de oui, même score que la mixte Allemagne.

Moins de 5 % de non : L’Espagne catholique, 4 % de non et 94 % de oui (le pays des machos n’est plus ce qu_’il était…), le Portugal catholique, 3 % de non et 96 % de oui, même score que le Royaume-Uni et le Danemark protestants, 2 % de non et 97 % de oui pour le catholique Luxembourg, 2 % de non et 98 % de oui pour les protestantes Finlande et Pays-Bas et, tout en bas, la décadente Suède, 99 % de oui et 1 % de non. On comprend mieux cette vidéo où l’on voyait un Suédois tenter de parlementer avec un groupe de migrants qui harcelaient sexuellement sa compagne et qui, bien sûr, prit une bonne mandale dans la figure avant que les colons ne repartent avec leur butin… Rollon doit s’en retourber dans sa tombe.

Hristo XIEP

 

Source :medias-presse.info

DANIÈLE OBONO LÉGITIME LE RACISME ANTI-BLANC : PAS DE JUGE POUR DEMANDER LA LEVÉE DE SON IMMUNITÉ ?

Publié par Guy Jovelin le 26 novembre 2017

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 Vincent Vauclin (Boulevard Voltaire)

Danièle Obono est, décidément, notre meilleur atout. La députée franco-gabonaise, d’obédience mélenchoniste, s’est une nouvelle fois distinguée par une sortie polémique en défendant la « non-mixité raciale » de réunions organisées par le syndicat SUD Éducation 93. Des réunions tout simplement interdites aux Blancs, dans la France de 2017.

Ne pouvant s’empêcher de saisir la moindre occasion pour déblatérer sur la France et les Français de souche, animée d’une haine revancharde, insatiable et compulsive, elle nous offre régulièrement des outrances telles que même des cégétistes patentés ou des journalistes bobos ne peuvent que s’en indigner et s’interroger sur les dérives de cette « lutte contre les discriminations » qui oscille aujourd’hui entre le grotesque totalitaire et l’hystérie collective.

On se souviendra, ainsi, de cette polémique née après son passage sur RMC où cette « élue de la nation » semblait incapable de prononcer ces quelques mots : « Vive la France ». Ou encore de ce soutien ambigu au groupe ZEP et à son morceau « Nique la France » où l’on fustigeait le « paternalisme et le colonialisme » de notre pays. Ou encore de sa « fraternisation » avec la non moins sulfureuse Houria Bouteldja, présidente monomaniaque du Parti des indigènes de la République, et qui s’était notamment distinguée en qualifiant les Français de « souchiens ». De quoi suffire à désorienter jusque dans son propre camp.

Mais si ses acolytes d’extrême gauche feignent l’indignation, c’est davantage sur la forme que sur le fond de ses propos. Car Danièle Obono n’est pas en rupture avec l’idéologie dominante : elle la précède, elle en annonce les prochains développements et ne fait qu’en pousser la mécanique jusqu’à ses conclusions logiques.

Et c’est bien là le problème : le timing. Danièle Obono entend sauter les étapes.
 
À rebours du processus lent et souterrain de Grand Remplacement – dont il s’agit, pour nos élites, de dissimuler le plus longtemps possible la réalité, l’ampleur et les implications -, l’urticante Obono pèche par son impatience et accélère malgré elle le lent réveil du peuple français, tant ses sorties médiatiques heurtent une opinion publique pourtant sévèrement anesthésiée.

Mais il y a mieux. En revendiquant ouvertement un droit à la discrimination raciale, Danièle Obono crée un précédent, une jurisprudence à double tranchant qui enterre de facto la fiction du vivre ensemble et légitime, par ricochet, les futures revendications identitaires et communautaires de la majorité silencieuse. Ces Français de plus en plus ulcérés par l’arrogance prosélyte immigrée et qui finiront bien par comprendre qu’il nous faut tuer le multiculturalisme avant qu’il ne nous tue.

On peut, enfin, s’interroger sur l’inertie de la Justice républicaine – pourtant prompte à condamner sans relâche les « incitations à la haine raciale » et à demander des levées d’immunité parlementaire d’élus mal-pensants – qui semble soudainement bien laxiste, tardant à réagir face à ce qu’il faut bien appeler une véritable ségrégation raciale.

 

Source : synthesenationale

samedi, 25 novembre 2017

Castelsarrasin (82) : après l’agression d’une factrice, La Poste suspend la distribution du courrier dans un immeuble d’un « quartier sensible »

Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2017

 
 

«De mémoire, à l’exception d’une rue ou deux dans les quartiers les plus sensibles de Toulouse, il est rare de suspendre la distribution du courrier», assure Olivier Marçais, porte-parole de La Poste Midi-Pyrénées.

C’est pourtant ce que vient de décider la directrice de La Poste de Castelsarrasin après un vol et l’agression, en moins d’une semaine, coup sur coup, de deux factrices assurant la tournée rue Léon-Blum.

Même si cette voie située au cœur du quartier de Cassenel, n’a pas toujours eu bonne réputation avec son lot d’incivilités, de poubelles et voitures brûlées, voire de cambriolages, on est loin du climat social des cités de la Reynerie ou de Bagatelle, à Toulouse.

Lire la suite : La Dépeche via fdesouche

CAMPAGNE D'HIVER DU PARTI DE LA FRANCE

Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2017


Campagne d'hiver du Parti de la France
 
Devant la multiplication des attentats et des agressions à l'égard des Français, la France et son peuple sont en état de légitime défense. 
Le Parti de la France s'inscrit dans une démarche de résistance nationale et appelle les nationaux et patriotes à le rejoindre. Cette volonté de résistance nationale se concrétise, dès à présent, par le lancement de notre campagne politique d'hiver sur le thème "Touche pas à mon peuple !".  

Affiches et autocollants disponibles très bientôt

Du sursis pour la personne ayant vandalisé l’église de Rennes-le-Château (11)

Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2017

     

Elle avait décapité à coups de hache le bénitier de l’église de Rennes-le-Château, le dimanche du premier tour des élections présidentielles. Après avoir déposé un exemplaire du Coran dans l’édifice, elle avait été interpellée par la gendarmerie dans la foulée. Son jugement a été rendu ce vendredi matin par le tribunal correctionnel de Carcassonne. 

Deux mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve de 24 mois et réparation financière pour la commune. C’est le jugement rendu par le tribunal correctionnel de Carcassonne à l’encontre de la femme, âgée de 37 ans, qui s’était introduite dans l’église Sainte-Madeleine de Rennes-le-Château, le 23 avril dernier. Masquée, voilée, elle avait attaqué le célèbre bénitier, représentant le diable, de l’édifice religieux à coups de hache, avant de déposer un exemplaire du Coran à ses côtés.

Un profil radicalisé ?

Alertés par les visiteurs, les gendarmes ont interpellé l’individu, qui avait répondu au maire : « Aujourd’hui, ici, c’est un jour d’élection présidentielle, pendant qu’en Syrie, l’Occident bombarde et tue des enfants. Vous êtes des mécréants ! Mon marie est là-bas ». Le mari en question, serait le demi-frère de Mohammed Mérah, le terroriste de Toulouse ayant sévi en 2012. Pour justifier son acte, la vandale explique avoir commis « un acte prémédité et réfléchi dans un but symbolique », profitant de cette occasion pour« faire de la pub sur un livre qu’elle écrit depuis vingt cinq ans« . Un ouvrage qu’elle présente comme « un travail de corrélation théologique entre les trois livres saints ». 

Jugé le 27 octobre dernier à Carcassonne, la prévenue avait déclaré « rejeter la nationalité française pour demander la nationalité palestinienne ».  Le substitut du procureur avait alors requit six mois de prison avec sursis, assortie d’une obligation de soin. Le rapport psychiatrique, réalisé lors de son placement à Limoux, avait détecté une personnalité de « type paranoïaque ».

La commune de Rennes-le-Château dédommagé ?

Durant son procès, elle avait conclu en affirmant qu’elle « ne paierai même pas un euro symbolique » pour réparer les dégâts qu’elle a causée. Pourtant, le juge a bien condamné la prévenue à rembourser 17 718 euros, correspondant aux travaux de réparation qui ont dû être entrepris. La jeune femme, originaire de Lavelanet n’aura également plus le droit d’apparaître dans la commune de Rennes-le-Château et aura une mise à l’épreuve de 24 mois, avec obligation de soins.

 

Source : infos-toulouse