Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 23 novembre 2017

75000 immigrés expulsables sont restés en France en 2016

Publié par Guy Jovelin le 23 novembre 2017

7Un rapport du Sénat indique que 92 076 mesures d'éloignement ont été prononcées en 2016 et seules 18% d'entre elles ont été réellement exécutées, soit par un éloignement spontané, soit par un éloignement aidé, soit par un éloignement forcé.

Pour cette seule année 2016, 75 587 personnes se sont maintenues sur le territoire français malgré la mesure d'éloignement prononcée à leur encontre.

Les éloignements forcés sont passés de 15 458 en 2015 (soit 17,40% des mesures d'éloignement prononcées) à 12 961 en 2016 (soit 14,08% des mesures d'éloignement prononcées).

Depuis 2016, le juge des libertés et de la détention n'intervient plus après cinq jours de rétention mais après 48 heures. Dans les faits, les services de l'État n'ont pas suffisamment de temps pour constituer un dossier étayé, ce qui conduit souvent le juge à prononcer la fin de la rétention. Ainsi, en 2017, 19,30 % étrangers placés en Centre de rétention administrative (CRA) ont été libérés dès les quarante-huit premières heures de rétention, alors qu'en 2016 seuls 6,35 % des retenus avaient été libérés pendant les soixante-douze premières heures de rétention. La justice libère trois fois plus qu'avant/

Par ailleurs, 62 % des étrangers interpellés par la direction centrale de la police aux frontières (DCPAF) refusent que leurs empreintes soient recueillies...

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

mercredi, 22 novembre 2017

L'Europe aux Européens

Publié par Guy Jovelin le 22 novembre 2017

affiche-europe1.jpg

Gérard Collomb a compromis le secret-défense, DGSI et DGSE dépitées

 Publié pâr Guy Jovelin le 22 novembre 2017

Gérard Collomb - LyonMag

Gérard Collomb a compromis le secret-défense, DGSI et DGSE dépitées

Gérard Collomb - LyonMag

Quand on devient ministre d'Etat, et tout particulièrement ministre de l'Intérieur ou ministre des Armées, on accède à un certain nombre de données sensibles

Dont certaines ne doivent en aucun cas être révélées au public car elles sont compromettantes, pour l'Etat, pour des alliés ou pour des opérations en cours.

Gérard Collomb ne maîtrise pas encore tout à fait cette notion de secret-défense. Selon le Monde, l'ancien maire de Lyon l'a même compromis le 27 septembre dernier. Et pas auprès de sa famille ou d'un cercle restreint d'amis. Mais sur l'antenne d'Europe 1 où il revenait sur la loi qui remplacerait l'état d'urgence.
Nos confrères rappellent que le ministre de l'Intérieur avait alors indiqué que le renseignement belge était l'une des sources françaises qui avaient permis de se rapprocher de 39 individus aujourd'hui assignés à résidence. "En général, ce sont des personnes pour lesquelles on a eu des renseignements de services étrangers", précisait Gérard Collomb.

Outre la colère de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et de la sécurité extérieure (DGSE) qui passent pour des incapables ou des assistées en termes de lutte contre le terrorisme, la bourde est monumentale.
Car la "règle du tiers" qui s'applique dans le renseignement est claire : en aucun cas ne doit être mentionnée l'origine étrangère d'informations sensibles, décisive voire même banale.

Si l'information ne sort qu'aujourd'hui, c'est parce que Français et Belges se sont bien gardés de réagir pour ne pas attirer davantage l'attention sur cette compromission du secret-défense, que le commun des mortels, non rompu au jargon des renseignements, n'a pu déceler.

Mais Gérard Collomb a agacé au plus haut point certains cadres d'Etat. On se souvient qu'après l'attentat de Manchester en mai dernier, le 1er flic de France avait été accusé par une partie de la presse britannique d'avoir dévoilé des éléments confidentiels de l'enquête. Des faits niés immédiatement par le cabinet de Gérard Collomb.

 

Source : lyonmag

Suède : violée par un Syrien, Angelica se suicide après que le procureur a classé le dossier « faute de preuves »

Publié par Guy Jovelin le 22 novembre 2017

 
 

Selon le journaliste d’investigation Joakim Magnus Lamotte, Angelica Wiktor, 30 ans, se serait suicidée suite au classement sans suite du viol qu’elle aurait subit par un réfugié syrien en mars dernier. La jeune femme aurait décidé de mettre fin à ses jours en absorbant une dose massive du médicament qu’elle prenait depuis son agression, sachant que son agresseur allait être libéré.

Le procureur, en charge du dossier, a estimé qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour condamner l’accusé de viol et l’a relâché.

Joakim Magnus Lamotte affirme que les autorités n’ont pas tenu compte des preuves manifestes. Adnan, le voisin d’Angelica, accompagné de son ami Samir s’étaient rendus ont allés chez elle un après-midi. Angelica prenait des somnifères, donc elle ne se souvenait pas de l’heure exacte, mais elle se rappelait que l’un d’eux l’avait poussée à tomber dans son lit et l’avait violée.

D’après son témoignage l’agression a été encore plus douloureuse, qu’Angelica avait ses règles à ce moment-là et qu’elle utilisait un tampon hygiénique.

L’enquête de Lamotte montre que la police et le procureur ont ignoré plusieurs éléments de preuve. Par exemple, ils n’ont pas analysé l’ADN retrouvé dans l’appartement de la victime, qui présentait également des « signes de viol et d’agression« .

Durant son interrogatoire par la police, Samir l’ami du violeur a reconnu qu’il se trouvait dans l’appartement d’Angelica, mais le procureur a tout de même décidé de classer l’affaire pour « manque de preuves ».

Casoaislado via fdesouche

Un dessin vaut parfois mieux qu’un long discours…

Publié par Guy Jovelin le 22 novembre 2017

Ecrit parLéo Kersauzie

dessin-PATRIOTE-2017.jpg

 

Source : medias-presse.info