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jeudi, 26 octobre 2017

Le nouvel album Astérix élimine la référence au « village peuplé d’irréductibles Gaulois qui résiste encore et toujours à l’envahisseur »

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2017

Il y a quelques jours, le CRIF organisait une privatisation de l’exposition Goscinny au Musée d’art et d’histoire du judaïsme.

Francis Kalifat, Président du Crif, vous invite à une visite privée de l’exposition René Goscinny – Au-delà du rire, lundi 16 octobre 2017 de 18h à 21h30 au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme, 71 Rue du Temple 75003 Paris

Quelques jours après sortait le nouvel album d’Astérix intitulé Astérix et la Transitalique. Télévisions, radios et presse écrite en assuraient immédiatement la publicité même si cet album est le fruit d’un scénariste et d’un dessinateur qui ne sont pas au niveau du défunt tandem Goscinny-Uderzo.

Mais les fidèles lecteurs des aventures d’Astérix ont surtout immédiatement remarqué un changement symbolique majeur avec les précédents albums : la disparition de la fameuse page d’ouverture présentant une carte de la Gaule avec la loupe posée sur le village gaulois entouré des camps romains d’Aquarium, de Babaorum, de Laudanum et de Petibonum.

Exit également les quelques lignes situant l’action : “Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ. Toute la Gaule est occupée par les Romains… Toute ? Non. Un village peuplé d’irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l’envahisseur…” 

S’agit-il d’une nouvelle concession au politiquement correct ? Le terme  » village gaulois  » aurait-il désormais une saveur qui dérange la bien-pensance multiculturaliste ?

Interrogée par 20 Minutes, une porte-parole d’Hachette évacue la question, estimant que “cette question n’a pas d’intérêt”, avant d’avouer un “parti pris éditorial”…

 

Source : medias-presse.info

Affaire Hidalgo et les emplois fictifs : MPI disait vrai !

Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2017

emplois fictif,hidalgo,mairie de parisLe 31 mai, je citais dans un article les affaires d’emplois fictifs de la maire de Paris. Le quotidien de propagande régimiste Libération hurla à la fake news… Mais voilà que le journal économique Capitalreprend sous la plume de Philippe Eliakim les accusations en les étayant par des documents comptables…

Suite à une enquête fouillée, il prouve que la notable sépharade,  après avoir été élue première adjointe de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris en mars 2001, « Anne Hidalgo a continué de se faire payer pendant des mois par son administration d’origine, le ministère du Travail. En plus de ses indemnités d’élue réglées par la mairie – 5.575 puis 6.424 euros mensuels à partir d’octobre 2002, sans compter les défraiements –, elle percevait un salaire mensuel de 3.040 euros du ministère, auquel s’ajoutaient entre 1.000 et 2.000 euros de primes. », comme conseillère technique puis comme chargée de mission. En janvier 2003, près de 2 ans après avoir été nommée première adjointe au maire de Paris, Anne Hidalgo continuait de se faire discrètement payer par le ministère du Travail, comme l’atteste une copie d’un bulletin de salaire livré dans l’article de Capital.

L’emploi fictif est confirmé par des anciens du cabinet de Marylise Lebranchu :

« A son arrivée, en novembre 2000, elle a travaillé pendant quelques semaines sur le conflit des greffiers. C’était ce que l’on appelle un emploi fictif, confirme un autre membre du cabinet. Elle ne participait jamais aux réunions de travail, elle n’avait même pas de bureau. Les seules fois où on la croisait, c’est lorsque le club de Martine Aubry, Réformer, organisait une réunion ou un dîner dans les locaux du ministère, avec Benoît Hamon et François Lamy ».

Après la défaite de Jospin en 2002, Hidalgo est toujours payée à ne rien faire à la direction régionale du travail d’Ile-de-France. Elle n’y met évidemment jamais les pieds, mais n’en continue pas moins de se faire verser son salaire. Toujours un emploi fictif…

Alerté, le syndicat d’extrême gauche SUD tente de faire cesser le scandale : saisie de la Dagemo (la DRH de l’administration du travail), de la Cour des comptes, de la Commission des comptes de campagne et de la mairie de Paris, en vain. Le responsable syndical chargé de l’affaire, Yves Sinigaglia, finit par saisir la CADA (Commission d’accès aux documents administratifs). Le 7 janvier 2003, le ministère du Travail place rétroactivement (avec 2 ans de retard) Hidalgo en position de détachement à la mairie de Paris et lui demande de rendre les sommes indûment perçues depuis la dissolution du cabinet Lebranchu, soit 21.659,05 euros hors primes, mais ne s’acquitte pas du remboursement des 19 mois d’emploi fictif précédent, soit la coquette somme de 80.000 euros. Bien plus que les sommes impliquées lors de l’affaire des rapports bidons de Xavière Tibéri…

Fanfaronne, Anne Hidalgo déclara avoir porté plainte contre Capital pour diffamation. La suite au prochain épisode de notre grand feuilleton « La fantôme de l’Opéra », pardon, je confonds, « La fantôme du Ministère de la Justice »… Elle s’appelle peut-être Hidalgo, mais en tout cas, ses valeurs n’ont rien de chevaleresque…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

mercredi, 25 octobre 2017

Le curé enragé s'en prend aux radars

Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2017

Michel Janva

 

Source : lesalonbeige

LGV Bordeaux-Paris : un maire souhaiterait que la ligne soit prolongée jusqu’en Afrique du Nord

Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2017

Lettre d’Alain Montangon, maire de Gauriaguet, adressée à Guillaume Pépy, le président de la SNCF.

Source : fdesouche

La France, pays à la dérive

Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2017

 
POSTÉ LE 24 OCTOBRE , 2017
 
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Je me suis rendu voici peu à Paris, où je n’étais pas allé depuis seize mois, et ce que j’ai vu m’a serré la gorge et donné les larmes aux yeux.

Ce n’était pas très différent de ce que j’avais quitté quand je suis parti, mais c’était pire.

L’aéroport de Roissy est de plus en plus mal entretenu et ressemble à l’aéroport d’un pays du tiers-monde – encore que je connaisse des aéroports du tiers-monde qui ont meilleure allure. À la sortie, j’ai retrouvé l’asphyxie de la circulation que je ne connais que trop bien, en plus grave.

J’ai songé, une fois de plus, que, dans un pays censé être une démocratie, le gouvernement devrait veiller à ce que les habi­tants puissent chercher librement le bonheur et je me suis dit à nouveau que la France était un pays où, comme en Union soviétique autrefois, le gouvernement cherche plutôt à créer le malheur, le souci, l’oppression.

J’ai songé un instant à louer une voiture, mais j’ai renoncé : je ne pouvais ignorer que je serais confronté sans cesse à des embouteillages délibérément fa­briqués.

J’ai regardé ceux qui m’entouraient et j’ai vu de la tristesse sur nombre de visages, de l’irritation, et de l’énervement dans les gestes. Je n’en ai pas été surpris, hélas.

J’aurais pu prendre le métro, mais je savais que, voici peu, deux hommes avaient été poignardés par un autre homme qui criait « Allahou Akbar » (mais qui, bien sûr, était juste un malade mental). J’ai donc pris un taxi. Je savais que je n’échapperais pas aux embouteillages, mais je n’aurais au moins pas à me garer. Je savais que j’allais payer cher, mais que ce n’était pas la faute du chauffeur.

Je n’ignore pas, depuis longtemps, que tout ce qui doit être versé à l’État augmente tous les prix et que, dès lors, si les prélèvements obligatoires en France s’élèvent en moyenne à 57 %, quiconque gagne correctement sa vie en France verse, si l’on ajoute impôts et taxes multiples, bien davantage.

Je n’ignore pas non plus que cela accroît la pauvreté et que le nombre de pauvres en France ne cesse d’augmenter.

J’ai pu le constater jusqu’à l’obscénité : la pauvreté n’est pas visible partout, mais elle est désormais flagrante dès qu’on quitte les beaux quartiers.

J’ai pu voir le long de l’autoroute, alentour de la porte de la Chapelle, au bord du boulevard périphérique, de véritables bidonvilles faits de tôle et de planches bâtis par les migrants que la police est parfois chargée de déplacer, mais qui reviennent inlassablement.

J’ai constaté que l’islamisation était plus flagrante que jamais : les femmes portant le voile sont plus nombreuses, les hommes en djellaba aussi.

Je n’étais pas à Paris lors des récentes manifestations, mais ce que j’ai vu en photo des manifestations m’a semblé pathétique. Comment peut-il y avoir encore des adhérents à la CGT (et à tout autre syndicat français d’ailleurs) ?

Je sais depuis des années que des casseurs utilisent les manifestations pour commettre des actes de vandalisme, et j’ai pu observer le long du parcours traditionnel République-Bastille, des magasins et des banques dont la façade était couverte de plaques de bois en attendant que vienne le vitrier.

J’ai entendu à nouveau en direct, et non de l’étranger, les « informations » à la radio, et j’ai pu constater, une fois de plus, que les « informations » en France ont elles-mêmes une dimension soviétique.

Je me suis souvenu de ce que me disait un dissident qui avait pu quitter Moscou, il y a une trentaine d’années, et qui, comprenant le français, m’avait dit que la population russe avait plus de chance que la population française : en Union soviétique, m’avait-il expliqué, il y avait une seule « Pravda » et ceux qui la lisaient ou qui écoutaient son équivalent radiophonique savaient que rien de ce qui était écrit ou dit n’était vrai. En France, avait-il ajouté, il y a plusieurs « Pravda » et nombre de gens pensent qu’elles disent la vérité.

Je vis désormais dans un pays qui n’est pas parfait, mais où il reste tout un ensemble de libertés qui ont disparu en France.
J’aimerais regretter d’être parti. Je ne regrette pas.

Je suis juste révolté en constatant ce que devient la France.

J’aimerais qu’une immense colère s’empare de la population française et vienne stopper ce que je perçois comme un immense assassinat.

 

Source : les4verites