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dimanche, 29 octobre 2017

A Toulouse, la police vous offre une heure de garde à vue supplémentaire !

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2017

Insolite

 A Toulouse, la police nationale vous propose une heure de garde à vue supplémentaire !/ Photo DDM illustration, Thierry Bordas

A Toulouse, la police nationale vous propose une heure de garde à vue supplémentaire !/ Photo DDM illustration, Thierry Bordas
La police nationale, à Toulouse, ne manque pas d'humour. Elle a tenu à rappeler à la population le changement d'heure, la nuit prochaine, dans un tweet au message un brin taquin, tout en appelant, bien sûr, à la prudence: "@PoliceNat31 vous propose 1 heure de garde à vue en plus cette nuit à nos côtés en cas d'infraction ! Restez prudents !" Quand prévention rime avec humour... Avis aux amateurs donc !
 

@PoliceNat31vous propose 1 heure de garde à vue en plus cette nuit à nos côtés en cas d'infraction!
Restez prudents!

Le changement d'heure est régulièrement critiqué notamment pour ses effets négatifs. Selon la Sécurité routière, la nuit tombant plus tôt au moment de la sortie des classes ou des trajets travail-domicile, "chaque année, le passage à l'heure d'hiver provoque un pic d'accidentalité routière de +47% pour les piétons en fin de journée", c'est-à-dire sur le créneau 17-19 heures.

 

A ce sujet, une campagne d'information et de prévention des accidents liés à la baisse de luminosité en fin de journée consécutive au changement d'heure a été lancée pour la deuxième année par la Sécurité routière, la Fédération nationale des syndicats d'agents généraux d'assurance (Agéa) et France Bleu.  

La France et les autres pays de l'Union européenne vont revenir à l'heure d'hiver dans la nuit de samedi à dimanche, offrant une heure de sommeil en plus. Dimanche à 3 heures (heure d'été), il sera 2 heures (heure d'hiver) en France. Il faudra donc penser à reculer d'une heure les horloges à réglage manuel. En France, le dispositif existe depuis 1976.

Violences conjugales : le footballeur Nicolas Douchez pris dans le filet

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2017 

douchez,hystérie féministe,violence conjugalesEn ces temps d’hystérie féministe, l’affaire impliquant le gardien de but du Racing Club de Lens Nicolas Douchez est symptomatique.

Le 27 octobre, l’ancien portier du Paris Saint-Germain et de Toulouse a été arrêté à son domicile du XVIIe arrondissement de Paris pour «violences en état d’ivresse» envers une femme :  «Il a massacré sa compagne. Il l’a saisie par les cheveux et lui a cogné la tête sur le mur et le sol», avait expliqué la veille une source proche du dossier. La victime, âgée de 27 ans, se plaignait de douleurs à la tête et avait les genoux écorchés, a indiqué une autre source proche de l’enquête. Il est également poursuivi pour «dégradation grave du bien d’autrui», selon la source judiciaire. «L’état de l’appartement donne un aperçu des violences. Boiseries cassées, miroir brisé, tiroirs détruits, tabouret renversé, débris de verre et vaisselle brisée sur le sol, traces de sang sur les murs et par terre», décrivait jeudi une autre sourceNicolas Douchez, 37 ans, avait été initialement placé en garde à vue pour «violences conjugales», mais cette circonstance aggravante n’a pas été retenue, la jeune femme n’étant pas sa compagne.

Coup de théâtre le lendemain par le biais de l’avocate du footballeur, Me Caroline Toby, qui a déclaré : «Nous voulons rétablir la vérité des faits tels qu’ils se sont passésIl y a eu des constatations policières, une enquête et une confrontation à l’issue desquelles aucune blessure, aucune trace de sang, aucun coup n’a été constaté. Des violences sans interruption temporaire de travail» (ITT), précise Me Toby qui rappelle que les faits se sont déroulés dans l’appartement de la plaignante. «Nicolas Douchez est assez meurtri par la violence des propos» rapportés dans la presse, le joueur se réservant le droit de saisir la justice quant à ces «allégations mensongères et profondément choquantes». Ecarté des bois lensois en début de saison au profit de son remplaçant Jérémy Vachoux, Douchez a repris sa place de titulaire à partir de la 5e journée. Lens, plus gros budget de Ligue 2 (plus que le 2e et 3e réunis), a connu un début de saison catastrophique, pointant à une médiocre 18e place et restant sur une défaite à domicile contre le Stade de Reims. Il est peu probable que Douchez soit du déplacement de demain contre la Berrichonne de Châteauroux.

En tout cas, la différence flagrante des versions entre l’avocate du joueur et celle publiée dans les médias laisse perplexe. Moyen de soutirer de l’argent à une vieille star du football sur la pente descendante ou « pétage de plomb » d’un sportif au bout du rouleau ? Réponse lors du procès qui aura lieu en février 2018… En tout cas, il n’aura pas été le premier à être livré en pâture par les médias pour des accusations erronées, notamment de viol (BrandaoBafetimbi GomisLoïc Rémy). Cependant, des faits de violences conjugales ont bien été réels, tant pour Djibril Cissé (avec la circonstance aggravante d’une grossesse) que pour Kanga Akalé ou Kingsley Coman.

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

Le commissariat de Clichy-Montfermeil envahi en toute impunité

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2017

Ecrit parPierre-Alain Depauw

 

En France, en 2017, on peut prendre d’assaut un commissariat de police en toute impunité. Preuve en a été donnée jeudi soir, lorsqu’une dizaine d’individus ont fait irruption de force dans le commissariat de Clichy-Montfermeil.

Les faits se sont déroulés peu après le retour au commissariat d’une patrouille avec à bord du véhicule deux hommes qu’elle vient d’interpeller. Avant même que le portail ne se referme, une dizaine d’individus a fait irruption. Les policiers d’abord submergés, sont finalement parvenus  à repousser les assaillants (dont l’origine n’a bien entendu pas été précisée).

Mais aucun n’a été appréhendé !

On vous le dit, c’est la loi de la jungle…

 

Source : medias-presse.info

samedi, 28 octobre 2017

Chronique de l’anti-France : illustration par des affiches de la SNCF

Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2017

 Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Dans les transports Medard, Ahmed et Khalid veillent sur vous pendant que Charles, Julie et Jean fraudent…

Affiches officielles SNCF.

Source : medias-presse.info

LE GRAIN DE SEL DE JEAN-CLAUDE ROLINAT

Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2017

ON MARCHE SUR LA TETE, CA NE TOURNE PLUS ROND !

Le grain de sel de Jean-Claude RolinatLa France, vieille terre de plaisanteries « gauloises », pour certaines certes, un peu trop « graveleuses », deviendrait-elle une austère planète de puritains anglo-saxons ou d’hypocrites mahométans, qui cacheraient derrière une morale compassée leur malaise avec le « beau sexe » ? L’affaire Weinstein, ce puissant producteur Hollywoodien qui « facturait » aux vedettes de cinéma et autres starlettes en devenir, ses bons offices et son piston en échange de « services sexuels », a ouvert une boite de Pandore qu’il sera bien difficile de refermer. Elles sont venues, elles sont toutes là, les GwynethPaltrow, Angelina Jolie, Ashley Judd, Emma de Caunes, Judith Godrèche, Léa Seydoux et autre Rosanna Arquette, pour accuser cet homme de 65 ans au physique ingrat, il est vrai, pour ses assauts répétitifs et insistants, et même de viols. Il n’en fallait pas plus pour que nos militantes féministes s’emparent du sujet. C’est tout juste si dans tout mâle, ne sommeillerait pas un cochon prêt à bondir sur le sexe dit faible et à se livrer à une razzia sur la gent féminine ! Nos Marlène Schiappa, sous-ministre de quelque chose, Isabelle Adjani et moult journalistes vedettes de la « grande » presse, sans oublier la députée  Obono et l’activiste Caroline De Haas, « twittent » allégrement sur le sujet. Toutefois, à noter que  certaines de toutes ces pasionarias s’opposent dans Libération notamment, «  à pénaliser des populations paupérisées et racisées » ! Nous ne savions pas que les « races » existaient encore, puisque la gauche les a retirées du vocabulaire et, d’autre part, on ne peut que s’étonner que ces pétroleuses aientla mémoire si courte : auraient-elles oublié les agressions sexuelles réelles pour le coup, commises massivement par des immigrés à Cologne et dans d’autres villes allemandes ? Se rendent-elles, à pied, dans certains quartiers de Paris et de banlieue, où les femmes, quand elles sortent, rasent les murs ou sont interdites d’entrer dans les cafés ? Il en est même une qui a proposé « d’élargir les trottoirs » ! Il faut raison garder et ne pas faire comme le gouvernement, vouloir légiférer à chaud sur la question du harcèlement sexuel, un phénomène qui n’a pas attendu les frasques de DSK ou de Weinstein pour être, tristement, d’une quotidienne actualité. Il y a déjà un arsenal judiciaire pour le réprimer. Mais attention, n’allons pas trop loin pour combattre un mal par un autre mal. Dans notre société de tradition « franchouillarde », la pudibonderie est aussi nocive que la vulgarité des insultes ou l’obscénité des propositions. Les chansons de « corps de garde » ou celles des carabins font partie de notre folklore. Prenons garde d’une judiciarisation à l’Américaine. Demain, pourrons-nous encore admirativement siffler discrètement sur le passage d’une jolie fille, même si c’est un peu vieillot, toucher amicalement l’épaule d’une collègue ou lui dire sur le ton de la plaisanterie, « t’as d’beaux yeux tu sais », sans que le soir même un juge d’instruction ne vous délivre un billet d’écrou ? Il en va du harcèlement des femmes comme du racisme : ne commandez pas dans une pâtisserie un « nègre en chemise » ou ne demandez pas au bistro un « petit noir bien serré » ou un « p’tit jaune » ! A l’extrême rigueur, dans le premier cas, exigez une « religieuse enceinte », il ne vous en coutera judiciairement rien et, dans le second, un expresso et un pastis ! Nous sommes entrés dans l’ère de la confusion des mots et des suspicions dans les intentions et les gestes. Les blagues croustillantes et graveleuses seront chassées de notre vocabulaire et, avec, toute la gouaille d’une époque. Il est vrai que tout le monde ne peut avoir l’esprit d’un Sacha Guitry, mais le « parler popu », l’argot, l’allure « Gavroche », ont aussi leur charme.  S’il convient de réprimer avec la plus grande fermeté les violences sexuelles et les propositions douteuses, les gestes scabreux, déplacés,  ou l’usage de son rang pour obtenir une faveur, - la fameuse « promotion canapé »  -, l’art de la séduction ne saurait être confondu avec ces actions-là. Je disais, plus haut, que le couvercle de la boite venait de s’ouvrir. 

 Qui n’a pas dénoncé son «  cochon » ? 

Des réputations vont s’effondrer sans qu’aucune vérification ne puisse être faite. Au diable la présomption d’innocence.Des noms circulent, Jean Lassalle, Christophe Arend, Pierre Joxe, Tariq Ramadan et la presse à sensation s’en empare. On confond, semble-t-il, dénonciation et délation. Des furies en appellent même, via internet, à dénoncer « les porcs » ! Allons, mesdames, qui n’a pas son cochon à jeter en pâture ?C’est tout juste, question de standing, si la dernière des vieilles filles au visage ingrat n’aura pas, elle aussi, subi les derniers outrages, de préférence de la part d’un curé, ce serait tellement mieux pour salir l’Eglise ? Francis Bergeron dans le numéro du quotidien PRESENT du mardi 24 octobre, concluait son papier par la phrase suivante : -«  Dans ces affaires-là, il faut donc raison garder, même si certains des hommes mis en cause n’ont visiblement pas su garder la leur ». Nous la ferons nôtre et surtout, « ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain »  

Jean-Claude R O L I N A T