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mercredi, 01 novembre 2017

Gendarmerie incendiée de Meylan : l’impunité antifa se paie cash…

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

La milice auxiliaire du régime, certaine de son impunité, passe au cran au-dessus. Cette fois, à Meylan, dans la banlieue de son fief de Grenoble, la vermine rouge s’en est prise directement aux familles des gendarmes, en faisant un trou dans le grillage à la cisaille et pénétrer nuitamment dans l’enceinte non pas de la gendarmerie elle-même, mais des immeubles de l’allée des Frênes, où vivent les neuf familles des militaires, soit 24 personnes.

Dans la nuit du 25 au 26 octobre (plus exactement à 3 heures du matin), un incendie s’est déclaré à la caserne de gendarmerie de Meylan. Les gauchistes ont mis le feu à 3 véhicules, crevé les pneus d’un autre et ont cadenassé le portail donnant accès au parking afin de ralentir les secours. Ce sont des véhicules personnels des gendarmes qui ont été visés : « Les gendarmes ont été réveillé par les odeurs de fumée, elles provenaient de dessous les bâtiments où sont logés les militaires et leurs familles Les occupants des logements ont été évacués et le feu a été rapidement maîtrisé par les pompiers. Les véhicules visés sont des véhicules civils, qui appartiennent aux familles. C’est un nouveau cap qui est franchi » déclare le colonel Yves Marzin. Selon le maire de la ville, Jean-Philippe Blanc : « Deux voitures ont pris feu sous l’auvent de l’immeuble, ce qui a provoqué l’incendie de la façade. Des fenêtres ont fondu, d’autres ont explosé, mais la fumée n’est pas rentrée dans les appartements, il ne devrait heureusement pas y avoir de relogement ». Les services techniques de la ville sont mobilisés pour rétablir l’eau et l’électricité.

Pour le général Olivier Kim, commandant la région de gendarmerie de Bourgogne-Franche-Comté :

« les événements sont récents, donc bien sûr il y a une véritable émotion, mais on ne doit pas céder à l’émotion, simplement en regardant l’histoire. Au cours de la guerre d’Algérie, certaines gendarmeries étaient l’objet d’attaques. Dans certaines régions de France, des mouvements séparatistes s’en sont parfois pris aux gendarmeries. Il faut réagir avec sang-froid, et ne pas tomber dans une paranoïa qui nous gênerait dans l’exécution de nos missions. En un mot, la gendarmerie continue de protéger ses concitoyens, comme elle le faisait avant ce type d’événement ».

C’est la deuxième fois en un mois que des locaux militaires isérois sont ciblés par des incendies, selon le même mode opératoire. Le 21 septembre, c’est la gendarmerie de Grenoble qui a été touchée, plus exactement les locaux techniques du groupement de gendarmerie de l’Isère. Un feu revendiqué par des membres de la mouvance anarcho-libertaire sur le site internet Indymedia. Rappelons que cet incendie a opportunément détruit une partie des éléments d’enquête sur la disparition de la petite Maëlys de Araujo…

Déjà à Limoges, le 19 septembre, cinq véhicules garés sur un parking de la caserne Jourdan, abritant le groupement de gendarmerie de la Haute-Vienne, avaient été détruits par les flammes. Dans les deux cas, la mouvance liée à l’extrême-gauche est suspectée d’être à l’origine de ces incendies, qui coïncident avec ceux ayant visé la société Enedis, qui installe les compteurs électriques Linky, à Grenoble et à Limoges.

Au moment des faits, le Figaro avait indiqué que la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) s’inquiétait du risque de dérives de certaines factions de l’ultragauche et redoutait un scénario analogue à celui qui vit la formation du groupe terroriste Action Directe, formé et entraîné par le KGB avec quelques piges pour le Mossad…

Il n’est pas étonnant que dans une ville détenue par l’extrême gauche comme Grenoble, la vermine se sent chez elle. Assurés de l’impunité gouvernementale, les nervis rouge et noir (non, il ne s’agit pas de hooligans de l’OGC Nice ou du Stade Rennais) ont attaqué le 25 septembre des militants royalistes. Le 29 juin, leur torchon La Horde lançait la chasse à notre camarade Alexandre Gabriac, le tout aboutissant aux épisodes que l’on sait à Fontaine. Puisqu’on parle de La Horde, ces derniers se sentent menacé par le développement de la résistante catholique à Chambéry, citant même dans un article votre serviteur (nous en reparlerons).

Rappelons aussi qu’il y a quelques années (en 2011-2012 je pense), des blattes courageusement anonymes avaient fiché les mouvements patriotes, avec également publication des photos des enfants des militants, précisément dans la région de Grenoble.  Ce n’est pas d’aujourd’hui que datent les problèmes. Déjà, le 20 avril 1944, à Voiron, on tuait les bébés de 15 mois pour crime de filiation…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

Attentat de New York : qui est Sayfullo Saipov, le suspect interpellé

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

Zoé Lauwereys (@zlauwereys)|

01 novembre 2017, 8h16 

 
L'auteur présumé de l'attaque de Manhattan est Sayfullo Saipov, un Ouzbek de 29 ans, arrivé aux Etats-Unis en 2010. ABC

Si les autorités restent prudentes, les premiers éléments concernant le parcours de l’auteur de l’attentat de Manhattan apparaissent sur les réseaux sociaux.

Il a roulé à tombeau ouvert mardi après-midi sur une promenade du bord de l’Hudson, à Manhattan (New York), laissant derrière lui des piétons et cyclistes renversés. Sayfullo Saipov, un Ouzbek de 29 ans, est soupçonné d’être l’auteur de l’attaque au camion-bélier qui a tué au moins huit personnes et en a blessé onze autres.

Selon le New York Times, Sayfullo Saipov arrive en 2010 dans l’Ohio depuis Tachkent, la capitale de l’Ouzbekistan. Il a alors 22 ans et parle à peine anglais.

Sans que l’on sache encore quand, le jeune homme part s’installer à Fort Myers (Floride). Il devient chauffeur de camion et rencontre Kobiljon Matkarov, 37 ans, immigré ouzbek comme lui. «Quand je l’ai connu, c’était un type bien (...) Il aimait les Etats-Unis, il semblait chanceux, heureux, et tout avait l’air d’aller bien», a expliqué ce compatriote au New York Times.

 

Le suspect serait marié et père de deux enfants, a expliqué de son côté Kobiljon Matkarov au Tampa Bay Times. Selon ce quotidien diffusé en Floride, Sayfullo Saipov avait une résidence à Tampa, dans le nord-ouest de l’Etat.

La résidence de Tampa où aurait vécu Sayfullo Saipov

AFP/Getty Images/Joseph Garnett Jr.

Le suspect de l’attaque de Manhattan pourrait avoir vécu dans cet appartement de Tempa en Floride. Sayfullo Saipov aurait donné cette adresse lorsqu’il a été arrêté pour un défaut d’entretien de son véhicule.

Sayfullo Saipov repart ensuite dans le nord du pays et s’installe dans le New Jersey, à Paterson, à une quarantaine de kilomètres au nord-ouest de New York. Là, il devient chauffeur Uber. Selon l’entreprise de chauffeurs privés interrogée par le quotidien new-yorkais, tous ses antécédents ont été vérifiés à ce moment-là, sans que le moindre soupçon ne soit éveillé.

Sayfullo Saipov est détenteur d’une «Green Card», un permis de séjour permanent, a confié une source policière au New York Times.

Mardi après-midi, après avoir tué onze personnes à Manhattan, le jeune Ouzbek a été blessé au ventre par un tir policier et a été interpellé. Selon CNN, un mot, écrit en anglais et laissé dans le camion meurtrier, prêterait allégeance à l’organisation terroriste Etat islamique. Des témoins ont par ailleurs raconté que Sayfullo Saipov avait crié «Allah Akbar» et «Dieu est grand en arabe» alors qu’il venait d’abandonner son véhicule.

 

 Source : leparisien

 

Calais : une jeune femme a été violée par un clandestin en rentrant chez elle

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

Auteur : Pierrot

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Ce qui devait arriver, arriva… Pour faire cesser cette folie, il faudrait que la population locale se soulève, qu’il y ait des représailles, des camps brûlés et des rotules cassées. Mais la répression des fanatiques républicains serait alors terrible…

Non pas contre les envahisseurs qui rentrent chez nous sans entrave, se nourrissent et se logent grâce à notre argent, pillent et violent avec l’assentiment des associations « humanitaires » gauchistes, mais contre nous, qui désirons simplement vivre en paix dans le pays de nos parents et de nos grands-parents.

Un pays blanc, traditionnel, catholique et paisible. Un pays où nos enfants n’apprennent pas à aduler des starlettes allogènes et transgenres dès l’âge de 5 ans. Un pays où la quête de richesse n’est pas l’objectif ultime de millions de moutons en quête du bonheur matériel et où les femmes ne sont pas obligées de limiter les trajets à pied de jour. Un pays où les croix catholiques ne sont pas détruites sur ordre de la justice maçonnique avec la bénédiction de l’Eglise. Une France où l’invasion migratoire et son corollaire islamique seraient rangés au rang des mauvais souvenirs.

Si nous ne travaillons pas à atteindre ces objectifs, les viols et les pillages des millions d’africains qui débarquent en Europe, se feront de plus en plus nombreux chaque année.

Une femme a été violée à Calais lundi 31 octobre dans la soirée, vers 23h40, a appris franceinfo de source proche du dossier. D’après le récit de la victime, l’auteur du viol était un migrant. La jeune femme, qui travaille dans un hôtel, rentrait chez elle lorsqu’elle a été agressée par un homme avenue Charles-de-Gaulle. Il l’a menacée d’un couteau, l’a traînée dans des bosquets à proximité et l’a violée.

 

contre-info

Source : francetvinfo via  FDS

CÉLÉBRONS LA FÊTE DE LA TOUSSAINT

Publié par Guy Jovelin le 01 novembre 2017

La Toussaint est une solennité célébrée le 1er novembre par l’Église catholique latine en l’honneur de tous les saints, connus et inconnus. La célébration liturgique commence aux vêpres le soir du 31 octobre et se termine à la fin du 1er novembre. La Toussaint est la veille de la Commémoration des fidèles défunts.


Célébrons la fête de la Toussaint

Dès le 4ème siècle, l’Eglise syrienne consacrait un jour à fêter tous les martyrs dont le nombre était devenu si grand qu’il rendait impossible toute commémoration individuelle. Trois siècles plus tard, dans son effort pour christianiser les traditions païennes, le pape Boniface IV transformait un temple romain dédié à tous les dieux, le Panthéon, en une église consacrée à tous les saints. Cette coutume se répandit en Occident, mais chaque Eglise locale les fêtait à des dates différentes jusqu’en 835, où elle fut fixée au 1er novembre. Dans l’Eglise byzantine, c’est le dimanche après la Pentecôte  qui est consacré à la fête de tous les saints. 

Souvent on croit souvent que la Toussaint, c’est la fête des morts au cours de laquelle on va fleurir les tombes. Il n’en n’est rien car la fête des morts, c’est le lendemain de la Toussaint ! 

En fait, le 2 novembre, les chrétiens fêtent les morts. C’est le jour où on se rappelle des morts de notre famille, de nos amis, de tous ceux qui nous sont proches. On se souvient de ceux qui sont partis. Les familles vont fleurir les cimetières. Ainsi, on n’oublie pas ceux qu’on a aimés. Ce n’est pas parce qu’ils sont partis physiquement qu’on ne pense plus à eux.

mardi, 31 octobre 2017

Eh oui !

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2017

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