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mardi, 31 octobre 2017

Le pays saturé d’illégaux : les policiers dénoncent un système ubuesque

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2017

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Depuis l’assassinat de Mauranne et Laura, à la gare Saint-Charles de Marseille, les préfets ont des consignes strictes du ministre de l’Intérieur et numéro 2 du gouvernement, Gérard Collomb, pour organiser les procédures d’éloignement, voire de « rétention » des migrants illégaux. Très bien. On ne peut qu’applaudir.

Là où les choses se compliquent, c’est qu’il est absolument impossible de faire exécuter ces décisions. Ceci en raison de procédures qui, dans les faits, s’opposent à la « rétention » (le mot « rétention » plaît davantage aux oreilles chastes et de gauche que le mot « détention ») de ces personnes qui séjournent en toute illégalité dans notre pays.

Par ailleurs, même si les procédures étaient modifiées, simplifiées, se pose un autre problème, totalement insurmontable, celui-là : il n’y a plus de places pour la « rétention » des clandestins. Le nombre de ce type de places est exactement de 1755, dont 184 dans les territoires d’outre-mer. Mais même si la totalité de ces 1755 places étaient implantées en Guyane, elles ne suffiraient déjà pas pour retenir les flots de migrants illégaux ayant envahi le territoire guyanais. Idem à Mayotte. Idem à Calais.

Les préfets ne peuvent donc pas appliquer la circulaire de leur ministre de tutelle. A qui la faute ? A beaucoup de monde, mais en particulier à un ministre de la Justice nommé Christiane Taubira, coqueluche des médias il y a peu, et en tout cas dans le même parti que Gérard Collomb…

Nous en sommes à guetter les places qui se libèrent dans les CRA, les centres de rétention administrative. Dès qu’une place est inoccupée, un clandestin y est acheminé.

16 à 18 heures de route

Les syndicats de police dénoncent à longueur de journée une situation ubuesque, qui oblige une escorte policière à trimballer par exemple un migrant illégal arrêté à Briançon jusqu’à un centre de rétention situé à Toulouse : 1400 kms aller-retour pour les fonctionnaires, 16 à 18 heures de route, simplement pour s’assurer de la détention d’un individu. Quand on sait que les illégaux se comptent désormais par centaines de milliers, on imagine les terrifiants volumes de temps passés sur la route et le coût représenté par ces voyages insensés.

Mais plus aberrant encore : si l’interpellé, bien conseillé, refuse son placement en rétention, une fois arrivé au centre d’affectation, il doit alors être renvoyé devant un juge du tribunal du lieu d’interception. Reprenons l’exemple du migrant de Briançon. S’il refuse son internement, les fonctionnaires de police doivent le transporter jusqu’au juge de la ville de Gap, compétent pour Briançon. C’est en quelque sorte un retour à la case départ, qui double le temps et la distance (et le coût) de l’opération ! Les sites des syndicats de police sont remplis de récits de ce genre, qui traduisent une irritation certaine chez ces fonctionnaires : longues absences loin de leur famille, fatigue, dangerosité des individus transportés, risques d’évasion démultipliés, mais surtout un sentiment d’inutilité absolue.

Synergie Officiers, syndicat affilié à la CGC, évoque par exemple le cas d’un clandestin arrêté à Grenoble et placé en rétention à Lille, au seul motif qu’une place venait enfin de s’y libérer. « Inertie, absurdité ou sabotage ? », s’interrogent les policiers.

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Extrait de: Source et auteur

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Un site de rencontre pour musulman polygame fait polémique au Royaume-Uni

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2017

« SecondWife » a été fondé en 2014 par Azad Chaiwala, qui, dans une déclaration à la BBC « , explique avoir lancé ce site parce qu’il cherchait lui-même une seconde épouse ».

Pour Azad Chaiwala, « la mauvaise publicité n’existe pas », comme il le souligne dans une vidéo publiée sur SecondWife, et n’hésite pas à défendre son concept et sa légalité sur les plateaux de télévision.

En effet, plusieurs pointent du doigt le fait que la polygamie soit illégale au Royaume-Uni. Cependant, comme le rappelle la BBC, l’Etat ne peut « empêcher que les cérémonies religieuses non officielles puissent avoir lieu ». Autrement dit, les mariages religieux, par la voie de la « Fatiha », entre autres, ne relèvent pas du ressort de l’Etat britannique.

 

 

Source : Huff Post via fdesouche

Outre-mer : une poudrière, selon le patron de la gendarmerie

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2017 

Par Michel Cabirol  
Dans les outre-mer, le niveau de violence est en augmentation, avec des situations extrêmement tendues, a expliqué aux députés de la commission de la défense le directeur général de la gendarmerie, le général Richard Lizurey
Dans les outre-mer, "le niveau de violence est en augmentation, avec des situations extrêmement tendues", a expliqué aux députés de la commission de la défense le directeur général de la gendarmerie, le général Richard Lizurey (Crédits : Reuters)
Vu du directeur général de la gendarmerie, la situation dans les outre-mer est extrêmement tendue, notamment à Mayotte et en Guyane. Le général Richard Lizurey se montrait pessimiste sur la violence dans ces territoires et a d'ores et déjà renforcé ses effectifs pour enrayer tout engrenage.

Bien avant la visite d'Emmanuel Macron en Guyane ce week-end, le patron de la gendarmerie, le général Richard Lizurey avait fait part aux députés de la commission de la défense, de ses "préoccupations" sur la violence dans les outre-mer. Il ne se montrait pas particulièrement optimiste sur la situation, notamment  à Mayotte, en Guyane et en Nouvelle-Calédonie... "Le niveau de violence y est en augmentation, avec des situations extrêmement tendues", avait-il précisé. Pour enrayer cette violence, la gendarmerie, qui dispose aujourd'hui de 83 véhicules blindés, en a déployé 38 en outre-mer.

Les prédictions du général Lizurey se sont malheureusement vérifiées avec les très durs affrontements entre forces de l'ordre et manifestants du collectif Pou Lagwiyann dékolé (Pour que la Guyane décolle) dans la nuit de jeudi à vendredi, le premier jour de la visite d'Emmanuel Macron en Guyane. Pendant plusieurs heures, les forces de l'ordre ont tiré des gaz lacrymogènes destinés au départ à disperser un rassemblement devant la préfecture de Guyane. En réponse, des jeunes souvent cagoulés ont lancé des cocktails Molotov et des projectiles, notamment aux abords du commissariat, près de la célèbre place des Palmistes.

La Guyane, "le deuxième territoire le plus préoccupant"

Selon le général Lizurey, la Guyane est "le deuxième territoire le plus préoccupant" des territoires d'outre-mer après celui de Mayotte. Le directeur général de la gendarmerie n'évoquait pas spécialement l'orpaillage mais "des zones très peuplées, comme Saint-Laurent-du-Maroni, Cayenne et Kourou""La situation est assez difficile à Kourou, avec le centre spatial et ses cadres qui ont un niveau de vie correct, et tout autour, des gens socialement très défavorisés qui ne cherchent qu'une chose : aller chercher l'argent là où il est", expliquait-il.

 

"Le niveau de violence augmente en Guyane, et je ne vois pas très bien comment les choses peuvent s'arranger, sauf à y envoyer des troupes", soulignait le patron de la gendarmerie, pessimiste sur la situation dans ce département français.

La gendarmerie dispose déjà aujourd'hui de sept escadrons de gendarmes mobiles en renfort en Guyane. "La Guyane est, de fait, l'endroit du territoire national où il y a le plus d'escadrons en renfort. Je précise que j'ai 109 escadrons au total, et que 25 sont déplacés en permanence en outre-mer", soulignait-il.

La situation à Mayotte constitue "une bombe sociale"

"Tous les jours, j'entends parler de caillassages de gendarmes et de véhicules, d'agressions, ou d'opérations de décasage (expulsion de clandestins par des bandes de Mahorais xénophobes et violents, ndlr) du fait de tensions intracommunautaires", soulignait le général Lizurey. Et selon lui, "la situation à Mayotte constitue une bombe sociale, qui explosera on ne sait pas quand. Mais cela arrivera. Cela a failli arriver en début d'année, pour un problème de manque d'eau".

Pendant quinze jours, il y a eu des coupures d'eau deux jours sur trois, alors qu'il faisait très chaud. La gendarmerie a même dû évacuer des gendarmes et des familles. Ce manque d'eau a canalisé les tensions. Elles "sont toujours là, et il est certain qu'à Mayotte, un jour ou l'autre, nous serons confrontés à des difficultés. Pour moi, c'est le territoire le plus préoccupant", insistait le patron de la gendarmerie.

Une tension en baisse aux Antilles

La situation aux Antilles est "toujours marquée par un niveau de violence assez élevé, mais on constate une relative amélioration", notait le général Lizurey. Il observe que la  "délinquance s'est un peu stabilisée, ce qui s'explique aussi par l'évolution sociologique de la population antillaise, marquée notamment par un certain vieillissement. Ainsi, les ingrédients historiques d'une violence endémique ont tendance à diminuer".

Nouvelle-Calédonie: 20 gendarmes blessés par balle depuis octobre 2016

Enfin en Nouvelle-Calédonie, le directeur général de la gendarmerie constatait que ce  territoire méritait "une vigilance particulière" en raison d'une hausse des agressions. "Depuis le mois d'octobre 2016, vingt gendarmes ont été blessés par balle - ce qui fait de cette île l'endroit du territoire national où l'on compte le plus de blessés par balle -, ayant fait l'objet de tirs directs, avec des projectiles transperçant les blindages des véhicules blindés à roues de la gendarmerie (VBRG), ce qui est très préoccupant", expliquait-il aux députés.

Selon lui, "on retrouve tous les ingrédients d'une situation que l'on a connue il y a quelques années, et il est certain que le référendum qui doit avoir lieu à la fin du deuxième semestre 2018 ne va faire qu'exacerber les tensions, ce qui doit nous conduire à faire preuve d'une vigilance accrue et à renforcer nos troupes sur place". La gendarmerie a actuellement cinq escadrons en Nouvelle-Calédonie. Elle a en outre projeté les moyens permettant d'équiper rapidement jusqu'à neuf escadrons en cas de nécessité. Ainsi, elle a envoyé des véhicules blindés supplémentaires, en l'occurrence une dizaine de véhicules de l'avant blindés (VAB) récupérés d'Afghanistan, en Nouvelle-Calédonie, où se trouve désormais stationnée la totalité de la composante blindée, ainsi qu'une capacité de mobilité, c'est-à-dire des véhicules de transport de troupes pouvant équiper jusqu'à neuf escadrons.

"De cette manière, nous serons prêts à l'action dès le 1er janvier prochain, et j'ai engagé le centre de planification et de gestion de crise de la direction générale (CPGC), qui a procédé à une évaluation initiale avant de planifier cette opération, ce qui nous a conduits à faire en sorte d'être en mesure d'intervenir rapidement, en ayant mobilisé sur place à l'avance les moyens nécessaires", a expliqué le général Lizurey.

 

Source : latribune

Lorsque Barcelone acclamait le Général Franco

Publié par Guy Jovelin le 31 octobre 2017 

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Comme chacun est sensé le croire (pour respecter les dogmes de la pensée dominante), la Catalogne aurait terriblement souffert du franquisme...

Pourtant, lorsque le Général Franco s'est rendu en 1970 à Barcelone, soit plus de 30 ans après la fin de la sinistre république de triste mémoire et son accession au pouvoir, les Catalans ne semblaient pas lui en tenir beaucoup rigueur si l'on en juge par le reportage ci-dessus.

A moins qu'il s'agisse de figurants ou que, derrière chaque habitant de la capitale de la Catalogne venu acclamer la Caudillo, une baïonnette soit sournoisement pointée. Mais sur le film, on ne les voit pas.

 

Source : synthesenationale

lundi, 30 octobre 2017

Thomas Joly convoqué le 9 novembre devant le tribunal correctionnel de Beauvais pour avoir dénoncé la barbarie islamiste !

Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2017

Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, avait passé six heures en garde à vue, le 19 février 2016, pour avoir diffusé des photos montrant la barbarie de la décapitation d’Hervé Cornara par l’islamiste Yassin Salhi, ainsi que celle de James Foley décapité par l’État Islamique.

Convoqué devant le tribunal correctionnel de Beauvais le 9 novembre prochain pour une soi-disant « diffusion de message violent accessible à un mineur », prétexte trouvé par le procureur pour le poursuivre, Thomas Joly entend bien défendre sa liberté d'expression face à une justice qui ferait mieux de s'occuper de la racaille afro-islamiste qui a transformé notre pays en champ de bataille.

Tous ceux qui souhaitent soutenir Thomas Joly lors de ce procès inique sont invités à venir le soutenir lors de l’audience qui se déroulera jeudi 9 novembre à 8h30 au Palais de justice de Beauvais (20 Boulevard Saint-Jean).