Ecrit parLéo Kersauzie
Communiqué de la Fédération des Québécois de souche
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Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2017
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : france insoumise, islamistes, mélenchon, symboles chrétiens | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | Facebook | |
Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2017
Communiqué de la Fédération des Québécois de souche
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Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : canadiens-français, immigrés, minoritaires+ en 2035 | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | Facebook | |
Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2017
© ANNE-CHRISTINE POUJOULAT Source: AFP
Bernard-Henri Levy en compagnie d'Harvey Weinstein à Cannes en 2012 pour la présentation de son film, «Le Serment de Tobrouk».
L’enthousiasme qu'avait manifesté Bernard-Henri Lévy à l'égard d'Harvey Weinstein pour sa réaction à l'affaire Polanski, a refait surface sur les réseaux sociaux, à l'heure où le producteur est lui-même empêtré dans un scandale sexuel.
En plein scandale sexuel concernant Harvey Weinstein, un certain nombre d'internautes ont exhumé des réseaux sociaux des propos élogieux de Bernard-Henri Lévy à l'égard du producteur hollywoodien... pour sa défense de Roman Polanski.
Bernard-Henri Lévy a souligné qu’Harvey Weinstein fit partie des rares Américains qui, au moment du lynchage de Roman Polanski, furent du bon côté de la barricade
Le philosophe français n'avait en effet pas tari d'éloges envers le producteur, qui avait soutenu le réalisateur franco-polonais menacé d'extradition vers les Etats-Unis, où il est poursuivi pour un viol présumé commis il y a 40 ans.
«Bernard-Henri Lévy [...] a souligné qu’Harvey Weinstein fit partie des rares Américains qui, au moment du lynchage de Roman Polanski, furent du bon côté de la barricade et s’opposèrent avec force aux modernes Sorcières de Salem», pouvait-on lire notamment dans un article publié en 2012 sur le site de La règle du jeu, revue littéraire fondée par BHL, concernant le film Le serment de Tobrouk (réalisé par l'écrivain français et distribué aux Etats-Unis par Harvey Weinstein).
L'ironie du choix du philosophe aventurier d'évoquer l'affaire Polanski, pour faire l'éloge d'un homme lui-même accusé quelques années plus tard de multiples agressions sexuelles, a été soulignée sur les réseaux sociaux, ainsi que par Les crises, blog spécialisé dans les questions économiques animé par Olivier Berruyer.
Décrit comme un «faiseur d'Oscars», le producteur Harvey Weinstein a longtemps été un incontournable d'Hollywood et de la politique (il a notamment apporté un soutien financier à la campagne présidentielle de Hillary Clinton). Meryl Streep le surnommait notamment «Dieu»... jusqu'à sa récente chute.
Le producteur a en effet été licencié le 8 octobre de la Weinstein Company, entreprise qu'il avait cofondée avec son frère, à la suite d'un immense scandale sexuel qui aura eu raison de son influence sur l'industrie du cinéma américain. Une enquête du New York Times a révélé au moins huit accords à l'amiable passés pour étouffer des allégations de harcèlement sexuel, notamment avec l'actrice Ashley Judd, forcée de le regarder prendre une douche dans sa chambre d’hôtel.
D'autres accusations, exprimées notamment par les actrices Angelina Jolie, Gwyneth Paltrow, Asia Argento, Rosanna Arquette et trois autres femmes, ont été portées depuis contre l'homme d'affaire, qui se concentre désormais sur sa défense.
Source : francais.rt
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Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2017
Le réfugié afghan qui a agressé une Oloronaise de 79 ans ce vendredi était connu pour des problèmes psychiatriques. Sa garde à vue à la gendarmerie d’Oloron s’est poursuivie jusqu’à 4 heures du matin.
On en sait un peu plus sur l’homme d’une vingtaine d’années qui a donné plusieurs coups de couteau à une femme de 79 ans dans un appartement de la rue Revol, ce vendredi. Selon nos informations, ce réfugié afghan, hébergé au premier étage du Bialé par l’Ogfa, bénéficiait d’un suivi psychiatrique. « Ce n’est pas normal que l’Etat ne nous ait pas mis au courant de l’état instable de cet homme », estime le maire d’Oloron Hervé Lucbéreilh. « Il faudra vérifier l’itinéraire qui a conduit cet e jusqu’à Oloron, puisque sont trajet semble bien différent de celui des autres migrants afghans. »
(…) La République des Pyrénées
Un réfugié afghan d’une vingtaine d’années a poignardé une femme âgée de 79 ans alors qu’elle se trouvait à son domicile. Le jeune homme a été arrêté par les gendarmes d’Oloron.
La victime était consciente à l’arrivée des pompiers, mais son état de santé s’est dégradé lors de son transfert à l’hôpital de Pau. Selon le parquet, elle est toujours « dans un état très critique » ce matin.
Il était environ 18h30 vendredi soir quand l’homme, un réfugié afghan âgé de 19 ans, s’est présenté au domicile de cette dame, âgée de 78 ans. Il vivait à côté de chez elle, dans un appartement prêté par l’Ogfa, l’organisme de gestion des foyers de l’amitié. Ils étaient voisins, ils se voyaient régulièrement. Il serait entré chez elle, et lui aurait asséné plusieurs coups de couteau. On ne sait pas pourquoi pour l’instant. Ce sont les colocataires de cet homme, des réfugiés eux aussi, qui ont prévenu les gendarmes selon La république des Pyrénées, qui révèle le drame ce matin. L’homme a été interpellé dans la rue.
Source : fdesouche
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : femme de 78 ans poignardée, oloron, réfugié afghan | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | Facebook | |
Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2017
Tribune de Benjamin Stora, président du conseil d’orientation du Musée national de l’histoire de l’immigration (MNHI). Né en Algérie, Benjamin Stora est un ancien militant du mouvement trotskiste OCI (Organisation communiste internationaliste).
L’ensemble des démocraties européennes est confronté à une course de vitesse : la géopolitique des flux dépasse largement la guerre civile en Syrie ; son ampleur est durable. Nous devrons donc apprendre à vivre avec des personnes issues de pays, de cultures et de langues différentes des nôtres.
Il y a dix ans, la légitimité du Musée national de l’histoire de l’immigration (MNHI) a été fortement débattue.
Au point de départ de sa création, on trouve la bataille pour l’inversion des regards autour de la question migratoire, perçue de manière négative dans une partie importante de la société française.
Il fallait trouver une traduction culturelle à l’effervescence de l’antiracisme des années 80. Tout s’est accéléré avec l’accession du FN au second tour de la présidentielle de 2002 . Une mission de préfiguration a été confiée par Jacques Chirac à Jacques Toubon. Dès l’origine, des questions méthodologiques se sont posées : ce lieu devait-il être un simple lieu d’histoire et de mémoires ou une entreprise citoyenne ? La réponse apportée à l’époque reste valable : ce lieu, devenu «Musée national», doit être les deux à la fois. Il s’agit de raconter une histoire de l’immigration, de la faire entrer dans le patrimoine commun de tous les Français et d’essayer de la faire vivre dans le présent, à travers les combats contre le racisme et pour la citoyenneté. […]
Il nous faut d’abord permettre une reconnaissance plus importante de l’apport des immigrations post-coloniales. Il est assez remarquable que, malgré la démonstration apportée par les chercheurs de l’influence de la période coloniale et post-coloniale sur l’immigration, celle-ci peine toujours à se faire admettre, notamment au sein de l’école. […]
Source : fdesouche via Libération
Écrit par . dans Le Parti de la France | Tags : benjamin stora, cultures langues différentes, immigration | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer | Facebook | |