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jeudi, 12 octobre 2017

Fêter simultanément (les 9 et 10.10. 2017) «Le Che» et La lutte contre la peine de mort ! Aucun problème pour nos médias et la gauche.

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

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Fêter simultanément (9 et 10.10. 2017) « Le Che » et La lutte contre la peine de mort ! Aucun problème pour nos médias et la gauche.

Les bien-pensants et  la gauche, aidés par une vaste mise en scène des médias , réussissent le tour de force de fêter à un jour d’intervalle  les 50 ans de la mort du révolutionnaire et exécuteur en chef Che Guevara et les 15 ans de la Coalition de la lutte contre la peine .

Le 9 octobre, un nombre impressionnant de médias rappellent en boucle  les 50 ans de la mort  du chef révolutionnaire , poursuivant ainsi l’énorme  mythification du personnage tout en taisant les crimes abominables commis et ordonnés par ce même Che.

Au niveau local genevois, le journal La Tribune de Genève du 7.10.2017 (TdG) abonde dans ce sens  en publiant deux articles : une interview du compagnon de route (mais pas jusqu’à la prise du maquis bolivien) Jean Ziegler (J.Z.) qui répète une admiration inconditionnelle depuis son militantisme communiste jusqu’à nos jours pour le Che  (le Che lui « a sauvé la vie »  et « il ne se passe pas un jour sans que  le plus célèbre des intellectuels suisses  (J.Z. donc) ne pense  au Che ». Le plus célèbre des intellectuels, pour qui en fait ?

On peut aussi rappeler que son ami Régis Debray qui avait lui, en revanche, pris le maquis avec le Che  n’a pas été tué comme beaucoup de ses camarades guérilléros parce qu’il a été exfiltré au bon moment grâce aux liens de sa famille avec le pouvoir français de l’époque qui s’est chargé de le ramener à temps.

Retour à notre média local (TdG). Il n’est jamais question du fait, par exemple, que le Che dit médecin n’a jamais terminé ses études de médecin alors qu’il sera enrôlé comme médecin  par Castro ; ni du fait qu’il  liquidait  d’une balle dans la tête  ceux  qu’il considérait comme des traîtres lorsqu’il opérait dans la Sierra Maestra ; ni que cigare aux lèvres à la Havanne , à la prison de la Cabaña, deux cents condamnations à mort lui sont imputables, lorsqu’il ne les exécutait pas lui-même, etc.

Jean Sévilla , Che Guevara, Sous le mythe, le fanatisme sanguinaire, Valeurs actuelles, 5.10.2017, rappelle plusieurs de ces actions meurtrières du Che. Citation :

« Les exécutions  sont non seulement une nécessité pour le peuple  de Cuba , mais également un devoir  imposé par ce peuple ».

Aucun rappel non plus dans nos médias des nationalisations  du Che à Cuba qui ont ruiné l’économie de l’île, naguère  un des Etats les plus développés d’Amérique latine ; ni du fait qu’il a créé des camps de travaux forcés : « le premier goulag des Caraïbes » (dixit J. Sévilla, open cit.), etc. etc.

Rien non plus de tous ces crimes dans un deuxième article de la TdG  consacré à une interview d’un ex-correspondant de la RTS en Bolivie et auteur d’un livre : « Les derniers jours  de Che Guevara » ;  un titre  qui semble vouloir dire que le Che manquait de moyens  pour réussir sa révolution :  « Che Guevara avait de faibles moyens pour sa révolution ».

La TdG signale enfin une série d’événements, d’hommages  et de célébrations prévus à l’occasion du cinquantenaire  de cette mort du Che. Retenons  un seul de ces événements, celui de l’intervention de Jorge Valero, ambassadeur  du Vénézuela  auprès de l’ONU, cette ONU devant laquelle le Che  a dit en 1964 : « Nous avons fusillé, nous fusillons et nous continuerons à fusiller tant qu’il faudra ».

Autres événements : une semaine "Che Vive"...; une semaine d'animations à Uni-Mail; expositons de photos, etc.

Ainsi vont nos médias, nos journalistes, nos intellectuels , du moins certains, même ceux qui se prétendent neutres, ouverts et pluralistes, et qui bien sûr sont objectifs et ne produisent jamais de « fake news » ; ils réservent cette accusation aux médias qui tentent de dire la réalité toute la réalité.

De ces crimes et « peines de mort »  infligés par le Che il ne sera évidemment pas question non plus lors de la 15e  journée de la Coalition contre la peine de mort.

Nous avons consacré plusieurs articles à ce Che sanguinaire sur LesObservateurs.ch, voir les liens  , ici et iciici,

Uli Windisch, 10 octobre 2017

 

Source : lesobservateurs

Avec 15 cambriolages par jour, les chiffres de la délinquance explosent à Grenoble

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

Le nombre de vols violents avec arme bondit de 42% cette année à Grenoble / © France 3 Alpes

Le nombre de vols violents avec arme bondit de 42% cette année à Grenoble / © France 3 Alpes

Invité exceptionnel de l'émission "Dimanche en Politique", qui sera diffusée ce dimanche 15 octobre, le Procureur de la République de Grenoble dresse un bilan désastreux de la délinquance. Lors de l'enregistrement, Jean-Yves-Coquillat a livré, en exclusivité, des chiffres alarmants pour 2017.

 Par France 3 Alpes

"Nous sommes dans une situation qui n'est pas bonne". Le constat, sans appel, est signé Jean-Yves Coquillat. Le Procureur de la République de Grenoble, invité exceptionnel de l'émission "Dimanche en Politique" qui sera diffusé le dimanche 15 octobre, a en effet dressé, lors de l'enregistrement, un bilan catastrophique de la délinquance dans l'agglomération de Grenoble pour l'année 2017.

+42% pour les vols avec arme 

Si les chiffres ne sont pas encore définitifs puisque l'année n'est pas terminée, une grande tendance se dégage déjà. Tous les voyants sont au rouge. Certains sont même écarlates. Ainsi, le nombre de cambriolages a augmenté de 10% en un an. Désormais, en moyenne, 15 cambriolages sont perpétrés chaque jour à Grenoble, "ce qui est énorme" commente le Procureur. 

Cette tendance à une forte hausse se retrouve également pour les véhicules incendiés (+8%) et pour les vols violents sans arme (+26%). Mais le chiffre le plus inquiétant concerne le nombre de vols violents avec arme, en hausse de 42%. Pourtant, avec 222 cas en 2016, ces vols très traumatisants étaient plutôt à la baisse depuis trois ans. 

"Les stupéfiants gangrènent la ville"

Pour expliquer ce bilan a priori catastrophique, le Procureur de la République met en avant deux facteurs : un trafic de stupéfiant qui "gangrène l'ensemble de la ville et qui entretient une économie souterraine importante" ainsi qu'un "niveau de violence très élevé pour une ville de cette taille". Les deux facteurs étant étroitement liés. 

En 2016, alors ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve avait expliqué que le niveau de délinquance à Grenoble était 63% plus élevé que dans les autres agglomérations de taille similaire. Avec ce premier bilan exclusif, son constat ne peut être que confirmé. De quoi relancer les polémiques politiques sur la vidéosurveillance et l'armement de la police municipale. Et conforter les syndicalistes policiers qui réclament depuis longtemps de nouveaux renforts. 

"Dimanche en politique", une émission à suivre en intégralité ce dimanche 15 octobre 2017 à partir de 11h30 sur France 3 Alpes.
 
Source : france3-regions.francetvinfo

La guerre civile a déjà commencé!

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

 
POSTÉ LE 10 OCTOBRE , 2017

belles consciences,chaos,guerre civile,laxisme,terroristes

Voici quelques années, le courageux écrivain Laurent Obertone publia un essai intitulé « La France Orange mécanique ».

Il s’agissait de brosser un tableau de la réalité de l’insécurité dans notre pays.

Certes, ce tableau était noir et effrayant, mais il était surtout réaliste.

Naturellement, les politiciens qui, à la suite de Lionel Jospin, continuaient à croire qu’il n’y avait pas d’insécurité, seulement un « sentiment d’insécurité », étaient incapables de tenir compte de cette réalité.

Faute de prise en compte de la réalité, notre pays s’enfonce dans le chaos. En 2016, 3,7 millions de crimes et délits ont été enregistrés par les forces de l’ordre. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.

D’après les estimations de l’Observatoire national de la délinquance et de la réponse pénale, il faut multiplier par 5 les chiffres officiels pour avoir une idée de l’insécurité. En d’autres termes, au moins 15 millions de crimes et délits ont été perpétrés en France en 2016.

Les politiciens peuvent, bien sûr, continuer à se voiler la face, en se disant que, dans leurs quartiers bien protégés, ils sont à l’abri.

Mais la seule légitimation de leur rémunération réside dans leur service de la population. S’ils ne servent pas, voire s’ils aggravent la situation du peuple en refusant de condamner les auteurs d’exactions, non seulement ils ne méritent pas leur salaire, mais ils méritent bel et bien de passer en Cour de Justice !

Or, si l’on observe, même d’un œil distrait, l’actualité récente, on ne peut manquer d’être frappé par la responsabilité des « belles consciences ».

Je les tiens déjà pour responsables des innombrables morts par noyade de candidats à l’immigration clandestine en Méditerranée.

C’est, en effet, parce que nous envoyons le message parfaitement clair que les immigrés clandestins sont les bienvenus chez nous – qu’ils y sont nourris et soignés, bien mieux que nos paysans qui ont trimé toute leur vie – que ces malheureux tentent la traversée sur des coquilles de noix, entraînés par des passeurs esclavagistes.

Mais les politiciens, les intellectuels et les juges laxistes sont aussi complices des terroristes.

Songez que l’assassin des deux jeunes Marseillaises était un clandestin présent sur notre sol depuis une dizaine d’années. Et, surtout, que, tout clandestin qu’il fût, il avait été interpellé une dizaine de fois, sans jamais être expulsé.

On ne peut pas prétendre faire la guerre au terrorisme – en limitant drastiquement, au passage, les libertés des Français honnêtes –, si on n’applique même pas les lois.

La réalité, c’est que l’appareil d’État est le principal responsable de ces morts – avec le salafisme qu’il laisse complaisamment se répandre dans plus de cent mosquées identifiées.

Il est vrai que l’État est tellement occupé à emm… les braves gens qu’il n’a plus de moyens à consacrer à la lutte anti-terroriste.

Il préfère augmenter le budget de l’Aide médicale d’État, destiné à soigner ceux qui sont illégalement présents chez nous, que celui de l’armée.

Il préfère dorloter les délinquants et persécuter ceux qui se défendent, comme Daniel Malgouyres qui a tué l’un de ses agresseurs, entré par effraction chez lui, et qui risque pour cela la prison.

L’État ne protège plus les Français, collabore avec les assassins par son laxisme et son idéologie prétendument « progressiste », mais lutte avec acharnement contre la légitime défense.

Ces politiciens « collabos » vont être rejetés.

La question est de savoir qui les remplacera. Et il est à craindre que ce soit la charia, si les Français ne se réveillent pas rapidement.

 

Source : les4verites

Un premier centre de pré-accueil pour migrants d'Ile-de-France ouvre ses portes à Cergy-Pontoise

Titre Porte de la Chapelle à Paris, le 27 juillet 2017 - CHRISTOPHE ARCHAMBAULT AFP

Un premier centre de pré-accueil destiné aux migrants ouvre ses portes ce jeudi à Cergy Pontoise. Son but: orienter les migrants sur leur statut et les démarches à suivre.

La France aura son opium footballistique

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

Rédigé par notre équipe le 11 octobre 2017.

 
Après une campagne de qualification laborieuse et une dernière victoire contre la Biélorussie hier, l’équipe de France de football sera bien présente à la Coupe du monde FIFA 2018. Une édition attendue de toute la France du foot, mais aussi espérée par des politiques qui pourront détourner l’attention de Français pressurisés par un pouvoir méprisant. L’été sera l’occasion d’enfouir les problèmes sous les pelouses et de pointer du doigt le pays hôte de la compétition : la Russie.  

Un grand ouf de soulagement s’est fait entendre mardi soir au Stade de France. L’équipe menée par Didier Deschamps a finalement validé son ticket pour le mondial en Russie. A partir du 14 juin (et même avant), tous les regards seront tournés vers la Russie et ses stades. Chaque entraînement de l’équipe de France sera épié, la forme de chaque joueur scrutée, et les compositions d’équipe largement discutées. Bref, toutes les conversations tourneront autour du football et les médias n’auront d’yeux que pour 23 individus chargés de redorer le blason français.

L’anesthésie par le foot

La mission ne fait pas partie du cahier des charges initial, mais depuis que le politique a abandonné le pouvoir pour le confier à la sphère économique, le sport est devenu l’un des rares moyens de fabriquer une pseudo unité nationale. Le football et ses grandes compétitions doivent jouer le premier rôle et une absence lors d’un grand raout international est vécu comme un drame collectif – bien alimenté en cela par des médias drogués à « l’information » facile qui ne demande aucune réflexion ni prise de risque vis-à-vis du pouvoir.

Les ventes de maillots se porteront bien et les livreurs de pizza auront d’intenses soirées estivales à assumer. L’économie sera au beau fixe et les amuseurs qui prennent le titre d’économiste à la télévision expliqueront tous les effets à attendre d’un beau parcours au mondial. Des chiffres invérifiables, des anecdotes inutiles et des plans sur la comète qui ne manqueront pas d’occulter les vraies informations du moment. Les politiques viennent de se voir offrir trois mois de répit (vacances comprises). Ça sourit à l’Elysée et dans les ministères !

Mais le peuple peut se rassurer, il aura aussi le droit à du journalisme d’investigation. La Russie sera passée au crible et les conclusions seront toujours les mêmes : le pays est une affreuse « démocrature » qui glisse sur une pente fascisante. Poutine est une menace pour la paix et le mondial (mal organisé à bien des égards) ne pourra pas cacher une terrible réalité russe. Le pays est corrompu et fait honte à des démocraties européennes, elles, irréprochables. Le grotesque prendra le relai du farcesque dans une folle ronde. Les chefs d’Etat joueront à la diplomatie de pacotille en signifiant par leur présence ou leur absence la ligne qu’ils désirent incarner face à l’incarnation du Mal.

La Coupe du monde 2018 verra une seule équipe gagnante, mais ils seront plus d’un à tirer les marrons du feu. Le peuple, lui aura le droit à son opium, mais les effets seront de courte durée.

 

Source : 24heuresactu