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dimanche, 02 juillet 2017

La Chine refuse d’accueillir des migrants afin de sauvegarder son économie, sa sécurité, son homogénéité ethnique et religieuse.

Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2017

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Lors de la Journée Mondiale des Réfugiés, qui se déroule tous les ans le 20 juin, l'ONU a publié une vidéo intitulée «Nous sommes solidaires avec les réfugiés» sur son compte officiel Sina Weibo, appelant le public chinois à accorder plus d'attention à cette question.

Le public chinois soutient généralement que la Chine ne peut pas accepter un grand nombre de réfugiés actuellement, bien que beaucoup soient compatissants à l'égard de ces victimes. Les raisons sont complexes (...). C'est lié au développement économique de la Chine, à la population, à la composition ethnique, au mécanisme juridique et à l'histoire.

La priorité pour la Chine demeure le développement. Un afflux excessif de réfugiés aura un impact énorme sur l'ordre social. Si des terroristes infiltrent la Chine via les réfugiés, la sécurité des 1,4 milliard de personnes sera menacée, une crainte qui peut être démontrée par la crise actuelle des réfugiés en Europe. 

Accepter trop de réfugiés peut priver la Chine d'un environnement stable pour le développement.

La Chine exploite son développement pour stimuler l'économie mondiale et offre activement des biens publics à la planète, grâce à des plates-formes telles que l'initiative Belt and Road et la Banque asiatique d'investissement. Si la Chine est plongée dans le chaos, d'autres pays et même le monde en subiront les conséquences.

De plus, la Chine n'a pas encore mis en place un mécanisme pour accepter les réfugiés. Ce problème, couplé avec les différentes religions et différents style de vie, engendrerait des difficultés pour les réfugiés du Moyen-Orient de vivre en Chine à long terme.

(...)

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

samedi, 01 juillet 2017

Dédié à Marine Le Pen et son état-major du FN qui pleurent Simone Veil

Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2017

par   30 juin 2017

Ce dessin est spécialement dédié à Marine Le Pen et à l’état-major du Front National qui rendent hommage à l’avorteuse Simone Veil.

 

Source : medias-presse.info

Les migrants veulent de l’argent et non de la nourriture

Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2017

Trois heures ! Leur protestation pour obtenir de l’argent et non de la nourriture aura duré trois heures dans les bureaux de la coopérative italienne Koinè qui les accueille dans la ville d’Arezzo. Ce n‘est ni la première ni la dernière !

Les clandestins avaient déjà protesté contre les conditions d’accueil sous les fenêtres de la préfecture le 19 juin dernier. Ce jour-là ils manifestaient leur mécontentement concernant l’heure du dîner, qui leur était servi avant le coucher du soleil, en violation des règles du ramadan !

Mercredi dernier c’était pour recevoir de l’argent à la place de l’alimentation qui leur est offerte gratuitement, ne l’oublions pas.

« Les réfugiés ont insisté, explique la coopérative Koiné sur son site internet,avec leur idée de pouvoir recevoir de l’argent à la place de la nourriture. Face au refus des dirigeants de la coopérative, ils ont annoncé qu’ils ne quitteraient pas les bureaux jusqu’à ce que le préfet ne modifie pas ses dispositions. La préfecture a été informée de cette demande et de la discussion qui avait lieu et, bien entendu, elle n’a pas obtempéré à cette revendication. »

Ce sont les carabiniers et les policiers municipaux qui ont fini par intervenir.

D’argent les clandestins n’en ont pas eu. Jusqu’à la prochaine revendication…

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

Néo-FN : Marine Le Pen, Florian Philippot et Gilbert Collard rendent hommage à l’avorteuse Simone Veil

Publié par Guy Jovelin li 01 juillet 2017

Le néo-FN est en proie à un revirement idéologique, comme en témoigne le sujet de l’immigration devenu trop « anxiogène » pour une partie des cadres du FN en « refondation ».

Un autre sujet – l’avortement – témoigne également du revirement idéologique de ce parti. Et le décès de Simone Veil vient y apporter un éclairage tout particulier.

En juin 1979, le Front National d’origine ne pardonnait pas à Simone Veil sa loi dépénalisant l’avortement et venait perturber le meeting de la politicienne mortifère.

En 1980, le Front National distribuait encore un tract réclamant l’abrogation de la loi Veil et une affiche explicite couvrait les murs.

Aujourd’hui, malgré ses crises internes, le néo-FN parvient à refaire une quasi unité pour rendre hommage à Simone Veil ! De Marine Le Pen à Florian Philippot, en passant par Gilbert Collard, le nouveau député Ludovic Pajot, son compère Sébastien Chenu ou Dominique Bilde (eurodéputé FN et mère du nouveau député Bruno Bilde), tous y vont de leur petit mot affectueux.

Décidément, le FN n’est plus le FN…

Communiqué de presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

Nous apprenons ce matin le décès de Madame Simone Veil, une femme qui aura incontestablement marqué de son empreinte la vie politique française.
Je présente à sa famille et à ses proches mes condoléances les plus sincères. J’ai aussi une pensée pour sa famille politique, avec qui Simone Veil a défendu ses convictions avec constance. Je salue enfin le combat pour la Mémoire qui fut celui de toute sa vie.

 

Une Immortelle, une intelligence est partie. Pensées pour sa famille et ses proches. 

vendredi, 30 juin 2017

Affaire des assistants parlementaires : Marine Le Pen mise en examen

Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2017

Par lefigaro.frAFP agenceMis à jour  Publié 

 

Marine Le Pen le 21 avril 2017 lors de la campagne présidentielle.

La députée du Pas-de-Calais et présidente du Front national était entendue ce vendredi par les juges du Pôle financier dans le cadre de l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs d'assistants au Parlement européen. Elle a annoncé, par l'intermédiaire de son avocat, qu'elle allait déposer un recours «dès lundi».

L'étau judiciaire se resserre autour de la présidente du Front national et nouvelle députée du Pas-de-Calais. Ce vendredi après-midi, Marine Le Pen, mise en cause dans une enquête sur les assistants parlementaires d'eurodéputés FN, a été mise en examen pour «abus de confiance» par les juges du Pôle financier, a indiqué son avocat Me Rodolphe Bosselut, qui indique qu'elle allait déposer un recours «dès lundi» contre cette décision qui, à ses yeux, viole le principe de la séparation des pouvoirs. Elle a également été mise en examen pour «complicité d'abus de confiance» de 2014 à 2016 en sa qualité de présidente du parti d'extrême droite.

Convoquée en début d'après-midi au pôle financier du tribunal de grande instance de Paris, la candidate malheureuse à la présidentielle a lu une déclaration et n'a pas, comme la loi l'y autorise, répondu aux questions, a précisé son avocat.

» Lire aussi - Les affaires judiciaires qui gênent le Front national

Cinq millions d'euros de préjudice

Marine Le Pen fait partie des 17 élus européens du FN, dont son père Jean-Marie Le Pen et son compagnon Louis Alliot, à être visés par une enquête ouverte en France en 2015, qui porte sur une quarantaine d'assistants. Les juges cherchent à déterminer si le parti d'extrême droite a mis en place un système généralisé pour rémunérer ses permanents avec des crédits européens, en les faisant salarier comme assistants de ses eurodéputés mais sans que leur travail ait un lien avec les activités du Parlement européen.

Le préjudice pour le Parlement européen s'élèverait à près de cinq millions d'euros de 2012 à 2017, d'après des chiffres communiqués par l'institution européenne. Après voir refusé de répondre à toute convocation de la justice pendant la campagne électorale, Marine Le Pen, vaincue le 7 mai par le centriste Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle, avait annoncé la semaine dernière avoir pris rendez-vous avec les juges, sans préciser de date.

À la suite d'une dénonciation d'une eurodéputée FN, Sophie Montel, le parquet de Paris a par ailleurs ouvert en mars une enquête préliminaire pour «abus de confiance», visant 19 eurodéputés français issus d'autres partis, dont six du parti centriste MoDem présidé par François Bayrou. Cette affaire a conduit la semaine dernière trois ministres de la formation centriste, François Bayrou, Marielle de Sarnez et Sylvie Goulard à quitter le gouvernement.

 

Source : lefigaro