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samedi, 08 juillet 2017

Tous bacheliers et chômeurs

Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2017

Rédigé par notre équipe le 07 juillet 2017.

 

 
 
 
Le baccalauréat 2017 a rendu son verdict. Avant les épreuves de rattrapage, 78,6 % des candidats ont obtenu « le précieux sésame ». Un diplôme qui ne fait même plus rêver, car obtenu de tous ou presque. Le baccalauréat se meurt à petit feu et illustre la monstrueuse montée de l’égalitarisme et de l’ignorance. La réforme annoncée par le nouveau ministre de l’Education nationale et par le Premier ministre suffira-t-elle à sortir de cette misère intellectuelle ? Les raisons d’en douter existent. 

Un point de moins en moyenne par rapport à 2016. Le baccalauréat cru 2017 aura laissé plus de lycéens sur la touche (avant les épreuves de rattrapage). Une petite baisse qui n’annonce aucunement un avenir nouveau pour cette épreuve créée en 1809 par Napoléon et qui a depuis survécu à tous les régimes et les générations les plus contestataires. Au fil du temps, le baccalauréat est devenu le couronnement d’une scolarité, mais les trois dernières décennies se sont chargées de dévoyer un petit bijou de méritocratie bien française.

Longtemps réservé à une élite, le baccalauréat est devenu la norme à partir des années 1960. Les lycéens en quête de ce diplôme reconnu ont déferlé et le mouvement n’a fait que s’amplifier depuis. Le mal n’est pas le nombre croissant de candidats, mais la lâcheté des politiques (et des profs aux ordres) qui ont déclaré que le baccalauréat était un droit et non plus la conséquence d’un travail et d’une réussite scolaire. Principal coupable : Jean-Pierre Chevènement. En 1985, il est ministre de l’Education nationale et s’empare de l’idéologie égalitariste en affirmant qu’ « il faut à l’horizon de l’an 2000, amener 80 % d’une génération au niveau du baccalauréat ». L’objectif est fixé et désormais plus rien ne pourra faire dévier le train fou de sa trajectoire.

Politique du chiffre vs connaissance

Il faut à tout prix atteindre les 80 % (avant de les dépasser) et la solution de facilité s’impose : faire baisser le niveau d’exigence. Dans les années 1980, l’Education nationale a déjà renoncé à sa mission d’instruction. Il faut préserver les apparences et quoi de mieux que de faire des lycéens des diplômés ? L’impression de diplômes (même à échelle industrielle) n’est pas coûteuse et flatter les ego des parents et d’adolescents l’est encore moins. Les milliards investis à perte dans un système qui ne produit que de la médiocrité ne sont pas encore évoqués et lorsque l’évidence crève les yeux on continue quand même. Ainsi, en 2016, les résultats finaux du baccalauréat sont accablants : 88,6 % des candidats ont obtenu un diplôme au rabais.

Programmes de plus en plus minces, connaissances exigées de plus en plus faibles. Tout est fait pour que l’immense majorité ne se sente pas exclue. Il faut préserver nos ados encore fragiles psychologiquement et tant pis si un bac donné signifie pour 60 % des étudiants en licence un échec assuré. L’université a elle aussi perdu de sa superbe, mais le rythme de décrochage est un poil moins rapide. Résultat, les lycéens qui n’avaient pas le niveau pour obtenir un diplôme digne de ce nom se vautrent à l’université. La fabrique à diplômés tourne à plein régime avant que le système ne se grippe un an ou deux plus tard. La solution ne serait-elle pas de baisser encore le niveau à l’université ? Le chemin emprunté va dans cette direction, mais in fine l’échec est au bout de la route avec des cohortes nouvelles de chômeurs. Mal instruites, pas conscientes de leurs limites pourtant criantes, les nouvelles générations geignent d’un monde où tout n’est pas aussi facile qu’au lycée. Et le problème est de taille, car tous les jeunes chômeurs ne peuvent pas devenir des chauffeurs Uber. La logique macronienne atteint vite ses limites.

D’ailleurs, Macron et son gouvernement viennent de s’emparer du baccalauréat. Le nouveau ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, n’a pas caché son peu de goût pour le fonctionnement actuel du système. Des élèves qui arrivent en terminal avec de graves problèmes pour lire, compter et comprendre un texte simple, la pilule ne passe pas dans cet esprit pas trop soixant-huitardisé. Le Baccalauréat sera refondu autour d’un contrôle continu plus important et seulement quatre matières qui feront l’objet d’un examen de fin d’année. La bonne solution ? Pas vraiment, car là encore, la méritocratie passe en second plan. Un contrôle continu n’a pas la même valeur dans un établissement réputé et dans une ZEP où les profs donnent des bonnes notes malgré des copies truffées de fautes. Le baccalauréat aura une valeur locale et non plus nationale. Un diplôme une fois encore dénaturé et qui ne pourra retrouver sa valeur d’antan. Le ministre de l’Education national qui osera mettre fin à la course vers toujours plus de médiocrité n’est pas né. Bonne chance aux nouvelles générations !

 

Source :24heuresactu

PMA-GPA : les « progressistes » avancent leurs pions

Publié par Guy Jovelin 2017

Rédigé par notre équipe le 08 juillet 2017.

 

« Le mariage pour tous n’est en aucun cas un premier pas vers la GPA et la PMA ». Ce mensonge proféré à de multiples reprises alors que la France clamait haut et fort son refus de voir légaliser le mariage entre homosexuels a déjà volé en éclat. Le débat sur la GPA qui ne devait jamais être ouvert, selon les propos des traîtres au pouvoir en 2013, est aujourd’hui l’une des « avancées » à laquelle va s’atteler la nouvelle équipe gouvernementale. On n’arrête pas le progrès !  

Le passage en force du « mariage pour tous » aura été l’œuvre (bien hideuse) du quinquennat Hollande. Un tour de force qui a entrebâillé la porte menant à la gestation pour autrui, une pratique contestable surtout lorsqu’elle vise à fabriquer un enfant destiné à un couple gay et donc ne pouvant pas, par nature, procréer ensemble. L’été 2017 restera dans l’histoire comme le moment où cette porte a été ouverte en grand pour laisser passer les légions macroniennes qui ne voient l’être humain que comme une marchandise achetable et échangeable.

Deux décisions pour préparer le terrain

Le premier étage de la fusée a été mis en orbite le 26 juin 2017 avec l’avis du Comité consultatif national d’éthique. Un Comité dont tout le monde se fout et qui est « consultatif » comme précisé dans son intitulé, mais qui est devenu important depuis que François Hollande s’est caché derrière pour justifier sa réticence à approuver la GPA et la PMA alors qu’il faisait face à une marée de Français dégoûtés par son inconséquence sur le mariage homosexuel. Un mariage qui a mis le ver dans le fruit car la question de la filiation se posait explicitement malgré tous les ronds de jambe socialistes.

Le fameux Comité consultatif national d’éthique est revenu sur sa position de 2013 et a émis il y a quelques jours un avis favorable afin que toutes les femmes (en couple, lesbiennes, célibataires) puissent avoir recours à la procréation médicalement assistée. Le premier pas est donc franchi même s’il est bien rappelé que la GPA n’obtient pas d’avis favorable. Pendant la campagne présidentielle, le funambule Macron s’était déclaré contre l’autorisation de la PMA à toutes les femmes parce qu’elle « pose une question sur la dignité du corps de la femme » tout en assurant que l’avis du Comité aurait une influence forte sur la future norme.

Voici donc Macron lancé dans la PMA et la France carrément favorable à la GPA depuis la décision du 5 juillet 2017 de la Cour de cassation qui s’est prononcée en faveur de l’adoption du « parent d’intention » d’un enfant né à l’étranger issu de la GPA. La boucle est bouclée, la nature et l’éthique sont écartées telles de vulgaires traînées décadentes. La Cour de cassation, plus haute juridiction française, estime désormais qu’un couple homosexuel qui se rend à l’étranger où la GPA est autorisée, peut revenir tranquillement en France une fois l’enfant né et que le parent pas officiellement (et physiquement par ailleurs) géniteur a le droit d’adopter l’enfant. Ainsi, la Cour de cassation légitimise le recours de la GPA alors qu’elle est interdite en France. Grandeurs et décadences de la justice française !

Les associations LGBT crient au scandale car elles exigent que les deux parents soient reconnus comme les géniteurs (miracle de la nature et de la volonté) et éviter ainsi qu’un des deux membres du couple ne soit obligé de passer par l’adoption. Qu’ils se rassurent, ils auront bientôt ce qu’ils veulent. Sous prétexte de ces deux décisions iniques, le gouvernement se chargera de bricoler une loi qui répondra à toutes les exigences des défenseurs du « progressisme ». L’entrée dans cette nouvelle ère déplorable a un goût bien âcre que même le rire n’arrive plus à faire passer.

 

Source :24heuresactu

Les immigrés voyagent gratuitement en train pour venir d’Italie en France

D’Italie en France, les immigrés illégaux voyagent gratuitement en train.

 

Des villages musulmans sont en train de se créer en France à la campagne

Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2017

par   7 juillet 2017

C’est France Inter qui le dit: des villages radicalistes musulmans sont en train de se former à la campagne…. Bientôt revendiqués comme terre d’Islam ?

L’attaque à l’arme blanche au cri d’Allah akbar en pleine campagne  dans le Lot-et-Garonne, de la part d’un islamiste fiché S et assigné à résidence, contre un agriculteur sur sa moissonneuse-batteuse, semble confirmer cette analyse apparemment beaucoup trop succincte. Et ce n’est pas la dispersion des clandestins installés dans le camp de la Porte de la Chapelle à Paris qui va faire démentir cette crainte.

 

Voir aussi: Attaque islamique au cri d’Allah akbar dans le Lot-et-Garonne contre un agriculteur en plein champ

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 07 juillet 2017

Statues de la Sainte Vierge vandalisées en Savoie : Civitas réagit !

Publié par Guy Jovelin le 17 juillet 2017

par   6 juillet 2017

Statues de la Sainte Vierge vandalisées en Savoie : Civitas réagit !
 
Communiqué de presse du mercredi 5 juillet 2017
 
Des statues de la Vierge Marie et du mobilier religieux ont été saccagés ces dernières semaines dans six communes de l’avant-pays savoyard ; les statues ont pour la plupart été brisées en morceaux, sinon décapitées. Deux Vierges ont notamment été détruites à Jongieux, village ou l’on trouve la plus ancienne inscription chrétienne en Savoie, datée de l’an 504.
 
 
Ayant eu connaissance de ces profanations, la section Savoie de Civitas a immédiatement réagi en organisant un acte de réparation publique le dimanche 2 juillet dans la commune de Jongieux. Plusieurs dizaines de personnes répondirent présentes à cet appel, parmi lesquelles des habitants des communes concernées, ainsi que des fidèles des chapelles catholiques traditionnelles de Savoie. Un prêtre avait fait le déplacement afin de diriger le chapelet et les prières du groupe.
 
Les familles et les habitants profitèrent du beau temps pour pique-niquer sur place et échanger autour de ces tristes événements. A cette occasion, nos militants ont appris que le journaliste du Dauphiné Libéré ayant « couvert » les faits avait purement et simplement menti : en effet, il a écrit que les auteurs des dégradations avaient été interpellés, et qu’ils s’agissaient de l’acte d’une nuit de deux ouvriers éméchés. Or, d’après les témoignages des habitants, les dégradations ont été commises sur une période de trois semaines, et par des hommes cagoulés. Un des habitants devrait publier sous peu un droit de réponse suite à cet énième mensonge médiatique, sur lequel nous reviendrons bien évidemment.
 
Le diocèse de Chambéry a honteusement gardé le silence sur ces profanations. La paroisse a quant à elle promptement réagi… en condamnant et en se désolidarisant de l’action de Civitas !
 
Malgré la désertion des autorités civiles et ecclésiastiques, les militants de Civitas Pays de Savoie seront toujours présents sur le terrain pour défendre la foi et le patrimoine catholique légué par nos ancêtres.
 
Civitas fera bientôt un appel aux dons afin de remettre la Vierge Marie à sa juste place dans les six communes concernées.