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Comme chaque année, le 1er mai n’est pas que synonyme de Fête du travail et donc de jour chômé. Il coïncide également avec la mise en place de nouvelles règlementations, avec, pour 2017, deux évolutions notables : la baisse du prix du gaz et la hausse de la consultation chez le médecin généraliste.
De 23 à 25 euros chez le médecin
Le prix de la consultation chez un généraliste, adhérant au Contrat d'accès aux soins (CAS), passe de 23 euros à 25 euros au 1er mai. Cette augmentation concerne les généralistes installés en secteur 1, soit 94% des professionnels, et n’est pas prise en charge par la Sécurité sociale. Il faudra donc vous renseigner auprès de votre mutuelle pour connaître le montant de votre remboursement. La consultation des enfants jusqu’à 6 ans passe elle à 30 euros. Elle était de 26 euros pour les 2-6 ans et de 28 euros pour les 0-2 ans.
Baisse du prix du gaz
En revanche, les tarifs réglementés du gaz, appliqués par Engie, vont diminuer de 3,3% à compter du 1er mai. 5,8 millions de foyers en France sont concernés par cette mesure. Le fournisseur historique aurait adressé sa demande de révision tarifaire à la Commission de régulation de l'énergie (CRE).
Cette année, les tarifs avaient grimpé de 2,3 % en janvier et 2,6 % en mars, et légèrement reculé de 0,6 % en février et 0,7 % en avril.
En parallèle, la CRE remettra fin mai aux pouvoirs publics son rapport annuel d'audit sur les tarifs réglementés du gaz, afin de faire point sur les coûts d'approvisionnement - et hors approvisionnement - de l'entreprise, ex-GDF Suez.
Depuis 2013, le tarif réglementé du gaz est révisé tous les mois et indexé sur les prix de marché.
Le Fisc ouvre Patrim au public
Patrim, le service d’évaluation immobilière de l’administration fiscale, devient consultable par l’ensemble des acheteurs et vendeurs de biens immobiliers pour estimer le prix du logement. Les références cadastrales et l’adresse complète des biens sont également disponibles.
Mai, le mois des impôts
Il est temps de faire vos calculs et de remplir votre déclaration d’impôt sur le revenu ! La déclaration par Internet est désormais obligatoire pour les foyers dont le revenu fiscal de référence (RFR) de 2015 dépasse 28 000 €. Selon les départements de résidence, la limite pour déposer ses chiffres en ligne est située entre le 23 mai et le 6 juin. Pour les autres, la date butoir pour remplir sa déclaration papier est fixée au 17 mai.
« Nous aurons une monnaie nationale comme tous les autres pays et nous aurons ensemble une monnaie commune. Voilà, c’est aussi simple que ça (…) Moi, je pense que l’euro est mort », annonce la candidate FN. « Je vais demander (à l’UE) de pouvoir maîtriser notre monnaie. Cela veut dire transformer l’euro monnaie unique en un euro monnaie commune. Monnaie qui ne concernera pas les achats quotidiens mais uniquement les grandes entreprises qui font du commerce international », explique Marine Le Pen.
La candidate du FN qui affirme au quotidien n’avoir « jamais dit que la France » sortira de l’euro, a régulièrement répété que, dès son élection, si elle remportait la présidentielle, elle entamerait une négociation avec l’UE pour « restituer au peuple français sa souveraineté monétaire, législative, territoriale, économique ». À l’issue de cette négociation, elle prévoyait un référendum sur l’appartenance à l’UE.
Un référendum pour « confier aux Français la décision de l’issue des négociations »
« Je vais mener ces négociations avec nos partenaires européens, parce que je sais que beaucoup partagent ce souhait de voir revenir au sein de leurs nations respectives ces éléments de souveraineté. Et je confierai aux Français le soin de décider de l’issue de ces négociations ».
A la question : « Quelle est votre arme pour convaincre vos partenaires ? », Marine Le Pen répond : « Le référendum. L’Union européenne s’est fourvoyée dans une vision radicale où elle a décidé de ne pas tenir compte de l’avis des peuples et de mettre en œuvre l’Europe à la schlague. Ce n’est plus admis par notre peuple. Il y aura donc derrière cette négociation le peuple français. » Et si les Français répondent non au référendum, « je considérerai que je ne suis pas en capacité de rester en situation ».
Marion Maréchal-Le Pen, députée FN du Vaucluse, a affirmé samedi à Paris que la négociation souhaitée par le FN sur l’Union européenne et l’euro en cas d’accession à l’Élysée de Marine Le Pen commencerait en 2018 et prendrait « plusieurs mois », voire « plusieurs années ».
Alors que Marine Le Pen est arrivée en deuxième position au premier tour de l’élection présidentielle, vous ignorez peut-être encore certains détails de sa vie…
Tout en étant engagée en politique, Marine Le Pen est aussi avocate. Durant sa carrière, de 1992 à 1998, elle a été commise d’office et a ainsi défendu plusieurs clandestins.
Dans sa vie, elle a vécue près de 40 ans au domaine de Montretout. Basé à Saint-cloud, ce domaine de 5000 m2 est éstimé à près de 5 millions d’euros par le fisc.
Parlement européen et twitter
Selon Le Monde et Libération, elle aurait un compte Twitter caché, qu’elle utiliserait sous le pseudonyme d’Anne Lalanne, ce qu’elle dément.
D’un point de vue politique, Marine Le Pen prône des mesures lors de sa campagne qu’elle ne met pas en pratique lorsque qu’elle siège au Parlement européen.
Alors qu’elle annonce vouloir supprimer la mesure sur les travailleurs détachés, elle s’est abstenue lors du vote en séance plénière au Parlement européen.
Bernard Reynès, maire de Châteaurenard, ne veut pas - il a raison - qu'une mère d'élève accompagne, voilée, la classe de sa fille lors d'une sortie pédagogique. En face de lui se dresse le CCIF (Comité contre l'Islamophobie en France), à qui l'Inspection académique a scandaleusement donné raison.
Mais, question : aurait-elle, cette Inspection académique, autorisé une crèche dans l'école dont il s'agit ? Poser la question c'est, évidemment, y répondre ; et c'est montrer la mauvaise foi, l'hypocrisie, la veulerie et la lâcheté de fonctionnaires douillettement installés dans leurs bureaux ; et qui capitulent devant l'Islam militant, croyant acheter ainsi la paix religieuse et/ou sociale : ce ne sont rien d'autre que des collabos...
Il y a quelques semaines, à Bonifacio, cinq femmes voilées avaient été empêchées d'entrer dans une école maternelle de la ville par des parents - ils avaient raison - qui ne voyaient pas pourquoi - leurs propres enfants n'ayant pas le droit de porter des signes religieux distinctifs - elles pourraient, elles, entrer avec un voile ostensiblement « distinctif ».
Le maire PS de la ville persiste à croire finaud de « dialoguer » avec l'Islam dans sa ville, et affirme être favorable à la construction d'une mosquée, pensant lui aussi, naïvement, que cela va calmer les prosélytes musulmans, et qu'il va « acheter la paix » en ouvrant toutes grandes les portes à une religion et une culture totalitaires de fait.
Les administrés du Maire de Bonifacio sont plus sensés que lui : aux femmes voilées, qui se « regroupaient » - comme elles disent - outrées, les habitants ont déclaré : « Si vous voulez mettre un foulard ou vous habiller long, pourquoi n'allez-vous pas au Maroc ? »
Comme il fallait s’y attendre, l’ancien chef de l’UCK dont Belgrade demandait l’extradition pour les crimes de guerre qu’elle l’accuse d’avoir commis en 1998-1999 sur des civils serbes et albanais ne sera pas envoyé à Belgrade. Les éléments fournis par la justice serbe pour permettre à la cour de Colmar de statuer sur son sort, n’ont apparemment pas été suffisant pour que les juges envoient le prévenu devant la justice serbe. « Illégale, scandaleuse et dégoutante », la mesure d’élargissement prise par la justice française en faveur de l’ancien premier ministre kosovar a déclenché la réaction indignée du Président serbe Alexandre Vucic ainsi que celle de l’ensemble des autorités du pays, scandalisées par l’humiliation que la France vient d’infliger à leur pays sans doute considéré trop petit pour que sa demande de justice soit prise en considération. L’ambassadeur de Serbie à Paris a été rappelé à Belgrade pour le charger de transmettre officiellement aux autorités françaises la note de protestation que leurs homologues serbes devraient rédiger dans les termes les plus sévères, d’autant que c’était en dernier ressort au gouvernement français qu’il appartenait de décider du sort d’Haradinaj. Les relations entre la France et la Serbie s’en ressentiront forcément, tandis que l’enfant chéri des services devenu Premier Minsitre du Kosovo, un état créé par L’OTAN,, sera accueilli en Héros à Pristina.