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samedi, 15 avril 2017

NON, la France n'était pas à Londres. Quelques précisions s'imposent...

Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2017

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Professeur Alain Rouet

La polémique ouverte par Marine au sujet de « la rafle du Vel’ d’Hiv’ » ayant montré des abysses d’inculture chez tous les protagonistes, un petit tour de piste historique semble s’imposer…

Un imposteur nommé De Gaulle

Marine reprend la vieille antienne gaulliste d’une « France » qui se serait retrouvée à Londres incarnée par une nouvelle Jeanne d’Arc étoilée… Sa médiocrité militaire l’ayant limité, à 50 ans, au grade de Colonel, De Gaulle finit par être nommé général 2 étoiles « à titre provisoire » lors de sa nomination au poste de sous secrétaire à la Guerre dans l’ultime gouvernement Reynaud. A l’armistice – après s’être assuré qu’aucune fonction ne lui était réservée dans le nouveau gouvernement – il s’envole directement pour Londres. Qu’il y ait emporté « la France » entre ses chaussettes et son caleçon ne relève que de sa mégalomanie. Si Londres abrite en effet des « gouvernements en exil » reconnus comme tels, notamment par les Britanniques, tel n’est pas le cas du bureau londonien de l’obscur De Gaulle ! Toutes les puissances, y compris le Royaume-Uni, reconnaissent la légalité de l’Etat français, seul représentant de « la France ».

N’ont rejoint le « général à titre provisoire » que quelques excités d’extrême-droite (venus notamment de la Cagoule) et une groupe de juifs (« J’attendais l’Eglise, j’ai reçu la Synagogue »). Nombre de ces derniers s’illustreront plus dans les appels aux meurtres de Radio-Londres que dans des activités parachutistes (voir l’inénarrable « équipée » de Maurice Schumann…). Non seulement De Gaulle n’est pas reconnu comme représentant « la France » mais est tenu pour un pitre aussi bien par Churchill que par Roosevelt. Après le débarquement en Afrique du Nord (novembre 1942) les Alliés (qui n’ont même pas prévenu De Gaulle de l’opération !) choisissent l’Amiral Darlan, Dauphin du Maréchal Pétain, comme représentant de « la France libérée ». De Gaulle le fait assassiner. Ils choisissent ensuite le Général Giraud qui résistera… à De Gaulle… jusqu’en 1944. Après avoir tenté de le faire assassiner De Gaulle parvient enfin à l’éliminer politiquement.

C’est seulement à partir de 1943 que De Gaulle est reconnu… par Staline… nouant ainsi la vieille complicité gaullo-communiste qui perdurera jusqu’en 1968 où le PC "F" sauvera encore la mise du grand homme… Sur les insistances de Staline, et toute solution de rechange ayant été éliminée, parfois physiquement, c’est seulement en 1944 que De Gaulle sera enfin « reconnu ».

Entre temps les réseaux de Résistance se sont montés sans qu’il y soit pour grand-chose, l’activité des « gaullistes » servant surtout à les récupérer. Quant aux troupes françaises qui reprendront la lutte contre l’Allemagne, les FFL gaullistes y sont ultra-minoritaires. Les gros bataillons sont fournis par l’Armée d’Afrique, pétainiste et giraudistes… Dans les faits le Général Micro a surtout servi sa propre propagande.

Une collaboration « ni franche, ni loyale »

Quant à l’Etat français sa « collaboration » ne vise point à aider les Allemands mais les Français. Elle n’est ni franche, ni loyale, mais consiste à discuter avec l’Occupant pour lui en accorder le moins possible. Il existe certes des « ultras » de la collaboration désireux d’œuvrer à la victoire du Reich. Ils ne sont pas à Vichy mais à Paris (l’activité des partis est interdite en zone libre) ! Et ils ne cessent de critiquer Vichy pour sa mollesse, sa tiédeur, son caractère rétif…

En quelque sorte le programme de Pétain est de « Défendre les Français »… à l’instar d’une des premières affiches du Front national de Jean-Marie Le Pen…

Concernant les Juifs la législation de Vichy se limite strictement aux Lois Alibert, promulguées dès juillet 1940. Ces Lois sont purement économiques, interdisant aux Juifs certains secteurs économiques et limitant leur nombre, par numerus clausus (2%), dans la Médecine et le Barreau. Toutes les autres dispositions les visant (comme le port de l’étoile à partir de 1942) résultent d’ordonnances allemandes n’ayant pas cours en zone libre.

Plus généralement il ne faudrait pas oublier que les Allemands ne sont pas de simples invités n’agissant poliment qu’après autorisation de leur hôte ! Un seul des pays occupés par l’Allemagne a été administré directement par elle : la Pologne. Qui osera prétendre que la vie y fût plus douce et le sort des juifs bien meilleur ?

Des juifs dans la collaboration

En Région parisienne des rafles ont eu lieu dès la fin 1941, organisées par les autorités allemandes sans même que Vichy en soit préalablement informé. Et il ne s’agissait pas de « raflettes » puisqu’elles portèrent sur plus de 4.000 individus.

Ce sont les Allemands qui imposent la « grande Rafle » de juillet 1942, et nullement Vichy qui aurait pris cette initiative ! Se posait simplement un problème de « souveraineté » : qui commanderait les forces de police chargées d’y procéder ? L’Etat français se serait-il porté aux abonnés absents que cette rafle aurait quand même eu lieu.

Ses préparatifs durèrent une bonne quinzaine de jours avec divers participants dont l’UGIF. L’UGIF, c’est l’Union Générale des Israélites de France, en quelque sorte l’ancêtre du CRIF… Une « minorité visible » dont nous gratifie LCI a ouvert son Journal sur « les 14.000 Français juifs » de la Rafle. Or celle-ci - après discussions (la politique de Vichy, comme d’ailleurs celle de l’UGIF, consistant à protéger d’abord les Français juifs) - ne porte QUE sur des juifs étrangers : apatrides, allemands, autrichiens, tchèques, polonais, russes… ! Et parmi ceux-ci sont exonérés les porteurs de cartes de l’UGIF et… les fourreurs et leurs familles. Ces derniers travaillent en effet à fournir des vêtements bien chauds pour le Front de l’Est. Le Vel’ d’Hiv résonne de noms priés de se présenter à l’entrée : ce sont ceux d’ouvriers en confection que leurs chefs d’Atelier sont venus tirer de ce guêpier. Eux aussi fabriquent des uniformes, apportant leur modeste, mais rétribuée, contribution à l’effort de guerre allemand…

La plupart des raflés sont transférés au camp de rétention de Drancy. Il est certes contrôlé par les Allemands mais largement auto-administré. Il y a notamment un médecin-chef, juif, chargé d’examiner les prépuces pour établir indéniablement la qualité de juif… Nos procureurs médiatiques devraient bien connaître son histoire puisque ses descendants font carrière à la télévision… Quant au directeur juif il participe naturellement à l’élaboration des listes de déportation.

On reconnaîtra bien volontiers que l’UGIF, les fourreurs, les ouvriers en confection, le directeur du camp et peut-être même le médecin-chef, n’avaient peut-être pas tout à fait le choix... mais les goys l’avaient-ils plus ?

 

Source : synthesenationale

vendredi, 14 avril 2017

Autriche: Les autorités admettent que de nombreux réfugiés « mineurs » sont en réalité des adultes

Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2017

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Les autorités autrichiennes admettent qu'un test a révélé que plus de 40% des demandeurs d'asile "mineurs" sont des adultes.

 En Autriche, 2 252 demandeurs d'asile devaient subir un «test de diagnostic d'âge»

  • À partir de ces tests d'évaluation d'âge, on a constaté que 919 d'entre eux avaient plus de 18 ans
  • Les tests impliquent une analyse par rayons X des dents et des doigts et coûtent environ 900 euros

Près de la moitié des réfugiés en Autriche qui ont subi un test d'âge se sont avérés être des adultes.

Selon le ministère autrichien de l'Intérieur, 2 252 demandeurs d'asile ont dû subir un «test de diagnostic de l'âge» car ils étaient soupçonnés de mentir.

Sur cette base, on a constaté que 919 avaient plus de 18 ans - ce qui équivaut à 41%.

S’adressant à la presse autrichienne, un policier a déclaré: « Il est absurde pour nous de voir des adultes avec de la barbe et les cheveux grisonnants qui prétendent avoir 17 ans. »

Un autre policier a dit : « Les hommes essaient d’entrer dans le système en tant que mineurs. »

(...)

Source et article complet Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Assistants parlementaires: les juges demandent la levée de l'immunité de Marine Le Pen

Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2017

Les juges d'instruction, en charge de l'enquête sur les soupçons d'emploi fictif de plusieurs assistants FN auprès d'eurodéputés, demandent la levée de l'immunité parlementaire de Marine Le Pen, selon Europe 1 et France Inter. Une demande similaire a été formulée pour une autre députée européenne, Marie-Christine Boutonnet.

» Lire aussi - Les juges demandent la levée de l'immunité parlementaire de Marine Le Pen

L'enquête française avait été ouverte en mars 2015, suite à un signalement du Parlement européen. Les deux femmes sont soupçonnes d'avoir versé des salaires à des assistants parlementaires, sur des fonds européens, alors que ces derniers se consacraient en réalité à la gestion du parti d'extrême-droite.

Marine Le Pen a été convoquée par la police fin février dans le cadre d'une audition libre. Mais elle a refusé de s'y rendre, protégée par son immunité parlementaire. Une deuxième fois, début mars, les juges d'instruction ont voulu l'entendre et n'ont pas réussi à la faire venir. Si l'immunité est levée par le Parlement européen, Le Pen sera par contre contrainte de se présenter aux convocations.

 

Source : lefigaro

Safarina : 1er site de covoiturage islamique

Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2017

Par le 13/04/2017 

Le brief éco. Délais de paiement : les grands groupes continuent de se moquer des TPE et PME

Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2017

Les délais de paiement sont souvent à l'origine de cessations d'activités de petites entreprises. C'est ce qui apparait dans le rapport de l'Observatoire des délais de paiement.

Le bâtiment du ministère des Finances, à Bercy (Paris), le 16 mai 2016.
Le bâtiment du ministère des Finances, à Bercy (Paris), le 16 mai 2016. (MANUEL COHEN / AFP)

Beaucoup de petites entreprises sont en difficulté, voire condamnées, en raison du non-respect des délais de paiement par leurs entreprises clientes. Les chiffres 2016 viennent de tomber. 

Les chiffres émanent de l’Observatoire des délais de paiement qui vient de remettre son rapport au ministre de l’Economie et des Finances, Michel Sapin. La situation s’améliore mais on est encore loin du compte. L'amélioration constatée en 2016 est toute relative car elle est d’un jour de mieux en moyenne. Un jour gagné, ce n’est rien à l’échelle du temps – parfois deux mois, voire plus– que les entreprises doivent attendre pour être payées. Cela frise même le scandale quand on sait que, chaque jour, une quarantaine de PME mettent la clef sous la porte en raison de retards de paiement.

Les délais de paiement sont aujourd'hui plafonnés à 45 jours fin de mois, ou 60 jours à compter de la date d'émission de la facture. Les règles continuent d’être bafouées pratiquement en toute impunité.

A qui la faute ?

L’Observatoire souligne une fois de plus qu’en 2016, les mauvais payeurs ont été recensés en priorité chez les grands groupes. Moins d’un sur deux paie dans les délais.

Côté administration, petite amélioration également, sans plus. L’Etat met en moyenne 24 jours pour payer les commandes publiques. Le plus mauvais élève est le ministère de la Justice ; le meilleur est le ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports devant celui des Affaires sociales.

Impact négatif constaté 

Si la loi était strictement respectée, la trésorerie libérée serait de 11 à 12 milliards d’euros. C’est-à-dire que 12 milliards dues aux petites entreprises dorment actuellement dans les caisses des grands groupes.

La loi Sapin II a relevé le plafond d’amendes jusqu’à deuc millions d’euros contre 375 000 auparavant. Mais visiblement cela ne gêne pas certaines grandes sociétés qui gagnent plus à placer l’argent en faisant patienter leurs fournisseurs. Les amendes peu élevées ne sont pas vraiment dissuasives.

Ajouter à cela la complexité des dossiers. Quand on sait que les TPE et PME sont soumises au même cahier des charges que les grandes entreprises du CAC 40, on se dit qu’il y a un vrai problème. Et ce n’est qu’un exemple sur lequel Bercy serait bien avisé de trancher rapidement, et certains directeurs financiers du CAC 40 être nettement plus scrupuleux.

 

Source : francetvinfo