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lundi, 24 avril 2017

Reconnaissance faciale des terroristes – il y a urgence

Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2017

© Manuel Gomez pour Dreuz.info
 

Depuis des mois et des mois je persiste et signe : seule la reconnaissance faciale peut permettre de suivre à la trace des milliers d’individus « Fichés S » et de prévenir ainsi de nombreux attentats meurtriers.

Bien sûr que le risque zéro n’existe pas, est-il nécessaire de le répéter à chaque nouvelle occasion ? Mais ne faut-il pas tout tenter pour réduire, tant que faire se peut, les risques de nouveaux attentats ?

Il y a plus de 15 000 « fichés S » en France, dont une dizaine de milliers pour « radicalisation » ou « contact avec les djihadistes » ou toutes autres raisons et il est totalement impossible pour les autorités de les mettre tous sous surveillance ni de les suivre à la trace.

Les bracelets électroniques et les assignations à résidence sont des mesures très insuffisantes car il est extrêmement facile de disparaître avant le passage à l’acte. Cela a pu se constater à de nombreuses reprises.

La DGSI fait un travail remarquable mais ses moyens sont insuffisants devant une tâche insurmontable, si on ne l’aide pas en la dotant de mesures sophistiquées.

Cela a un coût très élevé mais la vie humaine a également un coût très élevée !

Les plans Vigipirate et les états d’urgence ont également des coûts très élevés : plus d’un milliard d’euros à ce jour ! Et, à part rassurer les citoyens, et encore, ils n’apportent aucune parade à l’exécution des attentats, nous le constatons à chaque nouvelle agression.

N’est-il pas affligeant, ne sommes-nous pas totalement désorientés, quand nous apprenons, après chaque nouvel attentat, que les terroristes, les assassins, étaient tous « connus » des services de police, qu’ils étaient tous « fichés S » ?

Ne sommes-nous pas atterrés devant l’incapacité de nos forces de l’ordre de les intercepter parce qu’elles n’ont pas les moyens de les suivre dans leurs déplacements pré et post-attentats ?

Combien de vies humaines auraient pu être sauvées si ces terroristes avaient pu être reconnus, surveillés, arrêtés si nécessaire, mis hors d’état de nuire d’une manière ou d’une autre ?

Tous les terroristes, depuis Mohamed Mérah jusqu’à Abu Youssouf le Belge, le meurtrier du policier ce jeudi soir sur les « Champs », étaient fichés et connus des services de renseignement et rien n’a pu être entrepris pour les empêcher de passer à l’acte faute de moyens et ce sera le cas également pour, hélas ! Les prochains attentats.

Combien de centaines de morts avant que les décisions ne soient prises ?

Cela est passé sous silence mais samedi 15 avril à 10 h 15, à Palma de Majorque (Espagne), 5 personnes sont mortes alors qu’elles attendaient un bus, écrasées par une voiture qui est montée sur le trottoir : quatre touristes âgés de 60 à 70 ans et un jeune espagnol de 25 ans.

C’est un jeune marocain qui conduisait ce véhicule. Était-il connu des services de police ?

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Il s’agirait, selon les autorités espagnoles, d’un simple accident de la circulation car le jeune marocain n’avait son permis de conduire que depuis moins de trois mois et qu’il n’avait, peut-être, pas été maître de son véhicule !

On veut bien le croire mais le déroulement de l’opération laisse un doute car elle est totalement identique à tous les récents attentats meurtriers.

Surtout quand l’on sait que les autorités espagnoles, afin de ne pas affoler la population, ont passé sous silence cet « accident » mais depuis ce samedi 15, le pays a été placé en « Alerte 4 », comme par hasard !

Il faut espérer qu’il ne s’agissait pas également d’un individu connu par la police et qui aurait pu être « surveillé », « intercepté » et mis hors d’état de nuire grâce à la reconnaissance faciale, seule technique actuelle pour tenter de se rapprocher le plus possible du « risque zéro » !

 

Source : dreuz.info

dimanche, 23 avril 2017

"Vitres cassées, pneus crevés, fils harcelé et passé à tabac… femme de CRS, je vis un enfer"

Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2017

 "Vitres cassées, pneus crevés, fils harcelé et passé à tabac… femme de CRS, je vis un enfer"  

Ce samedi, les familles des policiers et gendarmes se rassemblent sur l'esplanade du Champ de Mars, à Paris, pour dénoncer les conditions de travail, le manque de considération et de moyens des forces armées. Parmi elles, Jessica qui raconte son quotidien de femme de policier. Elle fait part notamment de l'enfer vécu par sa famille et les humiliations de son fils à l'école primaire et au collège.

Immigration : quel pays a vu sa population s’accroître le plus chez autrui ?

Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2017

20 avril 2017

Immigration : quel pays a vu sa population s’accroître le plus chez autrui ?Entre 2010 et 2015, chaque pays d’Europe a vu s’installer chez lui des populations venues d’ailleurs et pas forcément de l’autre bout du monde. De quel pays vient la communauté qui a vu son implantation augmenter le plus ?

On peut distinguer six types de pays :

– Les pays européens dont toutes les populations immigrantes ont vu leur nombre baisser entre 2010 et 2015 : la Pologne, la Lituanie, la Lettonie, l’Estonie, la Moldavie, la Serbie, la Bosnie et la Grèce.

– Les pays européens dont l’immigration qui a crû le plus est celle de pays limitrophes : Suisse (Allemands), Autriche (Allemands), Belgique (Français), Allemagne (Polonais), République Tchèque (Slovaques), Slovaquie (Tchèques), Albanie (Grecs), Bulgarie (Grecs), Hongrie (Serbes), Belarus (Lituaniens), Russie (Ukrainiens), Ukraine (Russes), Roumanie (Moldaves), Croatie (Bosniaques), Monténégro (Croates), Macédoine (Serbes) et Turquie (Syriens).

– Les pays européens dont l’immigration qui a crû le plus vient d’un autre pays européen exportateur de main d’œuvre : Norvège (Polonais), Pays-Bas (Polonais), Italie (Roumains), Slovénie (Serbes), Danemark (Roumains) et Luxembourg (Portugais). Notons le cas particulier de la Finlande, qui a toujours eu des liens privilégiés avec l’Estonie, dont la population est celle qui a plus augmenté dans le pays des milles lacs dont elle n’est séparée que par les 80 kilomètres du Golfe de Finlande.

– Les pays européens dont l’immigration qui a crû le plus vient de l’ancienne métropole : Irlande (Anglais), Chypre (Anglais) et Islande (Danois).

– Les pays européens qui, en quelque sorte, deviennent les colonies de leurs colonies : France (Algériens), Espagne (Cubains), Portugal (Angolais) et Royaume-Uni (Indiens).

– Reste un dernier pays européen, la Suède, qui a vu arriver une immigration massive en provenance de Syrie, comme le rappelle quotidiennement la rubrique « faits-divers sordides » des journaux…  Notons que la Hongrie, l’Allemagne et le Danemark ont vu également une explosion de la communauté syrienne, alors que l’Italie héritait de Nigérians. ..

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

samedi, 22 avril 2017

L’avenir de nos églises est entre vos mains !

Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2017

 

Alors que la ville de Toulouse est candidate pour le classement au patrimoine mondial de l’UNESCO, différents édifices, comme les églises, restent encore à restaurer.

Comme les toulousains ont pu le voir, leur ville connaît actuellement d’importants changements et les différents travaux disséminés en sont la preuve directe (futurs ramblas à Jean-Jaurès etc…). Pour autant, d’autres chantiers quoique tout aussi importants sont nettement moins visibles. C’est en effet le patrimoine religieux que la mairie souhaite restaurer, à l’image de l’église Notre-Dame la Daurade (toiture, façade, chœur, nef, sacristie) et de l’orgue de la basilique Saint-Sernin. Ces travaux étant coûteux (plus de quatre millions d’euros pour l’église de la Daurade et environ 156 000 euros pour l’orgue), la municipalité a établi un système de mécénat via la fondation du patrimoine permettant à quiconque d’aider financièrement à la réalisation de ces projets. Plusieurs milliers d’euros ont déjà étés récoltés et la Mairie compte bien élargir ce projet de dons à d’autres travaux, tels que la restauration de la chapelle Saint Joseph de l’hôpital La Grave.

Rappelons que ce ne sont pas moins de 205 édifices toulousains qui sont protégés au titre des monuments historiques et des collections remarquables. Il est ainsi important pour nous de les sauvegarder pour les générations futures.

 

Source : infos-toulouse

Connaissez-vous la période « normande » de Picasso ?

Publié par Guy Jovelin le 22 avril 2017

Par Péroncel-Hugoz

 

 Le manoir normand de la famille Picasso

Par Péroncel-Hugoz

La légion, immense et universelle, des admirateurs de Picasso vient de redécouvrir ou plutôt découvrir une période oubliée du maître hispano-français. Notre confrère y va de son grain de sel.

Tous ceux qui professent quelque intérêt pour l’art du XXesiècle, connaissent les différentes « périodes » de Picasso : bleue, rose, africaine, cubiste, Vallauris, etc. 

En revanche, rarissimes sont ceux qui citent sa « période normande ». Elle a pourtant existé de 1930 à 1937 et a humainement et artistiquement compté pour l’artiste. N’est-ce pas dans les années 1930, au summum du temps Art-déco, que Picasso a imaginé La jeune fille au miroir, une série deCorridas, le Minotaure, les dessins sur le thème de la Crucifixion; qu’il a sculpté ses grandes Têtes féminines; qu’il a illustré les Métamorphoses d’Ovide ou Le chef-d’œuvre inconnu de Balzac.

Toutes ces œuvres et pas mal d’autres encore, conçues ou réalisées sur fond du manoir de Boisgeloup, près Gisors, en Normandie, à moins de 100 kilomètres à l’ouest de Paris.

De Boisgeloup à Vauvenargues

Déjà riche, le futur « milliardaire communiste » de la Côte-d’Azur ou du château de Vauvenargues, en Provence intérieure, a acquis dès 1930 le manoir de Boisgeloup, élégante et sobre demeure du XVIIIe siècle, avec dépendances, potager, parc clos, bref tranquillité assurée. Le Figaro peut bien écrire aujourd’hui que Boisgeloup « est une des grandes demeures de l’art du XXe siècle », elle n’en fut pas moins longtemps occultée, et redécouverte en 2017 par décision des héritiers Picasso dont certains habitent toujours la gentilhommière normande.

Amours mouvementées

Ami des très puritains communistes d’alors, Picasso vivait très discrètement à Boisgeloup des amours nombreuses et mouvementées avec sa femme russe, Olga (qu’il avait épousée religieusement à Paris, lui, l’athée proclamé…), puis avec plusieurs autres jolies femmes attirées par la virilité débridée et les yeux noirs inquisiteurs de l’Andalou…

Picasso abandonna le manoir en 1937 pour la Côte-d’Azur, où il s’installa très bourgeoisement avec d’autres femmes et enfants, alors qu’en bon républicain il aurait dû rejoindre à Madrid la direction du Musée du Prado où le régime rose et rouge l’avait nommé… Le futur récipendiaire du prix Lénine préféra donc la douillette et sûre Riviera française aux risques de l’Espagne en guerre…

Après tout, répondent ses fans, ce qu’on attend d’un artiste c’est qu’il produise et innove. Ce qui fit Picasso (1881-1973) tout au long de ses 50.000 œuvres de diverses sortes, à présent répertoriées.

Habitué aux expos internationales

Ce n’est pas diminuer l’aura créatrice du Grand Pablo que de profiter de la réapparition inattendue de sa « période normande » pour remarquer que l’ancien élève de l’Académie royale des beaux-arts de Madrid s’arrangea toute sa vie, au-delà de ses préférences idéologiques, pour être du « bon côté du manche », représentant l’Espagne monarchique, avec une de ses peintures, à l’Exposition universelle de Paris (1900), qui précéda son installation en France; puis représentant l’Espagne républicaine, à l’Exposition internationale de Paris, en 1937, l’année où le peintre abandonna le manoir normand à sa famille.

Sacré Picasso !

 

Source : lafautearousseau