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vendredi, 28 avril 2017

EMPLOIS FICTIFS : 5 MILLIONS D’EUROS, LA FRAUDE PRÉSUMÉE DU FRONT NATIONAL

Publié par Guy Jovelin le 28 avrli 2017

Le Front national est dans la tourmente. En plein entre-deux tours de la présidentielle française, l’affaire des emplois fictifs au Parlement européen revient sur le devant de la scène.

Emplois fictifs : 5 millions d’euros, la fraude présumée du Front National
Presque 5 millions d’euros, c’est le chiffre transmis aux juges financiers. 5 millions d’euros de salaires qui auraient été versés frauduleusement aux assistants d’eurodéputés frontistes entre avril 2012 et avril 2017, contre 1,9 million annoncés lors d’une évaluation de 2015. Dix-sept élus, dont Marine Le Pen et son mari Louis Aliot, Jean-Marie Le Pen et Florian Philippot, et plus d’une quarantaine d’assistants sont visés. Les juges ont demandé au Parlement européen de lever l’immunité de Marine Le Pen. Le 26 avril, le Parlement européen a lancé le processus qui pourrait aboutir à la levée de l’immunité parlementaire de la chef du Front National. Marine Le Pen a refusé de se rendre à une convocation le 10 mars en vue de sa possible mise en examen pour abus de confiance. “Cinq millions d’euros, c’est n’importe quoi”, a réagi le trésorier du parti, Wallerand de Saint Just, en déplorant une “énième violation du secret de l’instruction”.

source : euronews

Nantes. Un journaliste de Breizh-Info agressé lors d’une manif contre Macron et Le Pen

Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2017

Nantes (Breizh-Info.com) – La liberté de la presse, si souvent bafouée ces derniers jours, est chaque jour un peu plus menacée. Alors qu’il couvrait la manifestation contre le FN et Emmanuel Macron, Nicolas Faure, journaliste pour Breizh-Info, a été lâchement agressé par plusieurs individus au visage masqué. Voici son témoignage.

Notre journaliste jeté au sol et roué de coups, son matériel cassé

Agression journaliste Nantes manif anti FN

« J’ai suivi la manifestation sans souci pendant 20 minutes. C’est en bas de la rue de Strasbourg que les choses se sont gâtées. Alors que je me suis éloigné pour prendre un plan large de la manifestation, un groupe de 4-5 personnes s’est détaché du cortège. Entièrement masqués, les individus étaient clairement venus là pour en découdre avec moi. Après une apostrophe très virulente liée à mon appartenance à Breizh-Info, les individus m’ont mis à terre et frappé au sol. Ils ont pris ma caméra et l’ont jeté au sol violemment avant de s’emparer de la carte SD et de s’enfuir. La BAC est arrivée mais n’a pas pu interpeller mes agresseurs. Il y en a pour plus de 1 500 € de casse ! C’est dramatique pour mon activité de journaliste. J’ai porté plainte et j’espère que les coupables seront punis. »

Un acte grave contre la liberté de la presse

« J’ai commencé à travailler pour Breizh-Info depuis peu de temps. Ce n’était que mon troisième reportage en manif, je m’en souviendrai !
Cela m’inquiète d’autant plus que cet acte s’inscrit dans un cadre plus global de pourrissement du climat dans le monde de la presse. Qu’on attaque un journaliste de cette manière devrait inquiéter tous les démocrates. Mais il en faudra plus pour me décourager ! »

Agression journaliste Nantes manif anti FN

Une manifestation marquée par la faible participation

Avant cette agression lâche et violente, la manifestation avait rassemblé près de 350 personnes dans les rues de Nantes à partir de 15h. Un nombre relativement peu élevé qui laissera d’ailleurs un arrière-gout amer aux participants. Au rendez-vous devant la FNAC, les manifestants décident malgré tout de s’élancer dans les rues de Nantes. Derrière deux banderoles appelant au « soulèvement » et à « lancer les pavés », les manifestants égrènent plusieurs slogans contre Marine Le Pen et Emmanuel Macron.
Après une brève tentative d’incursion dans Bouffay – vite bloquée par les CRS -, le cortège repart le long du cour des 50 otages jusqu’à la préfecture puis atteint le bas de la rue de Strasbourg sans incident notable. A cet instant notre journaliste se fait agresser. La manifestation poursuit son chemin, tentant un deuxième tour du même circuit. Mais arrivés à proximité de la préfecture, la police a dispersé la manifestation en usant de gaz lacrymogènes.
Une interpellation a eu lieu. Un homme, passablement ivre selon le témoignage d’un autre de nos journalistes présent sur les lieux, a jeté une canette sur des policiers. Il a été placé en garde à vue.

Les agresseurs de notre journaliste sont, eux, toujours en liberté.

 

Source : breizh-info

jeudi, 27 avril 2017

15 clandestins supplémentaire hébergés dans un CAO à Verfeil (82)

Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2017

 

Les Halles de Verfeil (Tarn-et-Garonne)

Arrivés de Paris ce mercredi, une quinzaine de clandestins sont logés dans un nouveau centre d’accueil et d’orientation (CAO) à Verfeil (82). Ils seront hébergés et nourris pour une période minimale de trois mois. 

Ils sont arrivés hier en bus depuis Paris. 15 clandestins sont depuis ce mercredi hébergés dans un gîte privé à Verfeil, où un nouveau centre d’accueil et d’orientation (CAO) a ouvert.

Ils seront logés et nourris, et pourront aussi bénéficier d’un indispensable accompagnement social et administratif. Leur séjour est prévu pour une durée d’environ trois mois, le temps qu’une solution pérenne soit trouvée. L’Udaf (Union Départementale des Associations Familiales), ainsi que des bénévoles sont mobilisés pour favoriser le bon déroulement ce séjour.

Dans le Tarn-et-Garonne, un autre CAO est déjà ouvert depuis l’automne dernier et accueille une vingtaine de clandestins venus de la « jungle » de Calais après son démantèlement, dans les locaux de l’ancienne gendarmerie de Bruniquel. Le centre d’accueil des 50 migrants mineurs de Réalville a été, quant à lui, fermé.
 
Source : infos-toulouse

Le président autrichien déclare qu’un jour toutes les femmes devront porter le voile « par solidarité »

Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2017

Par le 26/04/2017 
 Le nouveau président fédéral autrichien, Alexander Van der Bellen, voit le jour où toutes les femmes devront porter le voile par solidarité.

Dans un débat à la Maison de l’Union européenne, le président a déclaré : « Si ça continue comme ça … avec l’islamophobie rampante actuelle, viendra le jour où nous devrons demander à toutes les femmes de porter un foulard – toutes – par solidarité envers celles qui le font pour des raisons religieuses ».

Il a souligné le mot « toutes » et lui a accordé un grand poids en marquant, avant et après, une pause. C’est « le droit des femmes » de s’habiller comme elles le veulent, c’est son opinion, a déclaré Van der Bellen. Cela vaut d’ailleurs pour toutes les femmes, et pas seulement pour les musulmanes. […]

Die Welt (Traduction FDS)

 

Source : fdesouche

Toulouse (31) : un gang jugé pour braquages sur fond de voyage en Syrie

Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2017

Par le 25/04/2017  

Cinq jeunes gens de 22 à 30 ans sont jugés pour association de malfaiteurs, accusés d’une série de braquages dans des supérettes toulousaines, courant 2013, et d’une tentative de vol à main armée le 21 décembre 2013 dans un Simply Market, à Launaguet. Cinq faits et une tentative entre mai et décembre 2013, à Toulouse, Colomiers et Launaguet. Impassibles dans leur box, faisant bonne figure et même pressés de s’excuser auprès des victimes, quatre de ces hommes ne reconnaissent que la tentative de braquage de décembre 2013. Le cinquième, Yoann D., 30 ans, est mis en examen pour vol à main armée dans un Carrefour City le 19 juin 2013, avenue de Fronton, à Toulouse.

Hier, à la barre, experts psychiatres et enquêteurs de personnalité ont dressé un parcours presque banal de ces hommes, «dont l’intelligence aurait pu les emmener plus loin dans leur scolarité ou leur vie professionnelle». Malgré des études écourtées, tous sont insérés, sans antécédent judiciaire et en passe de devenir pères de famille. Entre missions d’intérim et petits boulots, ils cherchent de l’argent, «des motivations purement utilitaires», précise l’expert psychiatre. «La perte de la figure paternelle», pour Mounir D., 22 ans, ou la phobie de la mort obsédante pour Yoann D., a peut-être joué les détonateurs dans cette dérive difficilement compréhensible au regard d’une trajectoire d’adolescents flirtant avec la «normalité». Mais des personnalités dont l’immaturité est frappante. Un mois avant de passer son Bac pro, Rodrigue K., décide de partir en vacances avec ses copains en Tunisie. «Il le regrette aujourd’hui amèrement», affirme l’enquêteur de personnalité. Un voyage en Tunisie qui se poursuit jusqu’en Syrie pour lui et Mounir D. Ce duo, interpellé le 21 décembre lors de la tentative de braquage à Launaguet, avec Mustapha K. et Zied A.,intrigue le président Huet. Lors des perquisitions effectuées par les enquêteurs du SRPJ de Toulouse, on y voit ces deux garçons en tenue militaire, âgés alors de 18 et 20 ans, brandir des fusils d’assaut derrière des drapeaux noirs d’organisations terroristes. Rodrigue K. est photographié en train de porter à bout de bras une tête sanguinolente décapitée. Des documents qui feront l’objet d’une enquête par le parquet antiterroriste. L’instruction n’a pas permis d’établir un financement du jihad par les braquages commis à Toulouse. Mais ce périple syrien, pour le moins gênant pour la défense, s’immisce sournoisement au cours des premiers débats. La présence du Raid, dans les arrière-salles de la cour d’assises sécurise les interruptions de séance. Derrière cette «normalité» évoquée plus tôt, il reste les faits. Pour les victimes, difficile de les oublier. Lors du braquage d’un restaurant Quick, le 5 août 2013 (préjudice 16 000 €) l’un des braqueurs contraint une employée à une relation sexuelle avec son petit ami, lui aussi employé et présent sur les lieux. Aujourd’hui, enquêteurs du SRPJ et experts sont attendus à la barre. Les six faits seront évoqués dès demain. Verdict attendu mercredi 3 mai.

Source : fdesouche via La Dépêche