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jeudi, 13 avril 2017

Des crimes contre l’humanité chimiquement politiques !

Publié par Guy Jovelin le 13 avril 2017

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La chronique de Philippe Randa

Le crime contre l’humanité du mois serait un bombardement aux armes chimiques du gouvernement syrien contre ses ennemis… suivi d’un bombardement punitif des USA contre celui-ci.

Le crime, depuis la nuit des temps, est inséparable de l’histoire de l’Humanité. Ce ne sont pas les grands titres réguliers de l’actualité qui démentiront ce constat, aussi affligeant soit-il.

Et donc, la question qui revient, lancinante, est, qu’on le veuille ou non : « À qui profit le crime ? »

Quel intérêt a Bachar Al-Assad – redevenu interlocuteur incontournable d’une future paix au Moyen-Orient – à utiliser des armes chimiques qui le rejette automatiquement au ban des nations ? Aucun !

Quel intérêt Donald Trump a-t-il, lui, à faire bombarder une base syrienne, au mépris de ses promesses électorales d’un désengagement des États-Unis d’Amérique dans les conflits militaires extérieurs ? Peut-être faire oublier le récent échec de son projet de réforme du système de santé et le revers de son décret migratoire, non ? Et pourquoi pas !

Au fait, bilan de la supposée attaque à l’arme chimique de Bachar al-Assad : 72 morts, dont 20 enfants ; bilan de la « punition » yankee : 9 morts parmi les civils et 13 femmes et enfants blessés dans le village voisin d'Al-Chaayrate.

Source EuroLibertés

 

Source : synthesenationale

mercredi, 12 avril 2017

ROMAIN LOPEZ (FN82) APPELLE AU "RALLIEMENT DE MILLIONS DE MUSULMANS" !

Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2017

 
 
Le Front national réserve quelquefois à ses électeurs de drôles de surprises. Lors du grand débat de BFM, Marine Le Pen s'était montrée très soucieuse du respect des traditions françaises. Or le Front a investi en Tarn-et-Garonne un candidat qui ne tarit pas d'éloges sur les musulmans, les "banlieues", le rap, la Palestine, les "blédards" (c'est lui qui utilise le mot) et la République islamique d'Iran !

Et nous qui pensions, à écouter Florian Philippot et Nicolas Bay, que le Front National ne reconnaissait qu'une seule communauté : la communauté nationale, sans considération de croyances et d'origines ! Le candidat Lopez n'a visiblement que faire de la ligne officielle du parti car il s'adresse systématiquement aux citoyens en fonction de leurs caractéristiques religieuses, culturelles ou ethniques. Jusqu'à atteindre des sommets de grotesque et de tartuferie :


"Ils doivent former cette avant-garde autour de laquelle se constituera le ralliement de millions de Français musulmans"


Cette danse du ventre peut prendre un tour vaguement condescendant (nous conservons les fautes d'orthographe de l'aspirant-député) : 


"L'Islam des "blédard" des années 1960-70 ne posait pas de problème"


ou encore :


"Le FN donne à nos compatriotes musulmans l'espoir d'être enfin respectés et assimilés."

 
Dans un autre registre, non moins racoleur, au lendemain d'attentats terroristes :


"La Palestine, solidaire de notre Nation"


Il ne cache pas non plus son admiration pour la République islamique d'Iran, émancipatrice des femmes :



" En Iran, plus de femmes que de religieux au nouveau parlement"

 
Même le rap ne coupe pas à cette intense drague (à noter le lien du tweet pointant vers le site d'Alain Soral...) :
 

"Quand le rap plébiscite le Front National"

 
 

Comme l'écrivait La Dépêche il y a quelques mois (alors qu'il n'était que pré-investi), il s'agit bien là d'un candidat "particulier" !



Sources : tweets de Romain Lopez :
 
 
 
Source : politiccircus

Trump et les missiles : les faucons sont de retour !

Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2017

Les frappes punitives américaines contre l’armée syrienne et le gouvernement de Bachar- al-Assad, outre qu’elles ont un but médiatique et d’être une démonstration de force tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, indiquent surtout un revirement soudain et total de Trump au Moyen-Orient qui implique un changement important au sein de l’entourage du nouveau président des États-Unis.

Steve Bannon, un des conseillers controversés de Trump, son ancien directeur de campagne, celui que l’on surnomme son « éminence grise », ancien patron du site d’informations Breitbart News qualifié « d’extrême-droite » par les médias du système, a été évincé ces derniers jours. Il a été démis, début avril, de ses fonctions de stratège en chef au sein du Conseil national de sécurité.

Or Steve Bannon défend une stratégie de non-intervention en Syrie, celle-ci étant considérée contraire à la doctrine de l’« America first », l‘Amérique en premier, alors que le gendre juif très écouté, et de plus en plus écouté, de Donald Trump, Jared Kushner, est partisan d’une offensive contre le régime syrien de Bachar al-Assad :

« La politique qu’il [Jared Kushner, ndlr] préconise est l’inverse de celle de Steve Bannon. Il est pour une politique assez traditionnelle aux Etats-Unis : intervenir à l’extérieur, aider les pays alliés et notamment Israël – dont il est très proche en tant que juif orthodoxe. Avec le groupe de gens influents autour de lui – comme Steven Mnuchin, le ministre du Trésor, David Friedman, l’ambassadeur américain en Israël ou même Steven Miller, qui est un autre conseiller très puissant auprès de Donald Trump – ils ont tous soutenu un changement d’attitude fort »

explique l’historien Jean-Eric Branaa dans un entretien à RT France.

Ivanka Trump, l’épouse de Jared, s’est d’ailleurs dite «être fière » de son père pour sa décision de bombarder la Syrie. Pourtant cette décision a été à l’encontre de toutes les déclarations précédentes de Trump durant sa campagne présidentielle : à plusieurs reprises il avait assuré qu’avec lui il n’y aurait pas d’intervention en Syrie ni de pressions pour faire partir Bachar al-Assad. Il s’était nettement démarqué des thèmes fondamentaux des néo-conservateurs américains, les fameux faucons, favorables à l’interventionnisme militaire destiné, en résumé, à organiser l’hégémonie américaine sur le monde et sur un nouvel ordre mondial fondé sur le consensus moral « plus jamais Auschwitz ».

«Le néo-conservatisme a réorienté la politique américaine dans le sens d’uninternationalisme et d’un messianisme démocratique. Le néo-conservatisme est né sur le principe de « plus jamais Auschwitz ». Les néo-conservateurs disent vouloir un nouvel ordre international qui soit celui de la liberté, selon les conceptions qui ne sont pas venues de Kant et de Wilson, auxquels ils reprochent l’impuissance, mais qui prennent leur source dans des écrits deMoïse Maïmonide. (…) Ils soutiennent Israël. Leur credo est l’interventionnisme. Les États-Unis doivent être reconnus comme la nation-phare des droits de l’homme et exporter la démocratie et la liberté partout dans le monde si besoin par la force. (…) Parmi les idées emblématiques des néo-conservateurs, on peut citer la théorie du « chaos créateur » » peut-on lire sur la fiche Wikipédia qui leur est consacrée.

Si l’élection de Donald Trump avait semblé marquer un reflux de l’emprise du néo-conservatisme sur la politique américaine, cette accalmie aura été de courte durée. Le courant globaliste et interventionniste domine à nouveau à la Maison Blanche. Et on a vu quels résultats il a obtenu en Irak : destruction, terrorisme international, création de l’organisation État islamique, mort et anarchie… « le chaos créateur » en somme !

Les faucons sont de retour !

Francesca de Villasmundo

 

Source :medias-presse.info

mardi, 11 avril 2017

Marine Le Pen ne donnera jamais assez de gages au Système

Publié par Guy Jovelin le 11 avril 2017

Tout ça pour ça ? La polémique autour des propos de Marine Le Pen concernant la rafle du Vel d’Hiv ne manque pas de sel. Après avoir évincé son père Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front National, dans le cadre d’une entreprise de dédiabolisation qui montre ses limites, après avoir permis à des Collard, Philippot, Chenu et autres parachutés d’insulter Jean-Marie Le Pen et de le traiter en paria infréquentable, après avoir tenté de donner des gages aux médias, aux lobbies communautaires et à Israël, voilà Marine Le Pen qualifiée de révisionniste pour avoir fait sienne une version gaulliste de l’Histoire et souillé au passage la mémoire du Maréchal Pétain.

Rappelons une fois de plus la déclaration de Marine Le Pen :  

« Comme Charles de Gaulle, François Mitterrand, ou encore de nos jours Henri Guaino, je considère que la France et la République étaient à Londres pendant l’Occupation et que le régime de Vichy n’était pas la France. C’est une position qui a toujours été défendue par le chef de l’État, avant que Jacques Chirac et surtout François Hollande, à tort, ne reviennent dessus », déclaret-elle tout en qualifiant le régime de Vichy de« régime collaborateur et illégal ».  

Ce faisant, elle n’aura satisfait personne. Ni les professionnels de la repentance, ni les Français attachés à sauvegarder la mémoire du Maréchal Pétain.

Marine Le Pen aura simplement démontré une fois de plus que malgré sa volonté d’obtenir l’aval du système, elle n’en fera jamais assez. 

D’autres, comme Gianfranco Fini en Italie, ont essayé avant elle cette stratégie qui finit toujours par le reniement pour un apparent succès dans une participation cornaquée au pouvoir, suivi de l’effondrement.

 

Source : medias-presse.info

Soros : de la spéculation à la révélation

Publié par Guy Jovelin le 11 avril 2017

Rédigé par notre équipe le 10 avril 2017.

George Soros. Un nom bien connu de tous pourtant jamais cité dans les médias de la bien-pensance. Il aura fallu une (contre)attaque en règle du président hongrois, Viktor Orbán, pour que les vecteurs de communication aux ordres du milliardaire et de ses frères idéologiques daignent enfin évoquer les activités du financier américain. Une sortie en force qui illustre une fois encore la soumission des journalistes en France et à l’étranger.  

À 86 ans, George Soros est encore le cauchemar de millions de citoyens à travers le monde et particulièrement en Europe. Celui qui a fait fortune en spéculant sur les devises a mis son argent, depuis plus de trois décennies, au service d’une idéologie mondialiste triomphante. Les services rendus au camp occidental lors de la Guerre froide lui ont certainement épargné des ennuis après avoir raflé plus de 1,1 milliard de dollars en 1992 pour avoir joué un immense jeu spéculatif contre la livre sterling. Le coup fut dur pour le Royaume-Uni, fatal pour certains épargnants, mais la manœuvre fut réitérée des dizaines de fois avec plus ou moins de succès et toujours avec la rapacité morbide comme moteur.

Les hommes ont leur ego et Soros ne souhaite pas rester dans l’Histoire comme un spéculateur grossier (par ailleurs condamné) qui brasse les milliards et détruit des vies. Il faut mettre un vernis philanthropique. Créer une légende blanche pour cacher la réalité noire. George Soros sera donc un philanthrope qui se bat contre tous les régimes brutaux. Une fois sa contribution versée contre le communisme, il continue sans relâche ses activités de promotion de la démocratie et des droits de l’Homme. De quoi se réjouir ! Sauf que comme sous les régimes communistes, plus les intitulés sont porteurs d’espoirs, plus ils cachent des desseins malfaisants.

Open Society Foundations : le ver est dans le fruit

L’Open Society Foundations transformé en Open Society Institute en 2010 commence ses activités dans des dizaines de pays à compter de 1979. De nouvelles générations grandissent dans l’ombre de ce réseau qui déverse des millions de dollars pour faire avancer ses causes. Un jeune étudiant hongrois est soutenu, avec un intérêt certain, contre le régime communiste qu’il ne cesse de dénoncer. L’étudiant devenu premier ministre de la Hongrie est aujourd’hui le principal critique de George Soros. Les promesses de l’Open Society n’ont pas été tenues. Car lorsque les opposants comprenaient que la démocratie était une fin en soi, le financier Soros avait une autre idée en tête : effacer les frontières, nier l’existence des peuples et asseoir le règne de l’argent-roi.

Deux conceptions bien différentes qui ne peuvent pas cohabiter. Encore empli de ses idéaux de jeunesse, Viktor Orbán a engagé depuis plusieurs années un bras de fer avec une Union européenne droguée à l’idéologie Soros. Faire du pognon sur le dos des gens et les noyer sous une pluie de bien-pensance qui n’admet aucune contradiction. Alors quand le premier ministre hongrois refuse de se prêter au jeu suicidaire de laisser de migrants économiques venir en Europe, il est accusé de reprendre le flambeau du Troisième Reich. Le raccourci est aussi simpliste que fallacieux, mais il marche encore dans la vieille caboche de George Soros.

Seul dirigeant européen à ne pas se soumettre et à se compromettre avec des politiques européennes insensées, Viktor Orbán est décrit comme un proto-dictateur en quête de pouvoir absolu. Le possible vote d’un texte visant à renforcer le contrôle financier des ONG est alors dénoncé dans tous les journaux de France et d’Europe comme un coup de force antidémocratique. Si une telle loi venait à être adoptée par un Parlement – rappelons-le, élu démocratiquement et plus en phase avec le peuple hongrois que les parlementaires français avec leurs électeurs (Constitution européenne passée malgré la volonté du peuple, etc.) – l’université CEU devra certainement fermer ses portes. Tête de gondole idéologique, non cachée, de Soros en Hongrie et en Europe orientale, cette université ne pourrait plus être financée à hauteur de ses besoins.

Autrement dit, le pouvoir hongrois empêche des éléments extérieurs venir saper sa politique. Du bon sens qui prend des accents antisémites. Forcément ! Critiquer les agissements de George Soros, c’est forcément avoir des sympathies pour l’Allemagne nazie dont a pu réchapper Soros lorsqu’il était enfant. A son âge, le spéculateur entame peut-être sa dernière lutte, mais son idéologie ne sera pas mise en terre. Les jeunes Soros sont légion comme en atteste l’exécrable Macron en France.

 

Source : 24heuresactu