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vendredi, 10 février 2017

INSEE : 1,1 million de Français sont d’origine algérienne

Publié par Guy Jovelin le 10 février 2017

Par le 09/02/2017 
 Une étude de l’Institut national français des statistiques et études économiques (Insee), publiée mercredi 8 février, révèle les proportions et origines des immigrants et de leur descendance dans la population française. Il en ressort que 15% des 7,3 millions d’enfants d’immigrés sont originaires d’Algérie, soit près de 1,1 million de personnes, selon les chiffres de l’Insee.

[... L’Algérie, avec 15%, représente le 1er pays de la liste, suivie par le Maroc (11%) et la Tunisie (5%). Ces personnes descendantes d’immigrés maghrébins sont, en grande majorité (59%), des jeunes de moins de 24 ans. 17% ont entre 25 ans et 34 ans, alors que 19% sont âgés de 35 à 49 ans. Le reste, soit 5% ont 50 ans et plus, détaille l’Insee. [...]

TSA Algérie et INSEE

Front National – Déjeunant avec la Confédération des Juifs de France et amis d’Israël, Gilbert Collard déclare avoir toute sa vie œuvré pour Israël et promet une nouvelle purge

Publié par Guy Jovelin le 10 février 2017 


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Passionnante rencontre avec la Confédération des Juifs de France et amis d'Israël, ce matin !

Tandis que Nicolas Bay, secrétaire général du Front national, est revenu de son voyage en Israël, mandaté par Marine Le Pen, Louis Aliot et Gilbert Collard prenaient un petit-déjeuner au restaurant parisien Chez Françoise, le mercredi 8 février, à l’invitation de laConfédération des juifs de France et des amis d’Israël (CJFAI) présidée par Richard Abitbol et regroupant 18 associations juives.

Une trentaine de personnes participaient à cette rencontre. Il y a là Nicolas Lesage, directeur de cabinet de Marine Le Pen, Jean-Richard Sulzer, conseiller économique de la présidente du FN, et Michel Thooris, responsable de l’Union des patriotes français juifs.

Richard Abitbol s’y réjouit que Marine ait « éliminé » son père Jean-Marie Le Pen du FN. Puis le président du CJFAI interroge ses invités :

« Il y a encore des gens peu fréquentables au FN, comme M. Chatillon ou des proches de Rivarol. Que comptez-vous faire avec ces personnalités qui dérangent ? »

Le député (Rassemblement Bleu Marine) franc-maçon Gilbert Collard répond que «toute (sa) vie », il a « œuvré pour Israël, en raison de multiples amitiés ».

« Le dernier rempart de la civilisation judéo-chrétienne, c’est Israël. »

« Accordez-nous le droit d’avoir évolué, d’avoir réfléchi, d’avoir viré les cons qui corrompent toujours, partout où ils passent. Mais qui peut se targuer de ne pas avoir un con dans son groupe ? Les cons qui comptent il faut les virer. Et les cons qui ne comptent pas il faut les virer, parce qu’ils polluent. [La situation évolue] grâce à Marine, qui est intraitable sur la question, et qui va même jusqu’à prendre des sanctions immédiates, au mépris de toutes les règles de procédure le plus souvent, ce qui est un peu problématique. »

« Frédéric Chatillon, je ne le connais pas, assure Gilbert Collard. Chaque fois que je le vois, je l’évite. Je crois savoir qu’il n’occupe aucune place dans les instances du Front. (…) J’ai une position très simple. Les gens qui sont discutables, je suis pour qu’on les vire. Chatillon, personnellement, (…) je vous mets au défi de me voir en sa présence quelque part. Il ne serait pas là, on se porterait beaucoup mieux. »

Ensuite, c’est Louis Aliot, vice-président du FN, qui déclare que le judaïsme est « une partie de (lui)-même ».

« Mon grand-père était juif d’Algérie. Je connais un peu ce monde-là sans totalement le connaître. »

« Israël relève d’un pays ami, mais étranger, comme peut l’être l’Espagne. C’est un pays partenaire, ami, mais il se peut que les intérêts de la France ne soient pas ceux d’Israël. »

« Frédéric Chatillon n’a aucune responsabilité exécutive ou administrative au sein du Front national. Il n’est pas au bureau politique, il n’est pas élu du comité central, il n’est pas au bureau exécutif. Il est un prestataire, un technique. On peut l’aimer, on peut ne pas l’aimer, je comprends. Il ne s’occupe pas des affaires internationales, il n’a pas son mot à dire dans notre politique internationale. S’il avait son mot à dire, est-ce que vous croyez que Marine Le Pen tiendrait le discours qu’elle tient ? Est-ce que Gilbert Collard aurait tenu à l’Assemblée nationale les discours qu’il a tenu ? »

« Il est un extérieur qui pose problème dans certains milieux, je le conçois. Mais il n’a, en tout cas pour moi, aucune influence dans la politique et dans l’idéologie politique qui sous-tend notre programme. Je veux que ce soit très clair. Je suis aussi un partisan de cette ligne-là. Je n’ai aucune sympathie pour un certain nombre de militants historiques de causes palestiniennes ou pro-palestiniennes, ou d’extrême gauche. Encore moins du révisionnisme historique, ou encore moins d’une tolérance quelconque par rapport au régime nazi. Il faut que ce soit très clair. »

Le président de l’Union des patrons juifs de France (UPJF) a réagi en déclarant avoir donné sa démission de la CJFAI.

« Je suis un des fondateurs de la CJFAI. Aujourd’hui, c’est géré par trois ou quatre personnes, sans aucune consultation de ceux qui sont censés en être membres. Pour moi, le FN est une organisation infréquentable. Marine Le Pen a soi disant dédiabolisé le parti, mais elle garde les diables : Chatillon, Bruno Gollnisch, Philippe Péninque. » 

 

Source : medias-presse.info

jeudi, 09 février 2017

Un Aveyronnais, employé à l'Assemblée nationale, sauvagement agressé dans le métro parisien

 Publié par Guy Jovelin le 9 février2017

 Jean-Michel Gaudin/Capture Facebook

Jean-Michel Gaudin/Capture Facebook

image: http://www.ladepeche.fr/images/pictos/image-zoom.png

Claude Bartolone, le président de l’Assemblée nationale, a ouvert ce mercredi la séance des questions au gouvernement en rendant hommage à un agent du Palais Bourbon, qui réside à Estaing, en Aveyron, où son épouse tient un gite. Jean-Michel Gaudin a été sauvagement agressé la semaine dernière dans le métro parisien, en voulant porter des secours à des vieilles dames agressées, comme le rapporte Centre Presse. Il est aujourd'hui entre la vie et la mort. 

En fin de semaine dernière, Jean-Michel Gaudin, qui est employé comme serveur au bar de l’Assemblée nationale, prend le métro pour rejoindre son domicile parisien. Alors qu'il se trouve le quai, il est témoin de l'agression de vieilles dames par un groupe de jeunes gens.

Roué de coups en portant secours à une vieille dame

Le serveur aveyronnais tente alors de s’interposer pour porter secours à la personne âgée. Il est alors pris à partie par les quatre assaillants qui lui sautent dessus et le rouent de coups. Jean-Michel Gaudin s’écroule sur le quai et ses agresseurs s’enfuient, le laissant pour mort.

Souffrant de multiples contusions, hématomes et fractures, avec un pronostic vital engagé, il est transporté, dans le coma, dans un hopital parisien. Quelques jours après cette sauvage agression, son état de santé est jugé « stationnaire » par les médecins.

Le quartier des Aubiers au cœur d’une nouvelle polémique

 Publié par Guy Jovelin le 9 février 2017

Publié le 8 février 2017 dans Brèves

Ce quartier du nord de Bordeaux, où réside une forte population étrangère est de nouveau au centre d’une polémique.C’est France Bleu Gironde qui a révélé l’affaire au grand public : « Depuis un mois, sur la plateforme Youtube, est diffusé le clip du rappeur Benesao qui a été réalisé dans la cité des Aubiers à Bordeaux Lac, d’où le titre de la chanson « C’est la Cité ». Benesao, jeune marseillais de 19 ans, est venu s’installer depuis quelques mois à Bordeaux. Il veut faire carrière dans ce style de musique, mais les images de son premier clip ont beaucoup choqué. Drogue, armes et argent facile, rien de très valorisant pour ce quartier dit sensible, qui abrite 4.000 habitants et 54 nationalités. On y voit de jeunes enfants aux côtés d’autres beaucoup plus grands qui brassent des liasses de billet de banque, qui brandissent des armes, pistolets et fusils, sur fond de drogue ».

 

Source : infos-bordeaux

 

 

Inadmissibles violences d'Aulnay-sous-Bois : les journaleux ont choisi leur camp, « l’évangile selon saint Théo »

 

« Qu’est-ce qui a motivé cette interpellation ? » Voilà la bonne question, celle par quoi il faut commencer, la seule qui vaille d'être posée : elle l'est ce matin du mercredi 8 février, sur France info, par un syndicaliste policier ; presque une semaine après !

Il n'y a pas encore de faits absolument et intégralement établis dans ce que l'on peut appeler « l’affaire d’Aulnay », car tout bouge tout le temps et France info nous apprend même qu'une personne chargée de l'enquête n'a pas encore visionné la totalité des vidéos ! On ne peut donc pas - pas encore... - prendre une position définitive et adopter la réaction qu'elle induit, puisqu'on ne sait pas encore avec certitude qui a tort, qui a raison ; qui dit la vérité, qui ment ; qui a fait quoi, et pourquoi.

Mais la cléricature médiatique n'en a cure : elle a déjà tout fait : le procès, la condamnation (des policiers, évidemment), et la béatification-canonisation de « Théo », adopté par l'ensemble des journaleux et appelé uniquement ainsi, affectueusement « Théo », alors que, normalement, toute personne possède un nom et un prénom, non ?

Dans l'état actuel des choses, il semble seulement avéré que, au cœur de « la cité des 3.000 » d'Aulnay, connue pour du trafic de stupéfiants, quatre policiers patrouillent, le jeudi 2 février, quand une dizaine d'individus poussent le cri bien connu : « ça pue », qui avertit les guetteurs de l'arrivée des forces de l'ordre.

Les quatre agents parviennent à contrôler une dizaine de personnes sur les lieux. L'une refuse et rapproche son visage d'un des policiers en geste de défi. Le policier repousse l'individu fermement, et c'est à ce moment précis que le « jeune » - finalement interpellé - aurait attrapé l'un des policiers par le col, puis lui aurait tenu, en criant, des propos injurieux ; il lui aurait donné un coup de poing sur la pommette gauche. Les quatre agents décident alors de le prendre à part pour l'interpeller. L'un d'entre eux le ceinture mais le jeune homme se débat « très violemment ». C'est à ce moment-là qu'un des agents aurait sorti sa matraque télescopique « pour frapper Théo aux jambes », « pour l'empêcher de donner des coups de pieds ».

Après, il est clair qu'il s'est passé quelque chose. Il est non moins clair qu'il faut attendre que Justice et Police établissent définitivement la matérialité des faits avant de réagir. 

Cependant, on peut d'ores et déjà affirmer deux choses.

1. La réaction tribale des « jeunes » des cités est absolument inadmissible, et montre une fois de plus à quel degré de décadence nous en sommes arrivés. Les nuits de destruction systématique de mobilier urbain (que nous payons par nos impôts), d'incendie de véhicules particuliers (appartenant à des gens qui n'ont rien à voir avec « l’affaire ») le font comprendre aux plus obtus, aux plus aveugles, aux plus sourds : il y a chez nous, dans ce qui est encore notre « douce France », des centaines, des milliers de « zones de non-droit » où la racaille fait ce qu'elle veut, quand elle veut, comme elle veut... Et, bien sûr, cela n'est pas normal. Quel que soit l'évènement auquel on se réfère, aucune bande - ici, ethnique - ne devrait pouvoir mettre un morceau de France à feu et à sang. A Sevran, Villepinte, Clichy (communes voisines d'Aulnay) des chariots de supermarchés remplis de bouteilles pleines d'essence sont jetées n'importe où sur n'importe quoi. Bravo les « jeunes » ! Les réparations, après, c'est nous qu'on paye...

Le Système, qui mène depuis 1975 la suicidaire politique d'immigration-invasion que l'on sait ne fait que récolter ce qu'il a semé... mais dont il nous impose les conséquences désastreuses. 

2. La réaction des journaleux est révélatrice : alors que les déclarations du « jeune » interpellé ont varié à plusieurs reprises (des « déclarations évolutives » !) les journaleux ont adopté le jeune « Théo » et ne parlent plus de lui que de cette façon, amicale, chaleureuse, affectueuse : « Théo ». On dirait un membre de la famille, un petit frère ! Deux paysans français se suicident chaque jour, mais, là, les journaleux n'en parlent pas. Et, a fortiori, ne les appellent pas par leur prénom. Pourquoi cette hâte, alors que « l’affaire » n'est pas encore totalement élucidée, à prendre parti pour « Théo », cet amour pour « Théo », « Théo » par ci, « Théo » par-là : franchement, cette affection soudaine est louche, quand on connaît les opinions des journaleux, qui confondent si volontiers carte de presse et carte de parti (de gauche, et immigrationniste, évidemment). Rien que cela suffirait à rendre le « jeune » interpellé suspect...

Dernière chose : dite par l'interpellé plusieurs jours plus tard, les accusations d'insultes racistes (« bamboula » et autres) n'ont plus été reprises par lui, ensuite. Il y a fort à parier que SOS Racisme ou le Cran, dès le début de l'affaire, le 2 février, auraient hurlé à la mort si ces insultes avaient bien été proférées. Là c'est silence radio, qui équivaut à un aveu : l'interpellé a menti. Curieusement, depuis, il ne cesse même d'appeler au calme.

Bizarre, bizarre... Vous avez dit bizarre ? 

 

Source : lafautearousseau