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samedi, 28 janvier 2017

Assistants parlementaires : Marine Le Pen sommée de payer 340.000 euros

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2017

Par Marc de Boni Mis à jour

 

Marine Le Pen, député européen FN.

La candidate du FN doit s'acquitter des versements exigés par Bruxelles avant la fin du mois de janvier sous peine de se voir pénaliser par une retenue appliquée à ses indemnités d'eurodéputée.

François Fillon n'est pas le seul à se trouver empêtré dans une affaire relative à l'emploi d'assistants parlementaires. Marine Le Pen, elle, est accusée d'avoir rémunéré des cadres du Front national avec l'argent public: il s'agit du Parlement européen cette fois, pour deux emplois d'assistants parlementaires jugés fictifs par l'Office européen de lutte antifraude (Olaf). Le magazine Challenges révèle cette semaine deux documents : la patronne du FN a déjà reçu, depuis décembre, deux courriers de l'administration bruxelloise. Par ces missives, il est exigé de Marine Le Pen qu'elle rembourse 298.497 euros pour les salaires «indûment versés» à Catherine Griset, sa chef de cabinet, et ce avant le 31 janvier prochain. Elle doit par ailleurs verser 41.554 euros pour les salaires de Thierry Légier, son garde du corps, avant le 28 février.

Si Marine Le Pen ne s'acquitte pas de ces paiements, le Parlement européen procédera de lui-même à des ponctions en retenant son enveloppe de frais généraux, la moitié de son indemnité parlementaire et la moitié de ses frais de séjour. Des retenues qui se poursuivraient jusqu'à remboursement total des sommes réclamées. Par ailleurs, la présidente du FN devra s'acquitter d'intérêts «au taux appliqué par la Banque centrale européenne à ses opérations principales de refinancement majoré de trois points et demi». L'avocat de Marine Le Pen dénonce une dimension politique et partisane et affirme n'avoir pas pu consulter le rapport sur la base duquel ces poursuites ont été engagées. Au FN, on désigne également une volonté de vindicte du président sortant du parlement européen, le socialiste Martin Schultz.

Le FN refuse la comparaison avec l'affaire Fillon

L'administration européenne accuse Marine Le Pen, ainsi qu'un certain nombre d'autres eurodéputés FN d'avoir rémunéré des cadres et permanents du parti pour des activités sans rapport avec le parlement européen. Selon les courriers qui lui ont été adressés, la candidate à la présidentielle n'a pas fourni de pièces permettant de prouver les activités de Catherine Griset à Strasbourg sur la période du 3 décembre 2010 au 15 février 2016, alors que ses nombreuses activités au siège du parti à Nanterre sont, elles, bien établies. Le garde du corps historique de la famille Le Pen, Thierry Légier, a quant à lui été embauché sur une courte période, fin 2011, également au titre d'assistant parlementaire, pour un montant total de plus de 40.000 euros. Or, là aussi, les hauts fonctionnaires européens doutent de la réalité de cet emploi, et soupçonnent la présidente du FN d'avoir fait financer le salaire de son officier de sécurité par le contribuable.

Interrogé mercredi soir sur iTélé sur la comparaison entre l'affaire Penelope Fillon et celle des assistants parlementaires du FN au niveau européen, Florian Philippot avait répondu: «On parle pas du tout de la même chose (…) Pas question d'emploi fictif et pas question de dissimulation du fait que tel ou tel ait été assistant parlementaire, et donc on n'est pas du tout dans le même cas de figure». La révélation de l'envoi de ces «notes de débit», permettent par ailleurs de peut-être mieux comprendre la relative discrétion du Front national dans les premières heures de la polémique éclabousse le champion des Républicains.

 

Source : lefigaro

Le chemin sans croix du Real de Madrid

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2017

Le chemin sans croix du Real de MadridPour la troisième fois en trois ans, la croix du logo du Real Madrid va être supprimée du logo pour complaire au puissant lobby financier mahométan. Il n’y aura plus de croix surplombant la couronne du logo du Real sur les maillots commercialisés dans les pays du Golfe. Les dirigeants madrilènes viennent de signer un partenariat exclusif avecMarka, un groupe de distribution émirati fondé en 2014 et basé à Dubaï, prévoyant cette modification. L’accord concerne l’ensemble des produits dérivés du club et couvre six pays : l’Arabie saoudite, Bahreïn,  les Émirats Arabes Unis, le Koweït, Oman et le Qatar. Khaled al Mheiri, vice-président et directeur général de Marka, a expliqué  à l’agence Reuters: «Nous devons prendre des précautions dans cette région où il existe une sensibilité particulière sur les produits avec une croix.» Quelle honte pour un club qui était le préféré du général Franco et dont le stade, Santiago Bernabéu, porte le nom de celui qui fut la star du club de 1911 à 1927 avec 76 buts en 74 matchs officiels (et plus de 200 buts en amical), le Président du club du 15 septembre 1943 à  sa mort le 2 juin 1978 et pendant la guerre d’Espagne, un glorieux combattant contre le régime stalinien cathophobe sur le front de Catalogne aux côtés du général Augustin Muñoz Grandes.

Deux précédents ont déjà eu lieu : en avril 2012, la croix avait déjà été retirée pour la création du Real Madrid Resort Island, situé dans l’île de Marjan, une île artificielle de l’un des sept émirats unis, Ras al-Khaimah. Ce projet d’un milliard de $ prévoyait un stade de 10.000 places ouvert sur la mer, un musée du Real, un club nautique, un hôtel 5 étoiles de 450 chambres, un parc d’attractions et des résidences de luxe… Le projet capotera officiellement en septembre 2013 et la croix reviendra. En novembre 2014, la croix disparaîtra sur les cartes de crédit des Emirats Arabes Unis (qui est via sa compagnie aérienne le sponsor du club de football) sur ordre d’Alex Thurby, directeur de la Banque Nationale d’Abu Dhabi, qui devait financer le projet immobilier précédemment mentionné.

Fondé le 6 mars 1902, professionnel depuis 1910, le Real Madrid CF a l’un, sinon le, palmarès le plus étoffé du monde : 32 titres de champions d’Espagne, le premier en 1931 et le dernier en 2012, dont 5 de suits de 1960 à 1965 et de 1985 à 1990 et 8 sur les 9 saisons de 1960 à 1969 ; 19 coupe du Roi (coupe d’Espagne), la première en 1905 et la dernière en 2014, dont 4 de suite de 1905 à 1908 ; 9 Supercoupes d’Espagne, la première en 1988 et la dernière en 2012 ; 2 coupes du monde des clubs (2014 et 2016) ; 11 Ligues des Champions, la première en 1956, la dernière en 2016, dont 5 de suite de 1956 à 1960 (avec deux victoires en finale contre le Stade de Reims en 1956 et 1959) ; 2 coupes de l’UEFA (1985 et 1986) ; 3 Supercoupes de l’UEFA (2002, 2014 et 2016) ; 3 coupes Intercontinentales (1960, 1998, 2002) et 2 coupes Latine (1955 et 1957). Il est le club le plus riche du monde avec plus de 450 millions d’euros de revenus par an.

Pauvre Christ mort pour racheter nos péchés et qui est perpétuellement vendu, non plus pour 30 deniers, mais pour des contrats d’affaires avec les égorgeurs de chrétiens (ou du moins leurs financiers) et même, pour ceux qui ont perdu tout sens commun, des hypothétiques places de députés…

Hristo XIEP

 

Source : medias-presse.info

ECHEC DES RÉFORMES DE NAJAT VALLAUD-BELKACEM AU CONSEIL CONSTITUTIONNEL

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2017

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COMMUNIQUE DE PRESSE

Le Conseil constitutionnel empêche le gouvernement de durcir le régime d’ouverture des écoles indépendantes

Dans sa décision n° 2016-745 DC du 26 janvier 2017 sur la Loi relative à l’égalité et à la citoyenneté, le Conseil constitutionnel – saisi par plus de soixante sénateurs et plus de soixante députés – s’est prononcé sur l’article 39, qui habilitait le Gouvernement à prendre par ordonnance les mesures nécessaires pour remplacer, dans le code de l’éducation, le régime de déclaration d’ouverture préalable des établissements privés d’enseignement scolaire par un régime d’autorisation.

« Le Conseil constitutionnel a jugé que, eu égard à l’atteinte susceptible d’être portée à la liberté de l’enseignement par la mise en place d’un régime d’autorisation administrative, le législateur, en confiant au Gouvernement sans autre indication le soin de préciser « les motifs pour lesquels les autorités compétentes peuvent refuser d’autoriser l’ouverture » de tels établissements, a insuffisamment précisé les finalités des mesures susceptibles d’être prises par voie d’ordonnance.  » (extrait du communiqué du Conseil constitutionnel du 26/01/2017)

La Fondation pour l’école se réjouit de cette décision du Conseil constitutionnel, qui empêche que le Ministre Mme Najat Vallaud-Belkacem ne mette à exécution son projet de rendre plus difficiles les créations d’écoles libres.
C’est une bonne nouvelle pour l’avenir de ces dernières en France, qui connaissent une croissance de 12% par an, et plus largement pour la liberté de penser et d’entreprendre dans notre pays en matière d’éducation.
La vitalité des entrepreneurs de l’éducation est une chance pour le paysage éducatif français : elle apporte de l’aération au système éducatif dans son ensemble. La censure de l’article concernant l’école à la maison va aussi dans le sens du nécessaire respect des libertés éducatives des familles.
Espérons que le Conseil d’Etat censurera, dans un même ordre d’idées, le décret qui tend à réduire à la portion congrue la liberté de programmes des écoles hors contrat. Mais il faudra attendre de longs mois avant de connaître sa décision, ce recours n’étant pas en référé. Nous espérons vivement que le prochain gouvernement abrogera ce décret malheureux pour assurer sans attendre un plein respect de la liberté pédagogique des écoles indépendantes.

 

Source : liberte-scolaire

Citoyenneté et nationalité

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2017

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Richard Dessens EuroLibertés cliquez ici

Les débats sur l’identité qui se succèdent depuis une dizaine d’années sèment une confusion et provoquent des antagonismes pour la raison qu’ils reposent sur des fondements faussés. En effet, avant d’évoquer une « identité », il faudrait d’abord définir sur quoi elle porte. Or, le véritable problème est celui qui est créé par la confusion qui existe, en France notamment, entre la « citoyenneté » et la « nationalité ». La citoyenneté est de nature juridique et ouvre des droits politiques. À ce titre, elle procède d’une logique administrative qui permet d’accorder, ou pas, la citoyenneté, à n’importe qui résidant sur un territoire donné. Aucun autre critère ne peut être requis. Délivrer la citoyenneté est donc un acte qui ne prend en compte aucune appartenance particulière à des valeurs, ou à une communauté, ou l’attachement à une histoire, une culture, et encore moins à une civilisation. Elle n’implique aucun engagement de fidélité à quoi que ce soit.

Au contraire la nationalité induit une notion ethnique, un lien avec une nation, c’est-à-dire une entité humaine aux valeurs communes et à la communauté de destin de ses membres. L’histoire, les traditions, la défense de son identité, en font la substance et la réalité quotidienne, avec la volonté d’adhérer de bonne foi, naturellement donc, à ses règles de convivialité, à ses codes sociaux. La patrie est un sentiment charnel, la nation une organisation et un ordre social de femmes et d’hommes au passé et au devenir communs et identifiés.

Tant que notre système juridico-politique s’entêtera, pour des raisons idéologiques, à confondre citoyenneté et nationalité, tout débat sur l’« identité » et sur l’« Europe » restera stérile, inutile, voire dangereux. Or, la source de cette confusion se situe dans la création factice des « États-Nations » qui mêlent citoyenneté et nationalité, travestissant la notion même de nationalité, en fabriquant une fausse nationalité conforme aux contours géographiques de l’État, à partir des nationalités régionales dévalorisées, et justifiée par la citoyenneté, liée aux États nouveaux et aux idées des « Lumières » concrétisées par la Révolution.

C’est là que se situent l’imposture, et les ambiguïtés qui en découlent, des États-Nations et l’impossible débat sur toute notion d’« identité », devenue essentielle dans le monde nouveau de la globalisation. Globalisation financière ne veut pas dire globalisation humaine, malgré la volonté de nos élites « droits-de-l’hommistes » dominantes.

Séparer citoyenneté et nationalité aboutit ainsi à la suppression des États-Nations européens, pour donner un sens à des « identités » qui retrouveraient leurs véritables racines. Ainsi, une Europe nouvelle pourrait voir le jour, la nationalité entraînant d’office la citoyenneté, mais non l’inverse. N’importe qui pourrait être « citoyen », c’est-à-dire posséder des droits politiques, le droit de vote notamment, sans bénéficier des avantages sociaux, sans participer automatiquement à la vie culturelle, sans être non plus soumis aux contraintes imposées aux membres de la nation, et notamment sa défense à titre militaire par exemple. La nationalité renvoie à une communauté humaine spécifique de destin, la citoyenneté à un acte juridico-administratif.

Cette conception a été évoquée par des esprits d’origines très diverses, depuis Yann Fouéré et son excellent ouvrage, déjà ancien, L’Europe aux cent drapeaux, jusqu’à Dominique Schnapper dans Qu’est-ce que la citoyenneté ?, autre excellente étude, plus récente, sur la citoyenneté vue sous un angle certes très différent de celui de Fouéré. Ce n’est donc pas une question d’idéologie lorsque l’honnêteté intellectuelle et l’impartialité amènent à des réflexions finalement proches de la part de personnages aussi différents politiquement que ces deux auteurs prestigieux.

L’Europe nouvelle ne pourra exister sans reconnaître qu’elle comporte « cent drapeaux » nationaux. Et une citoyenneté supplémentaire.

 

Source : synthesenationale

La droite nationale pour redresser la France

Publié par Guy Jovelin le 28 janvier 2017

Ne laissons pas à d'autres le soin de piétiner nos plates-bandes, la Droite Nationale Sociale et Populaire est incarnée par Carl Lang!

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