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dimanche, 01 mai 2016

Le fils Debré, Caton à la mie de pain et clown méchant

Publié par Guy Jovelin le 1er mai 2016

Debré s’est appliqué à retoquer tout ce qui transcrivait un peu la volonté populaire et transgressait ainsi le politiquement correct

L’un a écrit la Constitution, l’autre s’en est cru le gardien.

L’un, patriote maladif, rompit ses serments les plus saints dans l’affaire algérienne ; l’autre ne saurait rien trahir, son seul honneur s’appelle fidélité à Jacques Chirac.

L’un était le père, Michel ; Jean-Louis, l’autre, est le fils Debré.

Journaliste, j’ai suivi le premier vingt ans après le putsch d’Alger lors d’une campagne présidentielle désespérée. J’ai déjeuné plus tard avec le dernier à la mairie de Levallois, invité par l’obligeant Balkany. La République était grasse et fleurie comme une prairie normande, le menu copieux, le bordeaux vieux, le cigare dispendieux (c’est le côté Churchill du personnage), les convives digéraient heureux.

Michel Debré, quoiqu’il semblât tiré d’une tragédie de Corneille, adorait Labiche ; son fils paraît croqué par celui-ci, il a la componction innocente du clown bourgeois.

Un metteur en scène expressionniste lui mettrait un nez rouge, nous y perdrions, le sérieux fait tout.

Il occupa le perchoir de l’Assemblée nationale, présidait encore le Conseil constitutionnel en mars 2016, prêche la morale à la cantonade dans son dernier livre, Ce que je ne pouvais pas dire (c’est fou ce que souffrent les singes de Nikkō pendant leur vie politique) : il déplore notamment qu’« au sommet de l’État, certains se croient tout permis ». Cependant, il a tenté de franchir un barrage de police en intimidant un brigadier lors des manifestations contre la loi Travail. Il conduisait, pour faire ses courses, une voiture du Service de protection des hautes personnalités, sans les papiers du véhicule. Au policier qui lui expliquait qu’il devait respecter la loi, il répliqua : « Je suis de la maison. Vous devez me faire passer. »
 Mais le fonctionnaire, refusant les privilèges, lui demanda sa carte, qu’il n’avait pas, bien sûr, et l’affaire remonta au ministère.


Debré est un personnage classique des films d’horreur psychologique anglo-saxons, le clown méchant. Ce multi-contrevenant multi-profiteur se veut aussi défenseur pointilleux du droit. Ainsi condamne-t-il Sarkozy, coupable d’avoir tenté de se soustraire aux ukases des sages : cela rendrait l’ancien Président sympathique.

Juché sur les interprétations fuligineuses que le Conseil donne des préambules de nos Constitutions, Debré s’est appliqué à retoquer tout ce qui, dans les lois qui lui étaient soumises, transcrivait un peu la volonté populaire et transgressait ainsi le politiquement correct. Le gendarme de l’État de droit était sans pitié. Ni pudeur.

Croisant l’un de ses anciens collaborateurs dont il avait oublié qu’il était passé au FN, il lui proposa : « Venez donc prendre un café. » Puis, se rappelant la situation, il reprit : « Ça ne fait rien. Venez prendre un café quand même. De toute façon, vous ne pourrez rien, nous tenons tout. »

Sainte Simplicité ! « Tout » est ouvertement verrouillé par des flics politiques maquillés en juges. Jean-Louis Debré aura été, après Roland Dumas qui approuva les comptes irréguliers de Jacques Chirac pour valider son élection, le vigilant geôlier de la République. La République des vitres teintées, dont il tire bonne pitance et reconnaissance. Le garde-chiourme n’a plus, aujourd’hui, les clefs de notre soute aux galériens, mais il conserve les manières d’un homme important. Il en a le droit : nos lois dépendent de ces matons – de ces Caton à la mie de pain.

 

Source : bvoltaire

La fin du 1er Mai ou les mignons frappent encore......

 

 Résultat de recherche d'images pour "défilé 1er mai"Le parti frontiste, par l'intermédiaire de son vice-président, Florian Philippot, a annoncé qu'il renonçait à son traditionnel défilé du 1er Mai en l'honneur de Jeanne d'Arc qui sera désormais remplacé par un « grand banquet national »... ???.... On croit rêver.... !!!

 Le FN accumule les renoncements sous la pressions des « mignons » , Philippot en tête …

Il est vrai qu'au moment ou en république socialiste française, le patriotisme est une notion morbide qui doit s'effacer devant le boboisme, quand les programmes des cours d'Histoire remplacent les périodes de la Royauté en France contre l'histoire du Maghreb, quand le gouvernement favorise l'invasion du Pays par les hordes sauvages, célébrer Jeanne d'Arc qui osa organiser la bataille contre les envahisseurs est une hérésie !!!

Jadis parti de Patriotes, aujourd'hui parti ramasse-tout que les authentiques Patriotes fuient, le FN n'est plus qu'un parti comme les autres, promettant tout et n'importe quoi, rentré dans le moule du politiquement correct, pour espérer prendre le pouvoir...

Le FN officiel n'honorera plus Sainte Jeanne d'Arc... mais rassurez-vous amis Patriotes, vous pourrez toujours marcher aux côtés du Parti  De  la France le 8 mai  !!!

 

Rédigé par Eric

samedi, 30 avril 2016

30 avril 1863 La Légion résiste à Camerone

Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2016

Le 30 avril 1863, dans le village de Camerone, au Mexique, soixante-trois légionnaires français, sous les ordres du capitaine Jean Danjou, résistent à une armée mexicaine de plus de deux mille hommes.

Un exploit propre à adoucir l'amertume d'une guerre absurde engagée contre le Mexique par Napoléon III.

Joseph Savès
La bataille de Camerone

La guerre du Mexique

Deux ans plus tôt, en 1861, la France, l'Angleterre et l'Espagne sont intervenues avec avec quelques troupes pour obliger le président mexicain Juarez à honorer les dettes de son pays.

En 1862, tandis que les Anglais et les Espagnols se retirent, l'empereur français Napoléon III forme le projet de renverser le président mexicain et de transformer le Mexique en un empire latin et catholique. Mais les Français se heurtent à la résistance farouche et inattendue des Mexicains qui prennent le parti de Juarez.

Une première armée de 7.000 hommes est repoussée devant Puebla, une ville fortifiée sur la route de Mexico. Il faut envoyer en catastrophe 28.000 hommes en renfort, sous le commandement du général Forey, pour enfin avoir raison de la résistance de la ville.

Sacrifice 

C'est pendant le siège de Puebla que se produit le drame de Camerone.

Une compagnie de la Légion étrangère,  aux ordres du capitaine Jean Danjou (35 ans), est chargée de protéger  un convoi de ravitaillement de l'armée française quand elle voit surgir des cavaliers juaristes. Après avoir repoussé une première charge, le capitaine se réfugie dans le village abandonné de Camerone (Camaron pour les Mexicains), dans l'État de Veracruz.

Il se barricade avec ses hommes dans la cour de l'auberge, fermée par de hauts murs, avec l'objectif de retenir assez longtemps l'ennemi pour que le convoi puisse s'éloigner.

Légionnaires au Mexique, par BenigniSuite à une première démonstration de force des Mexicains - six cent cavaliers et mille quatre cents fantassins -, le colonel Milan, qui les commande, offre la reddition à la Légion étrangère.

Le capitaine refuse et jure de ne jamais se rendre. Ses hommes font de même. Danjou est bientôt tué en inspectant les positions. Le colonel Milan lance enfin un assaut auquel la Légion résiste héroïquement.

L'auberge est incendiée et les huit survivants se retranchent dans un hangar où ils tiennent encore plus d'une heure avant d'être faits prisonniers. Ils acceptent de se rendre à condition de conserver leurs armes et que leurs blessés soient soignés, ce qu'acceptent les Mexicains.

Trois cents Mexicains auront été au total mis hors de combat par les 63 légionnaires mais l'héroïsme de ces derniers n'empêchera pas l'échec final de Napoléon III.

Succès de la résistance mexicaine

Après la prise de Puebla et l'entrée des Français à Mexico, un simulacre d'assemblée nationale octroie la couronne de l'Empire du Mexique à Ferdinand-Maximilien. Mais en avril 1866, Napoléon III doit rapatrier le corps expéditionnaire en catastrophe. Ferdinand-Maximilien est pris et fusillé par les juaristes le 19 juin 1867.

De ce fiasco reste le souvenir de Camerone. La Légion lui doit ses quartiers de noblesse, trente ans après sa création. Depuis 1906, l'anniversaire de ce fait d'armes est commémoré avec faste par la Légion étrangère. Les légionnaires réunis à Aubagne rendent à cette occasion les honneurs à... la main en bois du capitaine Danjou.

 

Source : herodote

Frank Berton essaie de nous faire pleurer sur Abdeslam

Publié par Guy Jovelin le 30 avril 2016

 
 

larmesCe mercredi 27 avril 2016 a eu lieu le transfèrement à Paris du dernier membre, encore en vie, du commando des attentats du 13 novembre 2015, qui ont fait 130 morts et 413 blessés. Désormais incarcéré dans un quartier de haute sécurité à Fleury-Mérogis, en région parisienne, en attendant son procès, Salah Abdeslam aurait  été copieusement hué à son arrivée. Pour un cerveau normalement constitué, on pense,  de prime abord, à une condamnation pour les horreurs commises. Mais pas du tout, ces huées provenaient  d’autres détenus radicalisés – comme lui – pour lui reprocher de n’avoir pas été au bout de « sa mission », à savoir se faire exploser comme il était censé le faire. Parce que ces individus ne sont rien d’autre que des chiens enragés !

Maintenant s’ouvre une nouvelle page pour-dit-on -faire toute la lumière sur ces tragiques évènements… Quelle lumière ? Quelle vérité en ressortira-t-il ? Il est permis de se poser des questions…

L’avocat d’Abdeslam en Belgique, Sven Mary s’est entretenu avec le journaliste français Jean Quatremer pour le quotidien Libération. Dans le portrait qu’il en dresse l’avocat qualifie son client de « petit con de Molenbeek » et le décrit comme quelqu’un d’une abyssale vacuité, qui, comme tous ses semblables, confond réalité et jeux vidéo ! Ou y apprend aussi que Sven Mary  avait été à deux doigts de lâcher le dossier lors des attentats de Bruxelles. Ajoutant « Ce n’est pas la cour d’assises de Paris qui devrait les juger, mais une cour pénale internationale. Ces gens ont commis des actes de guerre ».

En effet, Hollande et Valls n’ont-ils pas déclaré eux-mêmes que nous étions en guerre ? Mais en se gardant bien de nommer l’ennemi : « Fopastigmatiser » n’est-ce-pas ? Alors on utilise toutes sortes de qualificatifs tels que : terroristes, salafistes, chiites, sunnites, Daesch, etc, tout ce qui permet de dissimuler le fait que tout cela ne porte en réalité qu’un seul nom : l’ISLAM. L’islam conquérant et mortifère qui prétend nous imposer ses lois et pour lequel nos dirigeants, depuis des décennies, ont fait preuve, et continuent de faire preuve d’une faiblesse coupable, d’une ignorance crasse.

A peine arrivé en France, nous avons eu droit sur FR2, à une interview de son nouvel avocat Frank Berton. Nous apprenons qu’il est « abattu, effondré ». Bien sûr, effondré, abattu de s’être fait prendre ! Confronté tout à coup à la réalité : finie la cavale, bonjour la prison, la privation de liberté, pas de visites de petits copains, l’enfermement que l’on espère très long. Toujours selon son avocat, il aurait promis de parler, de collaborer…s’il ne change pas d’avis d’ici là. Pour tous ceux qui connaissent suffisamment les principes fondamentaux du Coran, et le fonctionnement d’un cerveau musulman, une promesse est faite pour être oubliée, et cela sans aucun état d’âme puisqu’Allah encourage le mensonge (taqqiya) chaque fois que cela est nécessaire, et particulièrement lorsqu’un musulman  se trouve en état de faiblesse vis-à-vis des « mécréants » que nous sommes. Nous ne fonctionnons pas selon le même logiciel !  Voilà pourquoi l’islam n’a pas sa place en France, pourquoi le vivre ensemble que l’on veut à tout-prix nous imposer est une pure utopie. Selon un tout récent sondage publié par « 20 Minutes » l’image de l’islam se dégrade considérablement tant en France qu’en Allemagne.

Les parents de victimes ou les blessés qui ont perdu un membre, ou plusieurs, ou sont défigurés à vie attendent de ce procès la vérité, comprendre pourquoi, et c’est tout à fait normal, mais qu’en sera-t-il réellement ?

Pourquoi ? La réponse se trouve dans le coran, comme par exemple dans la sourate 9 verset 5 : « Après que les mois sacrés expirent tuez les associateurs (les infidèles) où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat (prière) et acquittent la Zakat (aumône) alors laissez leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux ».

Tout cela ayant été réactivé par la création de l’Etat Islamique et ses menaces on ne peut plus claires :

Dans un message publié le 22 septembre 2014, Abou Mohammed al-Adnani, porte-parole de l’État islamique appelle au meurtre des citoyens des pays de la Coalition : « Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen — en particulier les méchants et sales Français — ou un Australien ou un Canadien, ou tout (…) citoyen des pays qui sont entrés dans une coalition contre l’État islamique, alors comptez sur Allah et tuez-le de n’importe quelle manière. Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle, ou n’importe lequel de ses alliés. Écrasez-lui la tête à coups de pierres, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le209,210. »

Inutile de chercher ailleurs, les messages sont parfaitement clairs.

Dans l’interview accordée par l’avocat Belge à Libération on apprend que c’est le frère d’Abdeslam, Mohamed  (3ème personnage de la fratrie) qui l’a contacté pour qu’il défende Salah. Quel rapport dans cette affaire, penserez-vous peut-être. Aucun à priori, sinon qu’il n’est pas inintéressant de savoir que le frère du terroriste  kamikaze Brahim et de l’inculpé Salah était en fait l’inculpé principal du gang des ambulanciers :

Mohamed Abdeslam, était membre du « gang des ambulanciers charognards » qui a sévi en 2005, avait rappelé le journal La Dernière Heure. Il a été condamné à deux ans de prison avec sursis pour 9 des 19 vols recensés, et toutes les utilisations de cartes de banque volées à ces occasions. A son actif, des portefeuilles, de l’argent, des bijoux, des GSM et même des chèques repas dont certains vols sur des personnes grièvement blessées et pas encore décédées. Le pire? Avoir volé la moto, le téléphone et retiré la montre du poignet d’un motard qui venait de se tuer dans un accident. L’homme a également menti durant l’enquête et contrairement aux autres inculpés, il a continué ses vols jusqu’au bout, ne quittant jamais ce poste d’ambulancier.

Particulièrement dénué de sens moral :

Il ne s’est pas présenté le jour du jugement, il ne s’est pas présenté au tribunal et a donc été condamné par défaut. La Dernière Heure nous en apprend aussi plus sur la personnalité de l’homme, venu défendre son frère Salah sur le plateau de RTL INFO. Un homme « particulièrement dénué de scrupule et de sens moral, n’apercevant pas la lâcheté de (son) comportement », selon la présidente du tribunal à l’époque. D’ailleurs, condamné à payer 5000 euros aux familles des victimes, il ne les a jamais indemnisées. Parce que le jugement ne lui aurait jamais été signifié, selon son avocate.

Suite à ça, Mohamed Abdeslam a retrouvé du travail à la commune de Molenbeek….

De vraies chances pour la France et la Belgique, non ?

Oriana Garibaldi

 

Source : ripostelaique

Cinémarges, un festival christianophobe à Bordeaux. Merci, Juppé !

J’ignore si Alain Juppé est beaucoup trop occupé par sa campagne présidentielle pour se pencher sur les programmes culturels de sa ville, mais le festival Cinémarges, qu’il soutient forcément en tant que maire de la bonne ville de Bordeaux, est férocement provocateur.

Pro-gay, pro-IVG, pro-tout ce que vous voulez, il est surtout christianophobe.

C’est ainsi que les Bordelais sont invités à parcourir, du 28 avril au 13 mai, l’exposition collective de 16 « artistes » au titre pour le moins étrange : « Je vous souhaite d’être follement aimé ».

« Une invitation à toutes les amours », comme l’a titré Sud Ouest, sauf à une seule… celle du Christ, ridiculisé par l’expo, et par le lieu même où elle se tient : l’église des Cordeliers, une église du XIIIe siècle, hélas désacralisée. 


Jen Moret, brodeuse haute couture chez Chanel, a confectionné une traîne où vous pourrez lire les lettres de femmes qui, à sa demande, ont raconté dans le détail leur pratique onanique. Vous pourrez voir également ce film Théo et Hugo, deux hommes qui se rencontrent dans un sex-club parisien. Ou encore Jay parmi les hommes, jeune garçon de 14 ans qui va oublier qu’il est encore un enfant.

Films transgenres, pièce de théâtre aux acteurs nus, expositions déjantées : ce festival bordelais dont c’est la 16e édition devrait plutôt s’appeler Cinébarges, car il est plus que marginal dans sa conception comme dans sa programmation. Jack Lang aurait pu en être le promoteur. Ce n’est plus de la culture. C’est de l’inculture poussée à l’extrême, se situant dans les bas-fonds des valeurs d’une France décidément bien malade sous le régime des valeurs républicaines actuelles.

Hervé Malgorn, qui se dit historien, anthropologue et artiste plasticien, a monté l’exposition « Catéschisme » à partir d’images religieuses évidemment détournées et blasphématoires à souhait. Comme cette affiche où la célèbre représentation du Christ au « cœur sacré de Jésus » est ainsi déformée pour faire la promotion de la laque Go Gay ! Image qu’il a rebaptisée (si j’ose dire) « Be Divine ». Cette image du Christ donnant la communion à Marie, légendée « Il voulait changer la vie avec le LSD ». Et encore cette Vierge Marie transformée en Madonna où le cœur sacré de Jésus a été remplacé par une cassette Philips !

Et encore, sur une image biblique, en lieu et place du petit Jésus dans son berceau au milieu d’angelots, une femme nue se masturbant sous l’appellation « Queen of Cum ». Et, pire que tout, notre belle Sainte Vierge, le cerveau piqué par une seringue dans laquelle a été rajoutée l’image découpée d’un Christ crucifié.

Si vous êtes curieux, allez voir le site Internet de ce festival de barjots qui se veulent représentants de la culture du XXIe siècle qui fait ses choux gras de la christianophobie ambiante. Il est, bien sûr, à noter que l’islam est totalement absent de ce festival. Sans doute les organisateurs ont-ils craint de voir un gentil kamikaze se faire exploser au milieu de leurs œuvres…

 

Source : bvoltaire