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mardi, 26 avril 2016

Encore un lycée squatté par les migrants : le jeu pervers des associations

Publié par Guy Jovelin le 26 avril 2016

« Nous voulons des papiers pour tous, sans distinction entre les demandeurs d’asile et les sans-papiers »

 
 

« Nous ouvrons des bâtiments vides comme les exilés passent les frontières. Nous ouvrons parce que ça pue en France en ce moment, que ce pays crève de son racisme, de son sexisme, de son richisme, de son jeunisme, de son arrogance qui exclut. »
Voilà le texte du communiqué du collectif La Chapelle debout (DAL, Copains de Nuit debout, Baam, Khâlî, etc.) qui a installé la semaine dernière 150 migrants dans le lycée Jean-Jaurès du XIXe arrondissement de Paris, dans un quartier populaire au carrefour des rue de Belleville et des Pyrénées.

Contrairement à ce que prétendent les membres de ce collectif qui vient d’installer là des Érythréens, Soudanais, Somaliens, Afghans, Yéménites mais aussi Marocains et Tunisiens, le lycée professionnel de l’EREA Jean-Jaurès n’est pas désaffecté. C’est un établissement à l’histoire ancrée dans le quartier, qui forme aux métiers du bâtiment et qui, en attendant le démarrage des travaux de réfection, a servi à accueillir des élèves de l’arrondissement en transit : ceux du collège Claude-Chappe avant son extension, puis les enfants de l’école de la rue des Alouettes après un incendie, précise François Dagnaud, le maire PS du XIXe.

Mais aucune réalité ne saurait entraver la généreuse grandeur d’âme de nos militants, lesquels expliquent : « Tant qu’il y aura des gens à la rue, nous réquisitionnerons des bâtiments libres. Nous voulons des papiers pour tous, sans distinction entre les demandeurs d’asile et les sans-papiers », dit l’un d’eux au Figaro. C’est ainsi qu’ils ont installé 150 personnes en juillet 2015 dans le lycée Jean-Quarré, à deux pas de là (la place des Fêtes, dans ce même arrondissement). Trois mois plus tard, quand on a procédé à l’évacuation, 1.300 personnes campaient là dans des conditions d’hygiène épouvantables.

On notera que tous ces humanistes qui luttent contre la France qui« pue », qui « crève de son racisme, de son sexisme, de son richisme (sic), de son jeunisme, de son arrogance qui exclut », installent toujours leurs pauvres au cœur des quartiers pauvres. C’est la double peine, en somme, pour le voisinage. Curieusement, ils n’installent pas leurs squats au cœur du Quartier latin, ni dans le XVIe ou le VIIIe. Non, juste en plein milieu des arrondissements qui concentrent déjà l’essentiel du logement social dans la capitale : 31,96 % dans le XIXe contre 1,74 % dans le XVIe et 0,61 % dans le VIIIe

Bref, leur politique est simple à résumer : d’un côté la riche France qui pue mais se pince le nez, de l’autre la pauvre qui concentre les mauvaises odeurs.

Pour justifier leur opération, les logeurs de La Chapelle debout invoquent « l’ordonnance de 1945 concernant la réquisition par l’État de locaux à usage d’habitation vacants ».

On leur fera remarquer que celle-ci avait pour but de loger des Français que la guerre et les bombardements avaient privés de leurs logements, pas de loger l’occupant !

Il y a, en France, des centaines de milliers de gens, en règle avec la loi, le fisc et la justice, qui attendent des logements sociaux, parfois depuis plus de dix ans, et qui voient sans cesse leur passer devant les derniers arrivés. C’est ça, la France raciste qui pue ?

 

Source : boulevard voltaire

Le pape et ses réfugiés musulmans : l’étrange complaisance des catholiques

Publié par Guy Jovelin le 26 avril 2016

La décision du Pape d’accueillir trois familles de Syriens uniquement de religion musulmane est un acte politique fortement symbolique.

La récente décision du pape d’accueillir, dans la capitale du catholicisme, trois familles de Syriens uniquement de religion musulmane est un acte politique fortement symbolique. Or, quand certains, en particulier des chrétiens d’Orient, ont osé dire leur incompréhension et penser devoir dénoncer le silence complaisant du plus grand nombre des catholiques, ils se sont vus opposer une réaction offusquée. Il serait indigne de critiquer la conduite du souverain de la cité du Vatican : ne pas lui faire entièrement confiance manifesterait une prétention à lui donner des leçons.

Bien des catholiques prennent cependant des libertés dans tout ou presque de ce qui regarde leur religion : dans la célébration des sacrements ou dans l’enseignement de la doctrine de la foi, là où devrait régner une stricte discipline. Mais, à propos d’un acte éminemment politique, celui qui entend le discuter se voit, sinon voué aux gémonies, du moins sommé d’abdiquer sa raison et sa conscience. Voilà le principe d’obéissance profondément déréglé et l’infaillibilité pontificale assurément hypertrophiée, tous deux étant portés au-delà de leurs limites traditionnelles.

Les thuriféraires d’une autorité ecclésiastique toute-puissante, y compris dans le domaine politique, semblent tout de même quelque peu gênés puisqu’ils instrumentalisent deux discours, parfaitement contradictoires, pour justifier l’acte du vicaire de Jésus-Christ. L’un prétend qu’il aurait été piégé par des bureaucrates car les familles chrétiennes qu’il devait aussi emmener n’avaient pas leurs papiers en règle ; il aurait donc dû se résigner à ne convier que des musulmans. L’autre affirme qu’accueillir, cette fois, exclusivement des disciples de Mahomet serait un geste prophétique traduisant une géniale stratégie diplomatico-théologique.

Pourtant, ces argumentaires sont l’un comme l’autre contestables. Avec le premier, les musulmans sont mis sur un pied d’égalité avec les chrétiens. Des catholiques, et le premier d’entre eux, peuvent-ils sérieusement considérer l’idéologie musulmane qui nie la divinité de Jésus-Christ comme aussi légitime que leur foi ? D’aucuns en viennent à craindre que le Saint-Père accorde à ses protégés un lieu de prière à deux pas du tombeau de saint Pierre. Et pourquoi pas même une église d’où serait retirée la présence réelle pour ne pas les indisposer ? Dans le traitement des réfugiés, l’indifférenciation des victimes directes (celles qui risquent leur liberté et leur peau) et indirectes (celles qui vivent dans de mauvaises conditions mais ne craignent pas les représailles islamistes) pourrait être interprété comme un paroxysme d’iniquité.

Dans le cadre du second, il est assez péremptoirement affirmé que le Pontife de l’Église universelle donnerait une cinglante et efficace leçon de morale au monde musulman. Comme si celui-ci fonctionnait à l’aune des mêmes critères que la chrétienté. Les catholiques peuvent-ils vraiment s’imaginer que l’acte du serviteur des serviteurs de Dieu (mais pas n’importe lequel) imposera une telle admiration et reconnaissance aux foules musulmanes, les frappera d’une telle stupeur que les persécutions subies par les chrétiens cesseront, que la liberté de pratiquer publiquement leur culte leur sera reconnue partout où l’islam domine et que des musulmans se convertiront en masse ? Ils semblent incapables d’envisager que cet acte puisse être pris par les tenants de l’islamisme d’une manière exactement inverse : pour une manifestation de faiblesse, un comportement de dhimmitude, une permission de redoubler le martyre des chrétiens et une acceptation implicite, voire une collaboration active à la conquête musulmane.

Si la charité aime aussi et malgré tout les ennemis et œuvre pour leur conversion, d’aucuns pourraient considérer qu’une pratique qui préfère l’ennemi à l’ami, qui vient en aide au lointain au détriment du prochain traduit une vertu dénaturée. Il n’y a qu’un discours catholique de vérité à tenir à l’islam : ce n’est pas la religion des musulmans qui doit changer, pour en éradiquer par exemple les excès, ce sont les musulmans qui doivent changer de religion.

 

Source : boulevard voltaire

C’était un 26 avril… 1937 : bombardement de Guernica (Espagne),

Publié par Guy Jovelin le 26 avril 2016

26 avril 2016 par admin4

qui donnera lieu lui aussi à de gros bobards.

Cliquez sur l’image pour agrandir

Durant la guerre civile espagnole, Franco bénéficie d’un soutien étranger et ce 26 avril, l’aviation allemande bombarde Guernica.
Les objectifs sont trois fabriques d’armes et les 2000 républicains chargés de défendre ces sites.
Exploité internationalement, le nombre de victimes figurant sur les registres d’état-civil s’élève à 126 (et non les 1654 morts et les 889 blessés de la propagande rouge).
Quant au célèbre tableau de l’escroc de génie Picasso, qui porte le nom Guernicaet qui émeut les bonnes consciences à propos du bombardement, il a été rebaptisé ainsi plusieurs années après.
Il avait été réalisé lors d’une série sur la Minotauromachie, lorsque le gouvernement espagnol lui commanda et paya (1 million de francs) une toile pour l’Exposition universelle de 1937 à Paris.
Il suffit de regarder ce tableau pour constater qu’il n’illustre en rien les horreurs de la guerre (version officielle), mais la corrida.

Source : Éphémérides nationalistes

lundi, 25 avril 2016

Michael Savage annonce l’effondrement de l’Occident « sans un regain du christianisme »

Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2016

Christianisme Occident effondrement Michael Savage

L’écrivain et polémiste Michael Savage.

 
« Si le christianisme ne reçoit pas un nouvel élan dans le monde occidental, l’Occident va s’effondrer et cela arrivera de notre vivant », affirme l’écrivain – célèbre outre-Atlantique – Michael Savage, auteurs de nombreux best-sellers et animateur de l’émission de radio primée Savage Nation, qui dénonce à la fois les dangers extérieurs, mais aussi intérieurs. « Cet effondrement possible est pour moi une quasi évidence. Je peux presque le ressentir. C’est palpable… Tous ceux qui ont un peu d’intelligence n’ont qu’à regarder ce qui se passe en Europe pour constater qu’on n’en est pas loin. »
 
La fragilisation de l’Occident résulte de l’exclusion du christianisme

 
Pour Savage, affirmer que l’érosion de la foi fondatrice de l’Occident est synonyme de l’érosion de sa fondation est une lapalissade. Il cite à ce sujet le second président des Etats-Unis John Adams, qui avertit en 1798 : « Notre Constitution n’a été établie que pour un peuple moral et religieux. Elle est totalement inadéquate pour tout autre peuple ». Ou encore l’homme d’Etat britannique Edmund Burke écrivant en 1791 : « Les hommes méritent les libertés civiles dans une proportion correspondant à leur disposition à mettre des chaînes morales sur leurs appétits personnels. » Il rappelle aussi les propos de George Washington : « La raison et l’expérience nous interdisent de croire que la morale nationale puisse reposer sur l’exclusion du principe religieux. » Enfin il cite Dostoïevski dans Les Frères Karamazov : « Si Dieu n’existe pas, tout est permis. »
 
De fait, si l’on exclut l’auteur divin, éternel et immuable, des lois du bien et du mal, toutes les questions (et réponses) morales peuvent se voir cyniquement rétorquer : « Qui a dit cela ? Ce sont vos valeurs ; ne me les imposez pas… » On comprend mieux comment une civilisation saine peut s’effondrer en une tyrannie autocéphale. Car seul un pouvoir policier peut maintenir un pays dont les habitants sont devenus barbares.
 

L’effondrement de l’Occident annoncé par Michael Savage est lié à son oubli de Dieu

 
La morale joue aussi un grand rôle dans la domination par l’extérieur d’une nation qui s’effondre. Une invasion est d’autant plus facile à réaliser que les habitants, plongés dans l’immoralité, ne perçoivent même plus le danger. Quand les gens ne croient plus en Dieu, ils sont prêts à croire en tout, et de manière superficielle. Le Wall Street Journal écrivait l’an dernier : « Les Européens d’aujourd’hui croient en des choses superficielles, et superficiellement : droits de l’homme, tolérance, ouverture, paix, progrès, environnement, plaisir. » Ils sont priés d’accepter qu’un garçon soit considéré « fille » si c’est son « ressenti », et de ne pas s’opposer à ce qu’il utilise les toilettes des filles. Et l’on attend des chrétiens qu’ils se plient à de telles normes quand on en exonère hypocritement les musulmans.
 
Et la trahison est la norme. Un conseiller de l’ex-Premier ministre britannique Tony Blair a reconnu que l’immigration massive en provenance du Tiers Monde avait été orchestrée par le parti travailliste pour « rendre obsolètes les arguments de la droite ». Et l’élue suédoise sociale-démocrate Mona Sahlin a révélé l’islamisation de sa nation en disant en 2001 : « Les Suédois doivent s’intégrer dans la nouvelle Suède. L’ancienne Suède ne reviendra jamais. »
 
Pendant ce temps, des Européens patriotes sont punis par les lois réprimant l’islamophobie. Ils sont certes de moins en moins nombreux, étant donné que les peuples européens sont sous le seuil de renouvellement de leur population.
 

Christianisme Occident effondrement Michael Savage

« Le Sermon sur la montagne » par Carl Heinrich Bloch (1890).

 

Source : reinformation.tv

Émission Spéciale IIIe Congrès : Carl Lang, président du PDF PARTI-DE-LA-FRANCE.FR

Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2016

 

Émission Spéciale IIIe Congrès : Carl Lang, président du PDF
PARTI-DE-LA-FRANCE.FR