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mercredi, 14 novembre 2018

Le violeur afghan de Budapest démontre l’incompatibilité culturelle

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2018

Les Afghans ne comprennent pas pourquoi le viol est interdit chez  nous

« Cette fille était consentante ! » a affirmé Ahmad Bilal Saf­radi, l’homme qui a violé une jeune stewardess de 22 ans, dans la nuit du 8 au 9 septembre 2018 à Budapest, dans les toilettes d’un fast-food, le kebabier « Tibi Atya ». D’après les caméras de surveillance, le viol a duré plus de 27 minutesEnsuite, Safradi a laissé repartir la jeune femme, il a pris l’argent de la caisse et il a pris la fuite. Il avait un logement dans la cité des enfants de Fot, entièrement gratuit pour lui. L’éducatrice qui s’occupait de lui a dit :

« Ce jeune, dont l’âge réel est incertain (ndlr : comme pour la majorité des mineurs requérants d’asile non accompagnés), a toujours été à  problèmes. »

Les jeunes Afghans ne comprennent pas pourquoi nous avons emprisonné leur compatriote : « Chez nous ce genre de choses se règle entre les familles. Si cette femme traînait dans la rue en pleine nuit et n’était pas couverte, il ne faut pas qu’elle s’étonne ! » (Ndlr : La jeune femme rentrait du travail, elle a juste eu besoin d’aller aux toilettes sur son trajet, c’est pourquoi elle s’est retrouvée en situation de proie facile.)

Ils croient tous qu’une femme seule est un proie à prendre

(image d’illustration)

Selon nos informations, Ahmad Bilal Saf­radi nie les accusations et sa ligne de défense est pour le moins surprenante : selon lui, il n’y a pas eu viol puisque la femme n’a pas demandé à être payée à la fin de l’acte sexuel. Qu’est-ce qui peut se cacher derrière ce raisonnement si curieux ?

« Ils ont un regard totalement différent de nous sur les femmes et les filles, à cause de différences culturelles et religieuses profondément enracinées en eux », explique Georg Spöttle, analyste politique à l’institut « Nézöpont ». (Ndlr : Spöttle a travaillé comme officier en Afghanistan, il parle le pachtoune et connaît bien la culture.)

Spöttle : « J’ai discuté avec de jeunes Afghans. Ils m’ont dit qu’ils considèrent comme des prostituées les femmes qui ne se couvrent pas, qui sortent seules en public, et attirent l’attention sur elles. Ils ont cette croyance erronée qu’une femme vertueuse se couvre le visage et se fait accompagner par une personne de sexe masculin, sinon, elle est une proie à prendre. En plus, pour les musulmans, les chrétiennes sont stupides comme du bétail, car elle ne croient pas en la promesse d’Allah... »

Voilà pourquoi ils ne considèrent pas comme un crime le viol de femmes européennes, et voilà pourquoi Ahmad Bilal Saf­radi croit qu’on lui reproche de ne pas avoir payé pour l’acte sexuel. Bien sûr, il sait que ce qu’il a fait est inacceptable chez nous, c’est pourquoi il a pris la fuite. Néanmoins, selon sa culture et ses traditions, le viol n’est pas un crime. Quant aux femmes musulmanes, ils les considèrent comme des objets du patrimoine, c’est pour cela que ses camarades MNA afghans de son foyer ont dit que ce genre de choses se règle entre les familles. Spöttle ajoute : « J’ai rencontré des hommes afghans qui ont laissé mourir leur épouse malade car cela aurait coûté plus cher de la faire soigner que de prendre une nouvelle épouse. »

Pour eux, c’est la faute de la femme si elle a été violée

Le dossier d’Ahmad Bilal Safradi comprend également deux cas d’attentat à la pudeur, commis au centre de Budapest (exhibant son pénis en croisant des femmes, ceci accompagné de gestes). Comme il est sous protection du droit d’asile et qu’il a 18 ans selon ses documents d’identité (bien que son âge réel soit inconnu), il sera jugé comme un jeune adulte.

En Afghanistan, les femmes ont une interdiction totale de sexualité hors mariage et si le mari s’aperçoit que sa femme n’est pas vierge lors de la nuit de noces, il peut la tuer, les autorités fermeront les yeux. Les femmes ne laissent pas voir leur corps, leur visage, et même évitent qu’on parle d’elles, et ce sera en général la faute de la femme si elle est victime de viol.

Ils surjouent leur ignorance des lois européennes

Clara Marton, dans son étude sur l’intégration des réfugiées afghanes, a écrit que passé 15 ans, elles ne supportent plus de s’habiller à l’occidentale (minijupe ou décolleté) et ne se marient qu’entre Afghans. Un ado afghan lui a dit que s’il regardait une fille afghane, le père de la jeune fille le tuerait et tuerait également sa propre fille. Pour eux, les filles afghanes sont tabou, mais pas les filles chrétiennes.

Selon la loi islamique, la charia – qui est la source du droit dans bien des régions d’Afghanistan – la femme a besoin de quatre hommes de bonne réputation pour témoigner qu’elle a été victime de viol. Si elle n’arrive pas à réunir ces conditions, cela signifie, si c’est une femme seule, qu’elle a forniqué et a sali l’honneur de la famille et sa bonne réputation, et si c’est une femme mariée, cela amène le divorce.

Il se peut que Ahmad Bilal Safradi « surjoue » le fait qu’il ne sait pas ce qu’il a fait de mal, tout en sachant que ce n’est pas autorisé par les lois hongroises. Mais c’est un fait que dans son pays, la vision du monde, de la femme, du bien, du mal, est totalement différente. Tout cela ne l’excuse pas, bien entendu.

Source : – Nem értik az afgánok, miért tilos nálunk a nemi erőszak

Traduction Cenator pour LesObservateurs.ch

 

Un ami d’une victime du 13 Novembre : « J’ai la haine de ceux qui crachent sur la France et des politiques qui ont laissé le fanatisme islamiste se développer »

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2018

Par  le 13/11/2018 
 

Depuis trois ans, je pense à lui chaque jour qui passe sans exception, le matin quand je me lève et le soir quand je me couche.

Mon expérience de prof d’histoire-géo dans les Yvelines m’avait beaucoup appris sur une bien inquiétante réalité: celle du développement d’une société quasi parallèle composée de personnes qui pensent autrement, sans être nécessairement radicales d’ailleurs.

Lors de nos échanges, Guillaume trouvait mes inquiétudes exagérées, certaines remarques extrêmes même. Il avait peut-être raison mais je n’avais pas tort. J’ai enseigné en collège et en lycée de zone « difficile » et même plusieurs années en milieu pénitentiaire. Je refuse le terme de zone défavorisée, elles ne le sont pas et, dans la Manche où j’ai grandi, comme Guillaume du reste, j’ai vu des zones rurales vraiment défavorisées. Arrivé à 23 ans en banlieue, à Mantes-la-Jolie, j’ai vu un monde que je ne soupçonnais même pas et que mes amis restés en province ont encore du mal à percevoir, presque encore du mal à me croire.

(…) Je sais faire la part des choses et je sais que les liens entre banlieue, islamisme et terrorisme sont complexes. Mais ils existent et je les ai vus. Beaucoup affirment ne pas avoir de haine, ce que je peine à comprendre mais que je respecte. Moi je ne peux pas. Depuis trois ans, j’ai de la haine, profonde. La haine de ceux qui ont lâchement tué mon copain et tant d’autres malheureux depuis et qui ont meurtri la vie de tellement de personnes. La haine de ceux qui troublent nombre de mes nuits. La haine de ceux qui les soutiennent, je les ai vus. La haine de ceux qui ne les condamnent pas franchement, je les ai vus. La haine de ceux qui crachent sur la France et les Français, je les ai vus. Mais aussi la haine de ceux qui, responsables politiques de tous bords, ont laissé le fanatisme islamiste se développer et gangréner des territoires entiers depuis tant d’années. Ils sont en grande partie responsables.

(…) HuffPost.fr via fdesouche

Radicalisation : les maires seront informés des risques dans leur commune

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2018

Par  le 13/11/2018 
 

Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner doit signer mardi une circulaire permettant aux maires d’être informés des risques de radicalisation islamiste sur leurs communes. C’était une promesse faite en mai par Emmanuel Macron lors du congrès des maires de France.

Il y a trois situations majeures dans lesquelles un maire pourra recevoir de l’information

– Un maire pourra ainsi être informé du risque encouru sur sa commune lorsqu’il organise un événement.

– Il sera informé du suivi des personnes qu’il a lui-même signalées aux autorités. « Jusqu’à présent le maire pouvait signaler, il n’avait aucun retour. Je souhaite que systématiquement, quand un maire donnera une information, il puisse avoir un retour précis sur son information », a dit le ministre sur BFMTV.

– Un maire sera également informé des risques de radicalisation d’agents publics lorsqu’il s’agira de « postes sensibles » comme un employé de crèche ou un éducateur.

Démographie mondiale: déclin pour les pays riches, baby boom pour les autres

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2018

Par  le 13/11/2018

 
 
La fertilité mondiale a globalement baissé de moitié depuis 1950 mais cela cache de lourdes disparités selon le niveau de vie: si les taux de naissances déclinent dans les pays riches, ils flambent dans les pays en développement, selon ces travaux parus dans la revue The Lancet, le nombre global d’enfants par femme dans le monde est passé de 4,7 en 1950 à 2,4 aujourd’hui.

Dans le détail, 91 nations, principalement situées en Europe et sur le continent américain, n’ont pas un nombre de naissances suffisant pour maintenir leur population actuelle. A l’inverse, en Afrique et en Asie, les taux de natalité sont en augmentation, selon cette étude de l’Institut de métrologie et d’évaluation de la santé (IHME, Université de Washington), organisme financé par la fondation Bill et Melinda Gates.

Il a compilé plus de 8.000 données de santé pour analyser le passage de la population mondiale de 2,6 milliards d’individus en 1950 à 7,6 milliards l’an dernier. Chypre est la nation la moins fertile sur Terre, avec une seule naissance par femme en moyenne, selon les données rassemblées par l’IHME. A l’inverse, les femmes du Mali, du Tchad et de l’Afghanistan ont en moyenne plus de six bébés, voire sept pour celles du Niger. […]

« Au fur et à mesure de l’amélioration de l’économie de ces pays, il est probable que leur fertilité déclinera« , selon M. Mokdad. […]

 

RTBF via fdesouche

Macron ou le cancre de la politique étrangère française

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2018

Rédigé par notre équipe le 13 novembre 2018 

Regardez tous ces chefs d’Etat et de Gouvernement réunis à Paris grâce à Macron ! Les journalistes se sont exclamés de longues heures durant face à ce parterre de puissants qui n’étaient pas là pour les beaux yeux du président de la République, mais pour commémorer la mémoire des soldats de la Grande Guerre. Certains leaders ont même réussi à faire de la politique étrangère. Macron, lui, a trouvé le moyen de se prendre les pieds dans le tapis (turc) et a démontré une fois encore le cynisme de son gouvernement.

Emmanuel Macron aurait-il trouvé la formule pour agacer tous ceux qu’il côtoie ? Après les Français dont les sentiments balancent entre la colère et l’indifférence, Macron a réussi l’exploit de se mettre à dos deux des plus importants invités des commémorations du 11 novembre. Que les lecteurs se rassurent, Angela Merkel constitue toujours l’horizon indépassable de la Macronie. Non, Macron a suscité la fureur du président Trump et la colère d’Ankara sur deux sujets bien différents. Heureusement que le président russe est arrivé presque en retard et n’a pas eu le temps d’échanger avec Jupiter. Trump et Erdogan ont largement l’envergure pour occuper les journées du petit Emmanuel.

Le delirium de la défense européenne

Les Français ne veulent plus de cette Europe ? Eh bien ils en auront encore plus et cela passe notamment par la constitution d’une armée européenne. Le sujet est mis régulièrement sur la table depuis plusieurs décennies et comme pour la fameuse « Europe sociale », elle est irrémédiablement dégagée par ceux qui n’aiment pas les histoires à dormir debout et ceux encore qui ont encore un minimum de dignité et qui souhaitent garder un symbole de leur souveraineté. Macron, lui, n’aime ni l’un ni l’autre et se plaît à rêver d’une armée européenne capable de donner le change à la Russie, la Chine et même les Etats-Unis.

Une défense européenne signifie la fin de la mainmise américaine sur l’Europe. Aujourd’hui une dizaine de pays européens accueille des bases américaines. Un magnifique exemple de souveraineté et d’indépendance militaire et politique… Mais avec Macron, les choses vont changer ! Quoi, la France renonce à prendre part au commandement intégré de l’OTAN ? Non, la soumission sarkozyste a encore de beaux jours devant elle. Macron veut simplement que ses partenaires européens renoncent aux armements américains au profit de la France… Un message compris et suivi aucunement par la Pologne et la Belgique qui ont annoncé ces dernières semaines qu’elles dépenseraient des milliards de dollars en matériel américain pour rajeunir leurs systèmes de défense.

Que la Pologne vive encore dans la crainte du fantasme russe et s’équipe chez le premier marchand d’armes au monde, cela peut se comprendre. Dédouaner la Belgique qui se rue sur des F35 américains alors qu’elle prétend être le cœur de l’Europe (et donc de sa Défense) est un peu plus compliqué. Pourtant, Macron n’a pas moufté quand on lui a annoncé que les Rafales resteraient dans l’usine d’assemblage. Le président français ne trouve rien à redire à la Belgique et préfère taper sur un Trump considéré comme une proie médiatique facile. La France continuera de glaner quelques contrats en Europe et ailleurs, mais elle ne doit pas rêver devenir la colonne vertébrale d’une chimérique armée européenne.

L’Allemagne a beau soutenir du bout des lèvres la France, elle n’est que le pantin des américains. Les bases et les prisons secrètes de l’oncle Sam sur le territoire allemand ne se comptent plus et si jamais Moscou ou Pékin voulaient envahir le pays pour faire main basse sur la production de machines-outils, ce seraient les Etats-Unis qui taperaient du poing sur la table tandis que Macron irait se réfugier dans l’ambassade américaine qui jouxte le Palais de l’Elysée.

Des enregistrements ? Que nenni, l’Arabie Saoudite est un modèle !

De toute manière, le président français ne peut pas faire la guerre, car il n’est au courant de rien. Les Turcs lui font écouter les enregistrements du meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, mais la France dénonce un « jeu politique » de la Turquie. La pique est signée du ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, (l’homme qui n’arrive même pas à convaincre la Belgique d’acheter une mitraillette française) et illustre tout le cynisme d’une diplomatie française pourtant gourmande lorsqu’il s’agit de donner des leçons de morale.

Les autorités turques ont partagé les enregistrements de l’assassinat de Khashoggi avec plusieurs capitales occidentales – chose confirmée par le Premier ministre canadien. Or, Le Drian, en plus d’attaquer la Turquie, nie la réalité. « Si le président turc a des informations à nous donner, il faut qu’il nous les donne (…) Notre position, c’est la vérité – les circonstances, les coupables – et ensuite nous prendrons les sanctions nécessaires » affirme le ministre français. Dommage qu’il soit complètement sourd dès lors qu’on lui apporte sur un plateau toutes les preuves d’un assassinat politique… Oui, mais l’Arabie Saoudite achète des armes à la France malgré la modestie de Florence Parly.

Le Drian est ridicule et ridiculisé par le directeur de la communication de la présidence turque qui ne se gêne pas pour enfoncer le ministre et l’ensemble de l’exécutif français : « Je confirme que des preuves liées au meurtre de Khashoggi ont également été partagées avec les institutions concernées du gouvernement français. Le 24 octobre, un représentant des services de renseignement français a écouté l’enregistrement audio » et a eu accès à « des informations détaillées ». Conclusion des Turcs : « s’il y a un problème de communication entre les différentes institutions au sein du gouvernement français, il appartient aux autorités françaises et non à la Turquie de régler ce problème ».

Malheureusement, le problème principal ne réside pas dans la communication interne au pouvoir en France. Le problème est que le pouvoir souhaite être aveugle et sourd pour continuer de vendre des armes aux pires crapules tout en donnant des brevets de droits de l’Homme. Macron est nul en histoire et en géopolitique. Pourquoi ne pas prendre sa retraite dès maintenant pour se remettre au français en écrivant ses « Mémoires d’un banquier devenu président carton-pâte » ?

 

Source : 24heuresactu