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dimanche, 11 novembre 2018

11 Novembre 2018

Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2018

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samedi, 10 novembre 2018

Grigny (91) : bienvenue au nouveau club de rugby à XV

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2018

Par  le 10/11/2018
 

Créé en septembre 2017, le club est parti de zéro. Après un an d’existence, Grigny Rugby à XV, la 22ème école de rugby de l’Essonne, compte 70 joueuses et joueurs, toutes et tous issus de Grigny (50 garçons et 20 filles toutes catégories confondues de 10 à 14 ans). Ils et elles sont tous débutants. Avec eux, une dizaine de bénévoles, principalement des parents, qui donnent des coups de main pour le goûter et les déplacements.

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Martial Bild sur la censure : « Il est criminel de faire preuve de résignation ! »

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2018

Martial Bild sur la censure : « Il est criminel de faire preuve de résignation ! »

Martial Bild sur la censure : « Il est criminel de faire preuve de résignation ! »

4ème Forum de la Dissidence le 17/11 à Paris : la billetterie est ouverte !

 
Achetez vos billets sur le site de l'événement. Weezevent - solution de billetterie et d'inscriptions en ligne.
 

Le 4 Forum de la Dissidence se tiendra le samedi 17 novembre prochain à Paris sur le thème : « Face à la censure, tous dissidents ! »
Cet événement exceptionnel sera donc dédié au phénomène le plus brûlant de l’année 2018. En effet, la censure aura touché à peu près tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, sont rentrés en dissidence face au cosmopolitisme et à l’écroulement de la France et de la civilisation européenne. Parmi les intervenants confirmés à date : Jean-Yves Le Gallou (Polémia et I-Média), Martial Bild (TV Liberté), Romain Espino (Defend Europe), Claude Chollet (Observatoire du journalisme), Michel Geoffroy (auteur), Benjamin Dormann (ancien journaliste), Samuel Lafont (Damoclès), Charles de Meyer (Radio Courtoisie), Edouard Chanot(Sputnik), Philippe Christèle (entrepreneur) ou encore Nicolas Faure (I-Média).

Jusqu’au 17 novembre, chacun des intervenants répondra à quatre questions sur la censure afin de vous donner un avant-goût de cet après-midi de combat. La parole est à Martial Bild, directeur des programmes de TV Libertés.


Censure de TV Libertés : 5 000 heures d’émissions supprimées

 

Polémia : Avez-vous récemment été confronté à la censure ? 

Martial Bild : En dehors de la censure d’Etat, il existe la censure privée imposée par les GAFA. TVLibertés a été clairement l’objet d’une tentative de meurtre par  YouTube avec la suppression, par un ordre anonyme et violent, de 5000 heures d’ émissions et de créations de la chaîne. Une décision politique considérable nous coupant de nos 100 000 abonnés. Une décision aux répercussions économiques majeures. C’est parce que TVLibertés dispose d’une communauté de donateurs et de téléspectateurs soudée que nous n’avons pas succombé à ce mauvais coup.

Polémia : Selon vous, l’accélération de la restriction de la liberté d’expression est-elle un aveu de la panique des élites ? 

Martial Bild : Je ne m’en tiendrais qu’au rôle de la presse dans le processus de confiscation de la démocratie et de la mise en place d’une forme de totalitarisme larvé. La presse, garante des libertés, n’est plus, à quelques exceptions louables, que l’arme de l’hyper-classe mondiale contre les peuples, pour reprendre le titre d’un excellent ouvrage de Michel Geoffroy.
Elle utilise le mensonge, le sectarisme et la menace pour empêcher les Français de France de se révolter ou de se protéger moralement et physiquement. On est devant les moyens ultimes d’un système à bout de souffle qui fait sous lui et s’écroulera sur lui. Le temps n’est pas loin où il s’écroulera.

« Seule la vérité rend libre »

Polémia : Comment faire pour lutter contre cette censure ? 

Martial Bild : Rompre avec le carré maléfique dans lequel la presse s’est enfermée : les écoles de journalistes qui formatent la pensée. Le CSA qui veut policer la pensée, l’Etat qui veut imposer sa pensée via une presse publique ou lourdement subventionnée. Et les annonceurs aux mains des grands groupes financiers qui exigent une pensée contraire à l’opinion générale. Casser le carré maléfique qui étouffe la liberté jusqu’à la tuer.

Polémia : Quel message adresser à ceux qui peuvent perdre espoir face à la toute-puissance apparente du système politico-médiatico-culturel ? 

Martial Bild : L’essor de la presse alternative, et en tout premier lieu TV Libertés, est la démonstration qu’il est criminel de faire preuve de résignation. Plus que jamais, notre projet commun doit être de renverser la table. Le simple fait de ne plus subventionner avec l’argent public les organes de presse partisans qui sont tous cliniquement morts, de ne plus donner un centime aux journaux aux mains d’ oligarques milliardaires aurait pour effet de laisser le champ libre à la presse alternative qui est libre et indépendante.
En ce qui nous concerne, grâce à la diffusion d’une information vérifiée et exemplaire, grâce à un système économique vertueux qui est celui du don, grâce à la détermination d’une nouvelle génération de journalistes qui sont l’honneur de la profession, nous nous donnons une seule mission, une seule raison, une seule passion, une seule action : crier et gueuler la vérité. Car nous le savons, seule la vérité rend libre.

Martial Bild
09/11/2018

 

Source : polemia

1914-1918: les prêtres portent le Christ dans les tranchées et se dressent contre les sentences maçonniques

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2018

La Guerre juste

En août 1914, faisant fi d’un anticléricalisme agressif, l’Église de France encourage les prêtres et les religieux en âge d’être engagés à répondre à l’appel à la mobilisation. Selon les calculs des historiensils sont au nombre de 32 000, auxquels il convient d’ajouter plus de 12 000 religieuses. Dans le détail il y eut, environ 1 000 aumôniers officiels dont 400 titulaires et 600 volontaires, 31 000 combattants parmi lesquels 19000 prêtres, 4000 séminaristes, 8000 religieux ou novices lesquels pouvaient aussi avoir un rôle d’aumônier officieux. Ces prêtres se sont engagés pour la libération de la Patrie au nom de la guerre juste définie par Saint-Thomas d’Aquin, l’Allemagne ayant envahi la France.

Bien que de plus en plus la tendance à la révision de l’Histoire laisse croire que la France n’était qu’un pays belligérant parmi les autres, en réalité le théâtre de la Grande guerre s’est situé principalement en France-même, sur le territoire nationale qui a été détruit, tandis que la grande majorité des troupes étaient françaises. Ce sont les Français qui, de très loin, ont payé le plus lourd tribu sans oublier les dévastations qu’on subi les civils. Ce qui n’a pas été le cas ni pour les Australiens, les Canadiens, les Britanniques ou les Américains… Le 11 novembre est la fête de la victoire! Ce n’est pas la commémoration des victimes, mais la fête des héros, ceux qui ont permis à la France de remporter cette victoire arrachée au prix de tant de sacrifices. Mépriser aujourd’hui cette victoire de 1918 c’est leur faire offense. Mépriser cette victoire c’est ignorer ceux qui se sont sacrifiés pour elle, quelque roués qu’aient été ceux qui l’ont fomentée. Tous ces sacrifiés manqueront cruellement en 1940, mais ceci est une autre histoire.

Malgré les 5000 prêtres et religieux tués au front, les anticléricaux vont tenter de les salir par voie de presse en les traitant d’« embusqués » de l’arrière mais les catholiques vont réagir en publiant la liste des prêtres morts au front. Les franc-maçons et leurs affidés ne pourront empêcher que plus de 14 000 d’entre eux aient été cités et décorés pendant la guerre.

Malgré quelques revers et reculades précipitées de la part des autorités républicains, dues à la grogne des anciens combattants, l’anticléricalisme ne désarma pourtant pas en France puisqu’il fut notamment interdit d’orner les monuments aux morts publics de Croix, statues de la Vierge ou autres symboles religieux, pourtant si chers à la grande majorité des familles, ainsi que tout le monde peut le vérifier dans chaque commune de France, sauf quelques très rares exceptions qui ont pu échapper à la vindicte de la secte.

“Je leur ouvre le Ciel au nom de Notre-Seigneur Jésus-Christ. »

Les prêtres voulaient partager le sort de leurs compatriotes et être présents pour soulager leurs âmes, l’élever vers Dieu, et relever leur courage:

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“L’abbé Louis Lenoir, dès le début de son apostolat militaire en 1914, écrivait : « Je n’oublierai jamais les effusions de ces pauvres soldats me sautant au cou après une confession de dix, quinze, vingt ans (dans une seule matinée de dimanche, ils étaient une centaine de cette catégorie), ou le rayon de joie qui illumine les pauvres mourants quand, sur les champs de bataille ou sur les brancards, je leur ouvre le Ciel au nom de Notre-Seigneur Jésus-Christ. »

“Jamais plus nous ne dirons à un étranger : ‘la France nous a chassés !’ Donc, nous resterons tous. Nous le jurons sur nos morts.”

Plusieurs années après l’armistice, la franc-maçonnerie tenta de reprendre sa lutte contre l’Eglise. Le 2 juin 1924, le président du Conseil Edouard Herriot annonça un projet d’expulsion des congréganistes, la suppression de l’ambassade près le Saint-Siège et l’application de la Loi scélérate de Séparation aux départements de l’Alsace et de la Moselle.

La réponse vint, aussi célèbre que cinglante, d’un jésuite et ancien aumônier militaire devenu aumônier scout, Paul Doncœur :

« Ce n’est pas de courir au diable qui nous effraie. Nous ne tenons à rien, ni à un toit, ni à un champ. Jésus-Christ nous attend partout et nous suffira toujours au bout du monde. Mais nous ne voulons plus qu’un étranger, nous rencontrant un jour loin du pays, nous pose certaines questions auxquelles nous répondrions, comme jadis, en baissant la tête : ‘la France nous a chassés !’ Pour l’honneur de la France – entendez-vous ce mot comme je l’entends ? – pour l’honneur de la France, jamais nous ne dirons plus cela à un étranger. Donc, nous resterons tous. Nous le jurons sur la tête de nos morts, et à vous aussi, camarades ! ».  Source FSSPX

Dans le sillage du père Doncoeur, un autre prêtre-combattant, le père bénédictin François-Josaphat Moreau s’emploiera à créer la ligue des Droits du religieux ancien combattant (DRAC).  Avec le soutien de nombreux fidèles, cette association, qui existe toujours, parvint alors à faire reconnaître aux prêtres et religieux le statut, bien mérité, d’ancien combattant.

François-Josaphat Moreau comme postulant bénédictin fut obligé en raison des lois anticléricales de suivre sa formation à l’étranger “loin du pays”, en Belgique et en Italie. Son cas est emblématique du sort de très nombreux postulants de cette époque. Ordonné prêtre à Saint-Jean-de-Latran, il enseigne le droit canonique et la liturgie au Collège pontifical grec de Saint-Athanase. Mais dés la déclaration de guerre il rentre en France où il est incorporé dans un régiment d’infanterie. Il participe aux batailles de la Marne et du Chemin des dames. Il est décoré pour fait de bravoure.

Voir aussi: 1914-1918: Une victoire française due au sacrifice héroïque des soldats français, nos proches ancêtres.

Émilie Defresne

 

Source : medias-presse.info

Déficits : la spirale infernale

Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2018

CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans


Déficits : la spirale infernale
 
Le déficit budgétaire français s'est creusé de 10,8 milliards d'euros en septembre par rapport au même mois de 2017, pour atteindre 87,1 milliards. Les dépenses du budget général de l'État ont augmenté de 4,1 milliards d'euros en un an, atteignant 246,5 milliards d'euros, contre 242,4 milliards d'euros en août 2017. On le voit, les promesses d'Emmanuel Macron et Édouard Philippe d'un déficit à 2,3 % en 2018 sont désormais inatteignables (Il sera sans doute de 2,6 % ou 2,7 % et la perspective d'un nouveau franchissement de la barre des 3 % en 2019 est de plus en plus plausible, même si le gouvernement usera de tous les maquillages cosmétiques pour éviter de contrevenir officiellement aux critères imposés par la Commission européenne).
Malgré la hausse incessante des taxes, et en dépit des transferts de l’État vers les collectivités locales, le gouffre budgétaire n'est donc pas près d’être comblé. En cause, les dépenses publiques qui ne cessent d'augmenter (1 291,9 milliards d'euros en 2017). La France connaît un niveau de dépenses publiques particulièrement élevé : 56,4 % du PIB, un record, puisque la moyenne des pays de l'UE se situe à 47 % et celle de la zone euro à 48,0 %. L'Allemagne en est à 43,6 %, et les États Unis à 37,0 % seulement. Un niveau de dépenses qui oblige l'État à exercer sur l'économie du pays une pression fiscale extrêmement forte, en sorte que notre pays est devenu champion en Europe des prélèvements obligatoires et que le recours aux taxes (celles, emblématiques, sur le carburant sous prétexte d’écologie, n’étant qu’un exemple parmi tant d'autres, l'imagination et la « créativité » gouvernementale ne connaissant, à cet égard, aucune limite. Prochaine taxe à venir déjà votée par le Parlement : une taxe « vacances ».) est devenu un automatisme.
Certains objecteront que les déficits n’interdisent nullement le dynamisme économique en citant pour exemple les États-Unis qui, tout en pratiquant l'arme budgétaire avec un déficit ayant frisé les 10 % de PIB, enregistrent une croissance de 3 % et taux de chômage de 4 %. Ce serait oublier que l’économie américaine est basée sur la force du dollar, ce qui permet la nôtre aux autres pays, et que Donald Trump, lui, a véritablement relancé la consommation par une baisse réelle de la fiscalité : la Tax Cuts and Jobs instaurée en 2017 ayant réduit les impôts sur les ménages de 86 milliards de dollars en 2018 et de 82 milliards pour 2019, les entreprises quant à elles voyant leurs charges baisser de 58 milliards.
En France, les rentrées fiscales ne suffisant pas, l'État recourt, chaque année, à l'endettement pour boucler son budget : (72,3 milliards en 2016 et de 69,3 milliards en 2017). Avec pour conséquence la dépendance de la France, voire sa soumission aux marchés : qui paye commande.
Pour le Parti de la France, seule une baisse significative de la fiscalité qui étrangle les classes moyennes et des charges qui asphyxient nos petites et moyennes entreprises permettra aux familles de retrouver un pouvoir d'achat suffisant pour que soit relancée la consommation, stimulée la compétitivité économique et libérée l'énergie entrepreneuriale.
La réduction drastique des dépenses de l’État et du nombre de fonctionnaires hors domaine régalien et de santé publique en est la condition.