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lundi, 05 octobre 2015

Une grande mosquée à Montauban ? La laïcité bafouée à nouveau

Publié par Guy Jovelin le 5 octobre 2015

Le financement de la future construction interpelle.

Une nouvelle mosquée sera bien construite à Montauban. Pourtant, il existe déjà une mosquée de 612 mètres carrés au cœur de la Cité d’Ingres, au 38, avenue Chamier près de la gare. La construction d’une nouvelle mosquée n’était donc pas de première nécessité, les fidèles disposant déjà d’un endroit spacieux à même de les accueillir.

Brigitte Barèges, maire Les Républicains, réputée comme appartenant à la ligne « dure » du parti, a cédé aux pressions communautaires. Concernant ce projet immobilier à caractère religieux, l’édile a déclaré à La Dépêche du Midi : « Les conditions de sécurité n’étaient plus respectées. Nous voulions éviter aussi d’avoir deux mosquées sur Montauban. C’était la meilleure solution. »

Une solution contraire à la loi de 1905, comme je vais vous le démontrer. La dissolution des établissements publics du culte fut une conséquence majeure de la loi de séparation des Églises et de l’État. Ces établissements ont alors été remplacés par des associations cultuelles ayant pour objet exclusif de « subvenir aux frais, à l’entretien, et à l’exercice public d’un culte ». Les associations cultuelles ne peuvent en aucun cas percevoir des subventions de l’État, des départements ou des communes.

Quid du cas montalbanais ? Tout, dans ce dossier, laisse à penser que la commune de Montauban subventionne de façon déguisée l’érection d’une « mosquée-cathédrale ». Montauban et l’association musulmane « Mosquée Es-Salem » vont signer un échange de terrain. En droit positif, l’« échange » de biens s’analyse en une double vente, chacune des parties ayant successivement la position de vendeur et d’acheteur. Quand il existe une différence de valeur entre les biens échangés, la partie lésée doit percevoir une somme équivalente à la différence, appelée soulte.

L’échange relatif à la mosquée de Montauban concerne une parcelle de 9.400 mètres carrés située chemin Matras dans une zone industrielle, qui sera cédée par la ville, et un ensemble immobilier de 612 mètres carrés abritant la mosquée de Montauban, qui sera cédé par l’association « Mosquée Es-Salem ». Les deux biens ont été évalués à 118.000 euros. Par ailleurs, une autre condition prévue dans l’échange engagera la commune à louer à l’association « pour une durée de cinq ans, éventuellement prolongée d’une durée d’un an », les locaux de 612 mètres carrés comprenant l’actuelle mosquée. Pour un loyer probablement réduit à l’euro symbolique ! À l’évidence, l’échange ne porte pas sur des biens de valeurs équivalentes. Sauf à ce qu’une soulte soit versée. Dans le cas contraire, un contribuable déterminé pourrait saisir la mairie au tribunal administratif et prouver que l’échange est en réalité une donation déguisée à une association cultuelle. Chose prohibée par la loi de 1905 !

En outre, le financement de la future construction interpelle. Estimés à 1.500.000 euros, les travaux devraient être financés grâce aux dons des « fidèles » de l’association, laquelle ne compte pourtant que 600 adhérents. Bizarre, bizarre. Mohammed Hajji, président de « Mosquée Es-Salem », est régulièrement invité à la fête du Trône de Mohammed VI. Dans l’espoir de recevoir des dons ? C’est probable.

Sociétalistes et « Républicains » ont voté comme un seul homme pour ce projet. N’était-il pas plus simple de laisser l’association rénover la mosquée existante grâce aux généreux dons de ses fidèles ? Il faut croire que non, et que la perspective des échéances électorales de décembre pousse certains élus à mettre de côté leurs principes pour flatter une clientèle électorale. Gageons que les Tarn-et-Garonnais sauront leur rendre la monnaie de leur pièce.

samedi, 03 octobre 2015

Calais : les clandestins sortent sabres et barres de fer pour casser des voitures

Publié par Guy Jovelin le 3 octobre 2015

Bienvenue en France, le pays ou tout est permis pour l’allogène.

 

vendredi, 02 octobre 2015

Suppression des APL pour 500.000 familles : déshabiller Paul pour habiller Mohamed

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Le gouvernement vient de révéler les grandes lignes du budget 2016.

Parmi les annonces : les aides personnalisées au logement (APL) baisseront de 225 millions.

Rien de choquant à première vue tant ces APL sont critiquées, leur attribution plus proche du tirage de cartes chez une devineresse que d’un traitement égalitaire dont sont si friands les socialistes.

En janvier déjà, le gouvernement révélait qu’il voulait rendre « inéligibles aux APL les logements dépassant un certain niveau de loyer et de superficie et les ménages disposant d’un certain niveau de patrimoine » et « mettre fin à la possibilité de rattachement au foyer fiscal des étudiants percevant une aide au logement ».

«Un certain niveau de loyer», «un certain niveau de patrimoine», nous étions dans l’approximatif. Mais comme c’est une marque de fabrique du gouvernement socialiste, il n’y avait rien de surprenant.

Dans la foulée, il était envisagé la « suppression pure et simple des “aides à la pierre” (subventions aux bailleurs sociaux pour la construction d’HLM), aides, disait un rapport, « à la fois extrêmement coûteuses pour les finances publiques et régulièrement dénoncées pour leur manque d’efficacité et leurs effets inflationnistes ».

Et voilà que la très inconnue (qui l’identifierait sur une photo de la famille gouvernementale socialiste ?) Madame le ministre du Logement, de l’Égalité des territoires et de la Ruralité, Sylvia Pinel, annonce une économie de 225 millions d’euros sur les APL.

La raison ?

Déshabiller Paul pour habiller Mohamed le réfugié, ex-migrant, ex-clandestin sans papier.

Selon le ministère, ces mesures d’économies compenseront les dépenses supplémentaires prévues l’an prochain, à savoir 150 millions d’euros d’« aides à la pierre » supplémentaires (aides qui devaient être supprimées mais qui sont au contraire augmentées pour loger qui vous savez), et 120 millions pour renforcer les capacités d’accueil des réfugiés (là, il s’agit des centres d’accueil avant de les disperser sur le territoire).

Pourtant, la propagande gouvernementale avait juré-craché que l’accueil des prétendus réfugiés ne coûterait rien aux citoyens. On leur avait même trouvé miraculeusement sans les « aides à la pierre » plus de 70 000 places en HLM.

Dans la réalité, environ 500 000 ménages seront punis, perdant encore un peu plus de pouvoir d’achat pour financer l’invasion migratoire.

Ces « évolutions des modalités d’attribution et de calcul des aides personnelles au logement (…) iront dans le sens d’une plus grande équité entre bénéficiaires », a déclaré sans rire le ministre du Budget Christian Eckert.

Équité, que de saloperies contre la France et les Français, on commet en ton nom.

Marcus Graven

Source : http://ripostelaique.com/suppression-des-apl-pour-500-000-famil...

LE HCR RELÈVE SES PRÉVISIONS D'ARRIVÉES DE RÉFUGIÉS EN EUROPE

Publié par Guy Jovelin le 2 octobre 2015 

Le HCR relève ses prévisions d'arrivées de réfugiés en Europe
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jeudi, 01 octobre 2015

Un terrain pour la future mosquée

 

Publié par Guy Jovelin le 1er octobre 2015

 

Société - Religion

Ali Hammimi et Mohammed Hajji se félicitent du vote du conseil municipal./Photo DDM, Chantal Longo.
Ali Hammimi et Mohammed Hajji se félicitent du vote du conseil municipal./Photo DDM, Chantal Longo.

Les musulmans de Montauban auront bien leur nouvelle mosquée. Le conseil municipal a voté un échange de terrain pour construire la future salle de prière dans la zone industrielle nord de la ville, sur le chemin de Matras.

C'est un projet très attendu, depuis sept ans, par tous les musulmans de Montauban : celui de la construction de la nouvelle mosquée. Le dossier a fait un grand pas à l'occasion du dernier conseil municipal. La ville et l'association musulmane «Mosquée Es-Salem» vont pouvoir signer un échange de terrain. La commune va céder une parcelle de 9 400 m2, située chemin de Matras, dans la zone industrielle nord de la ville. L'association doit donner en échange son ensemble immobilier du 38 avenue Chamier (proche de la gare SNCF), d'une superficie de 612 m2, dont elle est propriétaire depuis 1992 et qui abrite l'actuelle et unique mosquée de Montauban. Les deux biens échangés sont estimés chacun à 118 000 €. Autre condition de l'échange : la commune louera ensuite à l'association, «pour une durée de cinq ans, éventuellement prolongée d'une durée d'un an», les locaux correspondant à l'actuelle mosquée afin de lui permettre de construire la nouvelle salle de prière.

Passe d'armes avec le FN

Droite et gauche ont voté en faveur de cet échange de parcelles lors du conseil municipal. Seuls les deux élus du Front national ont voté contre. «Cette délibération ne respecte pas la loi de 1905. Je ne vois pas pourquoi la mairie vient faire cet échange. Elle ne doit pas encourager ce nouveau lieu de culte», estime Thierry Viallon.

«Les conditions de sécurité n'étaient plus respectées. Nous voulions éviter aussi d'avoir deux mosquées sur Montauban. C'était la meilleure solution», a repris Brigitte Barèges, maire Les Républicains. « Nous nous réjouissons de pouvoir voter ce projet», a souligné, pour sa part, Jeannine Maignan (Montauban citoyenne).

Un financement grâce aux dons des fidèles

Hier, Mohammed Hajji, président de l'association musulmane de Montauban avait le sourire : « C'était un dossier important pour nous. L'actuelle mosquée était devenue trop petite. Les fidèles prient dans la rue. Cette situation n'est bonne pour personne. Après le déménagement, les voisins ne seront plus dérangés, la sécurité de tous sera assurée. C'est bien pour tout le monde», indique l'homme qui est également président régional du culte musulman. 800 fidèles fréquentent la mosquée de l'avenue Chamier.

Une fois l'échange signé, l'association pourra passer l'étape des plans, qu'elle n'a pas osé commander encore. Question de superstition. «Depuis sept ans que le projet est lancé, il y a tellement eu de revirements», glisse le président. Cependant, les responsables pourraient prendre comme modèle une mosquée construite dans le quartier Empalo, à Toulouse. «Elle aura une capacité de 1 000 personnes. Une grande salle de prières des hommes sera aménagée. les femmes auront aussi leur salle. Des classes pour des enfants que nous accueillons pour des cours d'arabe sont aussi prévues, ainsi qu'un appartement pour l'imam » détaille le président. Seul regret : l'éloignement du centre-ville. «Mais on nous a promis un service de bus», ajoute-t-on.

Les travaux de construction, estimés à 1 500 000 €, selon Mohammed Hajji, dureront au moins cinq ans. Qui finance ? «Les dons des fidèles», insiste le président. L'association compte près de 600 adhérents. Parmi eux, beaucoup seraient prêts à donner 50 € par mois pour réaliser le projet. Chaque été, Mohammed Hajji est invité aussi à la fête du Trône de Mohammed VI, au Maroc. «L'été prochain, je ferai un dossier. On aura peut-être une aide.»

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/01/2188541-un-ter...