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mercredi, 28 mars 2018

Ecole : comment des parents combattent le racisme de leurs enfants

Publié par Guy Jovelin le 28 mars 2018

Par  le 28/03/2018

 
[…] Le fils de Mélanie, 7 ans, lui a déjà dit qu’il était « raciste », voyant que le mot semblait susciter des réactions. « Encore une fois, j’ai expliqué le sens et tout est rentré dans l’ordre. C’est juste qu’ils mélangent toutes les informations qu’ils reçoivent. »

Quand la fille d’Anaïs lui a dit qu’elle « n’aimait pas les marrons », la mère a repris son arbre généalogique avec l’enfant : « Je lui ai montré comment, dans notre famille comme dans beaucoup d’autres, il y avait des gens d’origines différentes et beaucoup de mélanges. Comme plein de variétés de fleurs qui sont toutes belles. »

Pour Nicolas, l’éducation anti-raciste commence par aiguiser l’esprit critique vis-à-vis de certains discours médiatiques : « Pourquoi, quand il y a un drame, on ne donne la nationalité et la religion du tueur que si la personne est originaire du Maghreb et surtout musulmane ? N’est-ce pas du racisme ordinaire ? »

Guillaume a remarqué que son fils adolescent, plutôt ouvert d’esprit, critiquait beaucoup les Roms. « On a regardé ensemble en quoi ce qu’il pensait d’eux venait de clichés, vu qu’il ne connaissait personnellement aucun Rom. On a exercé son empathie : que ressentirait-il, lui, d’être mal jugé comme ça par quelqu’un qui ne connaît même pas ses valeurs ni sa personnalité ? Et on a regardé sur Internet des vidéos sur les aspects sympas de leur culture, comme leur langue et leur musique. Le racisme, c’est surtout de l’ignorance et de la peur. »

Aurore Augendre relate, sur la page Facebook d’Ouest-France, un échange avec son fils alors qu’il avait 3 ans. « Maman, tu as vu le garçon, il ne s’est pas lavé, il est tout noir !… » Elle lui a alors répondu : « Mais non, il est né comme ça, avec cette couleur de peau, c’est comme pour la couleur des yeux, on n’a pas tous la même couleur ! »

Sur Facebook encore, Dario Stéphanie Andrade raconte : « Mon fils a tenu des propos déplacés sur la couleur de peau d’une dame travaillant dans l’école. J’ai bien sûr été mise au courant de ce fait que je ne cautionne absolument pas ! J’ai obligé mon fils à écrire une punition sur 200 lignes. Il a été privé de toute sortie avec copains et de console pendant deux mois. Il a écrit une lettre d’excuses à la dame et je suis moi-même allée m’excuser. J’ai expliqué à mon fils que la couleur du sang, qui plus vital qu’une couleur de peau, ne change pas. C’est rouge. On a tous des organes, du sang, de même couleur. De son côté, mon fils a bien compris la leçon. » (…)

 

Ouest France via fdesouche

dimanche, 18 mars 2018

Campagne antiraciste dans des écoles canadiennes : « J’ai injustement bénéficié de la couleur de ma peau. Les privilèges des Blancs ne sont pas acceptables »

Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2018

Par  le 18/03/2018 

«Vous avez des privilèges ?» Un District scolaire de Colombie-Britannique critiqué après le lancement d’une campagne de lutte contre le racisme‎.
‎Des affiches traitant du privilège d’être blanc ont été accrochées dans toutes les écoles du district Gold Trail.‎

[…] Elles présentent des citations d’administrateurs du district parlant de leurs expériences avec les privilèges et le racisme. ‎
‎« Nous essayons de souligner que le racisme existe vraiment et que certaines personnes, du fait du racisme, sont défavorisées», a déclaré Teresa Downs, directrice du District scolaire 74 […]‎


http://www.hostpic.org/images/1803172134040106.jpg

Mais cela ne plait pas à certains parents. ‎
‎Lorsque Kansas Field Allen a entendu parler des affiches, elle a été choquée.‎
‎Elle a demandé à son fils de prendre des photos pour pouvoir les poster sur les médias sociaux et obtenir les réactions de ses pairs. ‎
«Je dirais que 95 pourcent des gens sont pour que ces affiches soient retirées, et ce sont des gens de toutes races», a expliqué Kansas Field Allen.

(Traduction Fdesouche)

 

CBC via fdesouche

lundi, 20 mars 2017

"Est-ce que tu crois en Dieu en Allah ou en Yahvé?" : l'enquête qui crée la polémique à l'école

Publié par Guy Jovelin le 20 mars 2017
Par Julian MATTEI--19 mars 2017 
 
ARCHIVES J. F.
De l'aveu même du rectorat, le sujet est "hypersensible". Il met en émoi le monde de l'éducation insulaire et au premier chef les syndicats d'enseignants. La cause de cette inquiétude ? Deux questionnaires d'une vingtaine de pages chacun sur la "diversité en Corse" - émanant de l'Ecole supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE), réalisés à la demande du président de l'assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, dans le cadre d'une commission chargée de travailler sur la diversité culturelle - que Corse-Matin a pu consulter.

Le premier vise les écoliers du primaire, le second les collégiens et les lycéens, invités à répondre de manière anonyme à quelque 70 questions à la teneur parfois surprenante.

"Est-ce que tu portes une croix, une kippa, un voile ?"

Ainsi les questions N°51 à 60, sont axées sur les pratiques religieuses des élèves et de leur famille ("As-tu une religion ?", "Est-ce que tu crois en : Allah, Dieu, Yahvé ?", "Est-ce que ta mère croit en Allah, Dieu, Yahvé ?", "Pendant le Ramadan, manges-tu dans la journée ?", "Dans la vie de tous les jours, est-ce que tu portes une croix, une kippa, une médaille, un voile ?").

Une autre partie du questionnaire, très détaillée (les questions N°25 à 50), concerne quant à elle les pratiques linguistiques des élèves et de leur entourage proche.

Officiellement, ce document "élaboré par les enseignants-chercheurs de l'Università di Corsica" et placé sous la triple égide de l'ESPE (ancien IUFM, qui forme les professeurs des écoles) de Corse, de l'université et de l'assemblée de Corse est destiné à la "réalisation d'un état des lieux quantitatif rendu indispensable pour évaluer l'importance de chacun des groupes culturels au sein de la population".

Mais des élus, des syndicats d'enseignants et des professionnels de l'éducation s'élèvent contre le caractère "intrusif" et "tendancieux" de tels questionnaires. "Des questions sur l'orientation de la religion ou la vie privée des élèves n'ont rien à faire dans un système éducatif laïc et républicain, estime Fabien Mineo, secrétaire du SNUIPP. Nous sommes clairement en dehors des clous. En tant que fonctionnaires, il nous est absolument impossible de proposer à des enfants de répondre à ce type d'enquête".

"Ce n'est pas digne d'un questionnaire destiné à des scolaires, s'indigne la FSU. On essaie de mettre en oeuvre une politique éducative comme si la Corse était un Etat. Nous sommes une région, au sein de laquelle les règles nationales s'appliquent''. 


[...] l'intégralité de cet article dans le Corse-Matin du 19 mars

 

jeudi, 19 janvier 2017

Il faut supprimer le Conseil supérieur des programmes !

Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2017

PAR

C'est à cette instance soi-disant indépendante que l'on doit les nouveaux programmes de l'école : du "milieu aquatique standardisé" au "prédicat"…

"Le prédicat", dernière invention du Conseil supérieur des programmes...
"Le prédicat", dernière invention du Conseil supérieur des programmes... © AFP
Les programmes des candidats à la présidentielle sont encore imprécis. Il est un point, pourtant, sur lequel toute personne sensée qui veut redresser la France ne devrait pas hésiter longtemps. C'est le sort qui doit être réservé au Conseil supérieur des programmes (CSP), auquel on doit les nouveaux programmes de l'école et du collège. Le « milieu aquatique profond standardisé » pour définir une piscine, c'est lui, de même que le « duel médié par une balle ou un volant » pour désigner un sport de raquette ou encore « la construction d'un projet expressif » pour qualifier l'acrobatie. Sans oublier la nouveauté qui fait polémique depuis quelques jours, le « prédicat ». Cette notion de linguistique pointue devient une des bases de l'enseignement de la grammaire à l'école. C'est le dernier avatar de la « grammaire de texte », cette mode pédagogique qui est un peu à l'apprentissage de la langue ce que la méthode globale est à celle de la lecture. Mais pouvait-on s'attendre à mieux de la part du CSP, conseillé par une batterie d'« experts » autoproclamés et invisibles ?

mercredi, 11 novembre 2015

Vive l’école de la république socialiste et « l’ignorance pour tous »

Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2015 

BelkacemLe système politique de « l’école de gauche », toujours « dysfonctionnel », est aux mains des syndicats et démontre pourquoi les modifications de l’environnement scolaire en amélioration sont toujours impossibles.

L’extension de la notion de « sélection des meilleurs« , et le principe de l’ouverture des esprits à la saine concurrence entre les institutions scolaires, sont toujours soumis aux diktats des fonctionnaires socialistes et des idéologues GOF de la dictature laïque. Cette tyrannie politico-syndicale entraîne inévitablement le refus absolu de tout changement et bloque toute réforme actuelle et future de l’école publique.

C’est pourquoi les instituts privés, qui sont en nombre insuffisants, ne cessent de refuser des élèves. L’idée de sélection des meilleurs est honnie par les enseignants-militants de l’égalitarisme « vers le bas », afin de promouvoir la « médiocratie pour tous », ce qui leur est si profitable. Cette haine de la sélection scolaire est importante puisqu’elle fournit une justification à l’hypothèse de la « médiocrité intellectuelle » et de la « paresse mentale » de ces enseignants-militants de gauche. Cette « haine des élites » et de la « sélection des meilleurs », fait que chaque institution scolaire doit avoir pour fonction de nier les différences et de supprimer les notes.

C’est-à-dire que l’école doit « contribuer au nivellement permanent de l’ensemble » des élèves, « vers le bas », vers la « paresse ludique entretenue pour tous » soumise aux meneurs, et vers le « moindre effort ».

Nous devons rejeter les conceptions gauchisantes des enseignants-militants, soi-disant égalitaristes, selon lesquelles la culture scolaire dominante est un assemblage fortuit de croyances inutiles et aliénantes.

Si nous acceptons la théorie de l’égalitarisme « vers le bas » de l’école publique, la survie des meilleurs, et des élèves les mieux adaptés, sera assurée par les instituts privés. Car l’égalitarisme « vers le bas » pose le principe qu’un système scolaire, composé d’éléments intelligents et travailleurs, et dont les fonctions ne sont pas adaptées à la tyrannie idéologique politico-syndicale de la « médiocratie pour tous », doit disparaître.

L’idée de sélection des meilleurs élèves n’est pas adaptée aux exigences de l’environnement politico-syndical de gauche, qui détruit, par essence, tout principe de « méritocratie« . C’est pourquoi, si le respect de ce principe de la méritocratie était appliqué à la « sélection des enseignants« , la plupart des enseignants-militants de gauche seraient au chômage, au même titre que les oisifs « intermitteux » du spectacle.

Outre qu’il fournit une justification à l’hypothèse fondamentale de la médiocrité intellectuelle et de la paresse mentale de ces enseignants, le concept d’égalitarisme anti-sélection des meilleurs constitue la pierre angulaire de la domination politico-syndicale gauchisante et du règne de la « médiocratie pour tous » à l’école.

Aucun « progrès dans l’organisation » de l’école, aucun moyen supplémentaire exigé ni aucune dotation de toujours plus d’enseignants-militants, ne pourra réformer une école soumise à la « tyrannie des médiocres« .

Dans la lutte pour la survie du système scolaire, il ne fait aucun doute que les associations de parents conscients et non politisés à gauche, seront à l’origine du « remplacement du système de l’école publique » par les instituts privés. Ce sont les seuls qui permettent une « évolution » vers le haut des « élèves méritants », avec le « développement » de tous les talents et le « progrès » constant des méthodes d’éducation à l’effort.

De telles méthodes d’éducation à l’effort sont employées, dans un sens beaucoup plus valorisant pour le désir de réussite des élèves motivés par « la soif d’apprendre » et de ceux qui « veulent travailler ».

C’est ce qu’on n’a jamais vu, depuis l’époque glorieuse où tout le monde pouvait passer le « Certificat d’Études Primaires » avec des chances de succès. Le « Certificat d’Études Primaires » a disparu à cause d’une politique de l’Éducation Nationale grossièrement égalitaire, cette politique de gauche qui n’a jamais donné, aux petits et aux élèves des milieux modestes, la moindre chance de réussir.

C’était pourtant le grand et noble principe de l’école de la république et de la « réussite pour tous« .

À l’époque où tout le monde professe l’amour de la paix, on s’empresse de dissimuler la violence du système scolaire.

Du point de vue de la logique politique absurde de la gauche, l’égalitarisme de la « médiocratie pour tous » à l’école devrait être bien reçu par les dirigeants médiocres des États collectivistes autoritaires, comme les ministres ignares de la république socialiste, ces bobos nostalgiques des républiques soviétiques.

L’élément déterminant, c’est que le système syndical et politique socialo-populiste favorise toujours la médiocrité des enseignants-militants. C’est pourquoi les idéaux faussés de l’égalitarisme socialiste détruit les chances des petits et des élèves des milieux modestes, eux qui veulent travailler et qui ont soif d’apprendre.

Les places seront donc réservées, en fonction des intérêts de la bourgeoisie des bobos de gauche, à ceux qui planquent leurs enfants très médiocres, paresseux, gâtés et pourris, dans des instituts privés.

Les moralistes et les donneurs de leçons de la bourgeoisie d’affaires politico-médiatique, notamment celle des socialos-bobos-collabos friqués, ont été déchus de leur superbe, depuis que les médias-collabos, au service de la propagande du mensonge, ont été inévitablement contournés par les sites internet.

Si le fils joueur prodigue, et assurément pas prodige, du sieur Fabius, est connu pour les scandales et les désordres créés aux États-Unis, après que la justice américaine ait émis un mandat contre lui, il n’a rien à envier à la république socialiste des faussaires.

C’est une république socialiste « euro-bananière« , où la multiplication des rentes et des faux diplômes, des « soi-disant élites » de la gauche-bobo au pouvoir, du type Cambadélis-Fioraso, justifie pleinement, non seulement la suppression des notes, mais aussi, bien évidemment, l’attribution des « doctorats pour tous« .

Dr Thierry Michaud-Nérard

 

Source : http://ripostelaique.com/vive-lecole-de-la-republique-soc...