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vendredi, 07 juillet 2017

POLITIQUE Bouteflika exige des excuses de la France pour la colonisation de l'Algérie

Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2017

A l'occasion des 55 ans de l'indépendance de son pays, le président algérien a demandé que Paris reconnaisse les crimes commis lors de la colonisation.Abdelaziz Bouteflika estime que le partenariat entre son pays et la France "gagnera en sérénité" si Paris reconnaît les "vérités de l'Histoire". Photo archives AFP

Abdelaziz Bouteflika estime que le partenariat entre son pays et la France "gagnera en sérénité" si Paris reconnaît les "vérités de l'Histoire". Photo archives AFP

"Notre peuple exige toujours une reconnaissance de ses souffrances de la part du colonisateur d'hier, la France", a affirmé le chef de l'état.

La reconnaissance des "vérités de l'histoire"'

"Le partenariat d'exception" dont l'Algérie et la France ont engagé la construction depuis la visite à Alger fin 2012 du président français François Hollande, "gagnera en sérénité et en élan dans une reconnaissance des vérités de l'Histoire", a poursuivi le chef de l'Etat algérien.

L'Algérie a par le passé réclamé que la France reconnaisse officiellement ses "crimes" en Algérie et s'en excuse, après 132 ans de colonisation française et une guerre d'indépendance sanglante.

Pas d'excuses ou de repentance jusqu'à présent

Cette question avait très rarement été soulevée ces dernières années, notamment depuis que le président Hollande avait le 20 décembre 2012, solennellement reconnu devant le Parlement algérien "les souffrances" infligées par "la colonisation française", sans toutefois formuler d'excuses ou de repentance.

Lors d'une visite à Alger en février, Emmanuel Macron, alors candidat à la présidentielle française, avait qualifié la colonisation française en Algérie (1830-1962) de "crime contre l'humanité".

Une visite du nouveau président français en Algérie a été officiellement annoncée mais aucune date fixée.

 

Source : leprogres

vendredi, 16 juin 2017

Une église, patrimoine national, détruite en Algérie pour être remplacée par un complexe islamique

Publié par Guy Jovelin le 16 juin 2017

par 14 juin 2017

Il n’y a pas qu’en France, ou au Moyen-Orient, en Algérie aussi l’islamisme avance à grands pas christianophobes tandis qu’Emmanuel Macron veut ouvrir une autoroute sans visas pour les Algériens…

 Le processus d’islamisation du régime d’Alger va bon train. Une église située en plein centre de la ville de Sidi Moussa, à 25 km d’Alger, vient d’être détruite par l’Assemblée populaire communale (APC) à coups de pelleteuse. Une scène barbaresque qui ferait rougir de jalousie les fous de Daech-Etat islamique en Irak.

L’édifice religieux a été tout simplement détruit par les autorités locales sous prétexte qu’il était classé en catégorie rouge par les services du Contrôle technique de la construction alors qu’il devait être restauré et classé patrimoine national. L’opération prend tout son sens après la déclaration du maire qui annonce la construction d’une mosquée et d’une école coranique à la place ! Ce qui a suscité l’indignation des internautes qui n’ont pas manqué de qualifier l’acte de « vandalisme ». D’autres n’ont pas manqué de faire le lien avec ce qui se pratique en Occident en posant la question assez pertinente : si c’était le maire de Paris qui avait détruit une mosquée pour construire une église, qu’aurait-on fait ?

Une question qui met à nu l’hypocrisie des l’islamistes et leur double discours. Ils défendent la liberté de culte en occident pour l’interdire chez eux et se battent pour construire des mosquées chez les autres alors qu’ils détruisent églises et synagogues là où ils ont le pouvoir. Pour le moment, aucune réaction des autorités religieuses algériennes n’a été observée. D’autant que les premiers concernés, les chrétiens d’Algérie, et les autorités religieuses chrétiennes dans le monde ont laissé faire.

« C’est une église qui témoigne encore de la présence française dans notre pays » écrit l’APC de Sidi Moussa sur sa page facebook, d’après un média algérien. Source: Akli Ameziane

Pendant ce temps en France le Premier ministre Edouard Philippe autorise la construction d’une école coranique salafiste dans sa ville du Havre à la place d’un presbytère, le président de la République s’apprête à faire une autoroute entre l’Algérie et la France pour que les jeunes puissent circuler en toute liberté (on sait bien dans quel sens), on détruit aussi les églises alors que poussent les complexes islamiques autour de gigantesques mosquées…

emiliedefresne@medias-presse.info

vendredi, 07 avril 2017

Mieux vaudrait créer un jardin public à la place de la Grande Mosquée de Paris, si on devait la céder à l'Algérie !

Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2017

 

L'Algérie a entamé officiellement les procédures d'appropriation de la Grande Mosquée de Paris, a affirmé son ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa : « Les procédures visant à faire de la Mosquée de Paris une propriété de l'Etat algérien ont été entamées officiellement par le biais de l'ambassade d'Algérie à Paris », a-t-il affirmé devant la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale. Selon lui, la démarche s'appuie sur une loi française stipulant qu' « un pays étranger guerre-1914-1918-annee-1915-036-d.jpgqui finance une association de droit français peut, passés 15 ans, prétendre à la propriété de cette entité, ce qui est le cas pour la Grande Mosquée de Paris ». Rappelons que la décision de construire la Mosquée de Paris fut prise après la Première Guerre mondiale, pour rendre hommage aux dizaines de milliers de morts musulmans, venus de ce qui était alors l'Empire français combattre - courageusement - pour la France.  

Sans refuser l'idée en soi, Charles Maurras se montra très circonspect, dans l'Action française du 13 juillet 1926, sur les conditions dans lesquelles cette décision fut exécutée. A l'occasion de l'inauguration de cette grande mosquée, lors de la visite du sultan du Maroc Moulay-Youssef, il écrivit, ce jour-là, un article dans lequel on découvre un Maurras perspicace (il avait anticipé le réveil de l'Islam : « je ne crois pas que l'on puisse en douter...»); un Maurras respectueux - comme cet autre grand royaliste que fut Lyautey - vis à vis des peuples musulmans (ces « nobles races...»: on dirait, aujourd'hui, qu'il était non-raciste !...); un Maurras lucide et reconnaissant («...auxquelles nous avons dû un concours si précieux...»). Et qui jette sur ces populations un regard amical, voire admiratif, lorsqu'il évoque « les très belles robes de nos visiteurs marocains », de « ces majestueux enfants du désert » ...

capture-d_c3a9cran-2015-08-11-c3a0-21-12-31.pngMais aussi, et simultanément, un Maurras inquiet parce que, justement, perspicace, et bien plus futé que bien d'autres, qui ne voyaient pas plus loin que le bout de leur nez. Ne sollicitons pas trop les textes, en cherchant à leur faire dire ceci ou cela. Mais, pourtant, n'y a-t-il pas un solide avertissement, qui ressemble à s'y méprendre à de la prémonition, dans les lignes qui suivent ? Et Maurras n'y apparaît-il pas visionnaire ? (Extrait) : 

« ...Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon.... s'il y a un réveil de l'Islam, et je ne crois pas que l'on puisse en douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l'Islam représente plus qu'une offense à notre passé : une menace pour notre avenir... la construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, expriment quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de possession par nos sujets ou nos protégés...

...Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l'amitié. Nous venons de commettre le crime d'excès. Fasse le ciel que nous n'ayons pas à le payer avant peu... »

Et, dans le même article, mesuré, reconnaissant, mais bien plus lucide que beaucoup, Maurras exprimait le souhait que « ...les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse... »

Aujourd'hui, le contexte a, évidemment, changé. L'Empire français n'existe plus, et ceux qui, loyalement, courageusement et glorieusement sont venus en Métropole pour défendre leur patrie sont, bien sûrs, tous morts. L'hommage qui devait, à bon droit, leur être rendu l'a été, quelle qu'en soit la façon. Le monument toujours debout est donc le témoignage commémoratif d’un passé glorieux, certes, mais sa raison d'être première a disparu, avec le contexte qui l'accompagnait. Aussi, si les 7.500 mètres carrés qu'il occupe devaient être, pour une raison X ou Y, cédés à l'Algérie, donc aliénés, il nous semblerait plus normal de tourner une page que l'Histoire ne nous a pas attendus pour tourner, de toute façon, et de leur trouver une nouvelle affectation.

Si l'Algérie tient tant que cela au « monument de la colline », elle n'a qu'à le démonter et le remonter chez elle : elle a largement de quoi payer l'opération, ses coffres regorgent de milliards, venant des bénéfices que lui procure le pétrole que nous avons trouvé et exploité, et que nous lui avons laissé, on ne sait pas trop pourquoi, en lui offrant un Sahara qui ne lui avait jamais appartenu, l'Algérie elle-même en tant que telle n'ayant jamais existé, sous sa forme actuelle, avant nous...

Un espace vert public, dans une ville qui en manque, serait certainement l'une des solutions les plus raisonnables. En tout cas plus raisonnable que la cession pure et simple à l'Etat Algérien d'un morceau de la colline Sainte-Geneviève ; du cœur de Paris ; en plein cœur de Paris... 

 

Source : lafautearousseau

dimanche, 19 mars 2017

Le 19 mars 1962 : fin de la guerre d’Algérie, c’est un mensonge éhonté

Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2017
PUBLIÉ PAR MANUEL GOMEZ LE 18 MARS 2017 

Le 19 mars 2016, le président de la République, François Hollande, avait décidé, pour la première fois, de commémorer le 19 mars 1962 et les “Accords d’Evian”.

Il s’agissait d’une ultime tentative pour se réconcilier avec les gauchistes socialistes et les communistes.

Osera-t-il récidiver en 2017 ? Ou, peut-être déléguera-t-il « sa création », Emmanuel Macron, afin qu’il puisse compléter sa déclaration faite en Algérie, de « crimes contre l’humanité » mais en la réservant au FLN et à l’ALN !

Le 19 mars 1962 : fin de la guerre d’Algérie, c’est un mensonge éhonté.

Les “Accords d’Evian” obligeaient la France à un “cessez le feu” en Algérie, mais autorisaient le FLN et l’ALN à enlever, assassiner, massacrer à volonté de jeunes soldats, des civils innocents et des harkis, alors que l’armée française avait l’obligation de rester l’arme au pied, sur ordre de de Gaulle.

  • Ce 19 mars 1962, à Eckmul (Oran), 16 personnes, dont 3 femmes, sont enfermées dans un hangar et l’ALN (Armée Nationale Populaire) y met le feu. Elles sont toutes carbonisées.
  • Ce même jour, la gendarmerie d’Oran signale que des dizaines d’européens sont séquestrés jusqu’à ce que mort s’ensuive, pour servir de donneurs de sang pour les combattants de l’ALN. On les retrouve la peau collée aux os et totalement vidés de leur sang.

Après ce 19 mars 1962, et je cite sous le contrôle de M. Eugène-Jean Duval, inspecteur général des armées et les “archives officielles”, se produiront :

  • 91 actions de guerre de l’ALN et du FLN contre la France.
  • Le 20 mars 1962, 18 soldats tués et 3 blessés.
  • 90 soldats français disparus.
  • 239 soldats français fait prisonniers par l’ALN, qui ne sont jamais revenus.
  • 1580 civils européens disparus (dont des dizaines de femmes expédiées vers des bordels militaires de l’ALN).

Entre le 19 mars et le 5 juillet 1962, plus de 5000 enlèvements.

  • 1165 civils assassinés.
  • 1773 disparus.
  • Plus de 60.000 harkis massacrés ainsi que leurs familles.

Interdiction, par le gouvernement français, à la Croix Rouge Internationale de s’y intéresser : télégramme (très secret) signé Louis Joxe et daté du 2 avril 1962 :

“Je serais, pour ma part, hostile à une intervention quelconque de la Croix Rouge internationale dans tout ce qui concerne les arrestations et détentions d’européens”.

  • Après le 19 mars 1962, blocus de Bab-el-Oued. L’armée, l’aviation, les tanks, tirent sur les habitants.
  • 26 mars 1962, sur ordre de de Gaulle, confirmé par Christian Fouchet, Haut-commissaire en Algérie, l’armée française tire sur une population désarmée qui manifestait devant la Grande Poste de la rue d’Isly, à Alger : plus de 46 morts et 200 blessés.

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La France a reconnu officiellement des “morts pour la france”, en Algérie, après le 19 mars 1962, c’est bien la preuve que les “Accords d’Evian” n’ont jamais marqués la fin de la guerre.

Nous aimerions savoir comment leurs noms ont été inscrits sur les monuments aux morts ?

Sous les ordres des généraux Ailleret et Katz, l’armée française a terminé cette guerre, gagnée totalement sur le terrain, dans le déshonneur le plus total.

⇒ Le (toujours) président de la République et Messieurs les maires des villes et communes de France, dans lesquelles vivaient ces jeunes soldats et leurs familles, quand vous célèbrerez cette date, ce prochain 19 mars 2017, et que vous garderez une minute de silence, vous les entendrez, tous ceux qui sont morts après le 19 mars 1962, vous hurler leur mépris et leur colère.

Le 19 mars 1962, le chef de l’état français et son gouvernement ont “signé” un crime contre l’humanité.

Un demi-siècle plus tard ne soyez pas leurs complices !

Source :dreuz.info

© Manuel Gomez pour Dreuz.info.

vendredi, 10 février 2017

INSEE : 1,1 million de Français sont d’origine algérienne

Publié par Guy Jovelin le 10 février 2017

Par le 09/02/2017 
 Une étude de l’Institut national français des statistiques et études économiques (Insee), publiée mercredi 8 février, révèle les proportions et origines des immigrants et de leur descendance dans la population française. Il en ressort que 15% des 7,3 millions d’enfants d’immigrés sont originaires d’Algérie, soit près de 1,1 million de personnes, selon les chiffres de l’Insee.

[... L’Algérie, avec 15%, représente le 1er pays de la liste, suivie par le Maroc (11%) et la Tunisie (5%). Ces personnes descendantes d’immigrés maghrébins sont, en grande majorité (59%), des jeunes de moins de 24 ans. 17% ont entre 25 ans et 34 ans, alors que 19% sont âgés de 35 à 49 ans. Le reste, soit 5% ont 50 ans et plus, détaille l’Insee. [...]

TSA Algérie et INSEE