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jeudi, 30 juillet 2015

Jean-Marie Le Pen : «Marine Le Pen se tire une balle dans la tête»

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2015

LE SCAN POLITIQUE - Malgré l'invalidation du scrutin par la justice, le Front national a révélé mercredi le score de son congrès postal visant à supprimer la présidence d'honneur. Jean-Marie dénonce les «truqueurs». 

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vendredi, 10 juillet 2015

FN: Jeanne, le bûcher de Marine Le Pen?

Le microparti créé au bénéfice de Marine Le Pen est soupçonné d'avoir récupéré illégalement de l'argent public pour financer les campagnes des candidats frontistes. Derniers rebondissements d'une enquête judiciaire qui pourrait aboutir à la mise en...
LEXPRESS.FR

 

vendredi, 03 juillet 2015

La justice annule la suspension de Jean-Marie Le Pen

 Publié par Guy Jovelin

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Source RTL cliquez ici

La suspension de Jean-Marie Le Pen par le bureau exécutif du Front national a été annulée, jeudi 2 juillet, par le tribunal de grande instance de Nanterre, et ce pour une question de forme.

Le FN "devra rétablir M. Jean-Marie Le Pen dans tous les droits attachés à sa qualité d'adhérent et le cas échéant à celle de président d'honneur", précise le jugement.

Le cofondateurdu parti d'extrême-droite avait été suspendu le 4 mai dernier de son statut d'adhérent, une sanction prise par les plus hautes instances du parti à la suite de dérapages verbaux.

 

Le bureau politique du FN s'était alors désolidarisé officiellement des propos tenus par son président d'honneur: "Le Bureau politique désapprouve les propos tenus et réitérés par Jean-Marie Le Pen, notamment ceux exprimés dans les colonnes du journal anti-FN Rivarol, contraires à ses valeurs politiques et statutaires ainsi qu’à l’objet social de l’association". 

Le bureau exécutif lui avait retiré le statut d'adhérent et une assemblée générale du parti devait décider "dans les trois mois" de lui supprimer son statut de président d'honneur.

mardi, 09 juin 2015

Pétain condamné de nouveau à mort par l'inénarrable Wallerand de Saint-Just (par Robert Spieler)

 

 Publié par Guy Jovelin

 

Wallerand de Saint-Just avait, depuis toujours, été l’avocat de Jean-Marie Le Pen. Il est connu pour ne pas être le génie du siècle, d’où des procès perdus qui eussent pu ne pas l’être. Mais JMLP lui avait toujours gardé sa confiance, ce en quoi il avait certainement eu tort. Saint-Just est aujourd’hui trésorier du FN et tête de liste pour les régionales en Ile-de-France. Il estime que JMLP représente « un obstacle considérable » quant à la bonne marche du Front national. Dans la perspective d’« écarter les obstacles qui pourraient surgir sur cette route (celle de la présidence de la République) », il faut éliminer Jean-Marie Le Pen. Wallerand de Saint-Just considère que les propos réitérés de Jean-Marie Le Pen sur les chambres à gaz, « détail de l’histoire » de la Seconde Guerre mondiale, peuvent « parfaitement être ressentis comme antisémites ». Avec un avocat pareil, qui se transforme sans honte en procureur, on comprend que le Menhir ait perdu quelques procès…

 

Saint-Just était reçu, il y a quelques jours, par le journaliste de RTL, Jean-Michel Aphatie. Ce dernier, connaissant le courage légendaire du personnage, ne put résister à la tentation de le torturer quelque peu. Il revint sur les propos de Jean-Marie Le Pen, qui avait déclaré que le Maréchal n’était pas un traître. Qu’en pensez-vous, demanda le journaliste ? Houlà ! Achtung, danger ! Le terrain devenait glissant. Wallerand commença à se décomposer. De fines gouttelettes de sueur perlèrent sur son front. La moustache se mit à friser, puis à défriser, au rythme d’une respiration de plus en plus saccadée, la barbe aussi (il porte la barbe depuis quelques temps, car, a-t-il déclaré, « c’est à la mode », genre de réflexions qui en dit long sur le personnage !). Il se mit à bafouiller, et finit par expectorer péniblement : « Je m’en réfère à la décision de justice ». En d’autres termes, il approuve la condamnation à mort du Maréchal. Quelle honte ! Mais Aphatie était satisfait de sa réponse, c’est ça qui compte. Il trouva aussi moyen de préciser, lui qui fut durant vingt ans l’avocat de Jean-Marie Le Pen, qu’il ne l’avait été que pour des raisons techniques (sous-entendu, qu’il désapprouvait le fond). Comment un militant national ou nationaliste sincère peut-il envisager une seule seconde de voter pour de pareils misérables ?

 

Source : http://www.rivarol.com/

 

Ce triste individu est en outre dans le collimateur de la justice pour l'affaire d'escroquerie liée au micro-parti Jeanne : http://www.liberation.fr/politiques/2015/06/03/affaire-je...

vendredi, 05 juin 2015

Affaire Jeanne : le trésorier du FN inquiété

Affaire Jeanne : le trésorier du FN inquiété

Trésorier du FN, Wallerand de Saint-Just a été placé sous le statut de témoin assisté dans cette affaire d'escroquerie au détriment de l'Etat.

 

Il se passe toujours quelque chose dans l'affaire Jeanne – du nom de ce microparti lié au Front national et soupçonné d'escroquerie au détriment de l'Etat. Fin mai, Jean-François Jalkh, l'un des vice-présidents du FN, avait rejoint la cohorte des personnes physiques et morales mises en examen par les juges Renaud Van Ruymbeke et Aude Buresi. Ce mercredi, c'est le trésorier frontiste Wallerand de Saint-Just qui a été placé sous le statut de témoin assisté, rapporte Mediapart. Ex-avocat du Front national, Wallerand de Saint-Just était directeur de campagne adjoint pour les élections législatives de 2012, l'un des scrutins visés par l'enquête. Il était notamment chargé du financement, des prêts aux candidats ainsi que des kits de campagne. Soit le cœur de l'affaire Jeanne.

A lire aussi : «La machine à fric des amis du FN»

Créé en 2010, Jeanne est un microparti à vocation exclusivement financière, dirigé par des proches de Marine Le Pen. Lors de plusieurs scrutins, et notamment en 2012, il a proposé aux candidats frontistes des prêts leur permettant d’acheter des kits électoraux. Conçus par Riwal, ces kits contenaient tout le matériel nécessaire pour mener campagne, des affiches aux bulletins de vote en passant par un site internet. Les candidats ayant atteint un seuil de voix suffisant pouvaient ensuite se faire rembourser sur fonds publics les frais engagés. Or, la justice envisage que ces kits, facturés plus de 16 000 euros lors des législatives, aient pu être vendus très au-dessus de leur valeur réel.

Leur remboursement par l'Etat aurait alors donné lieu à un enrichissement illégitime de Jeanne et de Riwal au détriment de l'Etat. D'autant plus les candidats investis par le FN pour les législatives de 2012 étaient, selon un document interne consulté par Libération, obligés (...)

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