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jeudi, 19 octobre 2017

La France a un incroyable talent !

Publié par Guy Jovelin le 19 octobre 2017

Rédigé par notre équipe le 18 octobre 2017 

 

Un peu de culture dans ce monde de brutes ! L’homme n’est pas qu’économie, il est avant tout un être culturel qui doit répondre à ses besoins en cette si noble matière. Piotr Pavlenski est l’un des rares qui ne se laisse pas happer par un système mercantile généralisé. « L’artiste » russe qui a trouvé refuge à Paris met désormais le feu à des bâtiments publics pour que l’art vive ! Le pyromane (déjà récidiviste) peut tout se permettre. Son statut de réfugié politique et l’amour de nos élites pour l’art sous toutes ses formes lui confèrent une magnifique immunité.

Décidément, la France est devenu le réceptacle de tous les perchés qui ne trouvent pas grâce en Russie. Après les Femen (d’origines ukrainiennes, mais consacrant leur œuvre à diaboliser la Russie), après les Pussy Riot dont le seul nom souligne le degré d’intelligence, nous voici avec un autre énergumène sur les bras : Piotr Pavlenski. Auto-proclamé « artiste », sa biographie officielle explique qu’il a dû fuir en France pour éviter un sale coup de Poutine et de ses soutiens.

Art factice…

L’homme serait en effet un artiste trop subversif dans une Russie (re)devenue bien trop totalitaire. Mais qu’a donc fait ce génie artistique pour s’attirer les foudres du Kremlin ? Avant de tenter de percer ce mystère, il faut d’abord comprendre en quoi consiste l’art de ce Piotr Pavlenski. Ni musicien, ni comédien, ni peintre, cet écorché vif est passé maître dans l’art du happening de rue. L’idée est de se mettre en scène avec chaque fois un message politique.

C’est ainsi qu’on a pu apercevoir des clichés de ce bon Piotr sur lesquels on le voit avec le lob de l’oreille coupé, assis nu sur la place Rouge, les testicules cloués à même le sol ou encore les lèvres cousues. Des images particulièrement hideuses qui mettent en scène un corps affreux, mais le plus important reste le message à faire passer. Dénoncer l’emprisonnement des Pussy Riot, le « fatalisme de la société russe », « les lois répressives » ou encore « l’utilisation de la psychiatrie à des fins politiques ».

Tout est bon pour justifier des happenings qui soulèvent des hauts le cœur à ceux qui ont la malchance de tomber dessus. Cela va s’en dire, Piotr a eu quelques ennuis avec la justice russe, car l’exhibitionnisme ne fait pas encore partie du catalogue des normes à Moscou et au-delà de l’Oural. Sa dernière « prestation » lui a valu un séjour de sept mois en prison, assorti à une amende pour avoir mis le feu à l’entrée du bâtiment principal des services secrets russes. Une condamnation plutôt clémente surtout dans un pays censé être en pointe dans la répression.

… pour un curieux militant politique

Après cette flambée, Piotr a décidé de quitter sa chère Russie pour aller trouver refuge en France avec sa femme et ses deux enfants. Avait-il en tête un nouvel happening qui l’aurait envoyé en prison pendant plusieurs années ? La prison, il en a peur, mais pas pour ses frasques culturelles. Il craint l’enquête portant sur une tentative de viol présumé d’une jeune femme. Une enquête politique selon le suspect qui a préféré décamper plutôt que de répondre de ses actes présumés. Direction la France donc où Dieu seul sait comment il vit (l’Etat est généreux avec les réfugiés politiques). Car celui qui a reçu le statut de réfugié en mai 2017 n’a pas les moyens de vivre de son art. Les passants ne sont pas nombreux à laisser une pièce à un exhibitionniste qui se mutile les parties…

Cette question restera sans réponse, mais le plus important est que Piotr continue d’exercer son art et a organisé l’incendie d’une succursale de la Banque de France à Paris. Le mot d’ordre laissé dans un communiqué est « La renaissance de la France révolutionnaire déclenchera l’incendie mondial des révolutions […] les banquiers ont pris la place des monarques ». Sous couvert de combattre le capitalisme, Piotr Pavlenski met le feu à un bâtiment officiel d’un pays qui a eu l’idée saugrenue de l’accueillir. Un merci ou un « spassibo » n’écorche jamais les lèvres, mais il faut croire que ses mutilations l’ont rendu peu enclin à parler.

Arrêter peu après par la police, son cas est désormais entre les mains de la Justice. Sera-t-il condamné ? Rien n’est moins sûr, car dégrader un édifice public est peut-être considéré comme un art dans un pays en pleine perte de repères. Désormais les réfugiés foutent le feu et commettent des crimes en guise de remerciement. La France a plus l’aspect d’un paillasson que tous les pseudo-artistes et militants politiques en carton-pâte utilisent avec ravissement. Après Inna Shevchenko en Marianne, auront-on le droit à Piotr Pavlenski en artiste principal exposé au musée du Louvre ?

 

Source : 24heuresactu

jeudi, 12 octobre 2017

La France aura son opium footballistique

Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2017

Rédigé par notre équipe le 11 octobre 2017.

 
Après une campagne de qualification laborieuse et une dernière victoire contre la Biélorussie hier, l’équipe de France de football sera bien présente à la Coupe du monde FIFA 2018. Une édition attendue de toute la France du foot, mais aussi espérée par des politiques qui pourront détourner l’attention de Français pressurisés par un pouvoir méprisant. L’été sera l’occasion d’enfouir les problèmes sous les pelouses et de pointer du doigt le pays hôte de la compétition : la Russie.  

Un grand ouf de soulagement s’est fait entendre mardi soir au Stade de France. L’équipe menée par Didier Deschamps a finalement validé son ticket pour le mondial en Russie. A partir du 14 juin (et même avant), tous les regards seront tournés vers la Russie et ses stades. Chaque entraînement de l’équipe de France sera épié, la forme de chaque joueur scrutée, et les compositions d’équipe largement discutées. Bref, toutes les conversations tourneront autour du football et les médias n’auront d’yeux que pour 23 individus chargés de redorer le blason français.

L’anesthésie par le foot

La mission ne fait pas partie du cahier des charges initial, mais depuis que le politique a abandonné le pouvoir pour le confier à la sphère économique, le sport est devenu l’un des rares moyens de fabriquer une pseudo unité nationale. Le football et ses grandes compétitions doivent jouer le premier rôle et une absence lors d’un grand raout international est vécu comme un drame collectif – bien alimenté en cela par des médias drogués à « l’information » facile qui ne demande aucune réflexion ni prise de risque vis-à-vis du pouvoir.

Les ventes de maillots se porteront bien et les livreurs de pizza auront d’intenses soirées estivales à assumer. L’économie sera au beau fixe et les amuseurs qui prennent le titre d’économiste à la télévision expliqueront tous les effets à attendre d’un beau parcours au mondial. Des chiffres invérifiables, des anecdotes inutiles et des plans sur la comète qui ne manqueront pas d’occulter les vraies informations du moment. Les politiques viennent de se voir offrir trois mois de répit (vacances comprises). Ça sourit à l’Elysée et dans les ministères !

Mais le peuple peut se rassurer, il aura aussi le droit à du journalisme d’investigation. La Russie sera passée au crible et les conclusions seront toujours les mêmes : le pays est une affreuse « démocrature » qui glisse sur une pente fascisante. Poutine est une menace pour la paix et le mondial (mal organisé à bien des égards) ne pourra pas cacher une terrible réalité russe. Le pays est corrompu et fait honte à des démocraties européennes, elles, irréprochables. Le grotesque prendra le relai du farcesque dans une folle ronde. Les chefs d’Etat joueront à la diplomatie de pacotille en signifiant par leur présence ou leur absence la ligne qu’ils désirent incarner face à l’incarnation du Mal.

La Coupe du monde 2018 verra une seule équipe gagnante, mais ils seront plus d’un à tirer les marrons du feu. Le peuple, lui aura le droit à son opium, mais les effets seront de courte durée.

 

Source : 24heuresactu

mardi, 10 octobre 2017

La France accueillera 10 000 réfugiés d’ici à octobre 2019

Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2017

La France s'est engagée à accueillir 10 000 réfugiés d'ici à octobre 2019, a annoncé ce lundi le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb.

La France s'est engagée à accueillir 10 000 réfugiés d'ici à octobre 2019, a annoncé ce lundi le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb. | AFP

La France s’est engagée à accueillir 10 000 réfugiés d’ici à octobre 2019, a annoncé ce lundi le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb.

Quelque 10 000 réfugiés seront accueillis en France d’ici à octobre 2019, dont 3 000 issus de missions de protection au Niger et au Tchad, dans le cadre des programmes de réinstallation de migrants. C’est ce qu’a annoncé ce lundi soir Gérard Collomb, le ministre de l’Intérieur.

Lors d’un mini-sommet avec plusieurs pays européens le 28 août à Paris, le président Emmanuel Macron avait proposé « d’identifier » au Niger et au Tchad les ressortissants « qui ont droit à l’asile » pour « les mettre en sécurité le plus rapidement » possible, sans toutefois donner de chiffres.

Des missions au Niger et au Tchad

La France va démarrer « dans les prochaines semaines » des missions au Niger et au Tchad pour identifier des personnes pouvant bénéficier du droit d’asile, sur des listes proposées par le Haut-Commissariat de l'ONU pour les Réfugiés (HCR), a annoncé Emmanuel Macron lundi.

Ces missions menées par l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) visent aussi à « mieux prévenir la situation depuis le Niger et le Tchad pour prévenir un afflux de migrants économiques » non éligibles au droit d’asile, a expliqué le président, après avoir reçu à l’Élysée le président du HCR Filippo Grandi.

Au total, la France « ouvrira sur les deux prochaines années 10 000 places » pour ces réfugiés « réinstallés » depuis le Niger, le Tchad, mais aussi de Turquie, du Liban et de Jordanie, a annoncé le président.

Des centres d'accueil en Libye

Parmi ces 10 000 réfugiés, 3 000 seront issus des « missions de protection avancées » de l’Ofpra au Niger et au Tchad qui débuteront « dans les prochaines semaines », a précisé le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb dans un communiqué.

Paris estime par ailleurs impossible pour l’instant d’installer en Libye des centres d’accueil en raison de l’insécurité sur place.

Cette décision de principe avait été actée fin août lors d’un mini-sommet à l’Élysée avec les dirigeants de plusieurs pays européens, du Niger et du Tchad.

Des modifications législative à venir

En septembre, l’envoyé spécial du HCR pour la Méditerranée centrale, Vincent Cochetel, avait demandé que la France « clarifie au plus tôt » son engagement sur le nombre de réfugiés qu’elle compte aller chercher au Niger et au Tchad, estimant le nombre de « personnes vulnérables » ayant besoin d’un transfert à « 83 500 au Tchad et 10 500 au Niger ».

La France compte aussi réaliser des « modifications législatives et réglementaires dans les prochaines semaines » pour rapprocher sa politique d’organisation de l’asile avec celle d’Allemagne, des réformes auxquelles « le HCR sera associé », a poursuivi M. Macron.

Il a rappelé que la France voulait mieux accueillir ceux qui ont droit à l’asile mais expulser de manière « beaucoup plus rigoureuse » les migrants économiques, qui eux n’ont pas droit à ce statut.

« Un espace commun de protection et de solidarité »

« Je souhaite qu’on accueille mieux ceux qui peuvent demander asile, qu’on accélère les délais administratifs qui sont inhumains et inefficaces, avoir des programmes d’intégration à la langue, au logement, au travail et qu’on soit aussi beaucoup plus rigoureux dans la reconduite aux frontières de ceux qui n’ont pas droit à cette procédure », a détaillé Emmanuel Macron.

Il a enfin annoncé une augmentation de 10 millions d’euros des concours de la France au HCR et à l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), notamment pour appuyer leurs actions en Libye pour une protection des personnes « au plus près des zones de conflits ».

« L’Europe doit construire un espace commun de protection et de solidarité en créant un Office européen de l’asile et un programme commun d’intégration et de formation des réfugiés », a répété M. Macron.

 

Source : ouest-france

jeudi, 05 octobre 2017

En 2016, vingt-six policiers et gendarmes sont morts dans l'exercice de leur fonction en France

Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2017

Un gendarme et un policier municipal sur une plage de l'île Dumet au large de Piriac-sur-Mer (Loire-Atlantique), le 13 juillet 2017.
Un gendarme et un policier municipal sur une plage de l'île Dumet au large de Piriac-sur-Mer (Loire-Atlantique), le 13 juillet 2017. (LOIC VENANCE / AFP)

En 2016, vingt-six policiers et gendarmes sont morts dans l'exercice de leur fonction en France

Un bilan lourd pour les forces de l'ordre. Vingt-six policiers et gendarmes sont morts dans l'exercice de leur fonction en 2016 en France, selon une étude publiée jeudi 5 octobre. L'année a été marquée par l'assassinat jihadiste de Magnanville, par plusieurs dramatiques accidents et par une hausse du nombre de blessés chez les forces de l'ordre plus souvent agressés.

L'augmentation du nombre d'agressions sur des policiers ou des gendarmes en service actif est une tendance qui s'inscrit sur le long terme.

Christophe Soullez,chef de l'ONDRP.

AFP

Selon ce bilan dressé par l'ONDRP (Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales), deux policiers et quatorze gendarmes ont péri alors qu'ils exerçaient une mission opérationnelle de police. Les décès des dix autres fonctionnaires et militaires sont survenus en dehors de leur temps de mission, mais alors qu'ils étaient "en service" (période d'astreinte, formation ou trajets domicile-travail).

Les gendarmes lourdement touchés

Ce bilan humain de 26 morts "est en forte hausse comparé à 2015, année durant laquelle 14 agents avaient perdu la vie", commente l'ONDRP. Depuis 2012, les deux forces de sécurité comptabilisent chaque année en moyenne 19 décès. Les gendarmes ont payé le plus lourd tribut, avec notamment le crash d'un hélicoptère en mai 2016 dans les Hautes-Pyrénées, dans lequel quatre militaires sont morts, et un accident de la route en décembre de la même année dans l'Oise, qui a coûté la vie à trois jeunes gendarmes.

Sur l'ensemble des 16 décès de policiers et gendarmes "en mission", quatre ont été causés par l'usage d'une arme ou une agression physique. Ce total n'intègre pas l'assassinat du commandant de police Jean-Baptiste Salvaing et de sa compagne Jessica Schneider, à leur domicile de Magnanville (Yvelines) par un tueur se revendiquant de l'Etat islamique, répertorié parmi les morts "en service".

 

Source : mobile.francetvinfo

dimanche, 01 octobre 2017

La France du RSA

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2017

 france,précarité,rsaMême si officiellement le nombre d’allocataires du RSA a baissé de 80.000 personnes en 2016, il n’en reste pas moins que 2,5 millions de résidents sur le territoire français en bénéficient. Officiellement, seuls les Français, les membres de l’Union européenne (plus les pays de l’AELE) et les travailleurs étrangers depuis au moins 5 ans y ont le droit. Les réfugiés et les apatrides y ont également le droit, contrairement à ce que racontent les médias, mais aussi mes personnes bénéficiaires de la protection subsidiaire (Protection accordée à un étranger qui ne remplit pas les conditions pour être reconnu réfugié et qui ne peut être autorisé au séjour pour raisons médicales et qui court un risque réel de subir des atteintes graves en cas de retour dans son pays d’origine). En réalité, certaines familles nombreuses françaises « de souche » sont exclues du RSA sans aucun motif valable. L’Etat sait que personne ne leur viendra en aide médiatiquement…  D’autres familles françaises y ont le droit et ne le savent même pas. Trop rurales et blanches pour qu’on s’intéresse à elles.

Les départements français peuvent être classés en sept catégories en fonction du pourcentage de bénéficiaires du RSA.

– Les 5 départements en grande précarité, avec  plus de 20 % de la population au RSA : Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion et Mayotte.

– Les 9 départements en précarité, avec plus de 10 % de la population au RSA : Ardennes, Aude, Bouches-du Rhône, Gard, Nord,  Pas-de-Calais,  Pyrénées-Orientales, Paris et Seine-Saint-Denis.

– Les 11 départements en relative précarité avec plus de 8 % de la population au RSA : Aisne, Ariège, Aube, Charente, Cher, Hérault, Seine-Maritime, Somme, Tarn-et-Garonne, Vaucluse et Territoire de Belfort .

– Les 15 départements en moyenne haute avec plus de 7% de la population au RSA : Allier, Lot-et-Garonne, Haute-Marne, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Nièvre, Orne, Tarn, Var, Vienne, Haute-Vienne, Vosges, Yonne, Val de Marne et Val d’Oise.

– Les 24 départements en moyenne basse avec plus de 6% de la population au RSA : Alpes-de-Haute-Provence, Calvados, Charente-Maritime, Creuse, Dordogne, Doubs, Drôme, Eure, Haute-Garonne, Gironde, Indre, Loir-et-Cher, Loire, Loiret, Marne, Moselle, Oise, Puy-de-Dôme, Hautes-Pyrénées, Bas-Rhin, Haut-Rhin, Rhône, Haute-Saône et Sarthe.

– Les 17 départements relativement prospères avec plus de 5 % de la population au RSA : Alpes-Maritimes, Ardèche, Haute-Corse, Eure-et-Loir, Gers, Indre-et-Loire, Isère, Landes, Loire-Atlantique, Lot, Maine-et-Loire, Paris, Pyrénées-Atlantiques, Saône-et-Loire, Seine-et-Marne, Deux-Sèvres et Essonne.

– Les 14 départements prospères avec plus de 4 % de la population au RSA : Hautes-Alpes, Cantal, Corrèze, Corse-du-Sud, Côte d’Or, Côtes d’Armor, Finistère, Ille-et-Vilaine, Jura, Haute-Loire,  Lozère, Manche, Mayenne et Morbihan.

– Les 6 départements très prospères avec moins de 4 % de la population au RSA : Ain, Aveyron, Savoie, Haute-Savoie, Vendée et Yvelines.

Notons que les régions les plus prospères sont à prendre dans le cadre du RSA et non dans l’indice économique absolu.

Hristo XIEP

 

Source :medias-presse.info