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lundi, 15 janvier 2018

Quand nos voisins européens osent des campagnes natalistes

Publié par Guy Jovelin le 15 janvier 2018

En Belgique, le Vlaams Belang : “Les nouveaux arrivants ? Nous les faisons nous-mêmes !”

En Allemagne, l’AFD : “De nouveaux Allemands ? Faisons-les nous-mêmes. Ose l’Allemagne !”

A quand l’équivalent en France ?

 

Source : ndf.fr Via Le Salon Beige.

vendredi, 12 janvier 2018

80 km/h contre la France des périphéries

Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2018

 

Macron et Philippe ont-ils seulement songé que la réduction de la vitesse sur les départementales frappe principalement cette France des périphéries dont ils ignorent superbement l’existence. Cette France des périphéries majoritaire mais divisée électoralement en deux populismes, ce qui a assuré le succès de l’oligarque Macron.

Qu’importe en effet à un parisien ou un habitant des grandes villes cette réduction de la vitesse alors même que, dans les bourgs, les petites villes, dont les centres se désertifient, la population pour le travail, et toute la vie sociale, doit emprunter ces mêmes routes. Il s’agit en l’occurrence d’un énième traquenard fiscal transformant les gendarmes en collecteurs d’impôts à titre supplétif pendant que racailles et migrants illégaux mineurs ou non vaquent à leurs «  occupations » au double sens du mot.

Un rapport d’étude sur la vitesse à 80 km/h sur les départementale a été fait à titre expérimental .Même le président du sénat s’est ému qu’il ne soit pas publié, a-t-il compris qu’il vit en république bananière ? Et la contradiction est flagrante avec le discours officiel sur les désert médicaux, on fait semblant de s’en plaindre mais on oublie que pour trouver un médecin ou une pharmacie il faut employer… une route départementale !

Non décidément, dans cette affaire ou la morale a bon dos, épargner des vies nous dit-on, l’hypocrisie est reine, l’alcool, le cannabis, l’absence de civisme, ceux qui roulent sans permis et sans assurance sont exactement comme Macron, ils n’ont que faire des routes départementales et la vitesse à 80 km heures ne changera rien à leur comportements déviants. Quant au contrôle technique obligatoire, il se durcit et son coût augmente en 2018, devinez qui sera pénalisé ? Ceux qui entretiennent une voiture, certes ancienne, pour se déplacer sur… les routes départementales !

La vérité tient en ceci qu’impuissant sur les grandes décisions (le déficit et la dette publique, le commerce extérieur et le chômage sans compter le problème migratoire) le pouvoir accentue la répression sur ceux qui l’acceptent et courbent l’échine. Sur les Français solvables, avec une législation sur les prétendues fausses nouvelles, par des atteintes à nos libertés et à notre patrimoine tant il est vrai qu’aujourd’hui les rigueurs de la loi ne s’appliquent qu’à ceux qui la respectent.

Il y a bien la solution Jean Yann : n’aller jamais sur les routes départementales. Ce sketch des années soixante illustre bien cet esprit frondeur des Français aujourd’hui perdu sous la pression du politiquement correct et, il faut bien le dire, l’arsenal des lois «  comportementales » qui prétendent vous juger sur vos intentions et vos «  péchés » contre la loi «  républicaine ». A cette aune l’auteur de ces lignes reconnaît qu’il est un grand, très grand pécheur. Et si d’aventure il était pris à 84 km/h au lieu de 80 il aura droit à la leçon de morale à deux sous de l’administration d’État qui lui dira qu’il est un méchant conducteur or, en 40 ans de permis, pas un seul accident, le secteur privé lui dit au contraire qu’il est un bon conducteur (50% de bonus), cherchez l’erreur !

 

Source : ndf

mercredi, 10 janvier 2018

Bien des Français de France sont malheureux

Publié par Guy Jovelin le 10 décembre 2018

POSTÉ LE 09 JANVIER , 2018

france,lourde fiscalité,malheureux,pauvreté

Il y a quelques jours, dans un supermarché, j’ai entendu une dame âgée disant devant un plat à 5,92 € : « C’est trop cher pour moi. » Des enseignants m’ont confié que de jeunes enfants paraissaient le matin à l’école pâles et affaiblis. Ils n’avaient pas pris de petit-déjeuner. Négligence ? Non, pauvreté. D’autres, nombreux, adultes et enfants, se nourrissent de féculents parce que ce n’est pas cher, sans parler de ceux qui « sautent un repas » parce qu’ils n’ont pas les moyens de s’en offrir deux. Comment pourrait-il en être autrement chez ceux qui, habitant en ville, ont une retraite de 600 euros par mois ?

En face de cette pauvreté que subissent dans le silence des braves gens, adultes et enfants de France, on constate le formidable gaspillage de l’argent public par les responsables qui, de pseudo-droite ou de gauche, gouvernent la France, eux, dans le plus grand confort, mettant en œuvre avec entrain la préférence étrangère.

Combien de milliards d’euros ont-ils été dilapidés en pure perte dans ce qu’on appelle la « politique de la ville », inaugurée par « Nanard » Tapie, ministre de Mitterrand. Grâce à cette politique, on a aujourd’hui 570 zones de non-droit, livrées à l’anarchie ? Combien de milliards d’euros sont-ils dilapidés dans l’octroi du droit d’asile, des soins prodigués aux 600 000 clandestins que compte la France, de l’aide à l’Afrique que Macron vient verbalement de doubler ? Plus les milliards gracieusement remis aux associations, ainsi qu’aux syndicats pour la « formation » qui forme si bien que la France entretient 6,5 millions de chômeurs, le double de la moyenne européenne, alors que les braves gens, les modestes, les silencieux, de Bourgogne, de Bretagne, du Midi, et d’ailleurs, se privent parce qu’ils n’ont pas de quoi manger à leur faim. Oui, la France en 2017 est un pays où des Français ont faim et ils ont honte de l’avouer.

Voilà ce qui se passe en France, administrée par 610 000 élus et 5,7 millions fonctionnaires, et où l’on trouve dans l’énorme administration fiscale des douzaines de directeurs aux salaires tellement exceptionnels que la Cour des comptes n’a pas pu moins faire que de les publier et de s’en étonner. Ces fonctionnaires, généralement de fervents partisans de « l’égalité sociale », ont un salaire de 16 fois le SMIC.

Ainsi la France, qui parmi tous les pays du monde impose la plus lourde fiscalité, a-t-elle aussi la gouvernance la plus hypocrite qui soit. Sa devise n’est plus : « Liberté, égalité, fraternité », mais : « Faites ce que je dis, pas ce que je fais ».

Le système est néanmoins solide parce que ceux qui en profitent se réservent le pouvoir politique et médiatique qui condamne tous ceux qui ne veulent penser, dire, et agir comme il faut. La presse est, en effet, comme chacun le sait, largement subventionnée par l’argent public. Les mal-pensants, et a fortiori les mal-disants, sont des blasphémateurs à exclure de la société, en les maintenant dans un état permanent d’indignité nationale. Tout ceci parce que la gouvernance française reste, à ce jour, sans le dire, fidèle au sacro-saint programme crypto-communiste du Conseil national de la résistance.

Lorsque, dans quelques décennies, notre pays sera un État en anarchie africaine et musulmane, la minorité des vrais Français aura disparu, laissant la place à la soumission pour les survivants du socialisme, de l’égalitarisme et de la misère à partager.

Est-il encore temps de mettre fin à l’œuvre destructrice de ces gens-là ?

Il serait instructif de poser la question à Emmanuel Macron qui, en guise de cadeau pour 2018, ajoutera quelques milliards d’euros supplémentaires de prélèvements obligatoires aux très nombreux milliards d’euros de prélèvements déjà acquittés par les ménages en 2017, laissant apparaître 18 milliards d’augmentation par rapport à 2016 !

On voit qu’on est loin des 60 milliards d’euros de baisse de dépenses publiques et des 20 milliards de baisse annoncée des prélèvements obligatoires.

Cerise sur le gâteau fiscal, on aura d’ici à 2022, une hausse de 172 % des taxes sur l’énergie.

Pour terminer, je dois corriger l’omission d’un mot, qui a provoqué une erreur, dans ma dernière chronique : « L’échec constant de la diplomatie occidentale depuis 20 ans. » Il est écrit dans cet article : « les Européens faisaient passer l’Afrique et le Moyen-Orient de la Préhistoire à la modernité », il fallait lire : « Les Européens faisaient passer l’Afrique et le Moyen-Orient de la Préhistoire et du Moyen-Âge à la modernité. » Nul n’ignore, en effet, que les origines de la civilisation occidentale se situent au Moyen-Orient, plus précisément en Mésopotamie où, 10 000 ans av. J.-C., existaient déjà des centres urbains. Les Sumériens y furent à l’origine de l’écriture et de l’architecture. Les Égyptiens y créèrent une civilisation brillante, pharaonique, hellénistique et romaine. C’est à partir du VIIe siècle que les Arabes se lancèrent au nom de Mahomet à la conquête de l’Afrique du Nord, envahissant l’Espagne, arrivant même jusqu’à Poitiers en 732 et, sur leur passage, tout fut anéanti. Aujourd’hui, ils reprennent le même combat. Tout le monde sait cela.

 

Source : les4verites

vendredi, 29 décembre 2017

ÉCONOMIE : LES FINANCIERS ET LES MÉDIAS CACHENT LES VÉRITÉS ÉCONOMIQUES AUX FRANÇAIS

Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2017

Marc Rousset

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Mathilde Lemoine, chef économiste du groupe Edmond de Rothschild, nous avoue, dans Le Figarodu samedi 23 décembre, « qu’il y a un décalage entre la sphère financière et la réalité économique ». Elle reconnaît que le niveau de la dette privée des ménages et des entreprises, deux fois plus important que celui du PIB, peut devenir insoutenable si les taux remontent brusquement.

La BCE (Banque centrale européenne) se contredit. Elle pratique une politique de taux bas et non conventionnelle d’achat de dettes d’entreprises françaises (29 % du total de ses achats, contre 25 % pour les entreprise allemandes) afin de faciliter leur accès aux marchés financiers, mais elle dérègle les prix du marché des actifs financiers comme dans une économie administrée. Elle émet en même temps des signaux contradictoires en imposant aux grandes banques, par le biais du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), de limiter leurs crédits et leur exposition à la dette de certains grands groupes.

La BCE cherche, aujourd’hui, à tempérer l’appétit des entreprises pour la dette et celui des banques pour le crédit. La BCE cherche donc d’un côté à relancer l’économie par la politique de l’assouplissement quantitatif, mais donne des directives en sens contraire au HCSF.

Alors que la dette publique française a atteint le niveau astronomique de 2.230 milliards d’euros au troisième trimestre 2017, qui serait insoutenable si les taux d’intérêt remontaient, les médias nous rassurent en nous rappelant que le coupon actuel n’est que de 0,7 % en 2017 et ne sera que 1,85 % en 2018 pour les obligations à dix ans. Quid si c’est, demain, 6 % et 15 % après-demain ? On nous rassure faussement en nous disant que les fonds propres des entreprises financières et non financières ont augmenté respectivement de 5,6 % en et 5,3 % en 2017, ce qui ne change rien au problème fondamental de l’insuffisance des capitaux propres.

Les médias économiques évoquent aussi un argument impressionnant pour le néophyte en nous rappelant que, selon l’INSEE, le patrimoine économique national détenu par les ménages, les entreprises et les institutions publiques atteignait 14.023 milliards d’euros en 2016, soit 7,7 fois le produit intérieur net tricolore, et 6,5 fois le niveau d’endettement.
 
Aux États-Unis, même scénario. Le Dow Jones flirte avec 2.500 points et le NASDAQ est proche des 7.000 points. Wall Street s’est adjugé 35 % de hausse en quatorze mois sans raison valable, si ce n’est l’augmentation de la masse monétaire, mais on nous rassure avec la réforme fiscale de Trump qui va propulser les bénéfices par action d’environ 10 %, oubliant qu’elle va augmenter la dette publique des États-Unis. La réalité, c’est que les valeurs américaines se payent en moyenne environ dix-huit fois les bénéfices attendus pour 2018 – du jamais-vu depuis la bulle des années 2000.

De plus, aucun journaliste des médias traditionnels n’ose écrire que les totaux des bilans des quatre grandes banques américaines représentent 44,5 % du PIB des États-Unis et que les totaux des bilans des quatre banques françaises représentent trois fois le PIB de la France. Aucun journaliste français ne nous écrit que l’endettement des banques françaises est encore plus démentiel que celui des États-Unis. Les quatre grandes banques françaises ont des capitaux propres insuffisants, un effet de levier moyen de 25,53, c’est-à-dire 25,53 euros de dettes pour un euro de capital engagé (de 21,92 pour le Crédit agricole à 31,41 pour la Société générale).

L’effet de levier de Lehman Brothers au moment de sa chute, le 15 septembre 2008, était de 31. Celui des banques américaines, aujourd’hui, n’est que de 11,63, une des rares nouvelles rassurantes en provenance des États-Unis. Au royaume des aveugles les borgnes sont rois.

La vérité, c’est que la sphère financière et les médias ne nous parlent que de surchauffe et d’hirondelles qui font le printemps, alors que les clignotants sont au rouge avec une croissance économique artificielle, instable et fragile.

 

Source : synthesenationale

mercredi, 27 décembre 2017

Je croyais avoir vécu le pire en Algérie, mais avec ce qui attend la France…

Publié par Guy Jovelin le 27 décembre 2017

En cette fin d’année 2017 mes réflexions débridées survolent le passé simple et s’acheminent régulièrement vers le futur décomposé.

Dans quel monde vivons-nous ? Dans quel pays vivons-nous ?

Se trouver devant l’obligation de mettre sous surveillance sécuritaire les églises, les villages de Noël, les grands magasins, tous les lieux où les braves gens se réunissent pour clamer leur joie, leur bonheur.

100.000 policiers, militaires, gendarmes, employés à tenter de protéger des familles, des enfants, dont le seul objectif est d’acheter des jouets, des friandises, pour essayer de passer une merveilleuse soirée en famille, être heureux durant quelques heures au moins, quelques soient leurs origines, leurs religions, leurs couleurs.

Nous avons connu un demi-siècle de paix et même sans la richesse, si nous avions la santé, on pouvait s’estimer satisfait.

Tout cela est terminé, fini, nous allons souffrir, nos enfants surtout vont souffrir !

Un simple petit exemple dans notre petit pays : Trois SDF sont morts ces dernières 24 heures à Marseille, des dizaines d’autres dans toutes les régions de France. Qui en parle ? Qui s’en inquiète ? A Marseille le problème le plus important, pour certains politiques (Mélenchon entre autres, mais lui c’est logique n’est-il pas à la pêche aux voix du vieux port ?) c’est le sort qui est, paraît-il, réservé aux soi-disant mineurs migrants !

Des dizaines de morts par accidents sur les routes du pays en cette dernière quinzaine de décembre. Qui en parle ? Mais un « migrant » percuté par une voiture à Grande-Synthe, dans le Nord-Pas de Calais, fait la « Une » de toutes les chaînes télé.

C’est malheureux pour lui, certes, mais tout de même c’est bien loin d’être aussi dramatique, non ?

Ou alors je ne comprends plus rien et, d’ailleurs, je crois que je ne veux plus rien comprendre.

Je croyais avoir vécu le pire avec la guerre d’Algérie et bien je pense aujourd’hui que c’était moins grave que ce qui nous attend dorénavant !

Pourquoi ? Parce que, à l’époque nous avions avec nous et contre nous des hommes (politiques, militaires, citoyens) qui en avaient. Or, ce n’est plus le cas depuis deux décennies, ceux qui nous dirigent, et nous dirigeaient, ne sont plus que des « pantins » (pour parodier l’un d’eux, je ne dirai pas des « sans dents » mais des « sans couilles »).

L’Europe s’est constituée et l’un de ses objectifs majeurs était « qu’il n’y ait plus jamais de guerre ! », or, nous sommes très proches d’une nouvelle ouverture des hostilités entre l’Ukraine et la Russie.

L’Ukraine appartenait à l’URSS stalinienne, ainsi que la Crimée. L’URSS a éclaté mais la moitié Est de l’Ukraine et ses habitants, sont russes et veulent le rester.

Ce conflit doit se régler politiquement, il peut se résoudre par une partition. Cela fera deux états de plus, et alors ? La Tchécoslovaquie n’a-t-elle pas donné l’exemple et la Tchéquie et la Slovaquie ne s’en portent pas plus mal, que je sache ?

Dans tous les cas, ce n’est pas en armant davantage les Ukrainiens de l’Ouest (soi-disant pour qu’ils se défendent ?) que la situation s’améliorera, bien au contraire, cela ne peut que faciliter un affrontement sanglant et, peut-être, une troisième guerre mondiale !

Il est vrai que les USA de Donald Trump ne sont pas l’Europe !

Si la décision avait été prise d’ouvrir l’UE à la Russie ce problème brûlant n’existerait sans doute pas !

Puisqu’il est question de Trump et des USA, au sujet de la Corée du Nord et de son illuminé dictateur, c’est dès les premiers lancements de missiles nucléaires qu’il fallait obtenir, par tous les moyens, le blocus pétrolier de ce pays. Pas de pétrole, plus rien ne fonctionne. La Chine y était hostile ! Il fallait l’y obliger également par un blocus de toutes les importations de produits « Made in China », elle aurait très vite compris.

Enfin l’immigration, que peut-on écrire de plus qui n’a pas été déjà écrit ? C’est le plus grand danger qui nous menace et il ne cessera pas de nous menacer. Le tsunami est irrésistible d’autant plus que l’Europe non seulement ne s’y oppose pas mais l’encourage et trouve un allié de poids avec ce Pape qui, dans le secret du Vatican, espère également ce grand remplacement : remplir ses églises par de la couleur, quand elles seront vides du blanc !

En cette fin 2017, mes réflexions, comme vous pouvez le constater, sont bien loin d’être optimistes, mais je vous demande de me pardonner de vous les avoir fait partager !

Pour cela je vais essayer de vous faire sourire avec une historiette que j’ai écrite en 1964 pour une pièce jouée au théâtre Saint-Georges, à Paris : « De Bab-el-oued à l’Elysée », avec Philippe Clair.

« Julien Thouret, grand reporter à la stations périphérique Europe 1, débute son reportage.

Nous sommes entourés par une foule immense et colorée, sous un brûlant soleil d’été. Je vais interviewer ce monsieur qui se dirige vers nous :

-Pardon, monsieur, que pensez-vous de l’Algérie indépendante ?

-L’Algérie indépendante ! Ca dipend !

-Je vous comprends, mais ça dépend de quoi ?

-Ca dipend, parce qu’y a les optimistes y les pessimistes.

-Je vous comprends mais voyons que disent par exemple les optimistes ?

-Les optimistes y disent : bientôt on mangera de la merde !

-Non, je pense cher monsieur, que ce sont les pessimistes qui disent cela ?

-Non, non, les pessimistes y disent ; y en aura pas pour tout le monde ! »

Que mes amis Algériens me pardonnent, (j’en ai tout de même encore quelques-uns) ce n’est qu’une blague, bien sûr.

Je vous en réserve une seconde pour la fin de l’année !

Manuel Gomez

 

Source : ripostelaique