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vendredi, 17 novembre 2017

La République en marche oublie la France

Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2017

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Par François Marcilhac

3466611312.jpgDans la «  charte des valeurs  » que vient d’adopter la République en marche, la nation n’est pas citée non plus.

Ce 16 novembre 2017, la République en marche, «  mouvement politique et citoyen  » (sic), a publié sa «  nouvelle charte des valeurs  », qui sera soumise aux votes des membres de son Politburo le 18 novembre,après avoir été «  enrichie de la consultation organisée  » auprès des adhérents du parti. Contrairement au premier texte, pour lequel la France existait encore («  nous pensons […] que l’avenir de la France nécessite de renouer avec l’idée de progrès  »), mais qui ignorait déjà le mot de nation, cette nouvelle charte rompt publiquement avec la France qui ne fait plus l’objet des préoccupations du parti jupitérien.

Apôtres d’un progressisme béat qui, pour remonter aux XVIIIe et XIXe siècles, sert aujourd’hui à promouvoir l’adaptation servile au mondialisme, ces «  héritiers de valeurs séculaires humanistes, républicaines et laïques  » ne se reconnaissent que «  comme citoyens européens, attachés au projet d’une Europe politique, et convaincus que l’ensemble des valeurs qui [les] rassemblent […] ne pourra réellement se déployer que dans le projet européen  », un projet qui est lui-même explicitement subordonné à la logique de la mondialisation, garante d’un «  avenir collectif  » dans lequel n’entre pas le peuple français, constitué en nation, la France n’étant plus synonyme que de «  repli sur soi  » ou de «  retour en arrière  ».

Cette charte des valeurs a au moins le mérite de prouver aux Français, s’il en était encore besoin, que le projet macronien vise à la disparition même de la France. L’ennemi des Français s’est ainsi clairement désigné.

 

Source : lafautearousseau

D’où viennent les combattants étrangers de l’Etat islamique ?

Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2017

La France est la cinquième exportatrice mondiale de djihadistes, elle est la première pour l’Europe (hors Russie)…

En Europe, le Kosovo a la plus forte proportion par habitants.

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Source : rapport sur les combattants étrangers de l’EI et les risques liés à leur retour émis par le « Souphan Center » (ONG installée à New York mais pour l’instant ces chiffres n’ont pas été contestés par la Russie à notre connaissance).

 

Source : contre-info

jeudi, 16 novembre 2017

Personne ne redressera jamais la France tant que les médias seront ce qu'ils sont

Léa Salamé et Raphaël Glucksmann

caste,france,médias,système médiatiqueUne chose est certaine : personne ne redressera jamais la France tant que les médias seront ce qu'ils sont.  Tant qu'on ne prendra pas à bras le corps le problème qu'ils sont pour la santé mentale de la nation. Et tant qu'on ne l'aura pas réglé. 

Nous vivons en régime d'opinion et chacun sait bien que celle-ci ne naît pas de génération spontanée. L'opinion se fabrique et ses idées sont celles qu'on lui instille. Sa capacité d'autonomie est faible, rare et éphémère, facile à retourner, même lorsque, à l'égard des médias, le doute s'installe, voire la contestation, l'hostilité ou le mépris. Façonner l'opinion, même rebelle, n'a jamais été aussi aisé qu'aujourd'hui où les moyens techniques de communication de masse en continu en font un jeu d'enfants d'une redoutable efficacité. La santé mentale de la société française dépend étroitement de l'orientation des médias. 

Or la caste très fermée qui s'est approprié radios et télévisions, qui monopolise les heures d'antenne, n'aime pas la France ni sa civilisation, ni son ordre traditionnel, ni les peuples et les ethnies qui les ont fondées. Cette caste hostile assure spontanément sa propre permanence. Elle se renouvelle par cooptation, par copinage évidemment de gauche, et même par mariage. On entend beaucoup plus Raphaël Glucksmann sur certaines stations depuis que, revenu de ses aventures politico-sentimentales de Kiev et de Tbilissi, il a épousé la très influente Léa Salamé... et travaille pour Benoît Hamon. Le phénomène de couple joue dans les médias comme ailleurs son rôle d’apporteur de puissance, d'audience et d'influence. Mariages qui peuvent relier le monde des médias aux milieux politiques, aux milieux d'affaires ou people ... Le recrutement de cette caste est assez largement communautaire, rarement de lointaine tradition française et très majoritairement de gauche, modérée, extrême ou radicale, gauche « friquée », où la détestation de la France historique, de toute société traditionnelle, est dominante. Ainsi ne cesseront d'être attaqués, moqués, ridiculisés, nos principes traditionnels, notre histoire, nos mémoires, nos structures sociales. Etc.  

Cette caste toutes chaînes confondues a son vocabulaire, ses formules, ses tics de langage, ses rites, ses préférences, ses choix, ses ostracismes implacables, partout les mêmes, stéréotypés, uniformisés, inévitables. Elle multiplie les campagnes lancinantes destinées thème par thème à littéralement hystériser l'opinion, y compris au moyen de la plus extrême vulgarité, pour quelques jours, semaines ou mois, comme s'en est indigné Maxime Tandonnet, il y a à peine quelques jours.  Il y a enfin les grands combats électoraux. Dans les campagnes électorales les médias ont toujours leur candidat. Unique en général ; le même pour tous. 

Le système médiatique qui a assuré jusqu'à présent sa pérennité par les moyens que nous avons tenté de signaler brièvement, a une homogénéité et une cohérence. Le message des médias a un sens. Il s'agit en bref de détruire ou si l'on préfère de déconstruire la société française, historique et traditionnelle. Et par là de subvertir le mental français.

« L'impression du sol qui se dérobe sous nos pieds s'aggrave sans cesse » écrit Olivier Rey fort justement. Ainsi naît la nostalgie, la mélancolie, le profond malaise français, source de nos renoncements et de notre déclin. De ces renoncements et de ce déclin les médias portent une grande part de responsabilité. 

C'est pourquoi nul ne redressera la France tant que les médias seront ce qu'ils sont. 

Il y aujourd'hui en France assez de journalistes et d'intellectuels de grand talent, qui aiment la France, dont les noms sont connus de tous et la liste facile à établir, pour que le ménage qui s'impose dans les médias et le grand remplacement de la caste qui les occupe puissent être tentés et réussis. 

Il y faudrait une révolution politique qui tarde à venir alors qu'elle est peut-être ce que les Français recherchent et attendent. Confusément encore.

 

Source : lafautearousseau

jeudi, 02 novembre 2017

France: un prédicateur musulman appelle à « humilier » les chrétiens (vidéo)

Publié par Guy Jovelin le 02 novembre 2017

Maamar Metmat


Les associations « anti racistes » comme le Mrap, la LDH, SOS Racisme oseront-elle l’attaquer pour incitation à la haine et à la discrimination, que le code pénal puni à 45000 euros d’amende et un an de prison ?

 

Via CivilWarInEurope

mercredi, 25 octobre 2017

La France, pays à la dérive

Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2017

 
POSTÉ LE 24 OCTOBRE , 2017
 
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Je me suis rendu voici peu à Paris, où je n’étais pas allé depuis seize mois, et ce que j’ai vu m’a serré la gorge et donné les larmes aux yeux.

Ce n’était pas très différent de ce que j’avais quitté quand je suis parti, mais c’était pire.

L’aéroport de Roissy est de plus en plus mal entretenu et ressemble à l’aéroport d’un pays du tiers-monde – encore que je connaisse des aéroports du tiers-monde qui ont meilleure allure. À la sortie, j’ai retrouvé l’asphyxie de la circulation que je ne connais que trop bien, en plus grave.

J’ai songé, une fois de plus, que, dans un pays censé être une démocratie, le gouvernement devrait veiller à ce que les habi­tants puissent chercher librement le bonheur et je me suis dit à nouveau que la France était un pays où, comme en Union soviétique autrefois, le gouvernement cherche plutôt à créer le malheur, le souci, l’oppression.

J’ai songé un instant à louer une voiture, mais j’ai renoncé : je ne pouvais ignorer que je serais confronté sans cesse à des embouteillages délibérément fa­briqués.

J’ai regardé ceux qui m’entouraient et j’ai vu de la tristesse sur nombre de visages, de l’irritation, et de l’énervement dans les gestes. Je n’en ai pas été surpris, hélas.

J’aurais pu prendre le métro, mais je savais que, voici peu, deux hommes avaient été poignardés par un autre homme qui criait « Allahou Akbar » (mais qui, bien sûr, était juste un malade mental). J’ai donc pris un taxi. Je savais que je n’échapperais pas aux embouteillages, mais je n’aurais au moins pas à me garer. Je savais que j’allais payer cher, mais que ce n’était pas la faute du chauffeur.

Je n’ignore pas, depuis longtemps, que tout ce qui doit être versé à l’État augmente tous les prix et que, dès lors, si les prélèvements obligatoires en France s’élèvent en moyenne à 57 %, quiconque gagne correctement sa vie en France verse, si l’on ajoute impôts et taxes multiples, bien davantage.

Je n’ignore pas non plus que cela accroît la pauvreté et que le nombre de pauvres en France ne cesse d’augmenter.

J’ai pu le constater jusqu’à l’obscénité : la pauvreté n’est pas visible partout, mais elle est désormais flagrante dès qu’on quitte les beaux quartiers.

J’ai pu voir le long de l’autoroute, alentour de la porte de la Chapelle, au bord du boulevard périphérique, de véritables bidonvilles faits de tôle et de planches bâtis par les migrants que la police est parfois chargée de déplacer, mais qui reviennent inlassablement.

J’ai constaté que l’islamisation était plus flagrante que jamais : les femmes portant le voile sont plus nombreuses, les hommes en djellaba aussi.

Je n’étais pas à Paris lors des récentes manifestations, mais ce que j’ai vu en photo des manifestations m’a semblé pathétique. Comment peut-il y avoir encore des adhérents à la CGT (et à tout autre syndicat français d’ailleurs) ?

Je sais depuis des années que des casseurs utilisent les manifestations pour commettre des actes de vandalisme, et j’ai pu observer le long du parcours traditionnel République-Bastille, des magasins et des banques dont la façade était couverte de plaques de bois en attendant que vienne le vitrier.

J’ai entendu à nouveau en direct, et non de l’étranger, les « informations » à la radio, et j’ai pu constater, une fois de plus, que les « informations » en France ont elles-mêmes une dimension soviétique.

Je me suis souvenu de ce que me disait un dissident qui avait pu quitter Moscou, il y a une trentaine d’années, et qui, comprenant le français, m’avait dit que la population russe avait plus de chance que la population française : en Union soviétique, m’avait-il expliqué, il y avait une seule « Pravda » et ceux qui la lisaient ou qui écoutaient son équivalent radiophonique savaient que rien de ce qui était écrit ou dit n’était vrai. En France, avait-il ajouté, il y a plusieurs « Pravda » et nombre de gens pensent qu’elles disent la vérité.

Je vis désormais dans un pays qui n’est pas parfait, mais où il reste tout un ensemble de libertés qui ont disparu en France.
J’aimerais regretter d’être parti. Je ne regrette pas.

Je suis juste révolté en constatant ce que devient la France.

J’aimerais qu’une immense colère s’empare de la population française et vienne stopper ce que je perçois comme un immense assassinat.

 

Source : les4verites