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samedi, 09 août 2014

Scènes d’une fin de semaine ordinaire en France (par J-P Fabre Bernadac)

Publié par Guy Jovelin

Vendredi 1er août en fin d’après-midi dans un arrondissement du nord de Paris, trois jeunes pénètrent dans une habitation en cassant un carreau. Ils s’emparent de divers objets et papiers (carte d’identité et carte bleue). L’appartement est habituellement occupé par une jeune fille seule, travaillant pour payer ses études. Le gardien de la petite résidence entendant du bruit se précipite et se retrouve face à un adolescent qui, sortant un couteau, l’avertit : « Si tu bouges, je te crève. » Celui-ci, devant la menace, laisse la bande s’enfuir. Le plus incroyable est que la police, prévenue, n’a pas voulu faire de justificatif de vol pour la jeune femme arrivée entre-temps, car elle n’avait pas le moyen d’établir son identité.

Samedi 2 août, à l’heure du dîner, à la sortie d’un restaurant de l’avenue principale de Sospel, petit village des Alpes-Maritimes, une bande s’approche d’un restaurant et gifle l’une des clientes. Le restaurateur qui essaye de s’interposer est roué de coups par quatre des individus du groupe. Selon les témoignages, il s’agit de gens installés depuis peu au village, bénéficiant d’une solide réputation de fauteurs de troubles. Ces individus d’une trentaine d’années ont, pour certains, déjà été condamnés à de la prison pour les mêmes faits de violence. La peur règne d’autant plus sur les habitants que ceux-ci ont été menacés de représailles en cas de plaintes déposées à la gendarmerie.

Dimanche 3 août, début de soirée, personne ne bouge pour porter secours à un septuagénaire, originaire d’un hameau près de Donnemarie-Dontilly, en Seine-et-Marne, agressé par une dizaine d’individus. Alors qu’il revient de la pharmacie de garde pour apporter des médicaments en urgence à sa femme, l’homme de 71 ans est bloqué par une Audi blanche stationnée sur la voie publique. Le conducteur discute avec un groupe sous la halle. « J’ai baissé ma fenêtre pour leur signaler que j’étais pressé et pour qu’ils déplacent le véhicule », se souvient la victime. C’est là que tout aurait dégénéré. « La voiture s’est garée et des individus ont rapidement encerclé mon véhicule », détaille-t-il. « J’ai reçu un coup de poing au visage et cela m’a fait perdre mes lunettes. Je suis sorti pour les récupérer, mon téléphone à la main pour appeler la gendarmerie. » Le septuagénaire reçoit alors une nouvelle salve de coups pendant que l’un des agresseurs s’empare de son téléphone.

Malgré ses cris, personne ne lui a porté secours. « Il y avait beaucoup de monde sur la place, personne n’a bougé le petit doigt », s’indigne la victime. Finalement avisée, la gendarmerie arrive sur place mais les témoins ne sont pas très loquaces. « Je ne viendrai plus dans cette rue, le soir, c’est toujours mal fréquenté. J’étais là juste pour des médicaments et je me fais tabasser », conclut le retraité.

Voilà ce qui se passe en France toutes les semaines, voilà comment un couvre-feu virtuel s’est instauré. Voilà comment police et gendarmerie sont submergées de plaintes et surtout comment la peur s’est installée, paralysant toute riposte. Riposte qui pourtant est prévue par le Code pénal quand un fait pénalement répréhensible est constaté.

Bien évidemment, je ne vous en dirai pas plus sur l’origine de ces divers malfaiteurs. Sachez simplement qu’ils ne sont pas originaires des coins de France mentionnés.

La seule question à se poser aujourd’hui est : « Ces actes délictueux vont-ils encore durer longtemps ? »

Sachant que l’on connaît les moyens pour y remédier : appliquer la tolérance zéro. Mais, bien sûr, tout cela passe d’abord par du courage et une véritable révolution des mentalités politiques.

Source

dimanche, 03 août 2014

« Libération. Vous avez dit libération ? »

Publié par Guy Jovelin

france,libération,pétainEn nous penchant sur la triste période de la seconde guerre mondiale, nous devons avoir une vision critique et objective.

Certes nous avons subi le joug allemand et le Maréchal Pétain, bouc émissaire a su faire à 84 ans le don de sa personne à la France.

A cette époque nombreux sont ceux qui ont fui leurs responsabilités, et qui par lâcheté, facilité ou opportunisme peut-être ont dicté des ordres depuis l’étranger, à savoir l’Angleterre, « la perfide Albion », qui n’a pas hésité à massacrer la flotte française à Mers-el-Kébir !

Odieux Churchill, ce crime restera à jamais impuni malheureusement 

Prions pour tous nos marins français tombés ce jour là !

La guerre engendre conflit, tourment et désolation.

Deux camps se sont retrouvés face à face, les résistants et les collaborateurs.

Encore faut-il se pencher sur ce qui dictait l’engagement des uns et des autres.

Le camp des résistants, des patriotes convaincus et celui des collaborateurs et des traîtres…

Ce constat est simpliste, les salauds se répartissent dans les deux camps.

Les hommes de la résistance ont fait autant d’exactions que ceux de la collaboration.

Mais là n’est pas le but de notre propos car avec le recul nous avons été libérés de quoi ?

La France ne ressemble plus à la France, notre drapeau est brûlé, humilié, les français sont rejetés, suspectés de racisme, à chaque fois qu’ils revendiquent leur identité française et gauloise.

Alors oui, il y a de quoi se poser des questions sur cette fameuse libération !!

Les résistants, pensaient-ils que nous en serions arrivés à un tel état de décrépitude, d’incivilité, de non-patriotisme exacerbé ?

Ils doivent se retourner dans leurs tombes, tant l’idée de Patrie est assimilée à un pseudo fascisme  ou nazisme !

Le Maréchal Pétain avait raison car il conseillait non pas une reddition de la France absolue, mais un réveil ultérieur du peuple français.

Les détracteurs de la révolution nationale devraient méditer ceci :

« Subir pour mieux contre-attaquer, avec des Français et des méthodes françaises.

Voilà le but du Maréchal Pétain.

A aucun moment, nous devons le considérer comme un traître, car à l’époque, rare sont ceux qui prenaient leurs responsabilités.

Le vainqueur de Verdun mérite toute notre considération, il n’en est pas de même d’un certain Général ; qui a par la suite abandonné nos compatriotes PIEDS-NOIRS et HARKIS, en trahissant la parole donnée !

Alors libérés, oui, mais de quoi ! L’histoire jugera  entre un homme qui a fait le don de sa personne à la France et celui qui n’a servi non pas pour la France, mais pour sa seule ambition envers et contre tous !

Franck Pech

Responsable communication Pdf 31

 

lundi, 28 juillet 2014

[Lu sur Internet] Un été d’avant-guerre – par Joris Karl

Publié par Guy Jovelin

[Lu sur Internet] Un été d’avant-guerre - par Joris Karl27/07/2014 – PARIS (via Boulevard Voltaire)

L’été devenait mou. Presque visqueux. Le peuple ballotté entre canicule et jours de pluie avançait avec la prestance d’une pile d’archives mal défraîchies. L’actualité n’atteignait plus le sol depuis longtemps. On savait qu’au loin il y avait des crashs, mal à l’aise ou malaisiens, on savait qu’il y avait des bang de plages et des fuites de Gaza. Mais on marchait. Droits comme des I, alors que dans la moiteur cravatée de l’Assemblée, une fournée de pingouins votait la fusion des régions. Tout seuls, comme des grands, à mille lieues de ce peuple qui pour eux n’existait plus. Comme cent ans auparavant, le ronronnement de la guerre nous berçait. Nous caressait quasi somnifère. Un alcool de haute tenue, petite gorgée, grande ivresse. Mais pas d’archiduc crucifié à l’horizon, pas de Bosnie pour le moment. Même pas de Caillaux dans nos chaussures, même pas de Jaurès au croissant.

(…)

Pourtant, le 14 Juillet s’était déroulé comme de coutume. Quoique. Toujours autant, voire plus de grappes humaines venues se répandre au pied du bouquet final. Des aahhh, des ohhh, pour goûter les comètes incertaines, pour humer le parfum des fusées. Lointaines bastilles dont on leur avait naguère susurré l’émotion sur les bancs de l’école. Le bruit de la guerre était ailleurs, enterré dans le passé absous, réfugié à jamais au tréfonds des pages jaunies du manuel de classe.

Nous, nous n’avions plus que cette odeur de poudre. Nano-écho des orages d’acier qui firent la France. Nous n’étions plus qu’un peuple sans histoire, amputé du temps, touristes de notre propre existence. Proie facile pour les prédateurs de tout poil, pour les prédicateurs de toutes obédiences.

Pour lire l’article dans son intégralité

Photo Une : Assassinat de l’archiduc d’Autriche et de son épouse à Sarajevo, quatrième de couverture illustrée du Petit Journal du 12 juillet 1914. Crédit : Bibliothèque nationale de France (cc).

Source : http://fr.novopress.info/

jeudi, 17 juillet 2014

Droit de vote des étrangers : le jour où la France mourra (par Joris Karl)

Publié par Guy Jovelin

François Hollande l’a réaffirmé sans trembler lors de son entrevue du 14 juillet : le coup de grâce sera porté à la France en 2016. Des paroles assassines sorties d’un visage inexpressif à en crever : l’exécuteur testamentaire de 2000 ans d’histoire a une gueule de poisson mort.

Cette année 2016, sera, d’après le président en fonction, « celle des réformes constitutionnelles », et parmi celles-ci, outre une modification du mode de scrutin, « le droit de vote pour les étrangers extra-communautaires ». Traduction : pour le monde entier. Peut-être même les touristes qui sait, on aura bien un ou deux cinglés, un écolo ou un socialo-taubiresque pour nous pondre une ignominie de plus.

Le droit de vote des étrangers, cette monstruosité juridique, figurait déjà au programme du candidat Mitterrand en l’an de grâce 1981. Mais en ce temps-là, la pilule était trop grosse à faire avaler au peuple de France. Déjà qu’on lui avait scandaleusement interdit de s’exprimer sur l’abolition de la peine de mort ! Au royaume de l’Anti-France, chaque coup de poignard en son temps…

Néanmoins, le projet fou, obsessionnel chez tous les ennemis du Drapeau, demeurait blotti bien au chaud sous le ventre de la gauche immonde. « Patience » chuchotaient dans l’ombre les grands maîtres du secret, on attendrait simplement que le travail de sape des médias et de l’éducation nationale fasse son œuvre, que soit achevé l’élimination de tout sentiment d’appartenance, que soit gommé toute identité parmi les braves gens réduits à de simples moutons scotchés à TF1.

Et puis, le moment voulu, on commencerait à sortir des sondages mirifiques, comme celui publié par l‘Express en 2013, dans lequel il était affirmé que « 54 % des français souhaitaient que l’on étende le droit de vote aux étrangers non communautaires ». Un peu comme si on vous disait les yeux dans les yeux que la majorité de vos neurones souhaitait que vous vous flinguiez ce soir.

La piétaille du service public de Ruquier à Caron vous bassinera avec cette « avancée sublime dans la citoyenneté partagée et universelle ». La troupe de choc de Canal plus, fera le job de son côté, traquant telle une milice, les mauvais français « rabougris et refermés sur eux-mêmes ». Le très fun Ariel Wizman, ajoutera sans doute « avouons-le, ceux qui sont contre la réforme sont plutôt ruraux, pas diplômés, c’est la France qui souffre môssieur ».

Seul motif d’espérance, avant ce déluge d’imprécations, la majorité pour faire basculer la République dans l’après-France sera dure à constituer. Mais Hollande a sûrement mijoté un coup fourré pour y parvenir. Si une telle réforme voyait le jour, le grand livre de l’histoire de France se fermerait brutalement. Et certains le jetteraient aux flammes avec jubilation. Allons-nous les laissez faire ?

Source

vendredi, 04 juillet 2014

Ramadan 2014 : 160 imams du Maroc et 100 imams d’Algérie dépêchés en France

Publié par Guy Jovelin

Ramadan 2014 : 160 imams du Maroc et 100 imams d’Algérie dépêchés en France

En ce début de Ramadan, 160 imams marocains ont été dépêchés en France, nous fait savoir Mohammed Moussaoui, président de l’Union des mosquées de France (UMF) qui revendique dans son réseau 500 mosquées. Lire la suite