Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 19 mars 2018

Bardot : «Je ne me suis pas battue contre l’Algérie française pour accepter une France algérienne»

Publié par Guy Jovelin le 19 mars 2018

Brigitte Bardot
 
 
 

Brigitte Bardot, qui publie un nouvel ouvrage aux éditions de l'Archipel, a dressé un portrait au vitriol de la France, des «islamistes», de l'UE et du cinéma français. A 83 ans, l'ancienne actrice semble amère, mais pas silencieuse...

Dans une interview accordée à l'hebdomadaire Valeurs actuelles et publiée le 15 mars, l'ancienne comédienne reconvertie en militante des droits des animaux, Brigitte Bardot, a défendu la sortie de son nouveau livre de citations et d'aphorismes, intitulé Répliques et piques, récemment publié aux Editions de l'Archipel.

L'ancienne égérie de Jean-Luc Godard a saisi cette occasion pour livrer une opinion tranchante sur l'état de son pays au regard de l'Histoire. Elle a par ailleurs abordé des sujets allant du cinéma à l'Union européenne.

Il y a de quoi se les prendre et se les mordre !

Brigitte Bardot a ainsi déclaré : «J’ai été élevée dans l’honneur, le patriotisme, l’amour et le respect de mon pays. Quand je vois ce qu’il est devenu, je suis assez désespérée. Quand je constate ce qu’ils ont fait d’un pays dont la richesse intellectuelle, la qualité du langage, de l’écriture, la primauté en matière d’architecture, de mode, d’élégance, de patrimoine rayonnaient dans le monde entier, ça me déprime. Comme disait mon grand-père, il y a de quoi se les prendre et se les mordre !»

La passionara des bébés phoques n'a pas non plus mâché ses mots sur les islamistes : «Je ne peux plus les voir, les islamistes. Que pratiquement partout en France on voie des burqas, c’est inadmissible. Qu’ils se conduisent comme ils veulent dans leur pays d’origine, mais qu’ils ne nous imposent pas des coutumes, des pratiques, des discriminations d’un autre âge : la France, ce n’est pas ça.»

Ce à quoi, elle a ajouté : «Je ne me suis pas battue contre l’Algérie française pour accepter une France algérienne. Je ne touche pas à la culture, à l’identité et aux coutumes des autres. Qu’on ne touche pas aux miennes.»

Sur l'Union européenne, BB n'est pas plus amène : «Il faut en sortir. Bruxelles nous casse les burnes.»

Il n’y a plus que des barbus et des actrices aux cheveux gras, qui se font violer dans les coins

Et si on attendait une déclaration gentillette sur le cinéma français de la part de celle qui l'a quitté en 1973, il faudra attendre encore un peu : «Il n’y a plus que des barbus et des actrices aux cheveux gras, qui se font violer dans les coins et qui trouvent des excuses à leurs agresseurs. Il n’y a qu’à regarder la Cérémonie des César où de gentils zombies remercient papa-maman, leur concierge et leur chauffeur de taxi, tout en lançant l’incontournable appel à la fraternité humaine et à l’antiracisme C'est dit !

 

Source via lesobservateurs

dimanche, 18 février 2018

Toulouse est la deuxième ville abritant le plus d’islamistes

Publié par Guy Jovelin le 18 février 2018

   
 
Salafistes toulouse mirail

© Capture d'écran France 2

350 personnes suivies par les services de renseignement au motif de radicalisation, en Haute-Garonne. C’est le chiffre énoncé lundi par le préfet Pascal Mailhos, lors  de la présentation du bilan de la délinquance. Toulouse se placerait à la seconde position du classement, à égalité avec Marseille.

Avec Marseille et Paris, Toulouse est connue pour être un terreau fertile pour la radicalisation islamiste. Première ville à avoir été touchée par le terrorisme en France cette décennie, avec l’affaire Merah, elle est aussi un lieu de fréquentation salafiste, notamment dans le quartier du Mirail, qui a vu passer entre autres les frères Clain, auteurs de la revendication des attaques du 13 Novembre.

En Haute-Garonne, ce sont 350 personnes qui sont suivis pour motif de radicalisation par les services de renseignements. « Ce chiffre nous place à l’égalité avec Marseille », a précisé le préfet Pascal Mailhos, mardi 13 Février en conférence de presse. Ce sont 100 personnes de plus qu’il y a deux ans, et 50 de plus qu’il y a un an. Des suivis de ces profils signalés et fichés S sont effectués toutes les semaines par les services de l’État et du renseignement.

Lire aussi : Entretien exceptionnel avec Alexandre Mendel : Toulouse djihadiste !

Seulement 85 de ces 350 radicalisations seraient traitées en zone gendarmerie, le reste en zone police (Toulouse, Blagnac, Colomiers).

Les liens entre radicalisation et délinquance

Lors de la conférence de presse, le préfet a également insisté sur les liens entre radicalisation et délinquance. Sa conviction : « Lutter contre la délinquance, c’est lutter contre la radicalisation. Une partie de la radicalisation trouve ses moyens dans le trafic de stupéfiants et le trafic d’armes ». Le procureur de la République à Toulouse, Pierre-Yves Couilleau, partage ce constat : « Notre intuition c’est qu’il y a porosité entre délinquance de droit commun et radicalisation. Ces trois dernières années, nous avons signalé 29 personnes au parquet de Paris pour des liens présumés entre trafic et terrorisme, des enquêtes ont été initiées ».

.

Source : infos-toulouse

jeudi, 08 février 2018

France: 59 personnes recensées comme islamistes dans le secteur du nucléaire en 2017

Publié par Guy Jovelin le 08 février 2018

nucléaire

Selon "Mediapart", l’État-major opérationnel de prévention du terrorisme (EMOPT) a recensé 59 personnes en 2017 comme islamistes radicaux ayant travaillé ou travaillant dans le nucléaire avec "différents degrés de radicalisation".

L'information a de quoi inquiéter, mais le service de renseignement concerné nuance. Mardi 6 février, Mediapart publie un article sur "l'anatomie de la menace terroriste en France" et sort une information choc : l'État-major opérationnel de prévention du terrorisme (EMOPT) aurait recensé en 2017 59 individus comme islamistes radicaux travaillant ou ayant travaillé dans le nucléaire. Une vingtaine de sites ont été concernés ou le sont toujours. 

Selon les informations du journal, ces personnes auraient été embauchées à EDF et des sous-traitants du producteur et fournisseur français. Mais aussi chez des "prestataires d'Areva", "au CERN, l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire" et à "l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN)", écrit le journaliste Matthieu Suc qui précise qu'encore une quinzaine de personnes plus une dizaine d'ingénieurs et chercheurs auraient ou avaient accès à des sites sensibles.

Mais une source aux renseignements nuance auprès du média d'investigation : "Il y a différents degrés de radicalisation, les métiers liés au nucléaire ne sont pas une préoccupation majeure. Bien sûr, nous surveillons cela mais nous n’avons pas détecté d’individus extrêmement dangereux. Et au moindre doute, les habilitations sont retirées".

 

Source via lesobservateurs

dimanche, 29 octobre 2017

La Police Nationale recrute des islamistes fichés S mais vire des patriotes

Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2017

 

L’information a été révélée par RTL : un individu anciennement dans les radars des services de renseignement en vertu de ses liens avec des islamistes, ayant fait l’objet d’une fiche S, a depuis 2012 intégré l’armée, puis a été recruté en tant qu’Adjoint de Sécurité dans les rangs de la Police nationale, avant de réussir le concours interne de Gardien de la Paix.

La police recrute… Tout et n’importe quoi !

C’est donc le plus naturellement du monde que j’ai fait le lien avec ma situation personnelle, moi qui étais Brigadier-Chef OPJ dans la police nationale, ai été suspendu, puis révoqué, condamné par la justice, empêché de trouver un emploi dans le domaine de la sécurité, fiché S, ayant dû m’exiler pour échapper à l’emprisonnement, tout cela pour avoir pris anonymement position contre l’islam et les assassins d’Hervé Gourdel sur Facebook…

J’éprouve une grande colère, que je tente tant bien que mal de canaliser, en pensant au profil de cet individu qui est une bombe à retardement et qui va bientôt pouvoir faire « carrière » dans les rangs de la police nationale, dont certains dirigeants ont estimé qu’il fallait me virer comme un malpropre malgré mes états de service et, pire encore, me ficher S depuis 2015.

Je songe à tous les infiltrés qui, comme lui, pourront exercer un chantage à l’islamophobie en interne, recueillir et transmettre des informations à l’ennemi, voire peut-être dérober du matériel sensible comme ce fut le cas encore récemment à la direction départementale de la sécurité publique de Seine-Saint-Denis, où plusieurs armes et chargeurs ont mystérieusement disparu de l’armoire forte.

Comment ne pas anticiper l’attitude de cette nouvelle recrue, si elle devait par exemple exécuter l’ordre de disperser la foule des musulmans priant illégalement sur les voies de circulation devant la mairie de Clichy-La-Garenne ? Nul doute qu’il refusera de « malmener » ses « frères », en espérant au mieux qu’il ne s’interposera pas.

Rappelons que sur la seule Préfecture de Police à Paris, ce sont 17 policiers « islamistes radicaux » qui ont été identifiés entre 2012 et 2015, que plus récemment au Kremlin-Bicêtre, c’est une Juge d’Instruction qui a informé les autorités de la sympathie d’un Gardien de la Paix pour l’État islamique, et que vous ne serez jamais informés de la réalité et de l’ampleur du phénomène. En effet, cela ferait un peu « tache » pour l’image de l’institution que de révéler que le recrutement s’effectue sans aucune enquête de moralité, contrairement à l’époque où j’ai moi-même intégré ses rangs.

Je me dis que nous, les flics intègres qui avons embrassé cette carrière par choix, celui de protéger nos concitoyens et de contribuer à la neutralisation des criminels et des délinquants, n’avons plus lieu d’être. Puis je me ravise, en considérant qu’il reste encore un espoir, comme le prouve la révélation de cette information à des journalistes qui ont fait leur travail en la relayant.

En effet, comment ont-ils pu être informés si ce n’est par une source interne ?

Gageons que ces policiers, qui ont de leur fonction une vision suffisamment haute pour ne pas tolérer ce genre d’aberration, continueront à défendre les intérêts de cette institution que les politiques successives n’auront fait que malmener, encore et toujours, dans le seul intérêt d’acheter une hypothétique « paix sociale » en obtenant exactement l’effet inverse. »

Sébastien Jallamion

 

Source : reseaulibre

dimanche, 15 octobre 2017

Jean-Sébastien Ferjou voit une convergence des luttes France Insoumise / islamistes contre les symboles chrétiens

Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2017

Eric Martin

 images.jpg« A la limite, je peux comprendre la logique politique qu’il y a pour la France Insoumise à refuser le drapeau européen à l’Assemblée Nationale, parce qu’ils sont souverainistes. Mais là, on a franchi un cran supplémentaire. Maintenant, c’est parce que le drapeau serait l’incarnation de symboles religieux à cause des 12 étoiles qui sont censées être un chiffre biblique. Admettons même qu’il y ait une inspiration religieuse, dans ce cas-là on va débaptiser la Gare Saint-Lazare, le Mont Saint-Michel, et puis d’ailleurs il n’a qu’à plus s’appeler Jean-Luc parce que Jean et Luc étaient soit apôtre soit auteur des Evangiles. Bref, c’est une logique qui est sans fin. Mais surtout, ce qui me trouble, c’est que soit c’est délibéré et donc ça va dans le sens de la complaisance vis-à-vis de l’islamisme, soit c’est de l’aveuglement et ils ne se rendent pas compte à quel point ils se rendent les idiots utiles de certaines stratégies parce que, comme par hasard, c’est exactement la stratégie poursuivie par les grandes organisation islamiques internationales qui ont ces revendications-là. Ca a été le cas en Italie, on l’a vu, il y a eu des polémiques sur le retrait des crucifix dans un certain nombre de bâtiments, qui commençaient justement par les organisations islamiques en disant que c’était “une rupture entre les citoyens” et qui derrière était accompagnées par l’extrême gauche. Que ce soit une convergence des luttes qui se trouvent un intérêt commun à un moment donné ou qui ne se rendent pas compte des choses, de toute façon je trouve ça grave parce qu’il y a une stratégie sur laquelle il faut ouvrir les yeux. Le mot “Islamophobie” a été inventé par ces organisations justement pour générer la confusion entre la critique de l’Islam et le racisme qui s’appliquerait à des gens de confession musulmane (…) Je pense qu’il faut savoir dire STOP à cette complaisance et à ces itinéraires croisés. Et, malheureusement, Jean-Luc Mélenchon est de plus en plus aspiré par son électorat. Je pense pas que ce soit ce que lui pense fondamentalement, mais de plus en plus, il est aspiré par son électorat parce que la France Insoumise a été élue avec les voix de quartiers où effectivement il y a des populations qui sont dans une revendication islamique ou islamiste. »
 
 

 

 

Source : ndf via LCI, vendredi 13 octobre 2017, 17h48