Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 21 novembre 2015

Pas d'amalgame !

Publié par Guy Jovelin le 21 novembre 2015

Photo de Thomas Joly.
Thomas Joly
 
Qui aurait pu imaginer que de ces sympathiques jeunes hommes, aux visages pétris de bonté et exhalant l'amour de leur prochain, allaient commettre un tel massacre vendredi ? 

Vous en croisez par paquets de 12 dans les transports en commun quand vous revenez du boulot ? Profitez-en alors pour leur demander si eux aussi "pray for Paris" et ont allumé une bougie de la paix...

samedi, 14 novembre 2015

Massacre en plein Paris : ce n’est qu’un tout début

Publié par Guy Jovelin le 14 novembre 2015

12241666_889945681096300_6458768257633304267_n.jpg

Arnaud Raffard de Brienne cliquez ici

L’immense avantage d’accepter la pouillerie du monde entier sur notre territoire n’aura pas tardé à se révéler au grand jour. En préambule, ne craignons pas d’affirmer que la classe politique, droite et gauche confondues, porte l’entière responsabilité du drame survenu à Paris ce soir et pour lequel on décompte déjà plus de 60 morts à cet instant précis (23h30). Notons que nous sommes passés de 18 morts, puis 30 à au moins 40 en moins d’une heure puis à 60 (23h45), sans parler des blessés dont certains dans un état grave. Le bilan risque de s’alourdir encore dans le courant de la soirée.

Plusieurs fusillades ont donc éclaté ce soir à différents endroits de la capitale et des explosions dues à des attentats suicides auraient aussi fait un certain nombre de victimes aux abords du Stade de France. Une prise d’otages est en cours au Bataclan sans qu’on sache très bien combien de personnes sont ainsi retenues. Il y aurait eu sept attaques simultanées et par conséquent concertées : le Bataclan, République, Les Halles, Trocadéro, Stade de France, Belleville, Paris 10è, Paris 11è.

Alors que Valls éructe contre le Front national et en perd les pédales, au point de proposer des listes communes UMPS (LRPS maintenant) avec pour seule obsession de « faire barrage au Front national », ne ferait-il pas mieux de faire barrage au terrorisme, à la submersion migratoire qui en est la cause, au chômage et à l’inexorable montée de la pauvreté et de la précarité ?

Les Français doivent maintenant se préparer à reprendre en main leur destin, au prix de grandes souffrances et de grands sacrifices mais que jamais aucun ne vienne dire « nous ne savions pas ». Ils doivent maintenant s’organiser et se préparer à assurer leur défense.

Espérons qu’il n’y aura pas, dans les jours à venir, de marche blanche et autres grandes déclarations sur les valeurs républicaines, le « pas d’amalgame » et autres « Je suis Charlie. Le retour ». Cela ajouterait l’odieux à l’horreur. La folle immigration et la politique de soumission à Washington et à sa folie belliciste aboutissent aux résultats que de nombreux patriotes annoncent et prédisent depuis des décennies malgré la hargne de la classe politique gamellarde, essentiellement soucieuse de se partager l’assiette au beurre. Même l’obscurantiste Arabie Saoudite dont la seule religion autorisée est pourtant l’islam, se garde bien d’accueillir ces fameux « migrants » qui ne sont rien d’autre que des immigrés illégaux. Elle refuse énergiquement d’accueillir des réfugiés en provenance des pays en état de guerre civile et surtout pas venant de Syrie. Tout juste propose-t-elle benoîtement de financer 200 mosquées en Allemagne, à coups de pétro-dollars, ce qui comporte infiniment moins d’inconvénients.

La seule attitude digne du gouvernement consiste à démissionner pour laisser place à un gouvernement de salut public.

 

Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2015/11/1...

lundi, 10 août 2015

10 août 1792 : naissance de la République dans un massacre

Publié par Guy Jovelin le 10 août 2015

Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
La tension est vive et, excités par Danton, une foule de sans-culottes se masse aux abords du palais.

La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationaux crient : « Vive le roi ! ». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté : « Vive la Nation ! ». Situation confuse.
Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !».
Apeurés, le roi, la reine et le dauphin traversent le jardin des Tuileries et vont chercher refuge au sein de l’Assemblée.
Devant le palais, l’émeute enfle. Une porte est malencontreusement ouverte. Un flot de sans-culottes s’y engouffre. Les gardes suisses ouvrent le feu et provoquent un reflux éperdu vers le Carrousel.
Les émeutiers évacuent la place. Ils semblent près d’abandonner la partie.

Mais vers dix heures, un groupe de volontaires marseillais parvient à s’introduire à l’intérieur des Tuileries. Le combat reprend de plus belle.
Le roi griffonne un billet ordonnant aux Suisses de déposer à l’instant les armes et de se retirer dans leurs casernes. Grave erreur du trop bon Louis XVI.
Obéissants, les gardes se replient vers la place Louis XV (l’actuelle place de la Concorde).

Mais ils sont bientôt encerclés, capturés, conduits à l’Hôtel de Ville puis massacrés. Mêlées à la foule, les poissardes des halles se livrent à de honteuses mutilations sur les cadavres.
Les émeutiers envahissent maintenant les Tuileries et lynchent pêle-mêle gardes, serviteurs et fidèles avant de piller le palais.
Six cents Suisses ainsi que deux cents aristocrates et gens de maison perdent la vie en ce jour du 10 août.

L’Assemblée législative, enhardie par le succès de l’émeute, prononce la « suspension » du roi. Elle convoque par ailleurs une Convention nationale en vue de prendre toutes mesures « pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l’égalité », et instaure pour la première fois le suffrage universel (masculin). Après une nuit de fortune, la famille royale est emmenée au donjon du Temple pour y être emprisonnée.
La période appelée « la Terreur » allait commencer.
Fin d’un régime millénaire qui avait construit la France mais était certes affaibli de l’intérieur.
Naissance de la République.
 

lundi, 06 juillet 2015

Commémoration du massacre du 5 juillet à Oran

Publié par Guy Jovelin

Dimanche 5 juillet, invité de Gérald Légier délégué du CNC Tarn et Garonne (82) (Cercle National des Combattants, présidé par Roger Holeindre) j’ai rendu hommage en tant que Pied Noir et au nom du Parti de La France à toutes les personnes tombées à Oran le 5 juillet 1962 sous les balles du FLN de l’ALN et ATO avec la complicité du gouvernement français, orchestré par le criminel de guerre de gaulle. 
Après avoir entonné avec une trentaine de personnes présentes la Marseillaise et le chant des Africains (l’hymne des pieds noirs) j’ai présenté le Parti de la France de Carl Lang à l’assistance. Le message est très bien passé et j’ai pu enregistrer de nombreux contacts.2015-07-05 18.10.16.jpg2015-07-05 18.24.21.jpg2015-07-05 18.41.29.jpg

2015-07-05 18.23.56.jpg

dimanche, 05 juillet 2015

5 juillet 1962 : le massacre d’Oran, avec la complicité de De Gaulle

 Publié par Guy Jovelin

Le général Katz, ordure aux ordres d’une autre ordure

Ce 5 juillet à Oran, alors que le prétendu « cessez-le-feu » était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroule une chasse aux Blancs visant les malheureux qui n’avaient pas encore eu le temps de quitter les lieux.

« On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait.
On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »

Bilan : 3 000 morts et disparus.

Le pire, dans cette histoire, est que 18 000 soldats français étaient stationnés à Oran. Ils reçurent l’ordre de l’infâme général Katz de rester cantonnés dans leurs casernes, sans intervenir.
Katz téléphona à De Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre. Le chef de l’Etat répondit « ne bougez pas ».

Lire la suite