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mardi, 07 novembre 2017

Les démagogues de la République

Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2017 

Dans les méandres de la démocratie, se cachent une multitude de petits démagogues de tous poils, qui, profitant des défaillances d’une société à la dérive, peuvent prospérer sans encombre, en ayant à leur service un système médiatique parfaitement adapté à leur rhétorique. Qui pratique, depuis longtemps, la tartufferie comme une seconde nature – l’enfumage y est même devenu “la vertu cardinale” ! Désormais, il est très facile de vendre des discours attrayants et sur-mesure, qu’ils soient moralisateurs, politiques ou autres, comme on vend un paquet de lessive. De façon publicitaire ! Et plus c’est gros et mieux ça passe. Ce n’est pas plus difficile.

Évidemment, tout cela n’est pas nouveau, mais atteint, aujourd’hui, des sommets d’incongruité. À un point qui devient écœurant. Si les journalistes et les publicistes, en raison de leur statut de porte-parole, ont une grande part de responsabilité dans la prolifération de la complaisance ambiante – la plupart sont des militants au service d’une hystérique idéologie gauchisante de bazar – ils ne sont pas les seuls. On ne compte plus les associations de malfaisants qui polluent la sphère publique et qui, sous des dehors généreux et humanistes politiquement corrects, font un travail de sape d’une envergure inégalée. Comme jamais notre pays n’en avait connu. La langue de bois, qu’ils utilisent tous dans un style incantatoire, a un but inavouable : détourner l’attention des réalités de situations alarmantes qui révéleraient l’impuissance de nos dirigeants. Même pour les citoyens les moins éclairés, le constat est effarant : la manipulation de l’opinion devient tellement prégnante que l’on a l’impression de ne plus être très loin de vivre avec le “Big Brother” d’Orwell !

L’accumulation de nouvelles valeurs et expressions “républicaines” à la mode, pour tout et n’importe quoi, dans le style : “discrimination positive, écriture inclusive, harcèlement” ou employées à tort et à travers, comme ” devoir de mémoire, repentance, réparation, résilience” est telle, que la portée, de ces actes supposés être des socles fédérateurs pour la Nation, en est dévalorisée. On nage en plein délire et, sans discernement, la confusion et le désordre s’installent confortablement dans notre vocabulaire. Ces incohérences troublent, surtout, les esprits de nos élites autoproclamées du petit écran, dont le métier ne prépare plus à informer, mais à ânonner des textes de propagande. Voici venu le temps des impostures où, manifestement, la recherche de la vérité des faits n’est plus partie prenante de la déontologie journalistique.

Certes, nos petits démagogues d’aujourd’hui n’ont pas inventé la démagogie. Cette forme d’esprit à vouloir embobiner le chaland ne date pas d’hier, mais remonte bien plus loin, dans la nuit des temps où le commerce remplaça l’échange. Débordant sur toutes les activités humaines, la tentation démagogique ne pouvait pas échapper à la politique. Machiavel, lui-même, savait déjà l’utiliser pour en faire un des axes majeurs du fonctionnement de la République de Florence. Depuis, machiavélisme et démagogie, souvent, s’entremêlent et se confondent. Nos politiques actuels, n’étant pas plus bêtes, savent s’en servir ! Et, malheureusement, pour survivre, notre République, en pleine déliquescence, se cramponne à qui elle peut. À un président qui, lors d’une visite dans une banlieue de Cayenne, gangrenée par le trafic et le communautarisme, n’a qu’une réaction, pour le moins indigne de sa fonction ; face à de jeunes fumeurs de shit, il sourit et plaisante avec eux, en se permettant, tout de même, une petite remontrance : “Ça, ça ne va pas vous aider à bien travailler à l’école”. Quelle audace !

 

Au point où on en est, une niaiserie de plus ou de moins, ne change pas grand-chose.

Pauvre, pauvre France ! Tu es tombée bien bas.

Claude Picard

 

Source : ndf

lundi, 09 octobre 2017

C’était un 9 octobre 1793…

Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2017

Auteur : admin4

massacres-lyon.jpg

Massacre de Lyonnais. Voir la scène à droite : avant l’État islamique, il y eut la République…

Lyon, après un siège de près de cinquante jours, capitule devant les armées de la République.

Les Lyonnais, révoltés par la « tyrannie jacobine » et dressés contre la Convention, affamés, bombardés sans relâche par les soldats de Kellermann, se rendent à 6 heures du matin.

La répression sera terrible ; des milliers de personnes seront massacrées par les Républicains dans les semaines qui suivent.

 

Source : contre-info

lundi, 09 janvier 2017

Carl Lang : « C'est la République contre la France ! »

Publié par Guy Jovelin le 09 janvier 2017

9 Janvier 2017 par Thomas Joly

Sur Twitter, Carl Lang, Président du Parti de la France, ne souscrit pas à la surenchère républicaine pratiquée par tous les représentants du Système, de Mélenchon à Marine Le Pen :

« Leur République socialiste, dite citoyenne, de la diversité et de l'islamisation est antinationale. C'est la République contre la France. »

Pour vous abonner à son compte Twitter, c'est ici : https://twitter.com/carllang2022

 

jeudi, 24 novembre 2016

Fillon se fait recadrer par le grand rabbin de France

Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2016

23 novembre 2016 par Pierrot

 Fillon et les juifs

On y est ! Le traditionnel dérapage antisémite du politique en campagne… Fillon s’est laissé emporter par les émotions ! Vieux briscard du politiquement correct, il a oublié le temps d’une phrase, la hiérarchie des valeurs de la République. En France, on peut insulter librement les chrétiens, critiquer l’islam « rigoriste » et ne rien dire sur les juifs et le sionisme !

En effet, il estimait à l’antenne d’Europe 1 que «les intégristes sont en train de prendre en otage la communauté musulmane», M. Fillon a déclaré qu’il fallait «combattre cet intégrisme, comme d’ailleurs dans le passé on a combattu une forme d’intégrisme catholique, comme on a combattu la volonté des juifs de vivre dans une communauté qui ne respectait pas toutes les règles de la République française »

A peine sorti de la radio, Fillon recevait un appel du grand rabbin de France pour lui rappeler : « que le communautarisme juif qui a pu exister jadis n’était en rien le fait ni le choix des citoyens de confession juive, mais la conséquence de la non-acceptation par la société française d’alors de leurs semblables ».

 

Source : contre-info

jeudi, 25 août 2016

Reprendre le pouvoir pour mener la guerre

Publié par Guy Jovelin le 25 août 2016


23 AOÛT 2016 par PIERRE JANNOT dans INTERNATIONAL



Reprendre le pouvoir pour mener la guerreMais non, mon pauvre « Normal Ier », ce n’est pas la « République » qui est attaquée cette Ré­publique qui, dans ta bouche, n’est même plus française.

Ta république, les barbares savent bien que, grâce à toi et aux tiens, elle est dans un état de déliquescence avancée.

Ce qui est visé, c’est la France éternelle, dont toi et tes congénères n’osez même plus prononcer le nom et que vous n’appelez plus que « la République », ou « ce pays », voire « l’Hexa­gone ».

Ce que nos ennemis veulent anéantir, c’est la France rayonnante, la France des cathédrales, fille aînée de l’Église, la France des rois « très chrétiens », de Clovis, de Charles Martel, de Charlemagne et de Saint Louis, de Godefroy de Bouillon et des rois francs de Jérusalem, la France chef de file de l’Occident chrétien, celle de Charles de Foucauld, de Lyautey et des moines de Tibéhirine.

Bref, la France façonnée, que tu le veuilles ou non, par quinze siècles de christianisme. Pourquoi crois-tu donc qu’ils viennent d’égorger un vieux prêtre dans son église en pleine célébration de la messe ? Le message est pourtant clair !

Certes, cette France, grande, puissante, sûre d’elle-même et fière de son passé, n’est plus que l’ombre d’elle-même.

Trente années de politiques ir­responsables en matière d’immigration, de sécurité et de justice, de défense et de politique étrangère, menées par une classe politique électoraliste, lâche, veule et sans vision en sont la cause.

Et vous avez même réussi, toi et tes complices, à effacer jusqu’à la mémoire de la grandeur passée de notre pays avec l’aide efficace d’une école que vous avez transformée en fabrique de clones analphabètes.

Mais le souvenir de cette France est tenace et c’est son fantôme qui hante les cavaliers d’Allah.

C’est cette France-là, la mienne, dans laquelle, grâce à Dieu, nombre de nos compatriotes se reconnaissent encore, dont nos ennemis veulent anéantir jusqu’au souvenir.

Et ils réussiront si nous continuons à ne nous battre qu’à coup de marches blanches, bouquets de fleurs, nounours en peluches, petites bougies et autres niaiseries larmoyantes.

Sommes-nous en guerre, oui ou non ? Si oui, menons cette guerre autrement qu’en agitant nos petits bras ; ce ne sont pas les déclarations ridicules de notre grand « chef de guerre » et les coups de menton martiaux de son acolyte, qui vont terroriser nos ennemis.

Et, tout d’abord, osons nommer les choses. En temps de guerre, des hommes qui portent les armes contre leur patrie sont des traîtres et non des « djihadistes », des « déséquilibrés » ou des « jeunes radicalisés ».

En d’autres temps, leurs complices eussent été fusillés pour intelligence avec l’ennemi.

La question qui se pose n’est pas celle de leur « déradicalisation », nouvelle tarte à la crème des sociologues télévisuels, mais celle de leur mise hors d’état de nuire. On ne fait pas la guerre à coup de bons sentiments, d’éducateurs et d’assistantes sociales mais en tapant et en tapant fort.

Par ailleurs, il est urgent que les ânes qui nous gouvernent et leur relais médiatiques complaisants, cessent de nous rebattre les oreilles avec leur sacro-saint État de droit.

Les lois du temps de guerre ne sont pas celles du temps de paix surtout lorsqu’il s’agit de se battre contre des barbares.

Alors, si, pour faire la guerre, il faut adapter notre législation, faisons-le et au diable la Cour européenne des Droits de l’Homme ! C’est notre survie qui est en jeu ; ce sont nos compatriotes qu’il faut protéger, et non leurs assassins…

Alors, reprenons notre souveraineté confisquée par une Europe impuissante. Contrôlons sévèrement nos frontières. Ouvrons d’urgence de nouvelles prisons et remplissons-les, en appliquant la « tolérance zéro ». Renvoyons chez eux tous les binationaux délinquants. Finis­sons-en avec ce stupide droit du sol qui a engendré une jeunesse qui déteste la France. Instaurons l’état de siège, si cela est nécessaire, en lieu et place d’un état d’urgence inefficace. Enfin, redonnons à nos armées et à nos forces de sécurité des moyens à la hauteur de la situation et de leurs missions.

Nous sommes en guerre, que diable ! Et il faut livrer cette guerre sans pitié, sans faiblesse et sans état d’âme. C’est à cette seule condition que nous pouvons espérer vaincre.

 

Source : les4verites